Explorer les Livres électroniques
Catégories
Explorer les Livres audio
Catégories
Explorer les Magazines
Catégories
Explorer les Documents
Catégories
EXPOSE DE
FRANÇAIS
Sous la supervision de : Mr Edouard Mouzou
La littérature africaine de la
troisième et la quatrième
génération (de 1980 à nos
jours)
Présenté par :
Nana Hadiza Souleymane N° 05
Samira Abdou Harouna N° 06
Ismael Housseini N° 11
Abdoulaye Saidou N° 12
Abdoul Quadir Bankourou N° 17
Abdoul Kader Batouré N° 18
Arafat Feiçal N° 23
Diguedji Brem N° 24
Siradjou Abdou N°29
Abdou Salam Aboubacar N° 3
SOMMAIRE
Introduction......................................................................................3
I. Naissance de la littérature féminine...........................................3
II. Littérature de la Migritude.......................................................6
III. L’écrivain accessoirement nègre :...........................................7
IV. Mutations et réécritures :.....................................................8
Conclusion.....................................................................................10
Introduction
Les écrits des femmes africaines se sont vus, ces dernières années,
rassemblés sous la bannière commune de « littérature féminine ».
L'arrivée des femmes sur les scènes littéraires françaises et africaines
constitue une des transformations majeures des années 80. Jusque-là,
la présence des femmes africaines se limitait à des études de type
thématique sur l'image et la représentation de la femme dans les écrits
des hommes, aux écrivains anglophones qui avaient pris, si l'on peut
dire, quelques années d'avance (Flora Nwapa, Bessie Head), et à des
textes publiés sporadiquement depuis 1950, mais largement ignorés
des anthologistes et des critiques. On notera le rôle crucial des
Nouvelles éditions africaines à Abidjan et Dakar, et en France de
maisons spécialisées comme Présence Africaine et L'Harmattan qui
donnent tous les deux une forte impulsion à la parole féminine. Les
maisons françaises non spécialisées ne semblent pas lui manifester
grand intérêt: à quelques exceptions près (Beyala chez Albin Michel et
Bessora chez Serpent à Plumes), leurs auteurs africains sont des
hommes.
Aujourd'hui, les travaux d'anthologisation et de critique ont
consacré un véritable canon de la littérature féminine francophone, né
vers les années 1980. Les noms qui reviennent dans les corpus choisis
des études critiques sont ceux de : Mariama Bâ, Aminata Sow Fall,
Werewere Liking, Ken Bugul, Calixthe Beyala, Angèle Rawiri,
Tanella Boni,Véronique Tadjo.
Elles dénoncent dans leurs œuvres les situations liées à la
stérilité, la polygamie, l’excision, l’éducation des filles, les relations
avec la famille du mari, les problèmes sociaux.
Conclusion
La littérature negro africaine de par son expansion, s’est toujours
érigée dans la dénonciation des maux qui taraudent le continent en
espérant y trouver le dénouement. De la négritude aux générations
nouvelles en passant par les indépendances, l’Afrique n’a cessé de
vouloir se concéder une belle image au niveau de l’occident.
Cependant, il faut retenir qu’on n’échapper pas à son histoire. La seule
solution c’est de l’assumer car la fuite dans une mondialisation n’est
qu’un leurre.
Bibliographie
Œuvres