Explorer les Livres électroniques
Catégories
Explorer les Livres audio
Catégories
Explorer les Magazines
Catégories
Explorer les Documents
Catégories
« Z-PRODUCTION » avec une experience de plus de 8 ans dans le domaine de l’aviculture avec
d’autres expérience entre autres dans la cuniculture . Merci a tout ceux qui nous on fait confiance.
Notre ferme se situé précisément dans la zone coté Nord du château d'eau de Tampouy a
Ouagadougou (Burkina Faso)
~Des suivies dans votre ferme ou a la maison du début jusqu’à la fin physiquement ou par ligne
~Conseil
~ La Vaccination
« Z-Production »
CONTACT :
Merci a Tous !
Aliments et vaccins
Noter ses deux petit détails qui sont l'engraissement (chair) et la reproduction ceci sont simplement
les objectifs principaux de tous enleveurs! Soit je prend mes poussin ayant pour but de les engraisser
soit je prend mes poussins ayant pour l'objectif de les amener a se reproduire
Ok alors faut noter donc que tout cela va dépendre de l'aliment Que vous utiliserai dans ses objectif ,
la poule a besoin de Bien plus de matière pour le maintient de sa santé et son développement
surtout quant elle es Dan un milieu clos (clôturer) car une poule libre sans clôture puise dans son
milieu tous les éléments nécessaire telque les vitamines, protéine et autres raison pour lakel il ya une
grande différence entre nos locaux et les autre poule modifié génétiquement pour des buts précis
Ainsi nous allons classer nos type d'aliment entre autre aliment chair et aliment reproducteur ceci dit
quand par exemple vous prenez vos poussin vous devez avoir Qu'un seule principe! Soit je veux Que
Mes poussins deviennent consommable au bout de 3 Ou 4 mois, soit je veux Que mes poussins se
reproduise et font des œufs fertile dans quelque 5 a 6mois donc vous devons savoir en ce moment
quel aliment utiliser
Maintenant noter Que qu'une poule mal nourrit peut présenter des aspect comme des
malformations( pire paralysie) , des maladie, chute de poids, baisse de ponte Ou même carrément
l'arrêt , œufs moues, picorement au niveau des coquelets en masse jusqu'a mort, des cas vraiment
sont beaucoup plus lié a l'aliment en ca de malnutrition,
Dans La reproduction on a trois type d'aliment qui dépendent de l'évolution de la poule du premier
jour de sa naissance jusqu'a sa ponte qui sont :
Et les chairs on a Qu'un type d'aliment chair mais souvent vous aller entendre parler de Aliment
démarrage et aliment finition pas grand chose.
Toutes les poules peuvent être utiliser comme des chairs et toute les poules peuvent etre utiliser
aussi comme des reproducteur exceptionnellement certains poules fabriquer just pour un but genre
comme les poulets de chair de 45 jours ou les poulets de 35 jours Qui sont utiliser just pour la chair
Par exemple vous pouvez utiliser Vos poussin bleu d'hollande ou Isabrown, Arco, leghorn, Bahamas,
etc et pas pour leur Œufs mais Just pour leur chair en les engraissant pendant 3 a 4 mois pour les
revendre de même Que les locaux ou les hybrides tout dépend de """ l' aliment Que vous aller leur
donner"""
Faut noter Que le poussin qui vient de naitre ou qui sort de la couveuse ne peu consommer
immédiatement l'aliment poussin car sont tube digestif est encore un tout peu faible pour travailler
avec le maximum d'élément qui compose l'aliment poussin donc le mieux serait de leur donner du
1er jour au 2eme jour le Maïs simple ecrasé(concassé) sans autre élément et a compter des jour
suivant on continue avec l'aliment poussins. Notons aussi que leur eau de boisson doit contenir un
peu de sucre juste pour les inciter a boira pendant deux ou trois jours maximum.
Maïs ====60kg
Soja =====12 kg
Coquillage===6kg
Poisson ===10kg
Phosphate==== 1kg
Lysine ====0,15kg
Methionine====0,1kg
Sulphate fer==0,08kg
Bicarbonate ===0,3kg
Maïs ====60kg
Soja =====12 kg
Coquillage===6kg
Poisson ===10kg
Phosphate==== 1kg
Lysine ====0,15kg
Methionine===0,1kg
Sulphate fer==0,08kg
Bicarbo(sel)==0,3kg
""Aliment poussin""
Soja =====12 kg
Coquillage===6kg
Poisson ===10kg
Phosphate==== 1kg
Lysine ====0,15kg
Methionine====0,1kg
Sulphate fer====0,08Kg
Bicarbonate ===0,3Kg
Premix Poussin==0,2kg
== Concentré (50kg)
Il faut noter Que ce système ne peut être utiliser quand il s’agit d'engraissement( chair) de 3 a 4 mois
et des antibiotiques(tetracolivist ou autre anibiotique équivalent) ou autres sont donnés chaque
ecart d'une semaine pendant 3 a 4jours
Voici des idées qui devraient vous permettre de composer vous-même votre aliment. Vous
adapterez le mélange en fonction de ce que vous trouverez dans votre région.
