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b’ c’
c b
a’
i1 i2 i3
a b a’ c b’ c’
2 4
i1 I M cos t ; i1 I M cos t ; i1 I M cos t
3 3
1/31
i1 crée en M une f.m.m. tel que 1 KI M cos t cos
2 2
i2 crée en M une f.m.m. tel que 2 KI M cos t cos
3 3
4 4
i3 crée en M une f.m.m. tel que 3 KI M cos t cos
3 3
2 2 4 4
KI M cos t cos cos t cos cos t cos
3 3 3 3
KI M 4 8
cos t cos t cos t 3 cos t cos t cos t
2 3
2 4
comme cos t cos t cos t 0
3 3
3
KI M cos t
2
La F.m.m. résultante est une fonction sinusoïdale de pulsation donnée par la pulsation
des courants statoriques (déterminé par la fréquence de réseau = 2πf) et d'amplitude
constante.
Les enroulements du circuit C1 sont parcourus par des courants triphasés sinusoïdaux et
équilibrés.
En représentation simplifiée on a :
Champ1
Champ2
2/31
Pour que le couple électromagnétique travaille, il doit avoir une valeur non nulle.
Pour que la machine tourne, l'angle entre le rotor et l'axe statorique doit varier.
Le circuit 2 tournant appelé rotor, doit tourner à la même pulsation que celle du champ
tournant. Cette machine est appelée machine synchrone.
- Stator : La vitesse de rotation du champ créé par les courants statoriques est synchrone
càd constante et déterminée par la fréquence du réseau et le nombre de paires de pôles.
Outre, ces deux parties essentielles, la machine synchrone est dotée d'amortisseurs qui se
présentent sous forme de barres de cuivre nues court-circuitées par des anneaux comme le
motor asynchrone à cage.
2. Représentation schématique :
Les MS se présente des deux schémas par des symboles normalisés affectés à des lettres.
GS MS
~ ~ GS
3 3 1~
3. Principe :
En charge, le champ tournant résultant est créé par l'action simultanée des deux champs
présents dans la machine.
3/31
f
- Champ fixe par rapport au rotor et tournant par rapport au stator N s 60 .
P
- Champ statorique créé par le système de courant triphasé circulant dans l'enroulement
f
triphasé statorique et tournant par rapport au stator par N s 60 .
P
L'intégration de ces deux champs tournants aux synchroniques est l'effet de saillances des
pôles sont à l'origine du couple électromagnétique.
F i B
B
i
La force par unité de longueur a pour expression, en supposant les origines des phases
convenablement choisies,
= Icos(w't) . Bcos(wt)
Or coswt cosw' t
1
cosw w't cosw w't
2
4/31
- Si w ≠ w' F = 0
- Si w = w cos(w – w') = 1 F ≠ 0
Les forces qui s'exercent sur le rotor; quel que soit résistante (générateur) ou motrice
(récepteur), sont la valeur moyenne non nulle de synchronise (w = w') autrement dit que si la
vitesse de rotation du champ statorique est la même que celle du champ tournant rotorique. .
Ce principe s'applique aussi pour les machines asynchrones.
N Pas pôlaire
S S
- Pour une machine multipolaire, à P paire de pôles, le pas polaire est π/P.
D'une façon générale, un angle θ sur une machine bipolaire, correspondant à θ/P sur une
machine multipolaire.
Un angle P×θ sur une machine bipolaire correspondant à θ sur une machine multipolaire.
2. Vitesse électrique :
2N
Si la machine multipolaire, tourne à , on aura e P
60
5/31
3. Relation vitesse fréquence :
Sur une machine bipolaire la fréquence est le nombre de tours par seconde.
2N N
En effet w 2f , f avec N (tr/min).
