Explorer les Livres électroniques
Catégories
Explorer les Livres audio
Catégories
Explorer les Magazines
Catégories
Explorer les Documents
Catégories
On a souvent tendance à confondre Web 2.0 et réseaux sociaux. Le Web 2.0 est une sorte d’auberge
espagnole regroupant un grand nombre d’innovations d’ordre technique et sociologique : les
internautes prennent la parole et, d’une certaine manière, le pouvoir.
Si les réseaux sociaux ne représentent qu’une infime partie du Web 2.0, ils en constituent pourtant
un des éléments essentiels et des plus populaires auprès du grand public.
De nos jours, les réseaux sociaux connaissent une apogée et ils s’apparentent à de véritables plates‐
formes de conversion sociale et de diffusion de contenu.
La question est de savoir comment nous allons les utiliser pour :
Promouvoir notre marque ;
Faire connaître nos produits et nos services ;
Développer des réflexes de mémorisation et de fidélisation ;
Provoquer des ventes ou susciter des pistes de vente.
Dans cette optique, les sites de réseautage social permettent de :
Créer des sites web à part entière ;
Mettre en ligne des profils dédiés qui vont nous aider à atteindre nos objectifs ;
Créer des outils à installer sur nos sites ou, directement, « chez l’internaute » ;
Créer des communautés qui fonctionneront de manière (presque) autonome.
De fait, ils favorisent une relation de proximité qui viendra renforcer notre « effet de marque ».
Est‐ce que les réseaux sociaux font partie du marketing transactionnel ou du marketing relationnel ?
C’est toute la particularité de ces drôles de médias, de favoriser de nouvelles conversions, comme de
jouer sur cet effet diffus lié au « Branding » (le « pouvoir de la marque »).
Voici une visite guidée de 15 stratégies à mettre en place de toute urgence en 2011 !
2
1/ Trouver de nouveaux clients avec les FanPages de FaceBook
« Les FanPages : rendez vos marques désirables »
Le but est de développer notre base de prospects comme de fidéliser les internautes qui sont
« fans » de notre marque et de nos produits.
Un certain nombre de questions doivent être posées :
Quelles sont les différences entre les profils, les groupes et les FanPages ?
Quelles sont les attentes des internautes vis‐à‐vis des FanPages ?
Comment animer efficacement une FanPage ?
3
Un profil présente un grand nombre de restrictions dont, principalement, l’inconvénient que nous ne
pouvons pas le personnaliser.
C’est le même reproche que nous pourrions faire au système des groupes bien que ces derniers
possèdent une particularité : nous pouvons envoyer un message à l’ensemble des fans…
Ils en seront prévenus par email. En bref, un groupe convient parfaitement à la défense d’une cause
ou à la création d’une communauté centrée autour d’une idée ou d’une thématique favorisant les
échanges entre les membres.
Si 1,5 millions d’entreprises étaient présentes sur Facebook en 2010, 55,77% des internautes sont
fans d’au moins une page consacrée à une marque :
38,40% sont fans parce qu’ils sont clients ;
30,80% sont fans pour les offres ;
20,20% sont fans parce qu’ils recherchent des informations ;
10% sont fans parce qu’ils aiment la marque.
Quelles sont alors les annonces qui suscitent le plus d’interactions de la part des « Facebookers » ?
D’après notre expérience, nous pouvons, principalement, en distinguer quatre à cinq :
Les actualités liées à la société et qui ont un rapport avec les thématiques sur lesquelles elle
souhaite se mettre en avant ;
Les histoires qui sortent de l’ordinaire et qui provoquent des réactions fortes de la part des
internautes ;
Les demandes de feedbacks (« Que pensez‐vous de notre nouvelle collection de
vêtements ? ») ;
Les dispositifs qui permettent aux internautes d’envoyer leur propre contenu (multimédia,
par exemple) ;
Les promotions autour des nouveaux produits et les offres dédiées aux fans.
Notez que l’espace privilégié pour échanger et converser avec nos fans est bien le mur… Et que toute
la difficulté est de pouvoir réagir rapidement (nous sommes dans l’instantanéité) et de modérer
(toujours en temps réel) les messages qui s’écartent des règles édictées par la société.
L’entreprise, au travers des FanPages, devra donc trouver un juste milieu entre « communication de
marque » et publications relationnelles…
En conclusion, les fans attendent que la marque prenne en compte leurs observations, réponde à
leurs questions et sollicite leur avis.
L’important est de bien comprendre que Facebook s’apparente maintenant à une véritable
plateforme de création de mini‐sites puisque nous pouvons :
4
Personnaliser l’adresse URL de notre FanPage ;
Modifier l’ordre des onglets ;
Créer de véritables pages web avec, par exemple, des systèmes de menus ;
Ajouter du contenu multimédia comme des photos ou des vidéos ;
Importer dynamiquement le contenu de notre site web directement sur la FanPage ;
Définir qu’elle sera la page d’entrée du site et susciter des adhésions supplémentaires
(« J’aime ») ;
Organiser des jeux‐concours ou offrir des coupons de réduction ;
Créer des boutiques en ligne (le « F‐Commerce ») ;
Favoriser des abonnements à notre newsletter ;
Envoyer des messages aux fans ;
Faire de la publicité autour des évènements que nous organisons ;
S’inviter sur les profils des internautes ;
Mettre en avant un blog ou un profil sur Twitter ;
Suivre les statistiques d’interactions entre nos pages et les internautes ;
Afficher le nombre de visiteurs envoyés sur notre site ainsi que leur comportement d’achat.
5
Tout l’intérêt des FanPages est qu’elles permettent de jouer sur l’effet magique de la première
impression (le « Wow! Effect ») et de susciter un sentiment d’adhésion chez l’internaute.
6
2/ Utiliser Facebook pour drainer du trafic
7
L’objectif est de tirer partie du fait que :
Facebook est aussi un moteur de recherche extrêmement utilisé ;
Les internautes saisissent, dans Facebook, les noms des sociétés qu’ils connaissent ou des
produits et des services dont ils ont besoin ;
Les internautes s’attendent à retrouver sur Facebook des offres qu’ils ne trouvent pas
ailleurs.
