Explorer les Livres électroniques
Catégories
Explorer les Livres audio
Catégories
Explorer les Magazines
Catégories
Explorer les Documents
Catégories
FACULTE DE MEDECINE
Par
Symbole de la qualité
Monzango@yahoo.fr
2
INTRODUCTION
Première étape
Déshydratation
– But : extraire de l’eau contenue
dans les tissus
– Moyens : à l’aide des bains d’alcool
(éthanol).
A
• Il existe plusieurs schémas :
Eclaircissement
• But : faire partir la substance déshydratante (alcool).
• Moyens :
– 1er schéma : 3 bains de xylol 30 minutes/bain.
– 2ème schéma : 2 bains de xylol 30 minutes/bain (utilisé ici chez nous)
Imprégnation
• Technique :
– mettre la paraffine liquide dans une
moule métallique
– placer l’échantillon dans la moule
contenant la paraffine avec la surface à
couper contre le fond da la moule.
– placer une cassette en plastic sur la
moule.
– refroidir sur la glace pour obtenir la
solidification de la paraffine.
retirer la cassette en plastic qui sera
collée au bloc de la paraffine solidifiée
Figure 5 : Enrobage
Figure 6 : A et B Coupe au
microtome
7
Le microtome
Figure 7 : Microtome
Quatrième étape : Coloration
•Coloration de routine: hématoxyline éosine
A B
A B
Figure 10 : A et B, déshydratation avec acétone 50,
70, 80, 100 %
AA B
A B
Figure 12: A, retrait de l’échantillon (verre comprenant les cellules)
et B, determiner la face où se trouvent ces cellules avant
d’entrprendre l’enrobage
A B
A B
Figure 14 : A, placer les moules au dessus des échantillons et B,
remplir les moules d’araldite liquide
11
A B
Figure 18: A, inscription du N° d’identification sur le bloc extrait
du moule; B, coupes ultrafines au microtome
A B
C
Figure 19: Contraste pour bien reveler les différentes structures
cellulaires et tissulaires
E.- Autoradiographie
F.- Immunohistochimie
Ière PARTIE
CHAPITRE 1 : LA CELLULE
Cellules spécialisées
Fonctions
Mouvement Cellules
musculaires
Conductivité Cellules nerveuses
Synthèse et sécrétion des Cellules des acini
enzymes pancréatiques
Synthèse et sécrétion de Cellules des
mucus glandes muqueuses
Quelques cellules
Synthèse et sécrétion des de la surrénale,
stéroïdes
des testicules et
des ovaires
Cellules des tubes
rénaux et des
Transport de Fer glandes
Salivaires
Digestion intracellulaire Macrophages
et quelques
globules blancs
Transformation des - Cellules
stimuli physiques et sensorielles
chimiques en influx
nerveux.
2.- Mitochondries
B A
5.- Vésicules
5.- Vésicules
Lysosomes
cytose
a.- Microtubules
FILAMENTS
INTERMÉDIAIRES TISSUS
B. Noyau
2.- Chromatine
3.- Nucléole
4.- Nucléoplasme
-
-
-
-
-
44
-
- Figure 37: Anaphase
-
Il comprend 2 étapes :
1. La mitose avec ses 4 phases et
2. l'interphase au cours de laquelle se produit la duplication de
l'ADN.
Elle comprend 4 phases:
- G0 = phase de repos;
- G1 = la phase de présynthèse d'ADN et de synthèse d'ARN et
des protéines, le volume de la cellule réduit de moitié par la
mitose se restaure, redevient normal.
- S: phase de synthèse et de duplication d'ADN;
- G2: phase de fin de duplication d'ADN et de production et
d'accumulation d'énergie à utiliser pour la mitose prochaine
ainsi que de la reproduction des centrioles et l'assemblage des
46
tubulines dans les microtubules durant la mitose.
