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Fait par :
Caractéristiques importantes
Poser des panneaux photovoltaïques
Etapes de réalisation
Outillage et consommable
Définition de la maintenance
Objectifs de la maintenance
Types de maintenance
Pannes
Défaillances
Application de la maintenance
Maintenances des panneaux
LES EOLIENNES
Caractéristiques importantes :
détuilage puis à la pose d’un système d’étanchéité ou d’un écran sous-toiture, les coûts varient
considérablement.
relative à différents paramètres. Le choix des panneaux solaires, relativement à des critères
définis, nécessite une étude préalable et une définition précise des besoins de l’installation
et/ou du logement.
Pour installer des panneaux solaires, il vous faut nécessairement être à l’aise avec le travail
en hauteur, la couverture, vous y connaître en étanchéité pour éviter les fuites d’eau. Vous
devrez vous assurer de la bonne fixation des panneaux qui doivent résister à des conditions
climatiques rudes en posant des crochets, des rails, de la volige ou encore des liteaux. Lire
une notice, savoir lire un schéma de branchement, travailler en sécurité (intervention
électrique) installer et brancher un onduleur, connecter des fils électriques et les fixer au
mur, savoir utiliser une perceuse-visseuse et une scie circulaire sont également des pré-
requis. Selon les panneaux solaires et leur mode de fixation, vous pouvez être amené à poser
de l’écran sous-toiture ou un système d’étanchéité (par agrafage dans le premier cas et par
vissage dans le second). Une bonne aptitude physique est également nécessaire pour
intervenir sur un toit et manutentionner les panneaux voltaïques.
Temps de réalisation : 6 h minimum (selon installation) Nombre de personnes 2 personnes
Vous l’avez compris, pour que les panneaux solaires fonctionnent au sein d’un système
photovoltaïque, il faut plusieurs modules, reliés les uns avec les autres. Il existe deux façons
de les brancher : en série ou en parallèle. Ces deux options sont bien différentes, et vous
devrez utiliser l’une ou l’autre en fonction de vos besoins.
Le montage de modules photovoltaïques en série
Lorsque l’on branche des modules photovoltaïques en série, cela additionne les voltages,
tout en conservant un ampérage identique. Il s’effectue normalement entre des modules
de même ampérage. Dans le cas contraire, l’ensemble s’aligne sur l’ampérage le plus faible.
Pour un branchement en série, il faut relier les pôles positifs d’un module aux pôles négatifs
d’un autre module.
Le montage de modules photovoltaïques en parallèle
Lors d’un montage de modules en parallèle, ce sont les intensités (ampérage) qui
s’additionnent, tandis que la tension (voltage) reste identique. Le résultat est donc inverse
d’un branchement en série. Il s’effectue normalement entre des modules de même voltage, et
ce, afin d’éviter tout risque de surtension ou de court-circuit. Les intensités peuvent quant à
elles être différentes, puisqu’elles s’additionnent. Ce type de branchement est utilisé lorsqu’on
souhaite une forte intensité.
Pour un branchement en parallèle, il faut relier les bornes positives entre elles. Il en est de
même pour les bornes négatives.
Lors d’une installation de système photovoltaïque à votre domicile, des techniciens vous
aiguillent afin de choisir le système le plus adapté à vos besoins.
Etapes de réalisation :
Outillage et consommable :
On distingue deux cas de figure distincts. Si le toit est recouvert de tuiles mécaniques ou
d’ardoise, vous allez devoir procéder à une dépose partielle. Il faut commencer par délimiter
l’emplacement précis où vous souhaitez installer les panneaux solaires. Il faut alors enlever
les tuiles sur une surface légèrement supérieure à la surface des panneaux à poser. Une
fois cette opération faite, un trou apparaît dans votre toiture : y viendront se loger les
panneaux photovoltaïques après une préparation méticuleuse.
