Niveau L
200 h de cours
ÉCONOMIE
14 ECTS – Coeff. 1 CONTEMPORAINE 5
2e éd.
2020
2021
2e éd.
2020-2021
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5 2e éd.
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Hélène Kontzler
et Alexandre Reichart
ÉCONOMIE
CONTEMPORAINE
Hélène Kontzler et Alexandre Reichart, universitaires, docteurs en Sciences écono-
miques, sont enseignants en DCG ou DSCG à l'ENGDE (et à l'INES et l'ICS Bégué pour H. Kontzler).
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UE 5 - ÉCONOMIE CONTEMPORAINE
l’activité d’une pluralité d’acteurs, dépassant le strict cadre marchand et lucratif, notamment par l’économie sociale et solidaire
ainsi que les services publics. Les spécificités du tissu productif conditionnent la capacité du pays à créer de la richesse. Cette
dernière est répartie entre les différents agents qui y contribuent lors de la répartition primaire.
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UE 5 - ÉCONOMIE CONTEMPORAINE
3.1 - Au niveau macroéconomique, quels sont les agents à besoin ou à capacité de financement ?
Sens et portée de l’étude : Les opérations économiques menées par les agents économiques débouchent sur des situations
financières diverses. On distingue alors au niveau macroéconomique, les agents à capacité de financement et ceux à besoin de
financement. Une première approche du financement de l’économie peut être appréhendée par la rencontre entre les capacités
et les besoins de financement.
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3.2 Quels sont les rôles respectifs des banques et des marchés financiers dans le financement
de l’activité économique ?
Sens et portée de l’étude : Les banques et les marchés financiers jouent un rôle complémentaire dans le financement de
l’économie selon des modalités spécifiques.
Nécessaires au développement de l’activité économique, ils permettent de financer la diversité des besoins de financement des
agents et de les accompagner dans la prise de risque inhérente à leurs projets.
La recherche de sources de financement plus abondantes, d’un financement moins coûteux ou de modalités de financement
adaptées à de nouveaux besoins (start-up…) a entraîné de nombreuses évolutions conduisant à la financiarisation de l’économie
et parallèlement au développement de formes alternatives de financement. Bien que nécessaire au développement de l’activité
économique, cette financiarisation s’accompagne de crises récurrentes pouvant déstabiliser l’économie réelle.
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UE 5 - ÉCONOMIE CONTEMPORAINE
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UE 5 - ÉCONOMIE CONTEMPORAINE
5.3 - Quelle est l’influence de l’ouverture internationale d’une économie sur sa croissance économique ?
Sens et portée de l’étude : Si les théories classiques du commerce international se fondent sur la défense du libre-échange,
l’histoire économique montre que protectionnisme et libre-échange ont toujours coexisté. Depuis la fin de la Seconde Guerre
mondiale, la plupart des nations ont souhaité encadrer le développement des échanges multilatéraux, tandis que des espaces
économiques régionaux se sont constitués.
Aujourd’hui, les échanges internationaux sont souvent perçus comme une opportunité de croissance économique. L’analyse
de la balance des paiements permet notamment d’évaluer la compétitivité d’un pays, ses choix de spécialisation ainsi que son
besoin ou sa capacité de financement à l’égard du reste du monde.
Pour attirer les capitaux internationaux, les États développent des politiques d’attractivité dont les conséquences peuvent être
variables selon les outils utilisés (dumping social, fiscal, monétaire versus politiques de formation, de soutien à l’innovation, de
financement d’infrastructures).
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6.2 - Comment l’action publique peut-elle limiter les déséquilibres sur le marché du travail ?
Sens et portée de l’étude : Les changements de grande ampleur que connaît le marché du travail en France, comme dans tous
les pays industrialisés, justifient la mise en œuvre d’un ensemble de politiques visant à limiter, accompagner voire à compenser
les nouvelles formes de déséquilibres qui affectent l’emploi. Les politiques visant à soutenir l’activité économique appartiennent
à cet ensemble de mesures et visent plus précisément la lutte contre le chômage.
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6.3 - Quelles politiques de redistribution face aux risques sociaux et aux inégalités sociales ?
