BETTER ORGANIZATION
CELLULE D’ORGANISATION
ENACTUS FSJES AS
SOMMAIRE :
Connaître nos forces et nos faiblesses nous mène à la connaissance de soi qui
fonde la confiance. Nous pouvons utiliser nos forces à bon escient afin
d’atteindre un objectif de vie. En ayant une idée de nos limites personnelles,
nous avancerons de manière plus sûre dans notre vie. Cherchons également à
travailler sur nos faiblesses, par exemple en développant notre confiance en
nous ou en améliorant notre relation aux autres.
"Nous avons une estime de soi globale, qui est le jugement que nous portons sur notre
propre personne, qu'il faut différencier de l'évaluation de nos différentes
compétences dans divers domaines". Par exemple, une personne peut avoir une assez
bonne estime d'elle-même tout en étant consciente d'être désordonnée ou nulle en
anglais. Privilégier cette approche permet d'avoir une vision de soi plus complexe mais
aussi plus juste.
"L'affirmation de soi, c'est une question d'authenticité, mais aussi de savoir être et de
savoir vivre". Et d’interroger : qu'aimez-vous chez vos amis ? Leur sincérité, le fait
qu'ils vivent selon certaines valeurs tout en respectant celles des autres, non ? Alors
pourquoi ne pas suivre ces exemples afin de mieux vous aimer ? Pour cela, il suffit
d'être en connexion avec ses besoins et sentiments et de se poser les bonnes
questions : "Ai-je vraiment envie d'aller à ce diner ? De quoi ai-je besoin pour me
sentir bien, là, maintenant ?" Il est ensuite important de savoir formuler ses demandes
clairement.
D. Faire taire son juge intérieur :
En cas de mauvaise estime de soi, les pensées automatiques sont "des jugements
lapidaires sur nous-mêmes, qui déforment la réalité, selon ce que notre schéma cognitif nous
commande de comprendre.
Une mauvaise estime de soi empêche souvent d'entendre ce qui serait bon pour soi. On peut
voir la critique comme une insulte et la rejeter en discréditant notamment son auteur. Ou au
contraire la prendre au pied de la lettre car elle ne fait que confirmer notre peu de valeur.
Les personnes à basse estime de soi ont tendance à imiter leurs modèles, comme ils le
faisaient adolescents, pour se sécuriser. Or imiter et se comparer c'est nier sa personnalité,
ses besoins, ses envies profondes. C'est aussi le risque de poursuivre toute sa vie des
chimères inaccessibles. C'est surtout la certitude de se trouver toujours moins bien que ceux
à qui on se compare. Le mieux est donc de "s'inspirer des personnes de notre quotidien". "Il
existe des tas de gens autour de nous qui font du bien aux autres sans ostentation. On peut
les observer, échanger avec eux, discuter, s'enrichir mutuellement, apprendre, s’inspirer
d'eux."
Oser dire "Non", c'est ne pas faire ce que l'on n'a pas envie de faire, ou ce que l'on ne peut
pas faire pour une bonne raison. "C'est donc une façon de maintenir et de protéger son
estime de soi en privilégiant ses propres besoins, son énergie, son temps, voire son argent,
pour les consacrer à des activités qui paraissent plus importantes".
Trouver la joie de vivre.
Plusieurs objectifs peuvent nous apporter du bonheur dans la vie, mais l’un des
objectifs clés est de découvrir ce qui nous apporte la vraie joie de vivre. Cette
aptitude à cultiver le bonheur peut nous aider à rester énergique et motivé, mais
peut également nous aider à renforcer notre résilience. Cultiver la pensée
positive, accepter le lâcher-prise et s’amuser des petits riens de la vie peut
grandement nous aider à trouver la joie de vivre. Mettez en place des
stratégies pour nous aider à trouver ce qui nous apporte de la joie. Se rappeler
de notre enfance et de ce qui nous a rendu heureux. Beaucoup de ces choses
peuvent encore nous apporter de la joie. L'expression de la créativité suscite
souvent de la joie, qu’il s’agisse de peindre, de jouer de la musique ou d’écrire.
Parfois, la plus grande joie peut provenir de la nouveauté d'une expérience.
Prendre soin de soi.
Pour que la cohésion d’équipe se crée, il est important que des bonnes pratiques de
collaboration soient mises en place dans l’équipe, et qu’elles soient approuvées et
respectées par la totalité des membres composant l’équipe.
Vous n’êtes pas d’accord avec une proposition de l’un des membres de
l’équipe ? Dites-le, et argumentez.
Vous rencontrez des difficultés sur un dossier ? Faites-le savoir, ne glissez
pas votre problème sous le tapis, il ne disparaîtra pas magiquement et
finira par ressortir de manière amplifiée.