• 3 kg de mil
• 100 g de sel
• 2 kg de mil
Donner régulièrement aux poules de l’herbe verte. Elles y trouveront une partie des vitamines dont
elles ont besoin. Donner matin et soir de l’eau propre.
LE NETTOYAGE
Une attention toute particulière devra être accordée à l'entretien du poulailler.
Celui-ci devra rester propre et être nettoyé à fréquence régulière. Ainsi vous éviterez des problèmes
sanitaires. C’est là aussi un point important pour le bien être et la santé de vos poules pondeuses.
Afin de conserver une qualité d'élevage, il est important de nettoyer régulièrement le poulailler .
Pour cela il faut tout d'abord sortir tout le petit matériel. Puis enlever entièrement la litière (Celle-ci
au passage fera le bonheur de vos plantes).
Ensuite à l'aide d'un jet d'eau ou idéalement d'un nettoyeur haute pression, laver le poulailler.
Appliquer en respectant le dosage un désinfectant ( qui peut éventuellement avoir la double capacité
- désinfectant + insecticide) sur les parois et sous la toiture.
L'idéal reste d'appliquer ce produit dilué en "micro gouttes" à l'aide d'un pulvérisateur à dos que l'on
utilise aussi pour le jardin.
Laisser sécher une journée et préparer la nouvelle litière avec de la paille ou des copeaux propres.
Nettoyez aussi le petit matériel puis rincez-le avant d’y pulvériser un désinfectant.
N’oubliez pas de tenir vos poules pondeuses à l’abri des rongeurs. Ces derniers sont vecteurs de
maladies pour vos poules mais également pour vous !
L’intérieur du poulailler doit être entretenu, c’est la base de tout bon élevage ! Vos poules doivent
être dans un environnement propre qui devra être nettoyé autant que nécessaire. Pour la fréquence
de nettoyage il est fonction bien sûr du nombre d’animaux, mais également de la saison. Un
poulailler à l’automne et pendant l’hiver sera plus humide donc sujet à plus de salissures de la part
de vos gallinacées .
Celles-ci en rentrant de l’extérieur ramènent sous leurs pattes de l’humidité et souvent surtout de la
boue. Ainsi vous l’aurez compris, le nettoyage sera à surveiller de plus près pendant ces périodes. Il
faudra y consacrer plus de temps, compte tenu de l’humidité environnante. La litière qui constitue le
« lit » de votre animal devra être renouvelée toutes les semaines, afin de laisser votre animal au
propre et au sec .
Veillez à ce que votre matériel d’élevage soit adapté et ne salisse pas votre litière juste après l’avoir
changée! Ce même matériel devra être aussi nettoyé aussi souvent que nécessaire. Petit conseil,
rincez le matériel avec un jet puis faites le tremper dans une solution vinaigre blanc/eau tiède de
sorte à bien le décaper. Il suffira de le rincer ensuite et de le laisser sécher.
Durant le printemps et l’été, le poulailler nécessite un entretien régulier. Vos litières pourront être
renouvelées tous les quinze jours seulement, sauf incident !
Attention également aux pondoirs , ces derniers sont souvent oubliés ! Prévoyez un matériel lavable
ou facilement renouvelable. C’est un endroit qui doit être confortable pour l’animal mais qui doit
aussi être nettoyé fréquemment pour y limiter les bactéries.
Maladies de la poule
Voici listées ci-dessous les principales maladies selon leurs caractéristiques, symptômes et
traitements :
Les poules y survivent très rarement. Cette maladie foudroyante peut anéantir tout un
cheptel. De plus, elle est très contagieuse.
Symptômes : perte d'appétit, fièvre, plumes hérissées, dos rond, troubles respiratoires et
nerveux.
Prévention/traitement : il est préférable de vacciner les poules contre la grippe aviaire. Il
n'existe pas de traitement contre cette maladie.
La maladie de Marek
On retrouve cette maladie dans les petits élevages et elle crée d'importants dégâts chez les
poules. Elle s'attaque plutôt aux jeunes sujets.
Symptômes : la poule se paralyse progressivement (pattes, ailes, voire les deux). Des tumeurs
peuvent surgir sur certains organes digestifs. Sur le plan oculaire, les pupilles se décolorent et
la poule devient aveugle. Sa tête reste rigide et droite.
Prévention/traitement : les vaccins ne sont pas efficaces à 100 % et la mort est rapide.
La maladie d'Aujeszky
Maladie grave à croissance rapide qui peut être fatale pour la poule.
