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Nombres: Ia: I, Par
Nombres: Ia: I, Par
Ia lettre sacrée M
I-e symbolisme reste pour beaucoup une sorte d'égare-
ment, d'aberration mentale, rappelle ironiquement H.-P. Bla-
vatsky en citant les détracteurs encore nombreux, lorsque
de temps à autre, elle feint de sortir ses griffes. Le symbole
n'est pas le fruit d,'une imagination déroutante parce que
déréglée et facilement tournée en ridicule. Il est un langage
souvent imagé derrière lequel se profile le Divin, un langage
universellement connu et malheureusement ignoré ou défor-
mé. Le symbole voit et par conséquent éclaire, supprimez-le,
que reste-t-il ?
C'est si vrai, que non seulement toutes les religions mais
eîcore les sociétés ésotériques, les confÉries de toutes obé-
diences, Rose-Croix, Martinistes, Francs-Maçons pour ne citer
que quelques-unes qui émergent, se senent de symboles et s'y
appuient. Il est regrettable d'une part qu'ils soient parfois
difrérenciés, même si la distinction est insignifiante, ou mons-
trueusement déformés aux yeux d'ignorants, ce qui est in-
concevable et dangereux. Quoi qu'il en soit, gue les signes
symboliques soient sacrés ou profanes, parfumés ou sans
odeur, en couleurs ou en noir et blanc, ils sont inhérents à
Itumain depuis toujours, même si une altération en a affaibli
la portée et paralysé le véhicule de ce mode de commtrni-
cation.