60 60
N
f P. N (tr/min)
60
Remarque :
2 N
e P P 2 f w
60
Pour f = 50 Hz
P 1 2 3 4 5
N(trs/ 30 15 10 75 60
min) 00 00 00 0 0
répartition sinusoïdale e B. lv BM lRw coswt .
e Rw
Or v = R Ω Ωe = P Ω v R
P P
B BM cos e BM cosP BM cosPt BM cos P e t BM coswt
P
2 f
e nBM lR cos wt
P
2
2f 2
e 2 t dt E nBM lR
cos 2 wt dt
1 1
E
2 0 P 2 0
2f 2
sin2wt 1dt
1
E nBM lR
P 2 0
6/31
2f 1 nB lR 2f
E nBM lR E M
P 2 2P
BM Rl
cosP d
2P
2P
BM Rl
2
P
2f 2 BM Rl
E . E 2, 22nf
2 P
PN
E 2,22n
60
1/rotor :
Puisque dans un brin actif : e = Bnlv, e une image de B, on cherche donc à obtenir une
répartition spatiale aussi sinusoïdale que possible. On distingue deux sortes de rotor : Rotor à
pôle lisse et rotor à pôle saillant.
7/31
B
Défaut :
Le bobinage est logé dans des encoches placées sur le rotor cylindrique.
L’éloignement des encoches est placé de manière à avoir une répartition sinusoïdale de B.
8/31
2- Stator :
a- Bobinage concentré :
On suppose une seule encoche par pôle et par phase, soit n le nombre de brins actif pour
une phase, e la f.e.m. dans un brin.
Eth est la f.e.m. théorique pour une phase après mise en série, la f.e.m. des différents brins
s'ajoute; c-à-d : Eth = ne.
e
pôle
b- Bobinage répartie
La bobine est placée dans encoches réparties dans tout l'espace disponible sous chaque
pôle. Soit en triphasé, soit 60° électrique, les f.e.m. dans les brins sont plus en phase, on
multiplie donc Eth par k1 < m avec k1 : facteur de bobinage m : le nombre d'encoche par pôle
et par phase. E se compose de m vecteur déphasés de
3m
9/31
e
e
/2 e
R E e
m
m/2
E
k1
Eth
e
sin 2
2 R
E
m 2
sin
2 R
sin m
E 2
e
sin
2
sin m
k1
2
m sin
2
Exemple :
m 1
m sin m sin
2 2 3m 6 2 6 2
0,5
k1 0,958 En pratique k1 = 0,96 ≈ 1.
4sin
24
10/31
c- bobinage à pas raccourci :
Après mise n série, les f.e.m. de deux brins ne sont plus en phase.
E 1 e
cos .
2 2 e E
e
E 2e cos
2
largeur de spire
On définie un facteur
passpire
E 2e cos 2e sin
2 2
k2 : facteur de raccourcissement.
E
k2 sin
2e 2
4 4
Pour , k2 sin . 0,951
5 5 2
d- facteur de forme k3 :
Emax 2Emax
Pour une sinusoïde : Eeff , Emoy
2
Eeff
On définit un facteur k par k
Emoy
Pour une sinusoïde k 1,11
2 2
11/31
k réel
Pour une onde non sinusoïdale, on définit le facteur de forme : k 3
1,11
PN
E k1.k 2 .k3 .2,22. n
60
Récapitulation :
sin m
- Facteur de bobinage : k1
2
m sin
2
: avec q nombre d'encoche par phase.
q
sin
6
Si alternateur 3 φ q 3m k1
3m
m sin
6
- Facteur de raccourcissement : k 2 sin
2
largeur de spire
avec
pas polaire
k réel Eeff
- facteur de forme : k 3 avec k réel
1,11 Emoy
Nn
- f.e.m. théorique : Eth 2,22 P n : nombre de brins par phase
60
coef Kapp
Eréel .Eth
2,22
12/31
VI- Réaction d'induit :
1. Généralité :
La tension à vide calculée dans le paragraphe précédent était due au flux inducteur. En
charge, l'induit est parcouru par un courant Ia, les bobinages de l'induit développe donc un
flux a qui va se combiner avec d c'est la réaction d'induit.
