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RAPP0T DE TP DE GEOTECHNIQUE

LES LIMITES DALLERBERG

: Travail réalise par

DAANI AKRAM

:Encadré par
F . MEBROk

Plan
DANS CE TP ON VA SE FOCALISER ET ODOPTER
:LE PLAN SUIVANT

1. PRDNCIPE DE LESSAI

2 . BUT

3. APPARELLACES

4. Mode opératoire

5. CALCULS

6. RESULTATS

7. CONCLUSION

PRINCIPE DE L’ESSAI  :
La détermination de WL et WP nous
donnent une idée approximative des
propriétés du matériau étudie, elle permette
de le classé grâce à l’abaque de plasticité
de Casagrande.
BUT DE L’ESSAI 

L'Essai laboratoire Limites


d’Atterberg permet de prévoir le
comportement des sols pendant les
opérations de terrassement, en particulier
sous l’action de la teneur en eau, il se fait
uniquement sur les éléments fins du sol
(caractériser les sols fins).

APPAREILLAGE

 Appareil de casagrande
 Balance de 5kg (précision 1g)
 Etuve ventilé
 Planche à roulets
 Capsules en verre
 Spatules
 Mortier et pilon en porcelaine
 TAMIS 0.4 MM

MODE OPÉRATOIRE

Cet essai est réalisé sur la partie


granulométrique appelée mortier inférieur à
0,4mm

On malaxe rigoureusement la totalité de


l’échantillon afin de bien homogénéiser 

On remplit la coupelle au tiers


On trace le milieu de l’échantillon à l’aide
d’un outil à rainurer et l’essai comme
immédiatement

La coupelle fixée à l’appareil est soumise à


une série de chocs réguliers  jusqu’à ce que
les deux lèvres se ferment (le nombre de
coups de fermeture doit être compris entre 15
et 35)
Pour confirmer le nombre de chocs, il faut
recommencer immédiatement l’essai, si les
deux essais successif ne différent pas plus
d’un choc, on prélève à l’aide d’une spatule
deux échantillon de chaque côté des lèvres et
on détermine la teneur en eau.

CALCULS
WL : la limite de liquidité est la teneur en
eau correspondant à la fermeture à 25
coups.
Wp : Détermination de la limite de
plasticité.
Pour déterminer Wp, on prend une partie du
mélange et on essaye de faire des petits
rouleaux sur une plaquette jusqu’à obtenir un
diamètre de 3mm .
Après on soulève le rouleau à 1 ou 2cm au
dessus du plancher, quand il se fissure et
rompt.

On prélève sur chaque morceau des


échantillons pour déterminer la teneur
en eau qui sera la valeur de Wp
Masse de tare : Mt

Masse humide : Mh

Masse sèche :Ms

Masse d'eau : Meau

Teneur en eau : W

Teneur en eau moyenne: Wm

Indice de plasticité : Ip = WL –
WP

RESULTAT

 la limite de liquidité
Tuf
Essai1 Essai 2 Essai 3
Numéro de tare 1 2 1 2 1 2
Mt 34.1 33.9 34.1 33.9 34 34
Mt+Mh 42.1 40.5 43.1 45.9 41 45.4
Mt+Ms 41.1 39.2 42.1 45 40.1 44.5
Meau 1 1.3 1 0.9 0.9 0.9
Ms 7 5.3 8 11.1 6.1 10.5
w% 14.3 24.5 12.5 8.1 14.8 8.6
wm % 19.4 10.3 11.7
nombre de coups 30 14 23
wl % 19.8 9.6 11.6

wl = 13.67
%

wl de la cupelle de casagrand
25

20

15

10

0
12 14 16 18 20 22 24 26 28 30 32

COURBE DE LA TENEUR EN EAU PAR NOMBRE DE COUPS

Limon
Essai1 Essai 2
Numéro de tare 1 2 1 2
Mt 33.5 33.9 33.7 33.9
Mt+Mh 45.9 43.1 49.9 48.7
Mt+Ms 44.9 42.3 45.8 47.9
Meau 1 0.8 4.1 0.8
Ms 11.4 8.4 12.1 14
w% 8.8 9.5 33.9 5.7
wm % 9.15 19.8
nombre de coups 15 20
wl 8.6 19.3

wl = 18.25

wl de la cupelle de casagrand
25

20

15

10

0
0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5

COURBE DE LA TENEUR EN EAU PAR NOMBRE DE COUPS

. la limite de plasticité
Tuf
Numéro de tare 1 2
Mt 34 34.3
Mt+Mh 36.8 37.5
Mt+Ms 36.6 37.1
Meau 0.2 0.4
Ms 2.6 2.8
w% 7.7 14.3

Wp = 11%

limon
Numéro de tare 1 2
Mt 33.7 34.2
Mt+Mh 36.6 35.7
Mt+Ms 36.1 35.4
Meau 0.5 0.3
Ms 2.4 1.2
w% 20.8 25

Wp = 22.9%

Indice de plasticité
 Tuf Ip =2.67 %
 Limon Ip=-4.65 %

Observation :
Dans le cas du limon il y a une erreur soit
pendant la pesée de l'échantillon
Mélange d'échantillons

Manipulation

CONCLUSION 

Nous pouvons dire que pour tout projet de


construction, que se soit une route, un pont
ou un bâtiment, l’étude complète s’avère
nécessaire d’où une bonne connaissance de
ce sol. La reconnaissance du terrain en
place est donc un des préliminaires
indispensables ; l’un des moyens les plus
sûres est de prélever des échantillons
autant que possible intacts.
Il faut dans tout les cas compléter cette
indication par une analyse granulométrique
et une détermination de la limite
d’Atterberg. Ces renseignements
permettant à l’ingénieur d’identifier les
sols et par conséquent se faire une idée de
leur comportement.
Nous pouvons conclure que les sols
cohérents (sols fins) passent d’un état de
consistance à un autre de manière
progressive en jouant sur la teneur en eau.
Plus la teneur en eau est grande, plus le
nombre de coups (chocs) est petit.
Les limits d’Atteberg permettent de
classer les sols fins.

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