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Chapitre I 

: l’émergence de la finance islamique au niveau international :

Section 2 : l’apparition de la finance islamique au niveau international 

Depuis l’été 2007, le système financier international traverse une des plus graves

crises dans l’année 1929. Plusieurs banques, notamment américaines étaient sur le

point que les autorités publiques ont dû intervenir pour les sauver. Ce qui est en

contradiction avec les principes généraux de l’économie libérale. Il fallait donc

réfléchir sur un autre mode de fonctionnement des institutions bancaires et

financiers. Ces changements que connait l’économie mondiale pousse les agents

économiques à innover de plus en plus et dans tous les domaines. Ces innovations

chercheront des financements accessibles à des conditions abordables selon leurs

religions et leurs esprits, qui puissent leur assurer une croissance forte, stable et

durable.

La finance participative trouve alors sa place dans cet ensemble de mouvements

économiques dans monde vu que depuis sa création, elle a toujours contesté

certaines activités en encourageant l’économie dans la bonne voie au nom des

valeurs collectives (morale, religion, défense de l’environnement ...).malgré cette

initiation dans l’industrie financière islamique depuis 2007 , soit plus décennie , le

Maroc est considéré parmi les pays ayant pris beaucoup de retard par rapport aux

pays arabes et musulmans . cette première expérience a connu un rythme de

progrès très long L’avant lancement effectif des banques participatives peut être

résumé dans un certain nombre d’actions ayant marqué la période entre 2007 et

2017 à savoir :
Figure 1: Chronologie de l’avant lancement effectif des banques participatives au Maroc

Source : construction de l’auteur à partir de la documentation sur la finance participative au


.Maroc

L’arrivé au Maroc des techniques bancaires conformes aux préceptes de l’islam

avait été annoncé par Bank Al-Maghreb, en introduisant de nouveaux produits

bancaires « ijara, Moucharaka et Mourabaha » conformes à la charia dès le mois

d’octobre 2007. L’annonce a été faite par le wali du Bank Al-Maghreb Abdellatif

Jouahri lors d’une conférence de presse tenue à Rabat mardi 23 Mars 2007

Les banques islamiques sont souvent considérées comme des banques refusant la

pratique de l’intérêt face au banques classiques reposant principalement sur les

intérêts.

La finance islamique a toujours manifesté de l’intérêt pour le Maroc. Depuis le début

des années 1980, plusieurs institutions financières islamiques approchent les

autorités monétaires marocaines dans la perspective d’une implantation dans le


royaume. On se rappelle, également, d’une tentative de création d’une banque

islamique locale, marocaine, initiée en 1985 par Wafabank. Depuis cette époque

toutefois, la banque centrale du Maroc (Bank Al Maghrib) a toujours été hermétique à

l’idée d’octroi d’agréments à des banques spécialisées dans la finance islamique.

Une certaine sensibilité au sujet avait certainement caractérisé le comportement des

autorités politiques et monétaires au royaume : que dire alors des banques

traditionnelles ? sont-elles non islamiques !

Ce scepticisme est d’autant plus curieux que le Maroc est un pays qui a toujours

compté dans la communauté musulmane internationale. Pour exemple, le Maroc a

été l’un des pays fondateurs de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI) :

L’assemblée constitutive de cette organisation intergouvernementale a eu lieu à

Rabat le 25 septembre 1969, sous la présidence de feu Hassan II, lequel a été le

premier chef d’État musulman à lancer l’idée d’une rencontre au sommet des chefs

d’États des pays islamiques (3ème sommet des pays arabes, Casablanca en 1965).

Membre actif au sein de l’OCI, le Maroc va être un des pays artisans de la création,

en 1975, de la Banque Islamique de Développement (BID) dans le but de stimuler le

développement économique et le progrès social des communautés musulmanes

selon les principes de la charia.