Comme le flux a semble due à des pôles qui tourneraient à la même vitesse du rotor, a
Pour un observateur fixe, l'induction en un point de l'entrefer créé par l'induit et par
l'inducteur sera une fonction sinusoïdale du temps, de pulsation w. Il sera de même pour les
flux d et a à travers la bobine du stator.
res a d
2. Remarque :
a- la réaction d'induit est dite transversale lorsque les lignes de forces de réactions d'induit
sont globalement orthogonales à celle du flux inducteur.
b- la combinaison des deux inductions entraîne une distorsion à savoir des saturations.
d- la réaction d'induit est longitudinale additive lorsque les lignes de forces du flux de
réaction sont de même sens que celle de l'inducteur. Le flux résultant est augmenté.
A chaque expression des flux, on fait correspondre des f.e.m. Eres Ev Eréel
13/31
Comme a est un flux propre créé par Ia ; on peut écrire a la .I a
Eres jl a wI a
U a Ra I a Ev jl a wI a
U a Ev Ra I a jl a wI a
Ev
jXIa
Ia V Ra.Ia
X= la w
Prédétermination :
kJ
Icc E
P
E(J)
Icc(J) N
J
0
M
14/31
- d'un essai en court-circuit : Iacc = f(Ia).
En effet on court-circuit Ua = 0.
Ev = (Ra+ jlaw)Ia
machine est saturée ; donc l2 w , on dit que la méthode de Behn-Eshumburg est pessimiste
car elle donne une chute de tension surestimée.
a- flux émanant des pôles inducteurs et traversant les bobines de l'induit : le flux est
appelé flux utile.
b- flux se refermant autours des fils inducteurs sans traverser l'induit : flux de fuite
inducteur.
c- flux créé par le courant induit et circulant dans le circuit inducteur : flux de réaction
d'induit.
d- flux créé par le courant induit sans circuler dans l'inducteur : flux de fuite d'induit.
Remarque :
Le flux utile et le flux de réaction d'induit sont sujets à la saturation, on ne peut donc les
ajouter.
Les flux de fuite circulent principalement de l'air, pour eux la saturation n'intervient pas.
Explicitant ces différents flux.
Nous n'avons pas besoin d'expliciter ce flux, car on y tient compte, en utilisant la
caractéristique à vide.
C'est un flux qui ne sature pas, on définit alors un coefficient d'inductance propre de fuite
d'induit l tel que fuiteinduit lI a siège d'une chute de tension inductive jlwIa.
15/31
c- composition des f.m.m.
Le flux utile inducteur et le flux utile induit circulant principalement dans le fer, ils sont
donc siège de la saturation. On ne peut ajouter que leur f.m.m..
At res At d At a
I dres : courant fictif inducteur qui produirait la même f.m.m. que I d et I a agissant
simultanément.
Ecrire :
U Eres Ra I a jlwI a
I dres I d I a
Position du problème :
Connaissant U, Ia et φ I d ?
Diagramme de Potier :
-Ia
Idres Eres
Id
jlwIa
V
Ia Ra.Ia
Diagramme de Potier pour et Ra << lw
2
Ia
Id
Idres
Eres
Ia U jlIa
16/31
Relations algébriques
Eres U lwI a
I d I dres I a
M’ Ev
Eres
lIa
Ia M Ua
H
Idres Id Id
MM ' M ' H 2 HM 2
lw
tg C te
MM ' lw2 2 .I a
La caractéristique à déwatté constant se déduit de la caractéristique à vide par la
- détermination de α et lw.
caractéristique à déwatté Cte U a f I d à I a Cte et
2
I a Cte et
2
17/31
M’ Ev
Eres
lIa
S M Ua
Ua
Ia
O '
C Idres Id Id
On a CT = MM' = 2 lw2 .I a
' OT // SM'
Donc OTC et SM'M sont égaux. Théoriquement il suffit de connaître un seul point de la
caractéristique à déwatté Cte.