Détuilez avec des gants de protection car les tuiles sont abrasives et peuvent vous blesser les
mains. Toute intervention sur le toit doit être effectuée avec un système anti-chute (filet anti-
chute ou longe avec harnais). Si vous détuilez près du faîtage, faites attention à ne pas casser
les tuiles faîtièresou les demi-pureaux (ne marchez pas à proximité et soulevez les tuiles
délicatement).
Si votre toiture n’est pas voligée (charpente en fermettes), ne marchez pas au milieu des
liteaux ni sur l’écran sous-toiture sous risque de chuter.
Les abrégements sont des pièces de liaisons entre les matériaux de couverture de votre
toit, dans votre cas des tuiles ou des ardoises, et les différents éléments qui dépassent du toit,
ici les panneaux solaires et leurs fixations. Ils permettent de réaliser une étanchéité parfaite.
On trouve des abrégements adaptés à chaque modèle de tuiles mécaniques, tant pour la forme
que la couleur. Pour les ardoises, il s’agit d’une tôle couleur ardoise ou d’une pièce de zinc, à
l’ancienne.
La pose des abergements consiste en une fixation avec des vis sur les liteaux existant ou sur
des liteaux ajoutés. L’utilisation d’une visseuse est nécessaire comme du mètre pour reporter
les mesures exactes. Les crochets se fixent également à l’aide de vis.
Ajoutez au besoin une volige sur la longueur de l’emplacement du panneau et derrière le
premier rang de tuiles pour gagner de la hauteur et offrir une meilleure assise à
l’abergement. L’abergement peut être en plastique et livré avec le kit mais aussi être une
bande de plomb qu’il convient de dérouler à cheval sur la volige précédemment installée
et le premier rang de tuiles. La bande de plomb (de largeur variable) se colle avec de la
colle silicone appliquée avec un pistolet extrudeur. La bande de plomb, déformée à la
main, épouse la forme des tuiles. Les planches et les liteaux sont coupés avec une scies
circulaire.
Lors de la pose d’une toiture, il faut poser un écransous-toiture. Ce dernier est un film
technique plastique qui a pour fonction de créer une barrière étanche à l’eau mais pas à l’air.
Il est recommandé lors de la pose de cet écran sous-toiture d’aménager une lame d’air entre
cet écran et le complexe isolant s’il y a lieu afin d’éviter tout risque de
moisissures (l’écran est généralement posé et agrafé sur la volige sur les charpentes
traditionnelles). Si cela est impossible et qu’il repose sur l’isolant, optez alors pour un écran à
haute perméabilité à la vapeur d’eau, ou HPV, qui permet le passage de la vapeur et diminue
les risques de condensation dans le complexe isolant. Si de la condensation se produit dans
l’isolant, ce dernier devient moins efficace, et peut même pourrir. Le recouvrement des lés
doit être réalisé avec les adhésifs recommandés par le fabricant et selon ses
préconisations.
Pose du système d’étanchéité
Il est particulièrement important de respecter l’écart maximum entre deux rails préconisé par
le fabricant ainsi que la distance maximale entre deux fixations aux chevrons. Si les rails
ne sont pas assez longs ou doivent être croisés, il existe des éclisses ainsi que de nombreuses
autres pièces de liaisons. A noter que certains panneaux solaires peuvent pivoter d’un quart de
tour, leur grand côté se retrouvant à la verticale. Il peut alors être aussi nécessaire de poser les
rails verticalement. Les panneaux se fixent ensuite sur les rails à l’aide de crochets ou de
boulons. Une fois tous les panneaux en place, vous pouvez fixer l’abergement supérieur puis
reposer les tuiles ou ardoises manquantes.
Dans le cadre de pose de panneaux solaires sur un système d’étanchéité, les rails de
supports peuvent être directement installés dessus.
Si chaque panneau produit une tension de 12 V, les deux panneaux en série produisent une
tension de 24 V. Si vous reliez les bornes de même polarité entre elles, les panneaux sont
reliés en parallèle. Ce montage produit une tension de 12 V, mais l’intensité produite est la
somme de l’intensité produite par chaque panneau. Attention, si vous reliez deux groupes
de panneaux en série en parallèles, les tensions de chaque groupe doivent être égales pour
préserver les panneaux et maximiser leur production.