Ce moteur de recherche est particulier puisqu’il ne se base pas sur des algorithmes mais, pour ainsi
dire, sur des données issues de la vie réelle. Les résultats sont ajustés en fonction de l’historique de
chacun des utilisateurs.
Il faut donc susciter des interactions avec nos pages afin d’être le mieux placé dans ces sortes de
« Serps bis » (« Search Engine Results » ou « Résultats des pages de résultats »). Et, c’est toute la
difficulté d’être bien positionné sur un service qui tient, à la fois, des moteurs de recherche
personnalisés et de la recommandation sociale.
Facebook propose une fonctionnalité extrêmement efficace pour faire connaître notre FanPage : le
bouton « J’aime ». En bref, dès qu’un internaute aime une FanPage, son réflexe d’adhésion sera
mentionné dans son fil d’actualités ainsi que dans ceux de ses amis.
8
Par exemple, l’internaute devra aimer un élément de notre mini‐site sur Facebook pour avoir accès à
un code promotionnel ou pour afficher du contenu réservé aux « privilégiés ».
Quelles sont alors les bonnes tactiques à employer pour inciter les internautes à « Liker » notre
FanPage et bénéficier, par la même, de l’effet « Boule de neige » propre aux réseaux sociaux ?
Du contenu réservé aux fans ;
Des offres promotionnelles ;
La participation à un jeu concours ;
Des vidéos des coulisses ;
Des invitations à assister à des avant‐premières ;
Des fichiers à télécharger ;
L’inscription à une newsletter ;
Etc.
9
Une fois qu’ils ont interagi avec notre FanPage :
72 % déclarent avoir au final une pensée plus positive de la marque ;
71 % indiquent qu’ils pourraient être plus enclins à acheter cette marque ;
66 % précisent qu’ils se sentent plus fidèles à la marque ;
63 % ont invité d’autres personnes à les rejoindre (http://www.umww.com 2010).
Nous sommes dans l’ère de la socialisation des marques : messagerie instantanée, partage d’images
et d’informations, tout s’effectue à partir d’un même espace dédié : la FanPage.
10
3/ Convertir des prospects avec Facebook
« Un internaute qui s’inscrit, c’est un internaute qui s’engage. Et un
internaute qui s’engage, c’est quelqu’un qui achète »
Tout d’abord, voici quelques chiffres communiqués, en 2010, par Facebook :
Chaque mois, plus de 60 millions d’internautes utiliseraient Facebook Connect ;
Les sites qui ont implémenté Facebook Connect ont enregistré entre 30% et 300%
d’inscriptions en plus.
L’objectif est de favoriser, sur notre site, l’engagement des utilisateurs, d’utiliser les
recommandations faites par les communautés d’amis et de l’enrichir en se servant d’un levier
marketing bien connu : la preuve des amis (« le bouche à oreille numérique »)…
C’est une chose d’afficher les avis des internautes, s’en est une toute autre (et beaucoup plus
efficace) de montrer ce que vos proches ont vu et aimé sur notre site.
Le but est aussi de prolonger leurs visites, de les fidéliser et d’augmenter la valeur moyenne de leur
panier d’achat.
Quels sont les avantages de Facebook Connect ?
Nous utilisons gratuitement les outils faisant partie du « Social Graph » de Facebook ;
Sa facilité d’implémentation fait qu’un bouton Facebook Connect s’installe très rapidement ;
Nous récupérons, pour notre compte, la puissance de feu offerte par les réseaux sociaux.
En bref, nous sociabilisons notre site web…
Le mécanisme de Facebook Connect est simple à comprendre :
11
Les internautes se connectent sur notre site en utilisant leurs identifiants Facebook (le « Moi
social ») ;
La procédure d’inscription est simplifiée et donc plus efficace…
Il est possible d’enrichir l’expérience utilisateur en utilisant les informations sociales fournies
par Facebook (le « Web augmenté ») ;
Les internautes peuvent voir les produits ou les pages qui ont particulièrement intéressé
leurs amis (le « Social Shoping »).
C’est le propos du site « Lévis » aux États‐Unis : une fois que le visiteur a décliné son identité
Facebook, il peut explorer les articles que la communauté ou, plus particulièrement, ses amis ont
appréciés.
12
La multinationale a bien compris un des paradoxes du Web : bien que l’on surfe seul sur Internet,
nous avons besoin d’être encouragés dans nos achats en simulant une expérience collective…
C’est le propos de la preuve humaniste : « Qui a déjà fait les mêmes choses que je désire faire pour
que je puisse me décider à les faire ? ».
De fait, ce sont les internautes qui deviennent les ambassadeurs de nos marques…
13
De fait, les internautes sont plus enclins à effectuer des transactions à partir du moment où nous leur
facilitons la tâche et nous leur proposons une expérience personnalisée.
Un point qui mérite d’être souligné : les sites utilisant Facebook Connect ont vu les interactions
utilisateur augmenter de 15 à 100%.
Mais, ce n’est pas le principal intérêt de Facebook Connect !
Lors de la procédure d’inscription, nous pouvons paramétrer les autorisations que l’utilisateur va
nous accorder :
Récupérer son adresse email ;
Obtenir ses noms et prénoms ;
Publier sur son mur ;
Accéder à sa liste d’amis ;
Afficher ses centres d’intérêts ;
Etc.
14
Bien entendu, tout est question de juste mesure mais les informations que nous allons en retirer
seront forcément passionnantes pour le Marketeur qui sommeille en chacun de nous !
Facebook Connect fait partie intégrante d’une stratégie qui vise à augmenter le taux de conversion
de notre site web et à prolonger les visites des internautes : nombre de pages vues et temps moyen
passé sur le site.
15
4/ Facebook : un outil de marketing viral
« La meilleure des publicités, c’est celle que nous font les internautes »
Facebook a révélé, en juillet 2010, que plus de 65 millions d’utilisateurs Facebook utilisaient, chaque
jour, le bouton « J’aime ».