L’activité CDK est inhibée par les 2 familles des inhibiteurs des
CDK, les CDKI dont l’une comprend les protéines P21, P27 et P57
qui inhibent l’ensemble des CDK, tandis que l’autre comprend les
P15, P16, P18 et P19 possédant les effets inhibiteurs sélectifs sur
les complexes cyclines D/ CDK1 et cyclines D/ CDK6 et sont
parfois appelées les protéines INK4 parce que inhibiteurs des
CDK4 et CDK6. On comprend que les mutations qui altèrent
l’activité des cyclines et des CDK puissent favoriser la
prolifération cellulaire. Les gènes des cyclines D sont surexprimés
dans beaucoup de cancers (ex. : cancers du sein, de l’œsophage et
du foie). Les mutations des cyclines B et E ainsi que des CDK sont
également observées dans certaines tumeurs malignes.
49
IIème Partie:
Les tissus sont des structures formés par les collections des
cellules à caractéristiques morphologiques et fonctionnelles
similaires. En dépit de sa complexité, le corps humain est fait
seulement de 4 types de tissus de base; il s'agit de : - tissu épithélial, -
conjonctif, - musculaire et nerveux. Ces tissus n'existent pas de façon
isolés mais en association les uns avec les autres et en proportions
variables pour former les organes et systèmes de l'organisme.
A.- Formes
A B
Adhésion cellulaire
52
La cohérence ou cohésion des épithéliums repose sur
l’adhésion des cellules constitutives à la fois entre elles et à la
matrice extracellulaire.
JONCTIONS SERREES
JONCTIONS D’ANCRAGE
A B
A.- Microvillosités
B.- Stéréocils
100
80
C.- Cils et flagelles
60 East
West
Les cils sont
40 des structures longues et mobiles
North
à la surface de
la cellule et de structure
20 différente des microvillosités. Au microscope
0
1st Qtr 2nd Qtr 3rd Qtr 4th Qtr
59
électronique ils sont constitués d'une paire centrale de microtubules
entourée de 9 paires de microtubules périphériques et couverts par la
membrane cellulaire. Les cils sont insérés sur les corps basaux qui
sont des structures denses présentes au pôle apical juste sous la
membrane cellulaire. Les flagelles chez l'homme sont portées par les
spermatozoïdes.
Figure [Type
53: a et
a b, épithélium pavimenteux
stratifié ou malpighien
quote
from the
document L'épithélium stratifié se retrouve
or the
summary principalement au niveau de la peau.
of an Ces cellules forment plusieurs couches.
Dans interesti les couches proches des tissus adjacents les
cellulesngsontpoint.
cubiques ou cylindriques, dans leurs couches
You
adjacents, elles can deviennent irrégulières de forme et
position
progressivement aplaties au fur et à mesure qu'elles s'approchent
the text
de la surface box elles sont minces et squameuses. La muqueuse
où
stratifiéeanywhere
squameuse (pavimenteuse) ou membrane muqueuse est
une membranein theépithéliale bordant une cavité humide (bouche,
vésicule, vessie, intestins) contrairement à la peau dont la surface
document.
Use the de vue structurale la membrane muqueuse est
est sèche. Du point
Text Box
identique à l'épithélium pavimenteux stratifié (squameux) ou
Tools tab
malpighien kératinisé excepté le fait que dans le dernier, les
to change
the
formattin
g of the
pull
62
cellules de surface sont mortes et apparaissent comme des
squames aplaties de kératine. L'épithélium cylindrique stratifié
est rare et se retrouve dans l'organisme humain seulement dans de
petites aires telles que la conjonctive de l’œil et les conduits de
grandes glandes.
