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LA RÉPUBLIQUE ALGÉRIENNE DÉMOCRATIQUE ET POBULAIRE

Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique .

Université Abbès Laghrour Khenchela

Faculté des Sciences et technologie

Département de Génie Mécanique

Tp metaux alliages
L'aboration de l'acier et le fount

L’étudiant : SOUFI ALLA EDDINE


Groupe: GENIE DES MATERIAUX (L3)

Dr  : HANNACHI

2021 / 2022
plan de travail  :
 HISTORIQUE
 DéFINITIONS
 POINT DE FUSION
 DIFFERENCE ENTRE FE ET C
 Substances que nous ajoutons au carbone
 CONCLUSION
 BIBLIOGRAPHIE

HISTOIRE  :
L’histoire de la production de l'acier, comme la plupart des histoires de découvertes
et progrès techniques, n'est pas linéaire. On trouve des aciers à divers endroits de la
planète au cours de l'histoire. Certaines innovations apparaissent sans se répandre :
l'Europe découvre l'utilisation de la houille 1 000 ans après la Chine, les Arabes ne
connaissant pas ce combustible. D'autres se diffusent différemment : l'adoption de
l'énergie hydraulique permet au haut fourneau d'être réinventé partout où le minerai de
fer s'y avère compatible.

Avec la Renaissance commence un inventaire des techniques, dont l'analyse se


poursuit par des méthodes scientifiques jusqu'à la fin du XVIIIe siècle. Ces techniques,
qui restent marquées par les contraintes locales et la transmission du savoir-faire,
persisteront jusque dans la seconde moitié du XIXe siècle. C'est en effet à cette époque
qu'apparaissent les innovations les plus marquantes. Toutes sont liées à la mise au
point du procédé indirect : le couple constitué par le haut fourneau et
le convertisseur fonde la sidérurgie moderne.

Enfin, la sidérurgie de la fin du XXe siècle est contrainte de muter brutalement. La


possibilité d'utiliser massivement des énergies et des procédés jusque-là coûteux ou
complexes, comme l'électricité ou l'injection d'oxygène pur, permet l'utilisation d'outils
dont les performances surclassent indiscutablement ceux de la révolution industrielle.

DéFINITION LE FER  :
Le fer est l'élément chimique de numéro atomique 26, de symbole Fe.
Le corps simple est le métal et le matériau ferromagnétique le plus courant dans la vie
quotidienne, le plus souvent sous forme d'alliages divers. Le fer pur est un métal de
transition ductile, mais l'adjonction de très faibles quantités d'éléments additionels
modifie considérablement ses propriétés mécaniques. Allié au carbone et avec d'autres
éléments d'additions il forme les aciers, dont la sensibilité aux traitements
thermomécaniques permet de diversifier encore plus les propriétés du matériau.

DéFINITION LE CARBON  :
Le carbone est l'élément chimique de numéro atomique 6 et de symbole C. Il possède
trois isotopes naturels :
12
 C et 13C qui sont stables ;
14
 C qui est radioactif de demi-vie 5 730 années ce qui permet de dater des
éléments utilisant du carbone pour leur structure a.

Le carbone est l'élément le plus léger du groupe 14 du tableau périodique. Le corps


simple carbone présente plusieurs formes allotropiques dont principalement
le graphite et le diamant. L'élément carbone forme divers composés
inorganiques comme le dioxyde de carbone CO2, et une grande variété de composés
organiques et de polymères. C'est l'élément de base de toutes les formes de vie
connues.

Qu’est ce qu’un point de fusion ?


Le point de fusion est la température à laquelle un matériau passe de la phase solide à
la phase liquide. On parle également de température de fusion.Lorsque l’on considère
les points de fusion des métaux, il est très souvent question des matériaux purs. Par
exemple, les alliages comme l’acier (fer avec une faible teneur en carbone), la fonte (fer
avec une teneur en carbone supérieure à 2%), le bronze (alliage de cuivre et étain), ou
le laiton (alliage de cuivre et zinc), auront un point de fusion différent de celui des
matériaux purs qui les composent.En soudage, le métal d’apport est souvent
sensiblement composé du même matériau que les pièces à assembler. En brasage par
contre, le métal d’apport a un point de fusion plus bas que le métal de base.
Fer 1538°C

La fusion du carbone, souvent appelée (de façon plus ambigüe) « combustion du


carbone »a, est un ensemble de réactions de fusion nucléaire intervenant dans les
étoiles d'au moins cinq masses solaires à leur formation1 qui, en leur cœur, ont converti
en carbone tous leurs éléments plus légers. Ces réactions se déroulent à une
température d'au moins 600 MK alors que la masse volumique des gaz atteint
2×108 kg/m3.