C’est justement durant l’année 2007 que les autorités marocaines acceptent une

première ouverture. Le 13 septembre 2007, en effet, Bank Al Maghrib (BAM) diffuse

une recommandation fixant les conditions générales selon lesquelles les banques

peuvent présenter au public des produits islamiques. Les produits concernés sont la

Murabaha, l’Ijara et la Musharaka.


Il s’agit cependant d’une simple recommandation intégrante simplement l’offre de

produits islamiques à la loi bancaire déjà existante, sans consécration du statut

spécifique de banque islamique.

1.1.1. Le lancement des produits alternatifs :

Le premier pas qu’a pris le Maroc dans l’industrie financière islamique date de plus

d’une dizaine d’années. En octobre 2007 Bank Al-Maghrib a établi le cadre

réglementaire des produits islamiques, la dénomination choisie pour ces produits était

« produits alternatifs » et ce pour éviter l’adjectif ‘islamique’ (Radi and Bari, 2012). Une

année plus tard, il a autorisé la commercialisation de trois produits alternatifs à savoir :

La Mourabaha, la Moucharaka et l’Ijara. Cependant, il a été interdit de se référer au

label islamique dans la publicité (Zarouali, 2017). La Banque Populaire et la BMCE ont

retiré leurs offres, et la banque Attijariwafa Bank a créée « DAR ASSAFA » pour

commercialiser ses produits dits « alternatifs ».

L’expérience des produits bancaires alternatifs a connu un échec marquant, dû

principalement , À la cherté de ces produits (Zahiri, 2013), elle aussi résultant de

plusieurs contraintes D’ordre fiscal, organisationnel et réglementaire (Abdedaime,

2014) L’ensemble de ces contraintes peut être résumé dans le diagramme suivant

(Alaoui and Maftah, 2012) .


Figure 2 : Diagramme d’Ishikawa : les contraintes des produits alternatifs au Maroc

Source : livre ‘La finance islamique au Maroc : Les voies de la normalisation


1.1.1 La Finance islamique au Maroc : le CESE adopte son avis 2sur le projet de loi :

Sept ans après l’autorisation de la commercialisation des produits alternatifs,

Le Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE) a adopté en 2014 son

avis relatif au projet de loi n°103.12 relatifs aux établissements de crédit et organismes

assimilés. L’avis contenait plusieurs recommandations émises par le CESE, afin

d’assurer aux banques et autres institutions financières participatives un

cadre réglementaire plus cohérent et stable. Ces recommandations concernent

notamment l’assurance participative (Takaful), le Conseil Supérieur des Oulémas,

les mécanismes de garantie et les textes législatifs et réglementaires des

organismes de régulation et de supervision.

1.1.2 La loi 103.123 ouvre la porte à la banque islamique

L’année 2014 a connu également l’adoption de la Loi n° 103.12 relatives aux

établissements de crédit et organismes assimilés, Cette loi a consacré une partie aux

banques participatives. Elle est entrée en vigueur après sa publication dans le

Journal officiel. Cette loi a permis la création d'établissements bancaires participatifs

et a donné aux sociétés marocaines le droit d'émettre des obligations Shariah

Compliant.

1.1.3 Banques participatives : Bank Al-Maghrib émet les premières circulaires dédiées

Considérée comme étant une étape nécessaire avant d’octroyer les premiers

agréments, Bank Al-Maghrib a validé quatre circulaires dédiés aux banques

participatives et ayant pour objectif l’encadrement de cette industrie financière.


- La première circulaire 4 : présente les caractéristiques techniques et

les modalités de présentation des produits participatifs.

- La deuxième circulaire 5 : présente les modalités de collecte et de

placement des dépôts d’investissement.

- La troisième circulaire6 : concerne les conditions et

m o d a l i t é s d'exercice des activités participatives.

