Introduction
La fonction ressources humaines est constituée de l'ensemble des activités qui ont
pour but l'intégration efficace des individus et des groupes dans le cadre de
l'entreprise.
La Gestion Ressources Humaine a pour objet d'utiliser au mieux les capacités et les
énergies humaines pour des activités d'ordre opérationnel, de conception, de
coordination ou encore, de mobilisation.
Etant donné que l'objectif premier d'une entreprise est d'assurer sa pérennité, la
GRH constitue un des piliers qui contribue à atteindre cet objectif.
La GRH consiste en des mesures et des activités impliquant des ressources
humaines, basées sur de solides composantes, visant à une efficacité et une
performance optimales de la part des individus et des organisations.
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besoins en période de croissance et de changements technologiques, mais dans un
environnement assez stable.
Au fil des années, et surtout après les chocs pétroliers et les crises financières, la
démarche change d’orientation pour passer alors d’une gestion prévisionnelle des
carrières (GPC) à une gestion prévisionnelle et préventive des emplois et des
carrières (GPPEC) ou une gestion préventive des emplois, des effectifs et des
carrières (GPEEC) pour déboucher finalement sur la gestion prévisionnelle (ou
anticipée) des emplois et des compétences (GPEC).
Avec l’actuelle GPEC, l’accent est mis sur les emplois existants et prévus, mais
aussi sur la relation entre les compétences acquises par le salarié et celles requises
par la stratégie de l’entreprise. Le point important est l’apparition de la notion de
compétence. En effet, à l’heure où les métiers, les méthodes de travail et les
compétences changent et évoluent rapidement, il est essentiel pour l’entreprise de
connaître ses compétences actuelles et potentielles afin de permettre une
adaptation rapide et efficace.
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Dans leur démarche, ces entreprises s’entourent de spécialistes et de conseils du
domaine, pour garantir la réussite de tels projets : ERP et/ou cabinets de conseils
en organisation.
La démarche GPEC permet, dans la plupart des cas, d’établir une cartographie
des métiers existants et des compétences-type associées.
Une démarche GPEC doit obtenir l’adhésion réelle et sincère des équipes
dirigeantes, afin de donner les moyens à ses promoteurs de la mettre en place puis
de la faire vivre, indépendamment des « réseaux » d’intérêts internes ou des «
chapelles » managériales.
La démarche GPEC est dans la majorité des cas portée par la et le DRH (en tant
que Direction et Directeur).
L’Objectif de la GPEC
Une meilleure anticipation de l’adaptation des compétences aux emplois :
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Intérêts de la GPEC
3/ Autres intérêts : La GPEC peut atteindre des objectifs plus larges. Les enjeux
peuvent, en effet, se situer au niveau d’un territoire lorsqu’ils concernent des
problématiques sociétales comme l’environnement, la santé ou encore la sécurité.
La GPEC doit être comprise et portée par les membres de l’entreprise. En d’autres
termes, elle doit être expliquée aux salariés afin d’obtenir leur adhésion à la
démarche, indispensable au déroulement de l’action. A cet effet, une démarche de
communication doit être menée auprès des acteurs clés de l’action. Elle doit avoir
lieu avant, pendant et en fin de processus.
4/ Suivi et évaluation : Un suivi régulier doit être mis en place tout au long du
processus. Le conseiller externe qui réalise la GPEC doit fréquemment faire part de
l’avancée des travaux au référent de l’entreprise. Cela permet d’impliquer
pleinement l’entreprise et d’effectuer, éventuellement, des réajustements si besoin.
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GPEC et classification des emplois
Classer les emplois ne se limite pas à encadrer de manière réductrice les évolutions
professionnelles. À l’usage un minimum de clarté est de toute façon nécessaire sur
la hiérarchie des responsabilités dans l’entreprise et les passerelles d’évolution qui
peuvent être envisagées d’une filière à l’autre.
