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et de la Recherche Scientifique
Université Mohamed Boudiaf - M’sila
Faculté de Technologie
Expose :
Ouvrages de souténément
Étudiant : Enseignant :
2. chapitre 1 ………………………...……………………………………………
3. chapitre 2 …………….………………………………….……………………
4. chapitre 3 ………………………...…………….……………….
5. Annexe ………………………...…………….…….
6. Conclusion……………………………………………………
Introduction :
Les ouvrages de soutènements sont des ouvrages courants de génie civil. Ils sont
construits en nombre pour des usages aussi varies que le blindage de fouille pour
la construction
developpement :
chapitre 1 :
Classification des ouvrages de soutènement.
types d’ouvrages de soutènement classés d’après le mode de reprise de la
poussée, en séparant les ouvrages rigides des ouvrages souples ou semi-souples Il
existe de nombreux types d'ouvrages de soutènement, qui ont été conçus pour
répondre aux situationsles plus diverses. Ils se distinguent principalement par :
• leur morphologie ;
Chapiter 2 :
Action et sollicitation.
I -LES ACTIONS
I. 1 Définition :
Les actions sont des forces et couples dus aux charges appliquées (permanentes,
d’exploitation, climatiques, sismiques …etc.) et/ou aux déformations imposées
(variations thermiques, tassement d’appui …etc.).
les actions permanentes notées G dont l’intensité est constante ou très peu
variable dans le temps, ou bien varie toujours dans le même sens en tendant vers
une limite.
les actions variables notées Q i dont l’intensité varie fréquemment et de façon
importante dans le temps.
les actions accidentelles notées FA provenant de phénomènes rares (chocs,
séismes …etc.).
En général, les actions ont des valeurs nominales, définies soit par les textes
réglementaires en vigueur, soit par les cahiers des charges .
I. 3 Actions variables Q i :
I. 4 Actions accidentelles FA :
Leur probabilité d’occurrence (ou d’apparition) est très faible ou faible.
Article A320 des CBA93 : les sollicitations sont les efforts (effort normal, effort
tranchant) et les moments (moment de flexion, moment de torsion) calculés à partir
des actions par des méthodes appropriées.
La section droite d’une poutre peut être sollicitée par 6 efforts internes : 3 forces et
3 moments.
T1
N
N X
G X
Les éléments soumis à un effort axial centré sont rares dans la réalité. Un effort axial
centré provoque une contrainte uniforme, c’est à dire constante en tout point d’une
section.
Les efforts de compression sont naturels, les efforts de traction sont le plus souvent
induits dans les éléments des constructions de génie civil.
Les efforts de compression sont naturels, les efforts de traction sont le plus souvent
induits dans les éléments des constructions de génie civil.
b) Flexion simple :
Vy
Mz
X
G
La flexion joue un rôle déterminant dans les éléments des structures sauf pour les
éléments courts qui ne peuvent pas fléchir, pour lesquels l’effort tranchant sera
prépondérant.
c) Flexion composée :
Y
N
Vy
Mz W
X
G Vent
d) Cisaillement pur :
F
A B A B
F
Boulonassem
blant2pièces
PièceABentre2couteauxdecisaille
e) Torsion :
X
G
Mt
La torsion apparaît lorsque les charges verticales n’agissent pas selon les plans de
symétrie de la section.
Chapiter 3 :
Dimensionnement et justifications :
I.Principes de dimensionnement justification :
Le dimensionnement d’un talus en sol renforcé par nappes géosynthétiques relève
de justifications aux États Limites Ultimes (ELU) et aux États Limites de Service (ELS).
La justification de l’ouvrage aux ELU concerne ses stabilités externe, générale, mixte
et interne. De manière générale, on considère que la stabilité interne est satisfaite si
la distribution, avec la profondeur, des efforts de traction mobilisables en un point
d’un renforcement (Tmax ;d, cf. 5.2) suit la même évolution que la poussée des
terres.
Figure 1
I.3. La stabilité mixte :
La justification de la stabilité mixte consiste à vérifier le choix des géosynthétiques
en type, nombre, longueur et disposition à l'intérieur du massif, de façon à assurer
l’équilibre, pour toutes les surfaces de rupture qui coupent un ou plusieurs
renforcements et/ou suivent le plan d’un renforcement (Figure 2). Celle-ci est menée
dans la « zone d’influence du projet », où toutes les lignes de rupture potentielles
sont étudiées. Pour des raisons pratiques la vérification de la stabilité mixte peut
s'effectuer en même temps que celle de la stabilité générale.
Figure 2
Annexe :
Conclusion :
Les techniques géo synthétiques pour la construction d’ouvrages de soutènement
semblent matures. C’est le bilan que nous pouvons faire des communications.
Différentes techniques existent et se retrouvent complémentaires ou en
concurrence sur le marché, telle ou telle étant mieux adaptée à un projet donné.
En complément de l’intérêt économique de ces solutions, la réponse aux impératifs
environnementaux apparaît comme catalyseur. En balance de ce bilan, la
recherche reste active tout spécialement dans l’éclairage du comportement en
service ou sous sollicitations spécifiques de type dynamique. Les modèles
physiques multi-échelles gardent tout leur intérêt. Ils complètent et valident le
développement de modèles numériques permettant une analyse fonctionnelle des
concepts.