4.- L'épithélium pseudo-stratifié est ainsi appelé parce que, bien que
les noyaux paraissent disposés en plusieurs couches, les cellules
sont toutes attachées à la lame basale (membrane basale), mais
B
A a
a a
a
Figure
a 56: A et B, Glande aa unicellulaire
a a
a a
a
b .-aGlandes multicellulaires. a
a
a
a
a
Elles sont composées des amas des cellules. La plupart des
glandes
a sont multicellulaires.
a
a
Les glandes dérivent de l'invagination de l'épithélium
recouvrant les membranes ou l'épithélium de surface des muqueuses,
par prolifération et invagination dans le tissu conjonctif sous-jacent,
suivie d'une différenciation. Les glandes multicellulaires ne sont pas
simplement des collections de cellules mais des organes bien
structurés ayant une architecture ordonnée. Elles sont entourées
d'une capsule de tissu conjonctif d'où partent des septas fibreux la ou
les subdivisant en lobules. A travers ces septas, les vaisseaux
sanguins et les nerfs entrent et se subdivisent dans la glande.
65
A B
a a
Figure
a 58: Glandes multicellulaires
a
a a
a a
a a
a a
a a
a
a
a
a
a
a
a
66
parathyroïdes et du lobe
- antérieur de l'hypophyse).
- Glande vésiculaire: les cellules bordent une vésicule ou
un follicule rempli de matériel amorphe, acellulaire ( ex :
thyroïde).
68
C.- Métaplasie.
Par transport actif: les cellules des tubules rénaux. Elles ont
besoin de l'énergie pour ce processus. Les ions les plus
importants pour la balance ionique sont le Na+ et K+.
VIII.- IMMUNOHISTOCHIMIE
A B
a a
a a
Figure 64: A, fibroblastes et
a a fibres collagens; B,
a
fibrocyte et fibres collagènes
a
a a
a a
a a
a
a
a
a
a
a2.- MYOFIBROBLASTES.
a
3.- CHONDROCYTES
4.- OSTEOBLASTES
5.- ADIPOCYTES
79
On trouve en plus
7.- MACROPHAGES.
8.- MASTOCYTES
9.- LEUCOCYTES
81
a.- Eosinophiles
b.- Basophiles
c.- Lymphocytes.
d.- Plasmocytes
B.- FIBRES
A B
a a
a a
a a
Figure
a 65: A, fibroblastes et
a fibres collagènes et
fines
a striations transversales;
a B, fibres collagènes
et
a striations transversales a
a a
a
a
a
a
a
a
a
83
Au microscope optique les fibres collagènes sont acidophiles ou
éosinophiles; elles se colorent en rouge avec l'éosine, bleu avec le
Trichrome de Mallory et en vert avec le trichrome de Masson. Les
principaux acides aminés composant le collagène sont : la glycine
(33,5 %), proline (12 %) et hydroxyproline (10 %) le reste est fait
d'autres acides aminés. C'est la seule protéine contenant beaucoup
d'hydroxyproline, de sorte que la quantité de collagène dans un tissu
peut être appréciée par la teneur en hydroxyproline. Le collagène
représente 30 % de toutes les protéines du corps. Les sous-unités
protéiques qui polymérisent pour former le collagène sont appelées
tropocollagène. Les fibres collagènes sont construites à partir des
précurseurs (chaînes ) assemblés pour former des structures
rigides linéaires en triple hélice, elles-mêmes assemblées en longs
filaments. Il y a au moins 20 types de chaînes qui se combinent
pour produire différentes formes de collagènes. Le collagène de
type I, II et III s’organisent comme une corde en fibrilles ; ce sont
les types principaux de collagène fibrillaires.
2.- LA FIBRILLINE
3.- LA FIBRONECTINE
- Laminine
- Entactine
- Ténascine
- Membrane Basale
- Stockage.
- Défense.
- Réparation.
- Transport.