On fait débiter le courant nominal de l'alternateur sur une charge purement inductive et on
prélève Idw et vdw. De M on trace MT = Idn , Idn est le courant d’excitation correspondant à un
courant de court circuit égal au courant nominal,(si l’essai en déwatté n’est pas fait pour un
courant nominal MT sera égale au courant d’excitation correspondant à ce courant la dans
l’essai en court circuit). la parallèle à la zone linéaire de Ev = f(Id) tracée par T coupe celle-ci
en N, les coefficients de Potier valent alors :
MM '
NN '
,
In I
NB : dans la méthode de Potier, la réactance est notée généralement au lieu de lw qui est
utilisée dans le diagramme de Behn Eshumburg.
18/31
E N
T M
N’
Icc(Id)
In
Id
0
Idn
On effectue une rotation de du diagramme des courants par rapport à celui des
2
tensions.
Id -Ia Eres
Idres
jIa
Ia V Ra.Ia
Exercice d'application :
Un turbo alternateur à pôle lisse triphasé étoile a les caractéristiques nominales suivantes :
Id(A) 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50
E(KV/ph
3 6 8,5 10 11 11,6 12 12,3 12,5 12,7
ase)
Cet alternateur étant destiné à fonctionner en régime saturé, on réalise les deux essais
suivants à 1800tr/min.
19/31
lorsque le courant d'excitation du rotor est de 15A.
2) L'alternateur débitant dans une inductance pure triphasé équilibré de valeur adéquate,
on mesure une tension entre ligne de 15,6 KV et un courant de ligne de 40A, lorsque le
courant du rotor est de 45A.
Id 1 cm → 5 A
Courant 1 cm → 10 A
1-
13
Ev(kV)
12
N
11
lIa
10
M
9
T N’ Ia
8
4
Id(A)
3
5 10 15 20 25 30 35 40 45 50
Le courant nominal de cet alternateur est 40A donc l’essai en déwatté est fait pour cet
essai.
20/31
15, 6kV
On trace le point M 45 A,9 KV 9kv tension par phase del ' alternateur
3
3.103
lw 75
40
MN' = 2 × 5 = 10 A
= α In
10
0, 25
40
U Eres Ra I a jlwI a
I dres I d I a
On adopte l’échelle :
Courant 1 cm → 10 A
On trace Ua puis Ia en phase avec Ua, puis on trace lIa perpendiculaire à Ia, on en déduit
Eres=Ua+lIa.
Id -Ia Eres
Ires lIa
Ua
Ia
21/31
Eres=10,3kV Ires=22,3A (à partir de la caractéristique Ev=f(Id))
On appelle angle interne e la machine, l’angle que fait la direction (Ua, Ev).
Ev
Ua
Ia
a c’est le flux circulant dans le circuit magnétique emprunté par d (c’est un circuit
longitudinale). Ce flux est sujet de saturation car il parcourt une partie de fer.
Pour la méthode de Blondel, on considère 4 flux qui sont : d , a , a et af avec af :
On considère 3 coefficients qui sont , et l, pour traduire ces différents flux, on écrit :
a I a cosx
a I a sinx
af l I a
22/31
d Ev Ea jwI a cosx
Eaf jlwI a
U a E v E a E a E af Ra I a
Ev U a 0 Ra I a lwIa wIa cos wIa sin
2 2
U a E v j wIa cos j wIa sin jlwIa Ra I a
Diagramme de Blondel :
DC wI a cosx
cosx
CF CF
soit CF wI a
F
Iasin()
E
D
Ia
OE=Ev Iacos()
C
A
O jlIa
Ua
RIa
Ia B
O’
23/31
- on aura le diagramme simplifié suivant :
E
D
xIasin()
C
OE=Ev
xIacos() xIa
A
O Ua
RIa
Ia B
I d I dres I a sin x
Prédétermination :
- x et x : par un essai à faible glissement, on fait tourner le rotor non excité à vitesse
légèrement différente de synchronisme dans le sens du champ tournant du stator alimenté par
une tension triphasé réduite.