-La quatrième circulaire7 : se rattache à la fonction de conformité aux

avis du conseil supérieur des oulémas (CSO)

1
Avis Du CESE - Projet de Loi N°103-12 Relative Aux Établissements de Crédit et Organismes Assimilés, 2014

La Loi N° 103.12 Relative Aux Établissements de Crédit et Organismes Assimilés, 2014


4
Circulaire Du Wali de Bank Al-Maghrib N°1/W/17, 2017

1
5Circulaire Du Wali de Bank Al-Maghrib N°2/W/17, 2017
6
Circulaire Du Wali de Bank Al-Maghrib N°3/W/17, 2017
7
Circulaire Du Wali de Bank Al-Maghrib C-16W16, 2016

: La loi 59.13 crée le cadre juridique de l’assurance Takaful au Maroc 1.1.4
La loi N° 59.13 a été publiée au Bulletin Officiel après à son adoption par le

parlement. Cette loi comprend les dispositions réglementaires relatives à

l’assurance Takaful ainsi que les principes régissant cette assurance. Une

étape tant attendue par les professionnels de la finance participative. La

démarche adoptée par BAM est la commercialisation de ces produits par les

banques déjà agréées ; il n’y a donc pas besoin de créer pour cela des

banques spécialisées (islamiques).

Ceci dit, elle laisse le choix aux banques de commercialiser ces produits soit via leur

propre réseau de distribution, soit via des filiales dédiées.

La Banque centrale arrête, en coordination avec le Groupement professionnel des

banques du Maroc (GPBM), les schémas comptables et les modalités

d’enregistrement des opérations liées à ces produits et rédige, sur la base des règles

édictées par l’AAOIFI (Accounting and Auditing Organization for Islamic Financial

Institutions), les modèles types de contrats.

Toujours en collaboration avec le GPBM, BAM élabore un guide fixant, pour les

banques, les conditions de la communication sur la commercialisation des produits

islamiques.

En 2016, le Maroc s'apprêtait à voir l'ouverture des premières banques participatives,

des banques dites "islamiques". Certes le projet fut validé depuis 2014, cependant,

les banques marocaines ont demandé un délai afin de se préparer à ce type de


finance spécifique. Les banques marocaines redoutaient une distorsion de leur

marché habituel avec l’entrée, dans leur territoire, de groupes bancaires des pays du

golfe.

Les banques participatives ambitionnent d'apporter des solutions de financement de

logements aux clients rétifs aux prêts bancaires standards. Après un an Bank Al-

Maghrib a publié le 2 janvier 2017 un communiqué du Comité des Établissements de

Crédit relatif à l’agrément pour l’exercice de l’activité bancaire participative. Toutes

les banques marocaines candidates ont obtenu leur agrément, presque toutes ayant

choisi de se lancer en partenariat avec un leader international de la finance

islamique. Les banques participatives ci-après ont obtenu leur agrément et démarré

leur exploitation courante en 2017.

Tableau 1: liste des banques participatives au Maroc


Banque Participative Banque nationale Partenaire
Bank Al Tamwil wal Inmaa BMCE Bank Al Baraka Banking Group (ABG)
(BTI Bank)
ASSAFA Bank Attijariwafa bank -
Umnia Bank CIH Bank, Qatar International Islamic Bank (QIIB)
Bank Al Yousr Banque Centrale Guidance Financial Group
Populaire
(BCP)
Al Akhdar Bank Crédit Agricole du Maroc Société islamique pour le
développement
du secteur privé (ICD)
Source : construction de l’auteur à partir des sites web des banques
participatives marocaines

Le Comité des Établissements de Crédit a également émis un avis favorable pour

autoriser trois banques à ouvrir des fenêtres participatives (agences ou guichets

spécialisés Islamique Windows) pour offrir à leur clientèle des produits bancaires

participatifs. Il s'agit de :


 BMCI – Najmah ‫نجمة‬

 Crédit du Maroc – Arreda ‫الرضى‬

 Société Générale – Dar Al-Amane ‫دار األمان‬

Pour compléter l’écosystème de la finance participative au Maroc, un certain nombre

d’organes s’ajoutent aux banques participatives pour assurer le fonctionnement

harmonieux de l’industrie financière participative, ces organes sont :

- La Banque Centrale : Bank Al-Maghrib ;

- Le ministère de l’Economie et des finances ;

- L’Autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC) ;

- L’Autorité de contrôle des assurances et de la prévoyance sociale (ACAPS) ;

- La commission des finances participatives au sein du Conseil supérieur des oulémas

(CSO).