90
Tissu lâche
régulier
Fibreux
dense irrégulier
T. adipeux
Tissu T. élastique
conjonctif à
Tissu Conjonctif propriétés T.hématopoïétique
spéciales (lymphatique et
T. muqueux
myéloïde)
T. conjonctif cartilage
de soutien os
A
a
a
Figure
a 69: fibroblastes et fibres collagènes
a
a
a
a
a
a
a
a
la sous-muqueuse
a de la paroi digestive et au niveau des capsules des
a
a
92
organes tels que la rate. Le collagène du tissu fibreux régulier est
arrangé selon une orientation définie. Les tendons représentent ce
type de tissu. Le collagène s'y dispose en bandes parallèles séparées
par une petite quantité de substance amorphe et enveloppée par le
tissu conjonctif lâche contenant vaisseaux et nerfs.
Extérieurement le tendon est entouré d'un manchon de tissu
conjonctif dense fait de 2 couches dans certains tendons, les 2 couches
étant faites des cellules squameuses mésenchymateuses. L'une des
couches est fixée au tendon et l'autre garnit les structures voisines et
entre les 2 se trouve une cavité contenant un liquide lubrifiant
similaire à la synovie et permettant un glissement facile du tendon.
Il est fait des bandes des fibres élastiques épaisses avec une
petite quantité de tissu fibreux lâche autour de chacune d'elles. Entre
les fibres élastiques on note des fibroblastes aplatis semblables à ceux
du tendon. L'abondance des fibres élastiques confère au tissu une
couleur jaune et une grande élasticité. On le retrouve dans les
ligaments de la colonne vertébrale et les ligaments suspenseurs du
pénis.
A
Figure
a 71: A, fibroblastes Baet fibres collagens et
élastiques
a a
a a
a a
a a
a a
a a
a
a
réticulaires.
a
a
Les cellules y sont principalement les fibroblastes. Le
tissu
a myxoïde est le composant principal du cordon ombilical et est
a
appelé
a gelée de Whartin. Il se rencontre aussi dans la pulpe d'une
dent jeune.
b.- Histophysiologie
a.- Histologie
97
Ses cellules sont polygonales et plus petites que celles du
tissu adipeux uniloculaire. Leur cytoplasme contient de nombreuses
gouttelettes de lipide de taille variable et nombreuses mitochondries
sphériques avec longues crêtes occupant leur largeur.
Le r. endoplasmique rugueux ou lisse n'est pas abondant. Ce
tissu ressemble à une glande endocrine parce que ses cellules
prennent une disposition épithéliale des cellules empaquetées,
associées aux capillaires sanguins. Il est subdivisé par du tissu
conjonctif en lobules bien plus délimités que dans le tissu adipeux
uniloculaire.
b.- Histophysiologie
F.- LE CARTILAGE
A B
a a
a
Figure 74: A et B cartilage a
hyalin
a a
a a
a a
a a
99
a.- Périchondre
b.- Chondrocytes
c.- Fibrocartilage
B
a
Figure
a 76: A,fibrocartilage et
B, fibres
a collagènes(flèche
a
bleue) et matrice conjonctive
A a
a (flèche
a rouge)
a a
a Les chondrocytes sont similaires à ceux des types précédents.
Sa matrice
a
a est acidophile à cause de la présence d'une abondante
quantité
a
a
de collagène. Les chondrocytes sont souvent disposés en
colonnes.
a
a
a
a
2.- Histogenèse
a
a
a
Le cartilage dérive du mésenchyme.
3.- Croissance
4.- Régression
A la différence des autres tissus conjonctifs, le cartilage est
fréquemment soumis à des processus dégénératifs dont le plus
fréquent est la calcification de la matrice précédée de l'augmentation
de volume des chondrocytes suivie de leur mort. La calcification
survient normalement dans certains cartilages dans le processus
normal d'ossification.
5.- Régénération
A l'exception des enfants, le cartilage des adultes régénère
difficilement et souvent incomplètement.
103
G.- L'OS
Durant l'évolution, la protéine de structure de base, le
collagène subit des modifications à des degrés variables de rigidité,
élasticité et de longueur selon les influences environnementales et les
fonctions requises par l'organisme.