Ce Widget (une sorte de gadget en ligne) a ceci de particulier : ce sont les internautes qui s’occupent
de faire connaître nos marques, nos services et nos produits.
Il fait aussi partie des fonctionnalités proposées par l’« Open Social Graph » de Facebook.
Les internautes se dévoilent pour mieux se mettre en avant (adhésion à l’offre) ;
Notre contenu est visible sur leurs profils Facebook (diffusion de l’offre) ;
Cette propagation du contenu entraîne des visites de prospects qualifiés (viralisation de
l’offre) ;
Ces visites suscitent de nouvelles conversions et leur nombre croît de manière exponentielle
(encore l’effet boule de neige).
Le bouton « J’aime » peut être implémenté sur l’ensemble des pages d’un site Web
16
Mais rien n’empêche de changer le texte de votre bouton et d’en faire, par exemple, un bouton
« Recommander » :
De la même manière, nous pouvons afficher un Widget qui montrera aux « Facebookers » le contenu
soumis par la communauté ou leurs amis.
Il est aussi possible d’installer, sur notre site web, une « Like Box ». Ainsi, les internautes verront :
Combien d’utilisateurs Facebook aiment déjà notre FanPage et, parmi eux, lesquels de leurs
amis ;
Les messages que vous avez laissés sur notre FanPage.
Par ailleurs, ils pourront aimer notre FanPage sans quitter notre site et, pour ainsi dire, à distance.
17
Enfin, le bouton « J’aime » peut être directement intégré aux différents blocs qui composent une
FanPage :
Vous l’avez déjà compris : le bouton « J’aime » est une composante essentielle d’une stratégie e‐
marketing…
18
5/ Favoriser la diffusion de votre contenu
« Partager pour mieux susciter le partage »
Le Widget « Facebook Share » permet également de partager un élément présent sur une page. Son
intérêt est que nous pouvons décider de l’apparence de la miniature qui sera visible sur les profils
Facebook des internautes qui ont cliqué dessus, ainsi que du contenu de cette « Box ».
Plus nous donnons aux internautes des choses à faire, plus ils auront envie de s’engager avec notre
marque, nos produits et nos services… Nous avons instauré une relation de confiance parce que nous
avons mis en place des leviers d’action.
Il existe plein d’autres Widgets Facebook…
Les commentaires Facebook qui vont permettre aux internautes de commenter nos pages
web et de les publier sur leur mur (« Wall ») ;
Le Widget « Activités récentes » qui va afficher l’ensemble des interactions sociales entre les
internautes et notre site : clics sur les boutons « J’aime » et « Partager » ;
Les « Live Stream » qui offrent la possibilité aux internautes de partager leurs commentaires
et leurs activités. C’est un bon complément à la diffusion en temps réel – sur notre site ou
notre FanPage – de vidéos de concerts, de conférences, de Webcasts (vidéo conférence) ou
de « Big Games » (jeu à plusieurs).
19
Voici un autre exemple d’implémentation du bouton « Partager » :
Ce style de bouton permet, outre de partager du contenu sur Facebook, de le faire connaître sur
Twitter… En bref, de faire d’une pierre, deux coups !
Il existe d’autres genres de barres sociales qui fonctionnent comme de véritables outils de création
de valeur ajoutée :
Les internautes pourront se connecter en utilisant leurs identifiants Facebook, Google,
Twitter, Yahoo!, LinkedIn, Windows Live ou MySpace ;
Ils offrent une vision globale de notre audience et du profil des utilisateurs de notre site ;
Ils présentent des statistiques détaillées des interactions entre les visiteurs et le contenu de
notre site web ;
Ils permettent d’ajouter des modules comme un sondage en ligne, des commentaires en
temps réel, un formulaire d’inscription à une newsletter, etc.
Nous pouvons adapter le contenu de notre site web en fonction des préférences des
utilisateurs.
20
Enfin, le bouton « Partager » peut être directement intégré à un des blocs de notre FanPage…
21
6/ Se faire connaître avec les publicités Facebook
« Cibler vos prospects pour augmenter votre ROI »
Le ROI (« Return Over Investment » ou « Retour sur investissement ») est la pierre angulaire de notre
stratégie marketing…
Les « Facebook Ads » sont des sortes de Flyers qui permettent de faire de la publicité auprès de
populations d’internautes soigneusement ciblées.
Cette plate‐forme fonctionne dans une complémentarité entre publicité et viralité. En effet, 39% des
internautes arrivent sur une FanPage en cliquant sur une publicité de la marque tandis que 29 %
d’entre eux y arrivent parce qu’ils ont été invités par un ami.
Ce type de publicité qui, bientôt, utilisera les possibilités offertes par la géolocalisation, présente de
nombreux avantages :
Développer sa notoriété sans payer au nombre d’affichages mais au coût par clic ;
Communiquer auprès des millions d’internautes français qui sont inscrits sur ce réseau ;
Profiter d’un CPC (« Cost Per Click » ou « Coût par clic ») qui, souvent, est bien plus bas que
sur la plupart des autres supports ;
Développer la popularité d’une FanPage ou faire connaître une offre promotionnelle.
22
Les objectifs sont multiples :
Cibler les internautes par langue et par localisation géographique ;
Cibler nos visiteurs en fonction de leurs centres d’intérêts ;
Filtrer les prospects selon les pages qu’ils ont aimées ;
Ne retenir que certains profils sociodémographiques ;
Recruter des futurs collaborateurs en fonction de leur poste actuel ;
Etc.
Il n’est pas si facile de créer des annonces Facebook qui soient efficaces :
Quelles sont les bonnes techniques de « Copywriting » ?
Quels sont les outils qui permettent de segmenter notre audience ?
Comment créer des annonces qui enregistrent un nombre important de clics ?
Faut‐il rediriger les internautes vers notre FanPage ou vers un site externe ?
Quelle corrélation existe entre le CTR (pourcentage de clics par rapport au pourcentage
d’impressions) et le coût par clic ?