Afin de mener à bien sa mission, la démarche GPEC utilise diverses méthodes pour
constituer un répertoire de métier et une cartographie de compétences de
l’entreprise, tels par exemple :
A l'époque de Moyen Age, les travailleurs et artisans étaient déjà regroupés par
métiers, au sein de corporations. On évaluait leur habileté selon un niveau
d'apprentissage et de maîtrise qui leur était attribué et qui évoluait au fil des
années d'expérience.
Je rémunère un salarié sur une base de 13 000 dh par mois, quel niveau de
classification dois-je indiquer sur son bulletin de paie ?
Cette mention sur les documents cités a pour objet de permettre au salarié de se
situer dans la classification des emplois dans l'entreprise et de vérifier notamment
qu'il perçoit la rémunération minimale conventionnelle.
Toutefois, la classification n’est jamais figée. Elle va évoluer tout au long de la vie
professionnelle du salarié. Il faut donc veiller à ce que, au fur et à mesure de
l'évolution de carrière du salarié, la classification du salarié évolue en conséquence.
Conclusion :
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Le Recrutement
Définition
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Les différentes étapes d’un recrutement
1- Préparation du recrutement
◊ Premier tri :
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◊ Tests professionnels :
Il faut être attentif à ne pas choisir par défaut la candidature la moins « mauvaise »
mais véritablement celle dont l’expérience, les compétences, les aptitudes sont les
plus proches possibles de ce que l’on recherche. Une embauche approximative
donnera toujours une médiocre satisfaction. Toutefois, en situation de pénurie de
main-d’œuvre on est souvent amené à «prendre ce que l’on trouve». Dans ce cas
là, il conviendra sans doute de réviser la définition de poste initiale et d’examiner la
manière de modifier l’organisation de travail pour que le nouvel embauché ne soit
pas amené à occuper un poste pour lequel il n’a pas les compétences requises.
Parallèlement, on recherchera les moyens d’améliorer le savoir-faire du nouveau,
ou d’un salarié déjà en place par le recours à la formation continue.
◊ Décision :
◊ Accueil du salarié :
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◊ Intégration du salarié :
TRADUIRE EN COMPETENCES
RUBRIQUES DESCRIPTION ATTENDUES POUR UN
RECRUTEMENT, PUIS ,
EVALUATION DU PROFIL DU
CANDIDAT : INSUFFISANT,
EQUIVALENT, SUPERIEUR
1. Dénomination de
l’emploi Quel est le titre du poste ?
A quoi sert le poste au sein de
2. Missions l’entreprise ? Quel est son but ? Ou
ses principales activités ?
3. Descriptions des Quel est le contenu du travail ? Qu’est ce que le candidat doit savoir
tâches Quelles sont les différentes tâches faire ?
nécessaires pour mener à bien les
missions du poste ?
4. Connaissances Quels sont les savoirs théoriques et Quelles connaissances doit-il avoir ?
et/ou habilitations techniques nécessaires pour mener à exemples : informatique, calcul
requises bien les missions du poste ? mental, langue étrangère, géométrie,
lire un plan, réaliser une teinture,
etc… Permis et habilitations
obligatoires pour tenir le poste.
5. Expérience requise Quel est le niveau d’expérience Estimer le nombre d’années de
ou à acquérir professionnelle ou le temps de pratique du métier nécessaire pour
formation (et sur quels thèmes) prendre en main correctement le
nécessaire pour intégrer poste.
complètement le poste ?
6. Conditions Quelles sont les éventuelles S’assurer que le candidat ne
physiques du travail « contraintes » physiques de mise en présente pas de contre-indications
œuvre du travail à effectuer ? ex : par rapport au poste (allergies,
travail en extérieur, manutentions, troubles de la vue,…)
contacts avec des substances
corrosives…
7. Conditions Quelles sont les conditions Le candidat sera-t-il en mesure de
psychologiques du immatérielles de travail ? ex : travail s’adapter aux personnes (collègues,
travail isolé ou en équipe, esprit clients, fournisseurs) et aux
d’entreprise, … habitudes de l’entreprise ?