Nota: le module est testé suivant la norme 61730-2 à une valeur égale à :
135 % x IRM pendant 2 heures :
L'usage habituel est de mettre un fusible sur chaque polarité (positive et négative) pour
chaque chaîne en cas de configuration de circuit flottant, et un seul sinon.
Nota : la table 104 de la norme CEI 60269-6 impose des tests de coupure menés à la valeur
moyenne de la tension de rétablissement fixée à 100 (0 - >+5 %) de la tension nominale du
fusible. Ces conditions sont les mêmes que celles définies dans les normes UL 248-19. Donc
le coefficient 1,2 est applicable pour les deux normes CEI et UL.
Avec une température ambiante dans le coffret, inférieure ou égale à 45 °C, le courant
nominal du fusible doit être supérieur ou égal à :
1.4 x Isc STC selon la norme CEI 60269-6. Comme en pratique la température à l'intérieur
des coffrets peut monter jusqu'à 65 °C voire plus, un déclassement est nécessaire.
a) La norme CEI 60269-6 spécifie que les tests de vérification des courants de fusion
conventionnelle sont considérés comme donnant des résultats satisfaisants en
fonctionnement à : 1.35 In pendant 2 heures.
Les caractéristiques temps-courant des fusibles gPV de Mersen sont conformes aux balises
suivantes :
ainsi les fusibles gPV Mersen répondent aux exigences de balises des deux normes CEI et
UL.
b) D'un autre côté, on a vu dans le paragraphe 1 que les modules sont testés selon la norme
61730-2 à une valeur égale à 135 % x IRM pendant deux heures.
In (courant nominal du fusible) doit être inférieur ou égal à IRM (courant inverse maximal
de tenue des modules).
On applique les règles vues aux paragraphes 4 et 5 pour la détermination des tensions
nominales des fusibles gPV. L'utilisateur s'assure simplement que les courants nominaux
calculés sont tels que la protection des câbles en surcharge est satisfaite.
Les fusibles HP6M de Mersen sont conçus spécialement pour protéger les modules
photovoltaïques contre les courants inverses. Les fusibles HP6M ont été développés avec un
courant de coupure minimum excessivement bas à 1,35 fois son courant nominal. Cela assure
une coupure du circuit absolument sûre et fiable sous les conditions spécifiques des
installations PV pour lesquelles les courants de défaut sont très faibles.
Les fusibles HP10M de Mersen sont conçus spécialement pour protéger les modules
photovoltaïques contre les courants inverses. Les fusibles HP10M ont été développés avec
un courant de coupure minimum excessivement bas à 1,35 fois son courant nominal. Cela
assure une coupure du circuit absolument sûre et fiable sous les conditions spécifiques des
installations PV pour lesquelles les courants de défaut sont très faibles.
Fusibles gPV HelioProtection® HP10M – 1 000VDC
avec Crimp Cap La série de fusibles photovoltaïques HP10M de Mersen avec bornes Crimp
Cap est conçue pour des applications de fusibles en ligne. Cette cosse à sertir unique (option
CC) permet de connecter le câble au fusible sans soudure, avec encapsulation par surmoulage
du fusible et du câblage. Les fusibles photovoltaïques de Mersen ont été développés
spécialement pour la protection du câblage des chaînes photovoltaïques dans les systèmes
photovoltaïques de toitures industrielles et de capacité industrielle de 1 000 VDC. Leur
construction améliorée leur confère une longévité accrue grâce à une meilleure résistance aux
hautes températures ainsi qu’à la tenue au courant cyclé.
Les porte-fusibles Modulostar HelioProtection® de Mersen sont très connus sur le marché
de la distribution électrique basse tension. Le fusible gPV HelioProtection® a été
spécialement conçu pour les applications photovoltaïques et pour le courant continu en
général.