Faut‐il favoriser les clics sur les boutons « j’aime » qui sont visibles sous les publicités ?
Comment diminuer le coût au clic des annonces ?
Comment tester différentes versions d’annonces ?
Une fois que l’on a parfaitement maitrisé les « Facebook Ads », ces derniers sont une excellente
manière de mettre un pied dans l’univers Facebook et de lancer une FanPage. Mais c’est aussi un
excellent outil pour « chiper » des prospects à nos concurrents.
23
7/ Communiquer auprès des « Early Adopters »
« Twitter : le couteau suisse des réseaux sociaux »
Nous avons vu précédemment qu’un des intérêts des réseaux sociaux était de retrouver nos
prospects là où ils étaient… Un autre problème est de savoir si notre cible utilise Twitter et si elle est
constituée de ces « utilisateurs précoces ». La réponse est, souvent, oui…
D’après une étude menée par Nielsen en 2010, Twitter touche un peu plus de deux millions
d’internautes français ;
On estime qu’en 2011, entre 10 et 15 % d’internautes francophones utiliseront Twitter ;
L’âge moyen des utilisateurs est de 31 ans (majoritairement urbains et mobiles).
Twitter peut être utilisé comme :
Système de veille concurrentielle et de « Social Media Monitoring » ;
Outil de « Live Blogging » lors de conférences ou d’évènements particuliers ;
24
Application de messagerie mobile ;
Outil de promotion des produits ou des services commercialisés par une société ;
Outil de « Personal Branding » pour, par exemple, un chef d’entreprise ;
Vecteur de lancement d’un produit via une campagne de « Buzz marketing » ;
Tremplin pour animer un « Location Game » (jeu utilisant la géolocalisation) ;
Passerelle entre mondes réels et mondes virtuels : c’est le principe des Twunchs ;
Application de « Feedback » ou de communication en temps réel avec les clients.
Mais, tout d’abord, comment fonctionne Twitter ?
Le principe est d’envoyer des messages faisant moins de 140 caractères : ce sont les Tweets…
Il existe quatre sortes de Tweets :
Ceux qui peuvent être envoyés automatiquement via des flux RSS, lors de, par exemple, la
mise à jour d’un blog…
Ceux qui sont envoyés manuellement pour partager une information trouvée sur Internet ;
Ceux déposés, en exclusivité, sur Twitter pour offrir une promo réservée à notre
communauté, proposer un sondage, poser des questions…
Les Retweets qui consistent à partager un Tweet déjà existant en, éventuellement, le
complétant par une appréciation personnelle.
25
Comment développer notre communauté sur Twitter ?
Le principe est de suivre des internautes qui, en échange, vont nous suivre… Et, de fil en aiguille, le
groupe de personnes que nous suivons et ceux qui nous rendent la monnaie de la pièce va croître de
manière exponentielle.
En ce sens, Twitter est réellement un service de réseautage social.
Parlons maintenant d’une des particularités de Twitter : les Hashtags…
Au départ, les Hashtags sont des mots‐clés que l’on intègre à un Tweet afin d’en préciser le ou les
sujets qu’il traite. Par exemple, si nous « tweetons » une information concernant la société Google et
qui parle de référencement, nous allons ajouter ces Hashtags à notre Tweet : #google #seo.
Vous l’avez compris les Hashtags sont signalés en les faisant précéder du signe dièse.
Quelles sont les étapes de la création d’un compte Twitter ?
Renseigner de la manière la plus précise possible notre biographie ;
Choisir un avatar ou une photo de profil ;
Définir l’image d’arrière‐plan ;
Paramétrer les options de sécurité attachées au compte Twitter ;
Ajouter les amis que Twitter va aller récupérer à partir de nos différents comptes de
messagerie ;
Identifier les personnes les plus influentes dans notre secteur d’activité ;
Publier automatiquement des informations comme les billets de nos blogs ;
Mettre en place un système de présence et réfléchir aux offres que nous allons faire ;
26
Installer un outil qui permette de tweeter automatiquement les ressources qui nous ont
semblées intéressantes ;
Installer un client Twitter afin de gagner en temps et en efficacité ;
Mettre en place des liens vers notre profil Twitter, et ce à partir des différents comptes que
nous possédons sur les réseaux sociaux et de nos sites web.
Twitter est un outil efficace parce qu’il se prête à une multitude d’usages…
Le système des Hashtags permet de mettre en œuvre une véritable communication autour
de nos marques et de nos services ;
Nous devons maximiser les chances que nos tweets soient retweetés ;
Nous avons à apprendre comment susciter de l’engouement chez les internautes en leur
proposant du contenu « mémorable ».
27
8/ Du trafic vers notre site web avec Twitter
« Les réseaux sociaux : entre acquisition et fidélisation »
Twitter est, pour les marques, une façon d’engager la conversation avec ses clients. Le principe est de
suivre nos prospects là où ils sont :
Sur ce site de réseautage social ;
Partout où ils vont en utilisant leur téléphone mobile.
Par exemple, certaines entreprises utilisent Twitter comme un « Call Center » déporté et un outil de
promotion de leurs produits ou de leurs services.
28
Mais Twitter permet aussi de constituer des bases de prospects importantes à partir du moment que
l’on a, sous la main, les outils adaptés :
Récupérer les profils des personnes qui suivent telle ou telle société ;
Filtrer les recherches en fonction des centres d’intérêt des utilisateurs ;
Envoyer des messages aux internautes qui s’intéressent à une gamme de produits en
particulier ;
Suivre et être suivi en retour par les habitants d’une région ou d’une ville en particulier ;
Repérer les utilisateurs les plus actifs en fonction de leur nombre de « suiveurs » ;
Sauvegarder des listes d’utilisateurs ciblés en fonction de leurs faits et gestes sur Twitter.
Une fois que nous aurons dressé notre liste des personnes à suivre, nous n’aurons plus qu’à les
contacter automatiquement (le logiciel s’occupe de tout) puis de vérifier qu’elles nous ont bien suivis
en retour.
