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Untung-untung
22 mars 2014
Les garçons, levés très tard par rapport à l'ordinaire, discutent et sont passés en 10
minutes des explications cosmogoniques à l'exploration des déséquilibres de chaîne
alimentaire. Moi, réveillé depuis 4 h du matin, j'ai déjà lu 75+150 pages, vaqué à diverses
tâches, traduit une page, et ils m'épuisent.
22 mars 2016
Ce matin, j'ai traduit au débotté un bref poème de Nougé, pour rendre hommage, à ma
façon, aux victimes des attentats de Bruxelles. La vidéo, montée depuis 10 h 30, n'a pas
encore pu être téléchargée (complications ici). Pas mis les pieds à Bruxelles depuis 1998,
alors que mes parents y sont allés des dizaines et des dizaines de fois depuis lors (mon
père y ayant même travaillé entre 2010 et 2015).
Souvenir vif, heureux et poignant des Spilliaert bruxellois.
15:20 Publié dans Brille de mille yeux, Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)
2 mars 2016
Ces autoportraits délibérément déformés par un geste vif du bras au moment de
se selfier, que je nomme bacons, sont devenus plus occasionnels. Hier soir, j'ai essayé de
me photographier en train de faire cuire des saucisses. Vous imaginez le tableau...
10:06 Publié dans Brille de mille yeux, Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)
Ces grands lézards ont l'air complètement idiot, qui chevauchent une carapace de tortue.
13:45 Publié dans Artois, à moi, Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0)
L'article était illustré d'une photo de steak frites, avec une légende plus cocasse encore
que l'article lui-même :
Un bout de viande fatal
« Ce n’est pas avec des emprunts, c’est avec des épargnes que la compagnie a
pu se créer un port en 1828, un chemin de fer en 1835 ; c’est encore au moyen de ses
épargnes qu’elle va compléter ses lignes rapides par un embranchement qui rejoindra le
réseau belge à Peruwelz, sur la frontière, en continuant le tronçon de 19 kilomètres qui lui
donne par Somain une issue sur le réseau français. »
14:57 Publié dans Artois, à moi, Brille de mille yeux, Droit de cité | Lien permanent | Commentaires
(0)
(Toujours pour l'humidité piquante, les printemps hésitants, l'eau partout dans les yeux, il
y aura bientôt dix ans et nous n'avons pas remis les pieds, what a shame, dans la Brenne.)
08:45 Publié dans Artois, à moi, Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0)
Un chat s’est glissé derrière la fenêtre de mon bureau, rue des Tanneurs.
Son vieux cuir épais n’a dupé personne. Il a cliqué sur le déclencheur, et voilà une autre
vue, un jour de Saint Valentin. Du grand n’importe quoi.
14:26 Publié dans Brille de mille yeux, Droit de cité | Lien permanent | Commentaires (0)
Enfants, nous faisions tout un plat des demi-années. Mes fils, aussi, sont à un jour près, et
me corrigent quand je leur attribue, pour aller vite, devant des tiers, l'âge qu'ils auront
dans un mois ou deux semaines. Et, il y a huit jours, j'ai saisi le plus abstrait (si je ne
m'abuse) de tous mes autoportraits tremblés (regroupés sous l'étiquette de bacons).
Le masque est devenu une traînée de lumière dans l'obscurité :
MELAN!COLIE!
Ce que ne connaît pas la terreur, c'est la vérité de ce qu'elle redoute.
Si j'atteins le double de mes ans, je soufflerai 77 bougies.