L'os est l'un des tissus les plus durs de l'organisme. En tant
que principal constituant du squelette, il supporte les structures
charnues, protège les organes vitaux tels que ceux contenus dans la
boîte crânienne et le thorax et renferme la moelle osseuse, l'usine des
cellules sanguines. En dehors de ces fonctions, les os forment un
système de leviers qui multiplie les forces générées par la contraction
des muscles striés.
B
a
a
a
A a
a a
a a
a a
a Figure 77: A, os long: épiphyse
a et diaphyse; B, vascularisation
a de l’os
a
a
a
a
a
a
a
a
104
L'os est composé d'un matériel intercellulaire calcifié, la matrice
osseuse ou l’ostéoïde et de différents types de cellules : les
ostéocytes logés dans les lacunes de la matrice, les ostéoblastes qui
synthétisent les composants de la matrice osseuse et les ostéoclastes,
qui sont des cellules géantes impliquées dans la résorption et le
remodelage de l'os.
a.- Ostéoblastes
A B
a a
Figure
a 78: A et B, trabéculesa osseuses, ostéoblastes
a
tout a ostéocytes (flèches
autour (flèches bleues)et
a a
rouges)
a a
a a
a a
a
a
a
a
a
a
a
105
b.- Ostéocytes
c.- Ostéoclastes
a.- Os primaire
b.- Plasticité
7.- ARTICULATIONS.
a.- Synarthrose
1).- Synostose :
Les os sont unis entre eux par du tissu osseux. Pas de mouvement
possible.
ex. les os du crâne.
2).- Synchondrose
Les os sont unis par du cartilage hyalin, mouvement limité: les
côtes sont attachés au sternum par le cartilage hyalin.
3).- Syndesmose
Quelques mouvements sont possibles. Les os sont unis par du
tissu conjonctif. Ex. l'articulation tibiofibulaire inférieure
(tibiopéronière).
b.. Diarthroses
115
Ce sont les articulations unissant généralement les os longs et
à grande mobilité.
116
CHAPITRE 4. TISSU MUSCULAIRE
A B
a a
a a
Figure
a 89: A, un sarcomère montrant
a les filaments
minces
a d’actine occupant l’hémibande
a I et se
a
prolongeant dans la bande I eta les filaments épais
a a
de
a myosine dans A; B, 6 filaments
a minces d’actine
autour
a d’un filament épais de myosine
a
a
a
a
a
a
A B
a a
a a
Figure
a 92: A, un sarcomère montrant
a les filaments
minces
a d’actine occupant l’hémibande
a A et se
a
prolongeant dans la bande I eta les filaments épais
a a
de
a myosine dans I; B, 6 filaments
a minces d’actine
autour
a d’un filament épais de myosine
a
a
a
a
a
a
Myofilaments fins
Myofilaments épais
Protéines accessoires
Contraction
A B
a a
a a
a a
a a
a a
a a
a a
a
a
a
a
a
a
a
Figure 95: A et B, myofibres cardiaques
ramifiées et anastomosées et C, fibres de
PurkinjeC montrant un centre clair
a
a
a
a
a
a
a
A B
a a
a a
a a
a a
Figure
a 96: A, coupe longitudinale
a des myofibres
a
lisses ; B, coupe transversaleaa des myofibres
a
lisses
a
132
IV.- REGENRATION
I.- NEURONES.
Dendrites
Noyau
Soma
Axone
B
a
A Bouton terminal a
a a
a a
a a
Figure
a 99: A et B, Schéma d‘un neurone
a
a a
a
a
a
a
a
a
a
a
a
136
Figure
B 100: A, Différents types
de
a neurones et B, neurone
associé
a à la névroglie
a
a
a
a
a
A
musculaires
a et en neurones sensitifs impliqués dans la réception des
a
stimuli
a sensoriels (sensitifs) venant de l'environnement et de
l'intérieur
a
a
du corps. Les inter-neurones établissent les relations entre
les aautres neurones pour former des chaînes fonctionnelles ou circuits
a
complexes.
a
a
a
a
a
a
a
138
Dans le SNC, les corps des cellules nerveuses sont localisés
seulement dans la substance grise. La substance blanche comprend
les prolongements et non les péricaryons.