Prévention/traitement : vacciner les poussins et abattre les poules infectées par la maladie.
La coccidiose
Maladie courante et bien connue des éleveurs, elle se caractérise par une anémie chronique
provenant d'une maladie parasitaire.
La typhose
Maladie à la mortalité élevée, elle se propage plus particulièrement dans les élevages
importants.
Le corysa
On les retrouve principalement dans les élevages de plein-air car ils sont transmis par les
insectes et les limaces ingérés par les poules.
Les poux
Ils se nichent dans le plumage et vers l'anus, ce qui est très désagréable pour le volatile.
Il s'agit d'un petit acarien qui se loge sous les écailles des pieds des gallinacées.
Pour réduire voire éviter les maladies ou les parasites chez les poules, il est indispensable
d'adopter les réflexes de base suivants :
Veiller à leur bonne santé passe avant tout par une alimentation saine et adaptée.
Lors de l'achat d'un nouveau sujet, il est aussi judicieux de le placer en quarantaine avant de
l'introduire dans la basse-cour.
On ne donne pas non plus un traitement aux poules à l'aveuglette. Il est vivement
recommandé de demander conseil à son vétérinaire. Certaines maladies peuvent avoir les
mêmes symptômes mais se traiter différemment.
Introduction
Elever des volailles à grande échelle aux abords des grandes villes est un business qui s’est
passablement développé dans un grand nombre de pays africains ces dernières années.
C’est aussi un domaine qui a connu de nombreux échecs et que les banques sont maintenant très
frileuses à considérer d’un œil favorable.
Elever des poules pondeuses pour la vente des œufs (et des poules de réforme en sous-produit)
Elever des poulettes pour les vendre à 2 mois aux producteurs d’œufs
Enfin, d’autres combinaisons mixant ces rôles sont possibles, celui le plus fréquemment évoqué est
celui de la production des œufs sur lequel nous nous focaliserons plus spécifiquement.
Quand on évoque ces élevages, il s’agit implicitement d’élevages intensifs, utilisant les techniques en
vogue dans les “pays compliqués”.
Ici, je veux parler des techniques d’élevage qui sont traditionnellement mises en œuvre par ces
business et présentées comme une innovation.
Or le modèle technique d’élevage n’est pas un simple recueil neutre de bonnes pratiques d’élevage,
c’est en réalité un outil au service des acteurs en position de force en l’occurrence les industriels
pour exploiter les éleveurs.
En fait, il faut bien comprendre que la logique de ces modèles vise essentiellement à favoriser les
affaires d’une part des fournisseurs d’inputs industriels fournissant :
les produits chimiques (Dits vétérinaires : vaccins, antibiotiques, médicaments divers, désinfectants,
etc.)
D’autre part de ceux qui achètent les produits aux producteurs pour :
les transformer (Cas majoritaire en Occident : ces produits sont des inputs pour l’industrie agro-
alimentaire)
les écouler directement sur le marché ( Distributeurs qui vont alimenter les supermarchés)
Cette mise sous dépendance des éleveurs en tant que clients et fournisseurs de l’industrie agro-
alimentaire, est une conséquence directe de la mise en application du modèle d’élevage intensif .
Ce modèle est fondé sur le confinement à haute densité des animaux : l’élevage concentrationnaire ,
et les conséquences de cette concentration font précisément naître les besoins en produits
industriels chez les éleveurs.
Par exemple, dans le cas de l’élevage des volailles, il y a un point essentiel qui est de permettre aux
animaux de se nourrir eux-mêmes sur le sol. Les volailles trouvent beaucoup de nourriture par elles
mêmes (graines, insectes, asticots, herbe, …) qui sont d’excellentes sources alimentaires (protéines &
minéraux notamment).
Mais lorsqu’on enferme les volailles, elles ne peuvent plus accéder à cette source de nourriture , d’où
les produits complémentaires , vitamines, minéraux, etc. Elles ont moins d’exercice, elles ont un air
de moins bonne qualité et un accès réduit à la lumière du jour, d’où leur santé en pâti d’où les
produits pharmaceutiques …
Les animaux ne peuvent plus se nourrir sur le sol, et la perte de cette source d’alimentation saine et
peu coûteuse doit être compensée par des achats.
En bref, ils sont clairement mis dans des conditions d’hygiène et de bien être déplorables !
Les éleveurs des pays compliqués surmontent (avec plus ou moins de succès) ces handicaps de
départ par :
la désinfection
la vaccination
l’alimentation complémentée
Toutes choses se traduisant par des achats auprès des industriels correspondants, car c’est bien pour
favoriser ce marché que le modèle a été promu.