V V
x , x , x x
I min I max
24/31
R U
S V GS V’
T W A
I
Voltmètre à
N zéro central
~V
Oscillo à Nnom+
mémoire
Imax Enveloppe de i
I 2
Imin
i I
0
t
Transv
Transv
long
long
V’
0
t
Pnum
Fréquence porteuse : 50 Hz
60
2 P
Fréquence de modulation :
60
Ev
jXIa
Ia V Ra.Ia
25/31
Ev cosx U a cos Ra I a
Ev I a cosx U a I a cos Ra I a2
26/31
IX- Moteur synchrone
Quand un moteur synchrone est couplé au réseau, il tourne à la vitesse de
synchronisme imposée par ce dernier. La machine est capable d'entraîner une charge, la
vitesse d'entraînement demeure rigoureusement constante jusqu'au décrochage.
Cependant, à l’inverse d’un moteur asynchrone qui tourne dès son alimentation par le
réseau, un moteur synchrone doit être :
- soit entraîner par un dispositif jusqu’à la vitesse de synchronisme pour
l’accrocher au réseau.
- Soit la démarrer en asynchrone si elle est dotée d’amortisseurs.
- Soit utiliser un variateur à commande dite autopilotée.
Pour une fréquence du réseau fixe, La vitesse de rotation d’un moteur synchrone est
w
constante : (en rd/s).
P
Diagramme bipolaire
I jXI I'
P
I
E V O V M A
Quadrants de Q
jXI fonctionnement
I' E
N en moteur synchrone
B
E=V+jXI=V-jXI'
I=-I'
27/31
Pôle tension : O
Pôle courant : A
NÂB
3v
* AB représente S à près (puissance apparente)
lw
3v
* AN représente P à près (puissance active).
lw
3v
* NB représente Q à près (puissance réactive).
lw
3v
* AN représente également le couple à près.
lw
I
Q<0 Q>0
Pn
Pn/2
P=0
J
Fig 3
Courbes en V (Mordey)
28/31
réseau fourni de la puissance réactive à l'alternateur). L'alternateur peut dans les deux cas
travailler à puissance active constante. Au laboratoire, on on garde les deux courants du
moteur d'entraînement constants (iexc et I induit). On règle la puissance active fournie par
l'alternateur au réseau en agissant sur la puissance utile du moteur par action soit sur la
tension d'induit en gardant iexc constant.
Dans ce cas Imoteur=(U-E)/Rmoteur , E=cte (car N=cte imposée par la MS accrochée et
iexc=cte) si U↑ Imoteur ↑ EI↑ Pumoteur ↑.
Soit par action sur iexc en gardant U cte.
iexc↓ E↓ (car N=cte) Imoteur ↑ U.Imoteur ↑ Pamoteur ↑ Pumoteur↑.
I jXI I' P
N B
Quadrants de
E fonctionnement
I'
E V jXI en alternateur
O
V A M Q
I
E=V+jXI=V-jXI'
I=-I'
Un moteur synchrone fonctionnant en mode non autopiloté est fortement instable. Parce
que la dynamique des parties mécaniques est beaucoup plus lente que celle des parties
électriques, une variation trop rapide des courants de l’induit, donc du champ statorique, ne
permet pas au champ rotorique de ''s’accrocher''. D’autre part, pour une alimentation donnée
(amplitude de la tension et du courant), il existe une charge limite au delà de laquelle la
machine ne peut continuer à fournir le couple nécessaire.
29/31
Les deux structure de commande ci-dessus donne une analogie entre la commande d’une
machine à courant continu commandée en courant et une machine synchrone autopilotée.
Dans les deux cas le couple C=k.I*.
Dans cette configuration ou la machine est autopilotée en couple, la rotation qui est imposée
par la charge est constante lorsque le couple de charge et le couple moteur s’équilibrent.
Les caracteristiques de couple est de puissance sont semblalbles à celles d’une machine à
courant continu (voir courbes ci dessous).
30/31
31/31