1.- Noyau
4.- Mitochondries
6.- Inclusions
B.- Dendrites
D.- Synapses
B
A a
a a
a a
Figure 102: A, schéma ad’une synapse et B, une
a
synapse
a vue au microscope
a électronique montrant de
nombreuses
a a
vésicules contenant le neurotransmetteur
a a
a
a
a
a
a
a
a
a
144
II.- LA NEVROGLIE
A.- Macroglie
1.- Astrocytes
Il y a 2 types d'astrocytes :
A B
a a
a a
Figure
a 104: Névroglie comprenant les a astrocytes
a a
a a
a a
a a
a
(flèches
a bleues) et oligodendrocytes (flèches rouges)
a
147
2.- Oligodendrocytes
B.- Microglie
Cellules épendymaires
Canal épendymaire
A B
a a
a a
a a
a a
a a
a a
a a
a
a
a
a
a
a
a
E
a
C a
a a
a a
a a
a a
a a
a D
a a
a a
a a F
a a a
a a a
Figure
a a 106: A, entrée d’un axone dans aune
gouttière
a a d’une cellule de Schwann, B aaet C,
a
enroulement du cytoplasme, D, nœud de aRanvier
a
(flèche
a bleue), E et F, la myéline vuea au
microscope
a électronique
a
a
a
153
Axone
Cellule de
Schwann
Noyau
teneur en myéline. Le stroma d'un nerf est fait d'un tissu fibreux
dense, la coque externe, l'épinèvre qui remplit aussi l'espace entre les
paquets des fibres nerveuses. Chaque paquet de fibres est entouré
par le périnèvre fait des fibroblastes épithélioïdes. Le périnèvre
enveloppe un paquet de fibres enveloppées chacune par son
endonèvre fait d'un feuillet de tissu fibreux lâche.
B
a
A a
a a
Figure
a 110: Troncs nerveuxa recouverts par
l’épinèvre
a a
a a
156
C.- Distribution.
- Ganglions Autonomes
VII.- MENINGES.
HEMATOPOIESE
Figu
lign
172
A.- Morphologie.
Les globules rouges ou érythrocytes sont des cellules
anucléées, dépourvues d'organites, ils contiennent un pigment
respiratoire, l'hémoglobine.
B.- FONCTION.
A.- Morphologie.
B.- Origine
Les plaquettes sanguines proviennent des mégacaryocytes.
Les mégacaryo-cytes sont des cellules géantes de la moelle osseuse.
178
Elles ont un diamètre de 50 ou de plus de 100 microns, un noyau
multilobé, un cytoplasme finement granulaire et légèrement
basophile. Le morcellement du cytoplasme commence par la
formation des traînées de vésicules. Celles-ci, par coalescence
délimitent des canalicules membranaires qui fusionnent entre eux et
avec la membrane plasmique. Le cytoplasme est ainsi subdivisé en
fragments qui se libèrent et forment les plaquettes sanguines.