Bien entendu et puisque nous pouvons personnaliser notre profil Twitter, il ne nous restera plus qu’à
vérifier que nos efforts de prospection ont été récompensés par une augmentation significative des
visites sur notre site.
29
Un client Twitter permet aussi d’automatiser un certain nombre de tâches :
Programmer un système de réponses automatiques ;
Créer un message de remerciement pour les internautes qui nous suivent ;
Planifier l’envoi de Tweets tout au long de la journée ;
Générer des Tweets à partir d’un flux RSS ;
Supprimer automatiquement les personnes que nous suivons et qui, en échange, ne nous
suivent pas.
En bref, Twitter est un excellent outil de prospection et donc une application complète de marketing
direct.
9/ Sociabiliser un site web
30
9/ Sociabiliser un site web
« Le Web 2.0 marque la fin des contenus statiques : le site web, c’est le hub »
Nous avons vu les possibilités offertes par les boutons « J’aime » et « Partager » de Facebook, mais
Twitter permet aussi d’ajouter un bouton de « Retweet ». Il vise à favoriser la diffusion du contenu
de notre site en direction de la « Twittosphère » et plus le nombre de tweets obtenus par l’article
sera important, plus il sera diffusé et partagé à l’intérieur de la communauté.
Nous pouvons utiliser la puissance de feu des réseaux sociaux pour :
Promouvoir notre contenu web ;
Mettre en place des fonctions de recommandation ;
Susciter des adhésions à notre FanPage à partir de notre site ;
Proposer plus facilement du contenu multimédia ;
Créer un maillage de contenu qui soit diffusé dans la sphère sociale.
31
La promotion d’un espace social peut porter sur beaucoup de supports possibles :
L’emailing ;
Les cartes de visites ;
Les documents diffusés par la société ;
Les espaces réels comme les vitrines de boutiques ;
La presse magazine, la télé ;
Les pages d’entrée du site ;
etc.
Nous pouvons aussi intégrer toutes sortes de contenu (atomisé) à notre site :
Un Widget Twitter qui montre notre activité sur cette application ;
Les listes des personnes que nous suivons sur Twitter ;
Un encart affichant les actualités de notre FanPage ;
Un bouton de vote « Google Buzz » ;
Un chat en ligne ;
Un carrousel des photos publiées sur Facebook ;
Une galerie de nos vidéos sur YouTube, etc.
32
Mais les Widgets permettent aussi d’obtenir, de la part des internautes, un Feedback instantané afin
de favoriser les retours client et mieux comprendre leurs motivations.
Nous pouvons également ajouter de véritables barres sociales qui renverront les internautes vers nos
différents profils : Facebook, Twitter, YouTube, etc. Enfin, Il est possible de créer des Widgets
communautaires avec, en ligne, l’ensemble des statistiques détaillées d’utilisation.
33
10/ Trouver des « Leads » en B2B
« Apprenez à donner avant de recevoir »
Viadeo en quelques chiffres ?
Viadeo, c’est 75% de cadres, 15% de chefs d’entreprise et 5% d’indépendants ;
Viadeo compte, en France, plus de 2 200 000 d’utilisateurs uniques (Viadeo 2010).
Viadeo va nous permettre de :
Dénicher le précieux contact : client, fournisseur ou partenaire commercial ;
Recruter des collaborateurs « on line » et passer des annonces ;
Diffuser des communiqués de presse et annoncer sur des évènements ;
Échanger des informations et des points de vue sur des thématiques métiers précises ;
Améliorer notre e‐réputation ainsi que celle de notre entreprise.
En ce sens, Viadeo est un réseau professionnel qui convient parfaitement aux sociétés B2B…
Il sera pleinement efficace à partir du moment où l’ensemble des salariés de l’entreprise participe
aux efforts visant à accroître notre visibilité :
Questions/Réponses ;
Mises en relation directes et indirectes ;
Utilisation des recommandations ;
Support aux forces de vente ;
Élaboration de contenus à forte valeur ajoutée ;
Participation aux forums de discussions et lancement de nouveaux sujets de réflexion.
34
Par ailleurs, il faut savoir trouver un juste milieu entre un ton trop « Corporate » et une approche
plus créative :
Accroche parlant du problème du client ou de ses interrogations ;
Description des bénéfices apportés par nos solutions ;
Mise en avant des avantages immédiats à tester ou venir essayer un produit ou un service.
35
Il faut savoir jouer des coudes pour être visible sur Viadeo :
Créer ou participer à des Hubs et des communautés ;
Faire des annonces d’évènements ;
Rejoindre les « Club Business » et susciter des rencontres dans le monde réel ;
Utiliser les recommandations pour mieux préparer des rendez‐vous professionnels ;
Multiplier les bonnes tactiques quand on diffuse des communiqués de presse ;
Utiliser les fonctionnalités de recherche avancée afin de trouver les bons contacts ;
Mettre en place des systèmes de veille afin de savoir ce qu’il se passe chez nos concurrents.
Viadeo est une application efficace quand on souhaite bâtir de véritables systèmes relationnels qui
nous permettront de trouver de nouveaux clients en B2B et, pour ainsi dire, de vendre notre
expertise pour ensuite les intéresser à nos produits ou à nos services.
Quels sont les clés d’une présence réussie sur Viadeo ?
Comment est‐il possible d’utiliser les recherches sur Viadeo sans souscrire à une offre
payante ?
Existe‐t‐il une manière de savoir qui a visité notre profil (toujours sans posséder
d’abonnement) ?
Quelles sont les bonnes tactiques à adopter pour susciter des visites sur notre site ?
Est‐ce qu’il faut créer une page entreprise ou privilégier les approches en deux temps ?
36
LinkedIn est aussi un réseau intéressant de part les outils qu’il propose et, notamment, son système
d’alertes sur les sociétés de notre choix.
Enfin, nous pouvons nous servir de ces réseaux sociaux pour recruter efficacement sur Internet.
Il suffira ensuite de générer un flux RSS à partir des recherches que nous avons tapées pour être, par
exemple, automatiquement prévenu quand un profil qui nous intéresse vient de s’inscrire sur
Viadeo.