Prenez le temps de parler avec votre équipe de votre ressenti sur tel ou
tel projet, de votre humeur du jour, etc…
I. Les réunions :
Tous les problèmes ne peuvent être résolus en envoyant des mémos
et des emails. Les problèmes et les projets complexes nécessitent
l’organisation d’une réunion ou d’une série de réunions pour discuter
d’un problème, présenter des solutions et convenir de ce qui doit être
fait.
Comment faire vivre le message que nous voulons véhiculer à nos invités ?
LE LIEU DE L’ÉVÉNEMENT :
Vestiaire
(Y va-t-il un lieu prévu à cet effet ? Est-ce géré par la salle ou par le locataire
?)
Système de son
(Est-ce adapté à nos besoins ?)
Répartir les responsabilités :
Il est très important de répartir les tâches entre les membres de l’équipe non
seulement au stade de la préparation, mais aussi pendant l’événement. Répartir
les responsabilités par zone. Par exemple, quelqu’un est responsable de la zone
d’inscription, quelqu’un d’autre pour l’accueil des intervenants, une autre
personne pour l’équipement, pour la restauration, la communication avec la
presse, etc. Chaque personne doit disposer de sa propre zone, dont elle doit
être responsable pendant toute la durée de l’événement. Donnez à chaque
membre de l’équipe doit être facilement identifiable avec son document des
responsabilités assignées, afin que chaque personne sache à qui s’adresser pour
toute question spécifique.
Spécifique : l’objectif que vous allez définir doit être simple, explicite, clair
et précis. Le but est qu’il puisse être compris par tous les collaborateurs
impliqués dans le projet. Si cette tâche s’avère difficile pour vous, il se
peut alors que votre objectif soit trop large. Dans ce cas, fragmentez-le en
plusieurs petits sous-objectifs
Acceptable : l’objectif que vous allez mettre en place doit rester faisable,
sinon vous risquez de rapidement décourager vos équipes qui risque
d’être surmenées. Vous pouvez être certes ambitieux, en mettant en
place un certain challenge qui motivera vos équipes, mais cela doit rester
mesuré.
Réaliste : par réaliste, il est entendu que votre objectif doit rester
atteignable. Si les objectifs fixés sont trop hauts voire inaccessibles,
personne de votre équipe n’aura envie de s’y engager. Comment alors
savoir si votre objectif est réaliste ? Vous pouvez en premier lieu vous fier
à vos expériences passées pour juger ce qui est réaliste de ce qui ne l’est
pas. Vous devez aussi définir votre objectif en composant avec les
ressources que vous avez décidées d’allouer à votre projet. De manière
générale, il s’agit de rester raisonné et raisonnable. Par exemple, si vous
avez noté que vos ventes croient en moyenne de 4% chaque année,
chercher à atteindre une augmentation de 70% pour l’année à venir est
complètement irréaliste.
Temporellement fini : il est important que vous définissiez une limite de
temps au bout de laquelle vous devez théoriquement avoir atteint votre
objectif. En fixant une durée limite, vous garderez vos équipes motivées
et votre projet ne trainera pas dans le temps et ne sera pas délaissé ni
abandonné.
B. L’identification des tâches :
Une fois tous les objectifs de votre projet définis, vous devez vous
pencher sur les tâches à réaliser. Quelles sont les alors les actions qui vous
permettront d'atteindre les objectifs préalablement identifiés ? Découpez
d’abord votre projet en plusieurs étapes, chacune d’entre elles étant
associées à un résultat concret à atteindre.
F. Réaliser le projet :
Bienvenue chez les stressés de l’action, vous allez découvrir la « dictature
du temps », celle des délais à tenir, des problèmes à anticiper, des
imprévus à gérer, le tout dans l’urgence et la sérénité. Vous l’aurez
compris : votre motivation étant acquise, tout repose maintenant sur
votre disponibilité, sur votre capacité à organiser et gérer votre temps.
Entourez-vous : l’expérience des autres est la meilleure arme contre
l’erreur.
CHAPITRE 4 : Quelles sont les qualités qu’on doit
avoir pour piloter ?
Savoir gérer son stress : ne pas flancher devant les objectifs qui peuvent
vous être fixés. Un stress et des émotions maîtrisés évitent d’être
communiqués au reste de votre équipe.
Être disponible : les collaborateurs qui composent votre équipe vont vous
solliciter pour que vous leur donniez un cap à suivre et pour que vous les
accompagnez dans leur travail. Vous serrez aussi sollicité par vos propres
supérieurs. Attention toutefois à ne pas faire des horaires démesurés et à
préserver un bon équilibre vie professionnelle - vie personnelle.