C. Fonction
Les plaquettes interviennent dans l'hémostase et libèrent la
sérotonine et l'histamine. Lors d'une lésion de la paroi d'un vaisseau
sanguin, les plaquettes adhèrent aux fibres collagènes mises à nu et
s'empilent les unes sur les autres de façon à colmater la brèche. Cet
agrégat plaquettaire est le thrombus blanc ou clou plaquettaire, qui
interrompt le saignement. Il se fait par l'intermédiaire de la s-
thrombosthénine du glycocalyx de la membrane plasmique. Il est
favorisé notamment par des phospholipides. Il s'agit des
phospholipides des membranes des organites (microsomes et
membranes internes des mitochondries) à partir desquelles se
forment des acides gras poly-insaturés précurseurs des
prostaglandines E (PGE). La prostaglandine E2 (PGE2), synthétisée à
partir de l'acide arachidonique stimule l'agrégation plaquettaire. La
prostaglandine E1 (PGE1), synthétisée à partir de l'acide dinome-
gamma-linolénique, est in vitro, un puissant inhibiteur de
l'agrégation plaquettaire, induite par l'addition d'adénosine
disphosphate.
La formation du clou plaquettaire résulte donc de l'équilibre des
effets antagonistes des PGE2 et PGE1. Notons que les acides
arachidonique et dinone-gamma-linolénique sont des acides gras
179
essentiels fournis par l'alimention et stockés sous forme de
phospholipides membrannaires.
La barrière à l'hémorragie constituée par le thrombus blanc est
ensuite consolidée par l'apparition d'un réseau de fibres de fibrine.
La fibrine est un polymère fibrillaire, elle provient d'une chaîne de
réactions biochimiques qui débute par l'activation de la
thrombokinase, libérée par les plaquettes et les tissus lésés. Il en
résulte un réseau de fibrine, qui emprisonne dans ses milles les
plaquettes, les globules blancs et les globules rouges; cet ensemble
forme le caillot rouge. Dans ce réseau, les plaquettes émettent des
longs pseudopodes filamenteux. Ceux-ci se contractent et entraînent
les fibres sur lesquelles ils s'appuient : c'est la rétraction du caillot.
Les plaquettes accumulent et véhiculent l'histamine et la
sérotonine. Ces substances jouent un rôle dans certains processus
comme l'inflammation et l'allergie. Elles agissent notamment sur les
muscles lisses de la paroi des vaisseaux du tube digestif et de
l'appareil respiratoire. Parmi les effets de l'histamine, citons le
relâchement des muscles lisses vasculaires et la contraction des
muscles lisses non vasculaires. La sérotonine provoque la contraction
des muscles lisses non vasculaires (contraction des bronchioles et
augmentation du péristaltisme, elle augmente la perméabilité
capillaire; ces effets sur les muscles lisses de la paroi des vaisseaux
sanguins entraînent: - la rougeur; - la tumeur; - la douleur et la
chaleur; il s'agit d'un mécanisme général aspécifique.
A.- Neutrophiles
1.- Morphologie.
3.- Fonctions
B. EOSINOPHILES.
1.- morphologie.
2.- Origine
3.- Fonctions
C. LES BASOPHILES.
a.- Morphologie
A B C
b.- Origine
b.- Origine
L'origine des mastocytes est mal connue. Pour les uns, les
mastocytes dérivent des basophiles sanguins après leur migration
dans les tissus sanguins. Pour d'autres, ils n'ont aucun rapport avec
les basophiles et dérivent soit d'un lymphocyte, soit d'un monocyte,
soit d'une cellule mésenchymateuse.
c.- Fonction
a.- Morphologie
b. Origine
L'origine des cellules phagocytaires mononucléées est
longtemps restée obscure. Selon la théorie la plus ancienne, l'aspect
de macrophage ne serait qu'un état acquis au cours de la
"transformation histiocytaire" par divers types cellulaires, tels les
fibroblastes, les lymphocytes, les monocytes, les cellules
endothéliales, les cellules réticulées...
Les techniques de marquage des cellules à la thymidine tritiée
et les cultures de la moelle osseuse ont prouvé que les monocytes
sanguins sont les seuls précurseurs des macrophages tissulaires. Les
monocytes dérivent des prononocytes, formés à partir de
l'hémocytoblaste de la moelle osseuse.
194
* LES LYMPHOCYTES.
196
- Morphologie.
- Durée de vie.