37
11/ Créer une chaîne TV pour développer sa marque
« YouTube : le média de prédilection… de qui, au juste ? »
C’est une erreur courante de croire que YouTube est une plateforme de partage vidéos uniquement
destinée… aux jeunes. Ces quelques statistiques – communiquées par YouTube en 2010 – sont
intéressantes :
YouTube est le deuxième moteur de recherche au monde ;
YouTube utilise l’équivalent, en bande passante, de tout l’Internet en 2000 ;
Chaque jour, plus de 200 000 vidéos sont publiées ;
Le nombre de vidéos visualisées, quotidiennement, avoisine les deux milliards.
C’est une autre manière de dire que, sur YouTube, toutes les tranches d’âge sont représentées… Et
que les statistiques de fréquentation des chaînes des « Influenceurs » ont, souvent, de quoi donner
le vertige.
L’objectif consiste aussi à créer un espace dédié qui permette de :
Renforcer l’image de marque de notre société ;
Faire connaître les produits et les services que nous commercialisons ;
Communiquer sur les évènements marquants de notre société ;
Développer le trafic entrant vers notre site ;
38
Créer des campagnes marketing en utilisant le pouvoir de viralité des vidéos.Les chaînes
YouTube ? C’est profiter, à la fois, de l’audience du 3ème site le plus visité en France et du
cinquième réseau social en France (IFOP, octobre 2010).
Il est aussi possible de créer une chaîne sur YouTube et de bénéficier des fonctionnalités suivantes :
Outils permettant de faire du montage vidéo, d’ajouter des bandes son, des éléments
interactifs, etc.
Fonctionnalités avancées permettant d’optimiser le référencement de ses vidéos sur Google ;
Indexation immédiate par Google sur des requêtes très concurrentielles ;
Création de listes de diffusion afin de favoriser les interactions avec les internautes ;
Statistiques détaillées de la diffusion de nos clips, et ce même quand ils sont intégrés sur des
sites tiers.
Les points suivants doivent être soigneusement réfléchis :
La présence des mots‐clés voulus dans l’adresse URL de la chaîne ;
Le titre de la chaîne ainsi que sa description ;
Les listes de mots‐clés de ciblage sur lesquels nous souhaitons nous positionner ;
Les paramètres de visibilité de notre chaîne ;
Les possibilités que nous allons donner aux internautes afin qu’ils puissent interagir avec
notre contenu multimédia.
Une chaîne sur YouTube est une excellente façon de toucher une audience qui croît de manière
exponentielle…
39
12/ Booster son trafic avec les vidéos
« Une image vaut mille mots… Et une vidéo vaut tous les discours »
Quand nous examinons l’apport de la vidéo aux réseaux sociaux, nous pouvons distinguer ces cinq
grandes tendances :
Optimiser son SEO de façon à susciter du trafic supplémentaire ;
Développer le taux de conversion de son site en montrant des produits « en situation » ;
Améliorer son image de marque en utilisant des vidéos de « Branding » ;
Créer des clips qui serviront de support à une campagne virale ;
Gagner des conversions nouvelles en faisant de la publicité vidéo.
Le but est bien d’intégrer des vidéos sur notre site web et notre FanPage… Et de gagner des
conversions issues à partir de ce média particulièrement efficace.
40
Par définition, la vidéo est sociale :
Les internautes peuvent annoter nos vidéos ;
À l’intérieur d’un clip, nous pouvons rediriger l’internaute vers un jeu‐concours, notre chaîne
sur YouTube, une page dédiée de notre site, etc.
Les fonctionnalités de partage font qu’une vidéo peut être diffusée rapidement dans la
communauté ;
Ces mêmes facilités d’implémentation favorisent la publication de ce contenu sur d’autres
sites.
La vidéo est aussi un média concret : il est beaucoup plus simple d’expliquer quelque chose en
images que de le dire avec des mots. C’est donc une occasion d’aborder de manière ludique ou/et
pédagogique le fonctionnement de nos produits, les bénéfices clients apportés par nos services, les
coulisses de notre société, les évènements que nous organisons, les « Making of », etc.
Une vidéo peut, par exemple, montrer :
Des comptes‐rendus d’évènements marquants ;
Des explications sur les services que nous commercialisons ;
Des interviews des cadres de notre société ou des employés les plus représentatifs ;
La vie de l’entreprise avec des vues des locaux et des entrepôts ;
Les coulisses de la société ;
Des tutoriaux filmés de l’utilisation de nos produits (les « Screencasts ») ;
Des films ludiques dans lesquels les employés se mettent en scène (les « Lipdubs ») ;
Des retransmissions en temps réel de certaines manifestations (le « Livestreaming ») ;
Des produits tels qu’ils fonctionnent chez nos clients.
41
Comment indexer et promouvoir de manière efficace une vidéo ?
Il est conseillé d’utiliser un fichier de sous‐titre afin de donner du grain à moudre aux
moteurs de recherche ;
Il faut réfléchir au choix de la miniature car elle fonctionnera comme une incitation au clic ;
Une vidéo raconte d’abord une histoire avant de promouvoir un message commercial ;
Une vidéo doit obéir à un certain nombre de règles en termes de longueur de contenu ;
Elle doit intégrer, de manière visible, notre logo ;
Nous devons ajouter des liens vers le site « maison » mais aussi vers nos différents profils
sociaux ;
Nous pouvons utiliser le système des annotations afin d’ajouter des éléments interactifs.
Existent‐ils d’autres avantages à mettre des vidéos en ligne ?
Il est couramment admis que la présence de clips permet d’augmenter le taux de
transformation des sites e‐commerce de 15% ;
Les vidéos sont un excellent moyen de rapprocher les prospects des produits ou des services
que commercialise une société ;
Une vidéo présente un fort pouvoir d’attractivité : quel que soit l’endroit où elles sont
placées sur le site, elles suscitent un nombre important de lectures ;
Les vidéos possèdent l’avantage d’être complètement « traçables » : nombre de clics sur le
bouton « Lecture », sur le bouton « Pause », sur les boutons de partage, horodatation de la
fin de lecture, etc.