8. Relations internes Quelles sont les personnes ou Le candidat sera-t-il en mesure de
ou externes équipes avec qui le titulaire devra s’adapter aux personnes (collègues,
collaborer ou sera en contact clients, fournisseurs) et aux
régulièrement ? habitudes de l’entreprise ?
9. Organisation du Comment le travail est-il organisé Horaires habituels de travail, rythme
travail matériellement et temporellement ? annuel, variations de charge de
travail, etc…
10. Echanges Quelles informations devront être Comment communique-t-on les
d’informations transmises, avec qui, sous quelle informations, les résultats, les
forme et avec quelle fréquence ? consignes, etc… (écrit, oral, à qui
s’adresser en cas de problème ?, …)
11. Position dans Responsable(s) et éventuels Qui sera le chef du futur recruté ?
l’entreprise subordonnés ? place du poste dans Aura-t-il un ou plusieurs
la hiérarchie générale de subordonnés ? Vont-ils pouvoir bien
l’entreprise ? travailler ensemble ?
12. Responsabilités du Quelles sont les activités pour Quelles responsabilités lui sont
titulaire du poste lesquelles le titulaire sera entièrement confiées ou déléguées (caisse,
et / ou partiellement autonome ? sécurité, élaboration des devis,
sauvegarde informatique, clés,
engins particuliers, etc…)
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La Formation
Introduction
Mesurer les pratiques de formation dans les entreprises et leur impact sur
le développement des compétences de leurs personnels, sont le souci de
toute direction générale .
Ces courants ont tout d'abord tendance à converger car ils partent d'une même
vision des ressources humaines : ils considèrent celle-ci comme une stratégie
politique que l'entreprise peut employer face à la concurrence, en impliquant et
motivant ses salariés.
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prévisionnelle et prospective des métiers ainsi que des besoins quantitatifs et
qualitatifs.
On voit maintenant apparaître des titres nouveaux pour qualifier les gestionnaires
de la formation d’aujourd’hui : directeur, apprentissage et développement,
responsable, formation et apprentissage, conseiller en gestion de la performance…
Les entreprises qui investissent beaucoup en formation sont aussi parmi les plus
performantes. Elles ont choisi de mettre l’apprentissage au premier rang des efforts
organisationnels pour demeurer compétitives et se positionner dans la nouvelle
économie. Ainsi, le lien entre la productivité des entreprises et le volume des
investissements en formation s’établit de plus en plus clairement.
Définition de la formation
C’et une action d’amélioration de la compétence d'une personne en savoir, savoir
faire et savoir être. Ainsi, une personne formée est apte à accomplir une tâche,
apte à la perfectionner et apte à la maintenir.
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C'est dire ici que les compétences évoluent et pour que les employés puissent
maintenir leur emploi dans l'entreprise, il faut que celle-ci et le salarié soient
conjointement responsables de cette adaptation au changement.
La notion d'« employabilité » vaudra tout son pesant d'or. En fait elle signifie pour
le salarié, la capacité d'être employé, et pour l'employeur, la capacité de proposer
des formations aux objectifs multiples et pertinents :
Ces acquisitions peuvent provenir des orientations définies par la direction générale
mais aussi correspondre à la déclinaison d'une charte ou d'un objet d'entreprise ou
encore des objectifs de l'entreprise :
- La formation interne est conçue et organisée aussi bien d'un point de vue
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matériel (salles, équipements pédagogiques...), que d'un point de vue
pédagogique (guide d'animation, supports...), par l'entreprise elle-même.
Elle peut avoir lieu dans l'entreprise ou à l'extérieur des locaux de celle-ci. Le
formateur qui anime ce type de formation est généralement un salarié de
l'entreprise, mais peut-être aussi ponctuellement :
La Formation de poste :
C’est le transfert planifié du participant d'un poste à l'autre dans diverses unités.
