Mais venonscn à notre lettre mystique M qui symbolise
les eaux et dont les pensées dominantes sont les suivantes : l'eau étant la Materia prima Vie - pureté content - développement, les textes hindous. ... Dieu ne dit-il pas aux origines du monde ; " Qu'il y ait un firmament au milieu des eaux et qu'il sépare les eaux d'avec les eaux., r-"eau, cet élément parmi les quatre, sans lequel aucune vie ne peut naître ni se développer. Elle est le symbole de la sagesse taoiste, car elle n'a pas de c<.rntestations ; elle est libre et sans attache et se laisse couler suivant la pente du terrain. L'M sert de glyphe pour représenter les ondes^^^.C'est dans les eaux de la Matrice (le sanctum sanctorum) qui ser- vent à isoler les différentes parties du fætus et à le protéger contre les chocs extérieurs et à faciliter ses mouvements, que I'enfant prend forme, relié par le cordon ombilical qui unit la Mère au fætus par le placenta. De là, à associer étroite- ment cette gestation au symbole universel : le lotus (cette fleur consacrée à la nature et à ses Dieux, qui n'a pas de secret pour H'P. Blavatsky, il n'y a qu'une superposition de clichés instantanés). Le lotus n'est-il pas une espèce de nénu' phar dont l'archange Gabriel en brandit la tige lors de l'An' nonciation à la Vierge Marie (Tige - cordon ombilical) ?. M c'est Minerve la sagesse divine Mithras, la Monade, le Mystère, le Messie, Myriam, la Mère - du Logos Chrétien et de Maya,la mère de Bouddha Manou, Minam (en sanscrit) désignent le signe des poissons - du zodiaque et... Moise sauvé des eaux. Dans les religions judéo-chrétiennes les envoyés de Dieu sont toujours liés avec l'eau et les poissons. Sedir dans son Histoire des Rose-Croix rappelle que : le teraaire : Iéhovah, Esprit Saint, lésus se résout en quatel- naire dans Maria... et en quinaire quand Maria descend dans le microcosme et prend le nom de Sophia. Dans l'évolution de I'humanité s'étalant sur les cizq continents nous sommes dans la cinquième racsracine aryen- ne. o Le germe de la race humaine actuelle doit avoir préexisté dans la race dont elle descend, comme la semence, dans le sein de laquelle se cache la fleur de l'été prochain, fut développée dans la capsule de la fleur qui lui a donné naissance » (Isis