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La parure

1. Dans le premier paragraphe, explique pourquoi il est dit de ce9e jeune


femme qu’elle est « née, comme par une erreur du des?n » ?
Car elle aurait bien aimé être née dans une famille riche et non dans une famille
d’employés.

2. Dans le second paragraphe, explique avec tes mots ce que signifie ici
« elle fut simple ne pouvant être parée » :
Elle porte des habits simples ne pouvant être bien habillée.

3. Dans les paragraphes 3-4, explique avec tes mots de quoi souffre Mme
Loisel ?
Elle souffre de ne pas avoir assez d’argent pour vivre dans le luxe.

4. « Or, un soir, son mari rentra, l’air glorieux, et tenant à la main une large
enveloppe. » Remplace le/les mot-s soulignés par un/des synonyme-s.
Pense à les accorder si nécessaire.

Or, un soir, son mari rentra, l’air disAngué, et tenant à la main une large enveloppe.

L’air victorieux, l’air triomphant, l’air éclatant…

5. Quelle est la première réac?on de Mathilde à l’invita?on du ministre de


l’instruc?on publique ? Pourquoi ?

Elle n’est pas contente car elle n’a rien à se meEre pour ceEe occasion.

6. « Rien. Seulement je n’ai pas de toile9e et par conséquent je ne peux


aller à ce9e fête. Donne ta carte à quelque collègue dont la femme sera
mieux nippée que moi. » Remplace le/les mot-s soulignés par un/des
synonyme-s. Pense à les accorder si nécessaire.
Rien. Seulement je n’ai pas de tenue et par conséquent je ne peux aller à ceEe fête.
Donne ta carte à quelque collègue dont la femme sera mieux habillée que moi.

7. Malgré sa nouvelle robe, il demeure un problème pour Mathilde, lequel ?


Qui y trouve une solu?on ? Laquelle ?
Elle n’a pas de bijoux. Son mari, il lui dit d’aller trouver son amie Mme ForesAer qui
est une femme fortunée.

8. « Elle dansait avec ivresse, avec emportement, grisée par le plaisir, ne


pensant plus à rien, dans le triomphe de sa beauté, dans la gloire de son
succès, dans une sorte de nuage de bonheur fait de tous ces hommages. »
Remplace le/les mot-s soulignés par un/des synonyme-s. Pense à les
accorder si nécessaire.

Elle dansait avec ivresse, avec emportement, extasiée par le plaisir, ne pensant plus à
rien, dans le succès de sa beauté, dans la gloire de son succès, dans une sorte de
nuage de bonheur fait de tous ces compliments. Dans la victoire de sa beauté

9. « Enfin ils trouvèrent sur le quai un de ces vieux coupés noctambules


qu’on ne voit dans Paris que la nuit venue, comme s’ils eussent été
honteux de leur misère pendant le jour. » Explique le terme souligné. De
quoi s’agit-il ?

Il s’agit de vieilles voitures qui sont conduites que le soir.

10.« Ils se contemplaient a9errés ». Remplace le/les mot-s soulignés par


un/des synonyme-s. Pense à les accorder si nécessaire.
Ils se regardaient dépités.
11.« — Il faut, dit-il, écrire à ton amie que tu as brisé la fermeture de sa
rivière et que tu la fais réparer. Cela nous donnera le temps de nous
retourner. » Explique le sens ici de « se retourner » :

Cela leur donnera le temps de réfléchir à une soluAon.

12.Que font monsieur et madame Loisel afin de remplacer la rivière


perdue ? Explique et raconte :
Ils vont de bijouAer en bijouAer pour trouver le même bijou. Ils font des prêts pour
pouvoir rassembler la somme importante et en racheter un autre. Ils font des
emprunts

13.Quelles sont les conséquences de cet épisode sur Mme Loisel ? Raconte
et explique :
Elle renvoie sa femme de ménage, fait elle-même ses tâche ménagères

Elle devient une femme rude, dure et forte.

14.Relève au moins deux indices qui montrent que ce9e histoire ne se


déroule pas aujourd’hui :
• Aujourd’hui, il n’y a plus de « louis »

• Le texte date du 17 février 1884

• Plus personne n’uAlise un fiacre ou une calèche

15.Ce texte ne donne pas une image favorable des femmes. Confirme et
jus?fie ce9e affirma?on avec 2 extraits du texte que tu expliqueras et
commenteras.

« Elle souffrait sans cesse, se sentant née pour toutes les délicatesses et tous les luxes.
Elle souffrait de la pauvreté de son logement, de la misère des murs, de l’usure des
sièges, de la laideur des étoffes. » et « Quand elle s’asseyait, pour dîner, devant la
table ronde couverte d’une nappe de trois jours, en face de son mari qui découvrait la
soupière en déclarant d’un air enchanté : « Ah ! le bon pot-au-feu ! je ne sais rien de
meilleur que cela... » elle songeait aux dîners fins, aux argenteries reluisantes, aux
tapisseries peuplant les murailles de personnages anciens et d’oiseaux étranges au
milieu d’une forêt de féerie ; elle songeait aux plats exquis servis en des vaisselles
merveilleuses, aux galanteries chuchotées et écoutées avec un sourire de sphinx, tout
en mangeant la chair rose d’une truite ou des ailes de gélinoEe. »

Ces 2 textes nous montrent que ceEe femme n’est pas contente de son sort et
aimerait avoir plus que ce qu’elle a déjà. Elle pense qu’à l’argent, alors que finalement
elle n’est pas tellement à plaindre ; elle a un mari aEenAonné, elle a un toit pour vivre
et elle avait même une femme de ménage. Elle envie tout le temps les personnes
riches comme son amie et n’arrive même plus à profiter de sa vie.

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