Sens et portée de l’étude : Les inégalités sont de nature multiple et présentent un caractère cumulatif. La légitimité de la lutte
contre les inégalités est un sujet encore débattu parmi les économistes. Le consensus selon lequel les inégalités seraient facteur
d’efficacité et de croissance est remis en question, depuis la crise des subprimes notamment, à la faveur d’analyses pointant les
effets contre-productifs des inégalités.
Face aux inégalités, aux risques sociaux et à l’exclusion, les pouvoirs publics peuvent engager des politiques de redistribution,
basées sur la fourniture de services publics, une fiscalité redistributive et des institutions de solidarité comme la Sécurité Sociale.
L’État social (État-providence) est devenu la forme institutionnelle caractéristique des sociétés avancées, présentant des formes
différentes selon les pays.
L’épreuve UE 5 Économie contemporaine est une épreuve écrite portant sur l’analyse d’un dossier documentaire et une question
problématisée.
Durée : 4 heures – Coefficient : 1
12
Sommaire
PARTIE
Fondements et finalités de l’activité économique 25
1
13
IV. Consommation intermédiaire, finale et dépenses pré-engagées 51
A. Les consommations intermédiaires 51
B. La consommation finale, les coefficients budgétaires et leur évolution 52
C. Les dépenses pré-engagées 52
V. La Formation brute de capital fixe (FBCF), une variable explicative complexe,
en lien avec la croissance 53
14
X. Entreprise sociale, entreprise solidaire, entrepreneur social et social business 80
A. Entreprise sociale, entreprise solidaire, entrepreneur social : un cafouillis définitionnel 80
B. Muhammad Yunus et le social business 82
C. Les apports de l’entrepreneuriat social et du social business 83
D. Les limites de l’entrepreneuriat social et du social business 83
15
PARTIE
Le fonctionnement de l’économie de marché 105
2
16
PARTIE
Les enjeux monétaires et financiers
3
de l’économie contemporaine 135
17
PARTIE
La régulation publique dans une économie
4
de marché 201
18
Chapitre 10 : La politique économique française dans le cadre européen 247
I. Les grandes étapes de la construction européenne 247
II. Du traité de Maastricht au TSCG :
les grandes étapes de la consolidation budgétaire européenne 250
A. Déficits publics et dettes publiques « au sens de Maastricht » 251
B. La consolidation budgétaire européenne 251
PARTIE
La croissance, origines et enjeux 253
5
19
C. L’émergence du concept de passager clandestin
et la taxation pigouvienne pour l’environnement 272
D. La théorie des biens communs de Hardin 273
E. La théorie des biens communs d’Elinor Ostrom 274
V. Degré de soutenabilité de la croissance 275
A. Le modèle de soutenabilité faible 276
B. Le modèle de soutenabilité forte 277
C. La décroissance 277
VI. Les instruments de politiques environnementales 278
A. Présentation générale 278
B. La réglementation 279
C. La fiscalité 279
D. Les droits à polluer 279
E. Les instruments volontaires 280
F. La planification 280
VII. L’économie circulaire 280
A. Les sept piliers de la sagesse 281
B. L’écoconception 282
C. Les flux matières 283
VIII. L’économie de fonctionnalité 284
IX. En guise de conclusion 286
20
F. La figure centrale de l’« entrepreneur-innovateur » 301
G. Le mécanisme perpétuel de destruction créatrice 302
H. La théorie du déversement d’Alfred Sauvy 302
IV. Les modèles de croissance économique 303
A. L’instabilité de la croissance : le modèle Harrod-Domar 303
B. Le progrès technique « tombé du ciel » : le modèle de Solow 303
C. Expliquer concrètement l’origine du progrès technique :
les modèles de croissance endogène 304
V. Les analyses contemporaines de la croissance économique 306
A. Les contributions d’Aghion et Howitt 306
B. Les théories de la stagnation séculaire 307
21
III. L’évolution du cadre institutionnel du commerce mondial 345
A. Un projet avorté d’organisation internationale, lancé à Bretton Woods 346
B. Les succès du GATT (1947-1995) 346
C. Les succès et la crise de l’Organisation Mondiale du Commerce (de 1995 à nos jours) 347
PARTIE
Les déséquilibres sociaux : explications et enjeux 351
6
22
III. Les politiques d’emploi 374
A. Les politiques actives d’emploi 374
B. Les politiques passives d’emploi 374
23