Carbon
3 827 °C (graphite)
e

Différence principale - fonte vs acier au carbone


Le fer est un élément métallique important. Il est utilisé dans la production de nombreux
alliages métalliques utiles, tels que l'acier. Il existe différents types d'alliages de fer,
notamment l'acier, le fer forgé, la fonte, le fer anthracite, etc. La fonte est composée
d'une grande quantité de carbone et a tendance à être fragile. L'acier au carbone est
une forme d'acier composée de fer et de carbone ainsi que de traces de certains
éléments. La principale différence entre la fonte et l’acier au carbone est que la fonte
contient 2 à 4% de carbone, tandis que l'acier au carbone contient jusqu'à 1% de
carbone.

Le fer constitue une grande part du noyau terrestre et, de fait, de la masse de notre


planète. Dans la croûte terrestre, on le trouve essentiellement sous forme d'oxydes
comme l'hématite (Fe2O3) ou encore la magnétite (Fe3O4). Les Hommes ont appris à le
travailler autour du XIIe siècle av. J.-C., marquant justement le début de l’âge du fer.

Dans l'industrie, le fer est rarement utilisé à l'état pur. Il entre dans la composition de
plusieurs alliages, l'un des principaux étant la fonte. Cet alliage est composé de fer et
de carbone à hauteur de 2 % à 6,67 %. Lorsque, dans la fonte, le carbone se présente
sous forme de lamelles de graphite, on parle de fonte grise.
Contrairement aux idées reçues, la fonte n'est pas plus lourde que le fer. Elle présente
une masse volumique comprise entre 6.800 et 7.400 kilogrammes par mètre cube alors
que le fer se situe à 7.860 kilogrammes par mètre cube. La fonte n'est pas plus lourde
que l'acier non plus -- dont elle peut être un précurseur -- à la masse volumique très
proche de celle du fer.
Substances que nous ajoutons au carbone fondu
La fibre de carbone se compose de fibres extrêmement fines, d'environ cinq à
dix micromètres de diamètre, et est composée principalement d'atomes de carbone.
Ceux-ci sont agglomérés dans des cristaux microscopiques qui sont alignés plus ou
moins parallèlement à l'axe long de la fibre. L'alignement des cristaux rend la fibre
extrêmement résistante pour sa taille. Plusieurs milliers de fibres de carbone sont
enroulées ensemble pour former un fil, qui peut être employé tel quel ou tissé.

Ce matériau est caractérisé par sa faible densité (1,7 à 1,9), sa résistance élevée à
la traction et à la compression, sa flexibilité, sa bonne conductivité
électrique et thermique, sa tenue en température et son inertie chimique (sauf à
l'oxydation).

On peut citer trois familles principales de fibres utilisées à grande échelle 9 :
 les fibres ex-cellulose : obtenues par carbonisation de matériaux tels que le papier
ou la viscose ;
 les fibres ex-PAN : développées à partir des années 1960 en utilisant
du PAN comme précurseur. Elles sont très utilisées comme renfort dans les
composites. Deux types de fibres sont actuellement utilisées : les fibres à haute
résistance ayant un allongement à la rupture important, et les fibres à haut module
de Young ;
 les fibres ex-brais : fabriquées à partir de résidus aromatiques de la distillation du
pétrole ou du charbon.
Les fibres obtenues par dépôt chimique en phase vapeur à partir d'un précurseur de
carbone tel que le benzène ont des propriétés et des applications différentes et sont en
général appelées « nanofibres de carbone ».

Une fibre de carbone est un matériau dont la teneur en carbone est très élevée
(supérieure à 90 % en masse). Au niveau atomique, une fibre est composée de feuillets
de carbone polyaromatique empilés selon une structure qui peut être très proche de
celle du graphite, mais qui peut aussi être plus désordonnée que le graphite (carbone
turbostratique dans lequel l'empilement des feuillets de carbone comporte des défauts).
Le niveau de graphitisation des fibres dépend du précurseur utilisé, mais aussi de la
méthode d'élaboration utilisée10. L'agencement des empilements de feuillets de carbone
constitue la microstructure des fibres de carbone, elle dépend aussi du précurseur de
carbone et du procédé de synthèse.
CONCLUSION  :
Depuis son utilisation il y a plus de 3 000 ans, le fer est resté une partie intégrante de la
société humaine. La production de fer a amplement évolué depuis les siècles de travail
du fer par les forgerons jusqu’à l’invention de la fonte durant l’ère industrielle.

Depuis ce temps, le fer forgé est devenu largement obsolète à l’exception des
utilisations décoratives. Par contre, la fonte progresse toujours en termes de
composition, de microstructure et de propriétés mécaniques—continuant à faire ses
preuves dans le monde moderne.

BOBLIOGRAPHIE  :
https://www.reliance-foundry.com/blog/la-fonte-fer-forge-fr

https://www.futura-sciences.com/

https://fr.wikipedia.org/wiki/

https://industrie.airliquide.fr/

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