Ce qu’il faut retenir ici pour notre sujet, c’est que ces techniques d’élevage ne sont pas simplement
des techniques correspondant à une recherche neutre mais bien des outils de marketing orientés
pour inciter les clients (les paysans) à utiliser des techniques d’élevage qui les forcent virtuellement à
acheter des produits aux industriels .
Comment a-t-on fait accepter ce modèle ?
Afin que l’absurdité de ces techniques d’élevage ne ressorte pas trop, elles font l’objet d’une
véritable propagande continue, par les écoles d’agriculture et le
discours ambiant sur le modernisme, l’hygiène, etc. Cette propagande est entretenue par le lobbying
des industriels auprès des acteurs : le financement des écoles d’agriculture (dons de produits et
d’argent), la production de pseudo-science (études publiées dans les revues spécialisées pour
éleveurs et vétérinaires …), l’argent de la publicité auprès des médias afin de leur faire publier les
productions de pseudo-science et de rassurer les consommateurs.
Le paysan lui est souvent piégé par la recherche d’un revenu stable et l’emprunt nécessaire pour la
mise en place de l’élevage (bâtiment et équipements notamment). Une fois lourdement endetté, il
n’a plus le choix et il va vivre dans l’angoisse de l’épidémie qui ruinerait son élevage, ce qui le
poussera à d’autant plus de dépenses sanitaires .
Du point de vue du pays tout entier, le gouvernement se dit que ça favorise le modernisme,
l’industrie, l’emploi etc.
Depuis quelques temps, cependant, on note en Occident, l’émergence d’une classe de paysans qui se
défend et produit à sa façon. La plupart ont le label « BIO » pour agriculture biologique. Ils réduisent
considérablement les achats de produits industriels pour augmenter leur rentabilité tout en
produisant des produits sains de meilleure qualité et qu’ils peuvent vendre plus cher.
Lorsqu’on adopte les techniques d’élevage intensif en Afrique, il faut se souvenir que l’on ne
considère que la pointe émergée de l’iceberg , on oublie que ceci repose sur une infrastructure
beaucoup plus vaste constituée par le tissu industriel, la grande distribution, l’accès aux facilités
telles que : électricité, eau, transports, chaîne du froid … toutes choses classiquement défaillantes en
Afrique.
En ne transposant que le modèle technique d’élevage, déjà on comprend que nous sommes dans une
situation biaisée.
Dans la plupart des pays africains, l’industrie capable de fournir les élevages intensifs est inexistante
ou quasiment inexistante. La plupart des équipements et produits (Equipements, vaccins,
antibiotiques, médicaments, vitamines …) devront donc être importés, ce qui réduit déjà l’intérêt du
modèle pour l’économie nationale au niveau global.
L’éleveur, va donc handicaper son élevage sans toutefois disposer de tous les moyens pour traiter ces
handicaps :
construction coûteuse
produits vétérinaires coûteux et souvent périmés, ou détériorés à cause de la difficulté de les garder
au frais notamment. (Les accidents avec les vaccins sont fréquents)
L’élevage intensif à l’occidental me parait un système voué à des risques et des coûts
disproportionnés donc voué à l’échec économique.
Les véritables intéressés à ce modèle d’élevage, ceux qui ont le plus à y gagner , sont les
importateurs/distributeurs des grands trusts internationaux d’aliments et produits sanitaires pour
animaux .
Mais, par définition une bonne idée business est une idée qui répond à un besoin présent sur le
marché, à un problème rencontré par un nombre suffisant de personnes qui sont prêtes à payer
quelque chose pour le résoudre.
Si on veut lancer un business dans ce domaine, il faut revenir aux fondamentaux et commencer par
identifier les besoins qui peuvent se manifester chez les différents acteurs .
Ont-ils des problèmes pour écouler leur production ? Pourquoi ? (Prix ? Demande faible ? Transport ?
Saisonnalité ? …)
De quoi auraient-ils besoin pour augmenter leur production ? Ou diminuer leurs coûts ?
Je pense qu’on peut se rendre compte rapidement de l’intérêt de se poser ces questions et d’en
obtenir les réponses.
Plutôt que de se lancer dans un modèle d’élevage à priori, il peut être plus intéressant de considérer
la filière dans son ensemble et de comprendre comment elle est organisée aujourd’hui, puis
d’identifier des problèmes dont la réponse va améliorer l’efficacité globale et donc avoir une bonne
valeur ajoutée, susceptible de fonder un business viable sur le long terme .
Dans cette optique, par exemple, les éleveurs peuvent devenir des clients pour des services et
produits qui vont améliorer leurs résultats, la collecte et la distribution peuvent peut-être aussi
améliorées au bénéfice de tout le monde …
Ainsi, on ne désorganise pas la filière, ont permet aux producteurs de faire évoluer leurs techniques
en fonction de leurs problèmes réels .
Merci de tout Cœur pour cette Grande confiance vous pouvez laisser vos différentes questions.
00226 76900423