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ÉCOLE NORMALE SUPÉRIEURE

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UER SCIENCES ET TECHNOLOGIES
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DÉPARTEMENT DE SCIENCES PHYSIQUES
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TRAVAIL DE LEGISLATION
SCOLAIRE

Sujet 2 : au regard des articles 2 et 4 de loi n°16-66 du 9 aout 1966 portant
organisation générale de l’enseignement dans la république du Gabon, proposez
une analyse critique des principes de fonctionnement et de gestion du système
éducatif gabonais qui se dégagent de ces dispositions réglementaires en rapport
avec le contexte actuel et la réussite scolaire.

Rédigé par :
 Guibinga dann yannick

NIVEAU : Master 2 / sciences physiques


Le système éducatif gabonais comme tout système est défini par un
certain nombre de lois tel que loi n°16-66. Ainsi dans les articles 2 et 4 de cette
loi, certaine reforme ont était faite en vue d’améliorer notre système éducatif.
Par conséquent qu’observe-t-on sur le terrain aujourd’hui concernant les articles
2 et 4 de la loi n°16-66 ? que fait l’état aujourd’hui pour respecter ces
engagements concernant les articles 2 et 4 de la loi n°16-66 ?

Dans l’article 2, on remarque que la disposition qui dit : « l’école


est gratuite et obligatoire de 6 à 16 ans » et que conforment au contexte actuel,
on remarque que les parents envoient beaucoup plus tôt leurs enfants à l’école,
c’est-à-dire vers l’âge de 3 ans et que beaucoup de parents par manque de
moyen financier ont du mal à envoyer leurs enfants à l’école souvent à cause de
l’éloignement entre leurs domicile et les établissement scolaire et que d’un autre
côté, les parents qui dispose des moyens financier pour pouvoir envoyer leurs
enfants à l’école dans les établissements qui sont loin de leurs domicile, le
constant est simple , les élèves ont du mal à produire un rendement scolaire
digne de celui attendue, Ainsi en ce qui concerne la gestion du système éducatif
gabonais par rapport au contexte actuel de la disposition: « l’école est gratuite et
obligatoire de 6 à 16 ans », qu’effectivement l’état n’a pas tenue en compte que
pour une bonne éducation scolaire de nos futurs « Homme de demain », qu’il
était nécessaire qu’ils commencent l’école un peu plus tôt (disposition respecter
à la loi n°21/2011) et que d’un autre côté, s’il voulait vraiment que tout le
monde ait accès à l’éducation à cause du droit à l’éducation, ils auraient dû
mettre en place une politique qui permet de recenser les habitant par rapport à la
zone où les habitants vivent et ensuite voir que, ces habitants ont besoin
d’écoles parce que plus tard Cela pourra éviter que les parent envoie apprendre
leurs enfants loin des zones d’habitation et cela pourra aussi permettre au parent
de réduire leur dépense car de nos jours cela coute énormément aux parents en
termes de transport scolaire.
Concernant la disposition qui dit : « l’enseignement assure la neutralité
religieuse » et que conformément au contexte actuel, on remarque que les
établissement scolaire public respecte toujours cette vigueur, tant bien même
que l’état n’ayant pas construit assez d’établissement dans le territoire, a dû
décidé depuis pas mal d’année de signer un accord avec des institution

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religieuse en vue de pouvoir accueillir des élèves à cause du manque de place
dans les établissement public en vue de facilité l’accès à l’éducation, mais en
agissant ainsi, l’état à manquer à son engagement et continue jusqu’à présent
d’envoyer certains élèves à aller poursuivre des études dans ces institution
religieuse où les cours de religion sont dispensées bien que cela n’affecte pas
l’apprentissage des apprenant.
Concernant la disposition qui dit : « l’institution religieuse ne peut être
dispensée dans les écoles publiques qu’à la demande des parents et dans les
conditions règlementaire » et que conformément au contexte actuel, on
remarque que l’instruction religieuse n’est jamais dispensé et qu’effectivement
les parents ont toujours droit d’accepter ou non que leurs enfants puisse assister
aux instruction religieuse, mais vue que l’état continue d’envoyer des élèves
dans les établissements tels que Immaculé conception, collège Bessieux et plein
d’autre pour ne citer que là, nous avons du mal à croire que les parents de ces
élèves-là, n’aient encore le choix.

Dans l’article 4, on remarque que la disposition qui dit : « l’égalité


des chances entre sexes, les origines et les conditions familiales est assurée par
l’état » et que conformément au contexte actuel, on remarque que, les
établissements scolaires accueillent autant de femmes que d’hommes et de la
même manière que les hommes y ont droit à l’accès, c’est aussi de la même
manière que les femmes y ont droit aussi. Les chefs d’établissement accueillent
tout gabonais sans distinction d’ethnie ou de tribu, que l’on soit du nord, du sud,
de l’est ou encore de l’ouest, On peut constater aisément que dans la majorité
des établissement aucun raciste n’est observable et que l’état dans sa gestion ne
fait aucune inégalité des chances entre les sexes pour la dénomination dans le
secteur éducatif. L’harmonie et le respect de tout un chacun est propagandé par
le corps enseignant à la demande de l’état.

En conclusion, nous dirons que l’état à manquer au respect de


l’article 2 de la loi n°16-66, car n’a pas pris en compte que, l’apprenant à besoin
de commencer beaucoup plus tôt, car selon Piaget l’enfant commence à
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percevoir les connaissances beaucoup plus tôt. D’un autre côté, on remarque que
l’état continuant d’envoyer des élèves dans certaines établissement d’institution
religieuse, n’as plus considérée la neutralité religieuse.
Dans L’article 4 de la loi n°16-66 tout se passe comme prévue et l’état à tenue à
ces engagements car tout gabonais ou gabonaise de tout lieu territoriale y est
convié.

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