: Figure 3: La structure de la finance participative au Maroc -

RÉGULATEURS DES SECTEURS BANCAIRE ET FINANCIER

AMMC BAM ACAPS


BANQUE
PARTICIPATIVE
GA
RA
NT
DE IREITS SUKUK
MARCHÉ
LA OU OPCI
DES
CO
CAPITAUX
NF FONDS
OR CSO PARTICIPATIFS
SHARIA
MI OPCVM, COMPLIANT
ASSURANCE
TÉ ETFs
PARTICIPATIVE
SH
AR TAKAFUL
IA
INDICE
BOURSIER SHARIA
COMPLIANT
Source : (Bar-Rhout, 2018)

Chapitre II : La répartition géographique de la finance islamique :

Section 2 : la répartition géographique au Maroc :

Une mauvaise répartition des banques participatives est constatée au Maroc, et la

création des nouvelles filiales dans les zones de Casablanca, Rabat. À Meknès par

exemple, il y a seulement une Banque participative qui est Bank Assafa par contre à

casa, elles y en ont : Bank Assafa, Dar Al Aman, Bank AL Youssr, Umni-bank…

On trouve parmi 24 banques au Maroc, 5 banques participatives et 3 fenêtres

participatives ainsi au niveau du réseau du banques conventionnelles et

participatives 6510 agences bancaires, soit 1 guichet pour 5500 habitants et 7734

guichets automatiques Bancaires.

Depuis son lancement, les chiffres des banques participatives ont augmenté à un

rythme prometteur. Selon le rapport publié par Bank Al-Maghrib sur les indicateurs
8
des banques participatives, les derniers chiffres montrent qu’il existe 128 agences

relevant des différentes banques participatives contre 100 agences en année

précédent. Le même rythme de croissance a été enregistré pour les comptes à vue

qui sont chiffrés à 78 497 contre 56 918. Concernant les dépôts à vue des banques

et fenêtres participatives, 3807MDH ont été enregistrée contre 2557 MDH et les

dépôts d’investissement ont atteint 163,3 MDH. Finalement et sur même période, les

encours de financement Mourabaha des banques et fenêtres participatives, ont


atteint 7,83 MDH contre 4,55 MDH.

Indicateurs d’activité et de rentabilité des banques participatives

Montants en millions de dirhams 2018 2019 2020


Total bilan 7.92 12.1 1
5 51 6
.
7
8
7
Financements par décaissement (hors marges constatées d’avance) 3.21 6.51 9
3 9 .
7
5
0
Dépôts de la clientèle 1.54 2.55 3
8 7 .
8
0
7
Fonds propres (hors résultat de l'exercice) 2.22 2.31 2
6 2 .
4
0
5
Produit net bancaire 67 202 3
3
7

Tous ces chiffres montrent que l’industrie financière participative au Maroc est

performante, ces statistiques renforcent les propos du rapport de Thomson

Reuters sur le développement de la finance islamique en 2018 et qui a noté que le

Maroc dispose d’un fort potentiel de croissance particulièrement en Afrique, et

que la propagation de la finance participative en Afrique suivra le succès de

cette industrie financière au Maroc en 2017 et en 2018.