Le Coaching :
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L’apprentissage sur le tas :
C’est une formation sur mesure dispensée en cours d'emploi sur une nouvelle
machine, le fonctionnement d'un produit etc.
Le Monitoring :
Le stage :
L’autoformation :
Le Cas-situation :
Le Jeu de rôles :
Cette technique permet d'évaluer rapidement la pertinence des décisions prises par
les participants et permet d'augmenter la compréhension des comportements et
attitudes des autres.
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Le Cours magistral :
Cette technique s’appuie sur la transmission d'un contenu par des simulateurs
mécaniques et informatiques basés sur des logiciels.
Son avantage est qu’elle permet au salarié d'apprendre à son propre rythme
L’objectif est de faire les points sur des sujets scientifiques et autres. Ce sont des
séances au cours desquelles des experts transmettent leurs connaissances et
encouragent les échanges et la participation.
Le Training groupe :
Son but est de développer des habiletés. C’est une approche terrain proposant des
activités fictives rapprochées de la réalité professionnelle qui permet un transfert
très rapide de connaissance et une forte augmentation de motivation
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la politique de formation
Elle exprime une volonté, exprimée par la direction générale, et engageant toute
l'entreprise, portant sur les axes essentiels qui vont orienter les décisions et les
actes de gestion de la formation.
3. celle qui aborde les conditions de réussite et exprime donc des principes
d'efficacité.
Grâce à la lecture de la politique de formation, chaque acteur sera en mesure de
comprendre le rôle qu'il aura à jouer et par conséquent les pouvoirs et les
responsabilités seront partagés en évitant le problème de confusion de rôle.
1 - Les prescripteurs :
Appelés aussi les commanditaires, ce sont les « décideurs » de l'action, ceux qui
fixent les résultats globaux attendus des actions de formation.
3 - Les formateurs :
4 - Les bénéficiaires :
Quelles que soient la pertinence et la qualité des dispositifs mis en place, aucune
formation ne peut être réalisée si les bénéficiaires n'ont pas décidé d'apprendre.
L'ingénierie de la formation
On entend par Ingénierie de formation un ensemble de démarches méthodiques et
cohérentes qui sont mises en œuvre dans la conception d'actions ou de dispositifs
de formation afin d'atteindre efficacement l'objectif visé.
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1 - Le recensement des besoins de formation :
L'identification des besoins de formation est une phase qui conditionne la réussite
d'une action de formation. En effet, cette première étape est déterminante et
constitue la base de la détermination des objectifs et du contenu d'une action de
formation.
Après avoir identifié et clarifié les besoins en les analysant, la conception du plan de
formation se basera sur ces besoins afin de fixer les objectifs des actions à
engager.
Ainsi, une question se pose d'elle-même : qu'est ce qu'on entend par un plan de
formation ?
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Le plan de formation correspond à un document contractuel qui lie différents
acteurs. Il doit être monté en convergence avec :
- le style de management
- la culture de l'entreprise,
- les politiques de personnel
- les modes d'organisation du travail
L’élaboration du plan est assurée par le chef d’entreprise, après consultation des
représentants du personnel (Comité d’entreprise ou à défaut délégué du
personnel).
Le plan peut aussi prévoir des actions de bilan de compétences et de validation des
acquis de l’expérience (VAE) et proposer des formations qui participent à la lutte
contre l’illettrisme. Il doit donc répondes aux exigences suivantes :
Il s’agit d’actions qui ont pour objectif d’apporter au salarié des compétences qui
sont directement utilisables dans le cadre des fonctions qu’il occupe.
Il s’agit d’actions qui visent à apporter des compétences non directement utilisables
dans le cadre des fonctions du salarié au moment où il suit la formation mais qui
permettent de prendre du recul par rapport à l’emploi afin de mieux évoluer dans
l’emploi.