C’est donc un médium qui a toute sa place dans un processus de conversion et dont l’efficacité peut
être mesurée de manière très précise.
42
13/ Créer un blog pour améliorer son référencement
« La blogosphère : un continent à conquérir »
Nous pouvons décider de créer un blog ou/et d’utiliser la Blogosphère comme un tremplin à une
campagne marketing :
34% des articles publiés sur les blogs concernent des marques et des sociétés ;
21% des internautes décident d’acheter un produit après avoir lu un blog ;
Les entreprises qui possèdent un Blog bénéficient en moyenne de 55 % d’augmentation de
trafic sur leur site Web.
Contrairement aux idées reçues, un blog présente de nombreux avantages comparés à son grand‐
frère « Corporate » : 13/ Créer un blog pour améliorer son référencem
Il est excellent pour le référencement du site « maison » (liens croisés) ;
C’est l’occasion de s’adresser, d’une autre manière, à notre cible commerciale ;
C’est une façon rapide d’engager le dialogue avec nos clients ;
C’est un passage obligé pour qui veut être présent sur les réseaux sociaux.
43
Avec un blog, nous drainons un trafic mieux ciblé puisque nous nous adressons, d’une manière
différente, aux internautes.
Pourtant, l’élaboration d’un blog d’entreprise nécessite une longue réflexion préalable :
Quel CMS (« Content Management System ») choisir ?
Quelle sera la ligne éditoriale ?
Quelles sont les règles d’écriture à respecter ?
Quelles sont les recettes d’un article souvent cité ?
Quelles sont les bonnes pratiques dont nous pouvons nous inspirer ?
Comment utiliser la Blogosphère pour drainer du trafic nouveau ?
Quels sont les principes à respecter pour que notre blog soit bien référencé par Google ?
Comment faire partie de la recherche en temps réel ?
À quelle condition pouvons‐nous adhérer au programme Google Actualités ?
Comment susciter plus de commentaires chez les internautes ?
Comment faire partie de la « longue traîne » ?
Comment générer un ou plusieurs flux RSS « optimisés » ?
44
Les articles peuvent être :
Des compilations de ressources ;
Des listes de liens ;
Des articles écrits par un « invité » (« le blog posting ») ;
Des tutoriaux ;
Des interviews des employés ;
Les interventions du « patron » ;
Des articles mettant en valeur l’expertise de la société ;
Un récapitulatif de nos interventions sur Twitter ;
Des compléments de réponses à une discussion sur Facebook ;
Etc.
Un blog apporte de nombreux résultats tangibles :
Attirer de nouveaux prospects ;
Valoriser notre expertise ;
Vendre plus et mieux ;
Rendre, nos marques et notre société, plus proches des internautes.
La blogosphère ? Une bonne façon de trouver des relayeurs d’opinion et de toucher les
prescripteurs.
Mais puisque l’on parle des « influenceurs », nous pouvons aussi chercher à toucher les blogueurs
qui ont le vent en poupe afin qu’ils parlent des produits ou des services que nous commercialisons.
45
Il nous faudra dans ce cas :
Identifier les blogueurs qui, en plus de posséder une large audience, ont l’avantage d’être des
« Early Adopters » ;
Préparer des campagnes de communication qui soient efficaces ;
Susciter une large adhésion de leur part en mettant en place des systèmes « donnant,
donnant » ;
Utiliser la Blogosphère comme d’un relais à un jeu‐concours, à une opération de promotion.
46
14/ Mesurer et optimiser ses campagnes de « Social Media »
« On ne peut améliorer que ce qu’on mesure »
La question qui se pose, quand nous faisons du marketing relationnel ou du marketing multi‐canal,
est la façon de mesurer l’apport réel des réseaux sociaux dans les conversions réalisées sur notre site
web. Il existe trois possibilités :
Des réseaux sociaux comme Facebook proposent un suivi analytique des FanPages ;
Des applications dédiées opèrent une synthèse de nos interactions et de notre influence sur,
par exemple, Twitter ;
Une application de Web Analytics permet de traquer les visites provenant directement, ou
indirectement, d’un site de réseautage social.
Le défaut des deux premières solutions est qu’elles s’arrêtent à notre site web : nous savons ce qui
s’est passé sur une FanPage ou dans la « Twittosphère » mais rien en ce qui concerne les visites.
47
Et d’autres problèmes se posent à nous :
Différencier les apports respectifs de tel ou tel Hub sur Viadeo ;
Traquer les campagnes « hors ligne » ;
Distinguer les différentes sources à l’intérieur d’un même réseau : les clients Twitter, les
pages de profil, les raccourcisseurs d’URL, le moteur de recherche Twitter, etc.
Mesurer l’efficacité respective des liens à l’intérieur d’un même support : le mur d’une page
Facebook, l’image cliquable visible sur l’onglet « Promotions estivales », etc.
Il faut alors créer des campagnes structurées de manière à ce que les différents éléments qui les
composent : nom de la campagne, support, source, slogan utilisé, variante du lien et de l’annonce,
soient récupérés dans notre application de « Web Analytics ».
Et l’astuce consiste à utiliser une fonctionnalité appelée « URL intelligentes » afin de pouvoir
comparer le ROI de nos différentes campagnes de « Social Media ».
Comment est‐ce que cela fonctionne ? En même temps que nous définissions les adresses URL de
destination, nous allons ajouter des paramètres spéciaux qui vont fonctionner comme des signaux de
reconnaissance pour, par exemple, Google Analytics.
48
Ce dernier va pouvoir ensuite ranger les différentes pages vues en fonction :
Du nom de la campagne (« Fête des mères 2010 ») ;
Du support utilisé (« Réseaux sociaux », « Blogs », « Emailing ») ;
De la source de la visite (« Facebook », « Twitter », « Viadeo ») ;
De l’emplacement du lien (« Lien image », « Skyscraper ») ;
De l’intitulé de l’annonce publicitaire (« Commander des roses », « Livraison le jour même »).