Les fusibles à corps carré de protection des semiconducteurs de Mersen apportent une
flexibilité maximum dans le design ainsi qu'une protection optimale pour les équipements
électriques de conversion de puissance actuels comme les onduleurs photovoltaïques. Ces
fusibles à corps carré sont disponibles dans quatre tailles, chacune proposant sept systèmes de
montage selon les pays. Les fusibles Protistor® ont été développés pour apporter une
protection optimale. Ils sont assemblés avec des éléments découpés en argent ou bimétal qui
sont incorporés dans du sable solidifié, ce qui aide à contrôler les caractéristiques d'arc pour
un I2t bas et un haut niveau d'interruption. Toutes les surfaces de contact sont plaquées en
argent et tous les composants métalliques sont non-magnétiques.
STP T2 40 3P
STP T2 40 3P est la série de dispositifs de type 2/ classe II conçus pour offrir une protection
contre les surtensions, conformément aux normes CEI/EN 61643-11 et UL 1449. Adaptés à
la protection côté CA dans les systèmes photovoltaïques qui alimentent le réseau en énergie,
ces dispositifs sont également adaptés à la première ou à la seconde phase de protection dans
les applications commerciales ou résidentielles.
STP MPPT PV
PV BOX
Introduction :
Longtemps vue comme un mal nécessaire, la maintenance est devenue une réelle
préoccupation dans les entreprises. Elle s’est affirmée comme un véritable enjeu compétitif,
tant sur l’assurance des performances de disponibilité des matériels existants qu’en termes de
sécurité, de qualité et de coûts, par exemple. On note aussi la prise en compte de nouvelles
préoccupations telles que les aspects environnementaux par le biais de la réduction des
émissions de déchets polluants ou encore le recyclage des systèmes en fin de vie.
Aujourd’hui, elle est perçue comme un processus industriel à part entière lorsqu’elle n’est pas
identifiée comme une des activités principales de l’exploitation industrielle. L’objectif de ce
chapitre est de mettre en relief la notion de maintenance, son importance et les différentes
pratiques existantes selon la taille et la productivité de l’entreprise.
Les objectifs de la maintenance sont d’Assurer la qualité et la quantité des produits fabriqués,
tout en respectant les délais. Optimiser les actions de maintenance. Contribuer à la création et
le maintien de la sécurité au travail. Consolider la compétitivité de l’entreprise.
« Maintenance exécutée après détection d’une panne et destinée à remettre un bien dans un
état dans lequel il peut accomplir une fonction requise ». Deux types de maintenance
corrective peuvent être mis en œuvre :
• La maintenance curative
• La maintenance palliative
• La maintenance prévisionnelle :
• La maintenance conditionnelle :
« Maintenance préventive basée sur une surveillance du fonctionnement du bien et/ou des
paramètres significatifs de ce fonctionnement intégrant les actions qui en découlent ». Cette
politique de maintenance se base sur l’évolution de paramètres qui décrivent l’état du
système, comme par exemple son état de dégradation. Lorsque les valeurs de ces paramètres
atteignent certains seuils, une maintenance est
II.5 Panne
« Etat d’un bien inapte à accomplir une fonction requise, excluant l’inaptitude due à la
maintenance préventive ou à d’autres actions programmées ou à un manque de ressources
extérieures ».
II.6 Défaillance
• Défaillance critique :
• Défaillance significative :
• Défaillance absorbable :
Pouvant être ignorée dans un premier temps.
II.11 Conclusion
Application de la maintenance
Introduction :
La maintenance est la partie importante de notre travail pour découvrir les défauts qui
affectent le panneau solaire et réduire de la production, selon les expériences que nous avons
menées à Conservation National Des Formation à l’Environnement de EL Oued (CNFE).
Nous avons abordé de nombreuses méthodologies au système PV dans l’Institut National. En
suivant les étapes de maintenance, enfin nous provenons combien il est important de
maintenir Sur le panneau solaire de tous les défauts et obstacles naturels.
.1 Défaut 1 : Poussière
Définition :
Prévenir l’encrassement des filtres à air des onduleurs pour éviter leur vieillissement
prématuré. Nettoyer les filtres à air, qui ne devraient pas dégager de poussières lorsqu’on les
tape (A défaut, les changer).