À fin 2020, le total bilan des banques et fenêtres participatives s’est établi à 16,8

milliards de dirhams, contre 12,2 milliards en 2019. Cette hausse est liée
notamment à l’augmentation des financements Mourabaha qui ont vu leur encours,

hors marges constatées d’avance, progresser de près de 50% à 9,7 milliards de

dirhams, contre 109% un an auparavant. La croissance des financements

Mourabaha s’est poursuivie en 2020 en dépit de la crise sanitaire

Les financements Mourabaha ont vu leur part dans les emplois des établissements

bancaires participatifs augmenter, passant de 75% à 80% entre 2019 et 2020. La part

des créances sur les établissements de crédit et assimilés est demeurée stable à 10%,

dont l’essentiel est constitué des dépôts en comptes centraux de règlement auprès

de Bank Al-Maghrib.

Graphique n°54 : Structure de l'actif des banques et fenêtres participatives (en %)

1,4

80,4
75, 63,3
1

10,0 14,7
10,2

 Créances sur les établissements de crédit et assimilés

 Créances sur la clientèle

 Certificat de sukuk

 Valeurs immobilisées

 Autres actifs

Le portefeuille de financements est constitué à hauteur de 86% de financements

Mourabaha immobiliers, 8% de Mourabaha à la consommation et 6% de

Mourabaha à l’équipement.
Graphique n°55 : Composition du portefeuille de financements participatifs

3,9 0,8
5,8 7,5
7,7 8,2

87,9 91,
86,5
7

2020 2019 2018

Financements participatifs immobiliers Financements participatifs à la consommation Financements participatifs à


l'équipement

Le stock des biens acquis dans le cadre des opérations de Mourabaha 12 s’est établi à

408 millions de dirhams. Rapporté à l’encours total de financements 13, il en représente

3,0% à fin 2020, contre 4,5% en 2019.

Malgré tous les avantages de la finance islamique (l’interdiction des intérêts, le

partage du risque, gestion du compte d’investissement) mais elle représente des

limites citant :

a)L’inquiétude relative à la capacité de la finance islamique  : l’inquiétude portée

sur la banque participative à supporter sa montée en puissance, le risque de son

incapacité de financement en gardant son authenticité et en restant fidèle aux

principes qui ont fait son succès jusque-là est présente dans les esprits des

convoyeurs de fonds. Nous pouvons catégoriser les inquiétudes généralement

: exprimées dans quatre différentes dimensions

Les barrières légales et réglementaires


Les barrières socioculturelles
Le déficit en ressources humaines
Les challenges liés à la structuration du système pour lui donner une
crédibilité plus large.

b) au niveau du marché interbancaire  : dans le système financier participatif

actuel, il n’existe ni banque centrale, ni marché interbancaire participatif. En cas

d’excédent de liquidité à court terme, les banques participatives ne peuvent ni

recevoir ni payer d’intérêts. Pour l’instant, il n’existe que peu d’instruments

monétaires liquides dans ce secteur. C’est le rôle in fine de BAM de permettre à ces

nouvelles banques de pouvoir s’adapter afin que le système en vigueur ne leur porte

préjudice.

c) Un écosystème incomplet : Même si les banques participatives ont

effectivement démarré leur activité après des années d’attente, il n’en reste pas

moins que ces établissements ne tournent pas à plein régime. Tout ce qu’elles

peuvent faire actuellement, c’est ouvrir des comptes et opérer des opérations

classiques de dépôts et de retraits, en plus des opérations de communication pour

attirer la clientèle. Les produits plus complexes ne sont pas encore disponibles. Et

pour cause, l’écosystème de la finance participative n’est pas encore complet. Les

offres des produits « halal » encore limitées. L’assurance Takaful, qui est un

mécanisme nécessaire au marché monétaire participatif sans lequel les contrats de

financement participatifs ne peuvent être opérationnelss, n’est pas encore mis en

place.

d) Une concurrence acharnée : l’aidé de création des banques participatives a

déclenché une concurrence acharnée pour toutes les banques classiques en

faisant ouvrir des filiales. A ce niveau, on trouve la concurrence des banques

classiques et leurs filiales ; les banques participatives œuvrent pour segmenter le


marché et cibler des clients, et pour les banques classiques de garder leurs

dominances du secteur bancaire.

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