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3 - Le développement des compétences
Il s’agit d’actions qui visent à faire acquérir au salarié des compétences qui vont au-
delà de sa qualification. Ces actions ont donc pour objet une évolution de la
qualification professionnelle qu’il s’agisse d’un projet de promotion, de mobilité
professionnelle, de reclassement …
Ainsi, après le recensement des besoins, la conception débute par la mise en ordre
de toutes les informations recueillies, leur classification en groupes de besoins
homogènes pour ensuite les traduire en actions de formation toute en s'assurant de
leur compatibilité avec les moyens de l'entreprise. C'est à cet égard que la
conception du plan de formation est le moyen qui permet le passage des besoins au
plan en créant la solution qui répond à ces besoins sous forme d'action de
formation.
Le cahier de charges, doit être fait pour chaque action de formation. Il comporte les
objectifs de l'action de formation ainsi que ses résultats attendus, les populations
concernées par l'action et leurs pré-requis et les moyens nécessaires pour mener à
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bien l'action de formation et l'évaluation (temps, budget, investissement matériel,
communication).
Le plan sera diffusé aux directeurs, aux responsables d'actions, aux personnels
concernés de la DRH.
Ainsi, afin de réussir la réalisation du plan de formation, il sera utile d'assurer son
agrément par la direction générale puis par la commission consultative de
l'entreprise.
A cet égard, l'évaluation s'est vue gagner de l'importance comme moyen pour
légitimer les actions de formation et apprécier son rendement. Elle est devenue,
pour toute entreprise qui tente à investir en formation, porteuse de sens dans la
mesure où elle va servir d'aide à la prise de décision et à l'adoption des mesures de
correction.
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Evaluer quelque chose peut être définie comme étant une action de vérifier, de
s'interroger sur la valeur, la portée, le sens de l'action qu'on vient
d'engager.
Dans ce sens, un modèle de référence a été installé pour définir les dimensions
d'évaluation au long de cette démarche. Il a défini quatre niveaux d'évaluation à
connaître :
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Les temps forts de l'évaluation
L'évaluation à chaud
Il s'agit, dans ce cadre, de recueillir les réactions des bénéficiaires d'une action de
formation pour soulever le souci de savoir si les participants sont satisfaits ainsi que
leur degré d'assimilation des connaissances et des capacités acquises à la fin de la
formation.
L'évaluation à chaud n'est pas significative à elle seule. Elle se limite à apprécier la
satisfaction des apprenants qui ne reflète pas forcément l'efficacité de la formation.
L'évaluation à froid
L'évaluation à froid dite encore « évaluation factuelle » ou « évaluation différée »,
est réalisée après l'action de formation.
Ce moment d'évaluation a pour but d'une part, d'évaluer les acquis et l'évolution
des comportements professionnels en situation du travail, et d'autre part d'évaluer
l'impact de la formation sur les résultats de l'entreprise à travers le calcul de
certains indicateurs de performance.
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En effet, cette évaluation consiste à mettre le formé en situation de travail en vu
d'apprécier les réalisations effectuées. Cette appréciation peut être réalisée à l'aide
de l'administration d'un questionnaire, l'auto-évaluation, l'observation ou encore les
groupes de discussion.
Enfin, il est possible de dire que l'évaluation légitime l'action de formation dans la
mesure où elle apprécie le retour sur investissement et que à son tour la notion
d'investissement en formation légitime l'évaluation qui doit guider toute l'action de
formation.
Les intérêts précités ne signifient pas pour autant que l'évaluation des actions de
formation est facile à mettre en application et ne fait face à aucune difficulté mais
toujours est-il qu'évaluer est un moyen de légitimation de l'action de formation et
porte un élément de réponse à la question de son efficacité.
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Conclusion
Le facteur humain s'avère être le plus important pour la gestion efficace de toute
entreprise et partant de toute société.
Les entreprises qui investissent beaucoup en formation sont aussi parmi les plus
performantes. Elles ont choisi de mettre l’apprentissage au premier rang des efforts
organisationnels pour demeurer compétitives et se positionner dans la nouvelle
économie.
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