Défaut 2 : Bris du verre de la face avant
Définition :
La face avant du panneau photovoltaïque est recouverte d’une surface de verre, et peut être
brisé en cas d’événement mécanique non prévu (grêle, jet de pierre). Ceci aura Our
conséquence une perte d’étanchéité (possibilité de corrosion, de détérioration des cellules et
une probable diminution de la performance globale du module).
III.2.3 Défaut 3 :
Les traces d’escargots sont le résultat de plusieurs phénomènes identifiés. Pour connaître la
source exacte de ce phénomène, des études en laboratoire peuvent être nécessaires. Si les
traces d’escargots ne provoquent pas nécessairement de perte de production, il convient de
surveiller leur évolution pour prévenir une éventuelle détérioration des modules impactés. Il
est important de mesurer son impact sur la production avant d’envisager le changement de ces
modules.
III.2.4 Défaut 4 :
Végétation Définition :
III.2.5 Défaut 5 :
La corrosion (décoloration) et l’oxydation des contacts métalliques tels que les doigts, les
barres omnibus, les interconnexions de ruban et de chaîne, le lien de soudure et les bornes de
sortie sont causés par plusieurs facteurs tels que la pénétration d’humidité, une absorption
plus importante de l’agent d’encapsulation, une combinaison de tension du système, ce défaut
augmente la résistance série et dégrade le facteur de remplissage, conduit à une puissance de
sortie réduite , Un exemple de corrosion des interconnexions de barres et de cellules.
III.2.6 Défaut 6 :
Délamination Définition :
Les fissures visibles des cellules peuvent être formées par des contraintes mécaniques ou
thermiques pendant une période d’exposition extérieure. Les microfissures peuvent également
être causées par les mêmes contraintes, qui se forment lors de la fabrication.
Conclusion :
L’objectif du travail que nous venons de présenter dans ce manuscrit a été d’étudier
le plus finement possible l’Effet d’Ionisation de la Molécule de Méthane La performance
et le rendement du dispositif photovoltaïque sont une condition préalable à la stabilité et
aux systèmes de production. La stratégie de maintenance est l’une des fonctions qui
contribuent à améliorer la prospérité des entreprises et des institutions économiques et
industrielles. Par conséquent, la stratégie de maintenance la plus appropriée doit être
choisie pour contrôler à la fois les coûts de maintenance, la disponibilité, l’outil de
production et la qualité des produits et des services. Lors de notre stage pratique à
Conservation National Des Formation à l’Environnement de EL Oued (CNFE). Au début
des travaux, nous avons effectué la maintenance préventive avec toutes les notes dans le
fiche de suivi et de donner des solutions préventives. Après avoir pris toutes les
précautions et fourni toutes les demandes selon ce qui est dans la fiche de suivi, nous
avons effectué une maintenance corrective sur les panneaux solaires, qui a consisté à
nettoyer des salissures et poussières pour absorber de manière significative les rayons,
ainsi qu’un bon examen du panneau. Pour l’absence de Trace d’escargot ou Bris du verre
de la face avant ou Délamination ou Corrosion dans les interconnexions de cellules.
Ensuite, nous avons travaillé à appliquer de nombreuses méthodologies et appliquer la
méthode (AMDEC) au système PV. À la fin de nos travaux, nous avons fait des
recommandations pour améliorer le plan Maintenance préventive, ces recommandations
sont principalement basées sur la réduction La survenue de défauts sur le panneau solaire
ayant affecté le rendement de production de ce système photovoltaïque.
LES EOLIENNES :
3- Autorisation de défrichement :
Ça concerne la stabilité du terrain, Si le terrain sur lequel l’éolienne va être installée avait une
destination forestière, ce qui entraîne un
changement d’affectation des sols, une
autorisation de défrichement doit être
obtenue.
4-Distance minimale
Par exemple : une éolienne de 30 m de hauteur, pales comprises, doit être distante de 15 m de
la limite parcellaire du terrain sur lequel elle est installée.
Les petits éoliens peuvent être raccordés au réseau électrique public ou alimenter directement
le bâtiment.
Par la suite, de nombreux autres aérogénérateurs, de plus petites puissances, ont été installés
en différentes locations, notamment pour l’alimentation de localités isolées ou d’accès
difficiles telles que les installations de relais de télécommunications. Cependant, ces
expériences n’étaient pas toujours concluantes.
Mais après le premier choc pétrolier, d’importants investissements ont été consacrés à la
recherche/développement des éoliennes. L’exploitation de l’énergie éolienne pour la
production d’électricité a alors pris un essor considérable, notamment depuis la fin des années
80. Les éoliennes actuelles sont de plus en plus fiables, plus performantes et de plus en plus
grandes. Ainsi, la taille du plus grand aérogénérateur qui était de 50 kW avec un diamètre de
15 m en 1989 a atteint, en 2014, une puissance de 8 MW, avec un diamètre de 164 m
(VESTAS Offshore). La hauteur du mât a augmenté en conséquence pour atteindre dans
certaines installations, plus de 150 mètres, puis Vien alors la première ferme éolienne de 10
MW de puissance, qui a été implantée à Adrar et mise en service en juin 2014. L’énergie
électrique fournie par cette ferme est injectée au réseau local et le taux de pénétration de
l’énergie éolienne représenterait 5% environ.
Pour exemple d’une éolienne en Algérie nous avons La plus grande éolienne de pompage a
été installée en 1953 à Adrar par les services de la colonisation et de l’hydraulique.
Par ailleurs, selon des archives du Ministère de l’hydraulique, deux autres éoliennes ont été
installées à Mècherai, pour l’alimentation en eau potable de la ville et à Naama, pour le
pompage de l’eau. Les deux machines étaient couplées à une génératrice à courant continu et
entrainaient une pompe électrique à courant continu.
Tous les types d’éclairs génèrent des impulsions électromagnétiques de foudre (IEMF) qui
induisent des surtensions impulsionnelles sur les câbles de raccordement reliant les
équipements. Les dommages que les équipements subissent résultent principalement d’une
tenue insuffisante des matériels aux surtensions impulsionnelles. Les dysfonctionnements et
pannes des systèmes électriques et électroniques sont principalement dus à ces surtensions. Le
meilleur moyen de réduire les défaillances dues à ces phénomènes consiste à utiliser une
solution contre les surtensions, c’est à dire un ensemble de parafoudres (SPD) correctement
sélectionné.
NORMALISATION :
Les principes essentiels de protection contre la foudre des éoliennes doivent respecter les
normes internationales IEC 61400-24 :2019 et IEC 62305. La norme IEC 61400-24
s’applique à la protection contre la foudre des génératrices éoliennes. La norme IEC 62305
introduit les principes généraux de protection contre la foudre
Up : La norme CEI 60664-1 définit la tension de de tenue au choc (Uw) d’un équipement
électrique et varie en fonction du réseau AC : Une valeur Uw = 2,5 kV est préconisée pour les
systèmes connectés aux alimentations 400/690 Vac alors qu’une valeur Uw = 1,5 kV est
obligatoire pour les équipements raccordés aux réseaux 230/400 Vac. Le niveau de protection
[Up] du parafoudre doit donc être inférieur à la tension Uw du matériel qu’il protège pour
assurer une protection efficace.
Iimp et In : La valeur minimale de tenue des parafoudres aux courants impulsionnels
(paramètres In pour Type 2 et Iimp pour Type 1) est définie dans la norme IEC 60346-5-534
(ci-contre). Néanmoins, afin de prolonger la durée de service des parafoudres en cas de risque
élevé de foudroiement, des valeurs supérieures peuvent être choisies.
CONTRAINTES ENVIRONNEMENTALES :
Les parafoudres, utilisés dans un environnement éolien, doivent supporter les contraintes
environnementales correspondant au site d’installation, parmi lesquelles :
• Température ambiante
• Humidité
• Atmosphère corrosive
- Accélération : 0,5 m/s².