De cette façon, nous pourrons :
Juger de la qualité du trafic envoyé par tel ou tel réseau social ;
Mettre en compétition les différents canaux d’acquisition (SMO, SEA, SEO, etc.) ;
Ajuster nos budgets marketing en fonction du ROI constaté ;
Justifier de l’efficacité de nos campagnes en mettant en évidence les retombées pour
l’entreprise.
49
15/ Surveiller et anticiper un Buzz négatif
« Il faut 20 ans pour construire une réputation et 5 minutes pour la détruire »
(Warren Buffet)
C’est une autre manière de dire que si nous n’occupons pas tout l’espace disponible, ce sont nos
détracteurs qui vont en disposer. Quelques constats :
L’e‐Réputation est mondiale : le Web est, à la fois, une caisse de résonnance et un
accélérateur ;
L’e‐Réputation se fait aussi locale : Foursquare, Google Maps, Gowalla, dismoiou, etc.
Nous faisons allusion au formidable essor de la géolocalisation dans les réseaux sociaux…
L’e‐Réputation ne touche pas que les entreprises, mais aussi les universités, les grandes
écoles, les institutions publiques, etc.
L’e‐Réputation concerne l’ensemble des corps de métier quelle que soit leur taille (voir le
développement des sites de notation).
Quand on parle de nous ou de notre entreprise sur un forum, un site d’actualités ou à connotation
sociale, nous avons 9 chances sur 10 que ce lien soit visible dans Google et, généralement, en 3ème
position (sur les requêtes de notoriété).
50
En bref, Google favorisera systématiquement la voix des utilisateurs au détriment de la nôtre :
« Votre marque, ce n’est pas ce que vous en dites mais ce que Google en dit » (Chris Anderson ‐
Rédacteur en chef de Wired).
Mettre en place un dispositif de veille répond à ces objectifs :
Surveiller les détournements possibles de nos données (logos, contenus, documents
importants, etc.)
Surveiller ce qui se dit sur notre société, nos produits et nos services, mais aussi sur les
salariés ;
Surveiller ce que font nos concurrents : nouvelles lignes de produits, changements dans les
prix, pages récemment indexées par les moteurs, offres promotionnelles, projets
d’entreprise, etc.
Surveiller les contenus web qui nous intéressent : applications métier, thématiques,
actualités juridiques, économiques, etc.
51
Il existe deux types d’outils permettant de mener à bien les différentes tâches que nous nous
sommes fixées :
Les applications de veille : être tenu informé des nouveautés publiées sur un thème précis via
des alertes en mode push (l’école du savoir : les flux RSS !) ;
Les outils de Web scraping qui permettent de générer, par exemple, une alerte e‐mail dès
que du contenu web, quel qu’il soit, est mis à jour.
Les flux RSS, quand ils sont utilisés avec des applications dédiées (les agrégateurs), présentent de
nombreux avantages par rapport aux alertes e‐mails :
Ils sont beaucoup plus rapides puisqu’ils font partie de l’indexation en « Temps réel » ;
Ils offrent des possibilités de classement et un système de priorisation ;
Ils permettent des recherches à l’intérieur d’un ensemble de sites web précis ;
De par la souplesse de leur structure, ils peuvent être « transformés » : page HTML, fichier
PDF, gadget installé sur le Bureau Windows, fichier multimédia, etc.
Ils peuvent être consultables à tout moment puisqu’ils sont, généralement, stockés en ligne
(le « Cloud Computing »).
Plusieurs questions se posent alors :
Existe‐t‐il des applications gratuites qui permettent de faire de la veille d’entreprise ? La
réponse est oui !
Est‐ce aussi le cas pour les outils de Web scrapping ? Là encore, nous pouvons répondre par
l’affirmative…
Quelles sont les meilleures plates‐formes professionnelles de veille et comment rédiger un
cahier des charges précis, et ce afin d’éviter des déconvenues ?
Dans ce cas, quels sont les avantages des solutions payantes comparées à leurs homologues
libres de droit ?
Enfin, comment mettre en place un système de veille efficace qui va nous permettre de
réagir « au quart de tour » ?
52
Une fois que nous aurons mis en place des dispositifs d’écoute et d’analyse, nous serons à même de
pouvoir anticiper sur les évènements. De fait, nous mettrons de côté la communication
unidirectionnelle (le « Mass marketing ») au profit d’une conversation à deux sens, ou « peer‐to‐
peer ».
53
Et maintenant ?
La grande difficulté est de définir des stratégies pérennes alors qu’il existe une profusion d’outils.
Par ailleurs, et si les réseaux sociaux demandent des budgets réduits, ils sont extrêmement
chronophages. Faut‐il rappeler que le temps, c’est surtout de l’argent ?
Enfin, mettre sur pied des campagnes « Social Média » nécessite une réflexion sur les objectifs que
l’on souhaite atteindre, et les moyens techniques et humains qui seront nécessaires.
Ce n’est donc pas une mince affaire, et ce même si les enjeux, pour l’entreprise, sont importants.
‐> Pourquoi, dans ce cas, ne pas suivre une formation de deux jours qui vous permettra
de :
Profiter de l’expérience d’experts en Web marketing ;
Booster votre carrière professionnelle en acquérant des compétences nouvelles ;
Discuter et mettre sur pied des campagnes complètes en direction des réseaux sociaux.
Recevez un programme détaillé en vous rendant à l’adresse www.visiplus.com
ou contactez directement :
Marilyn Benete
Tél. : 04 93 00 09 58
marilyn.benete@visiplus.com
‐> Pas assez de temps pour gérer tout ça… La société Visiplus propose aussi des solutions
e‐marketing qui visent à :
Optimiser le référencement naturel et publicitaire ;
Mettre en avant vos sites Web dans les réseaux sociaux et sites Web 2.0 ;
Mettre en place des projets en e‐réputation, veille de marque et intelligence économique.
Pourquoi alors ne pas nous contacter afin de nous puissions en discuter de vive voix ? Vous profiterez
de l’expertise de notre agence ainsi que de la qualité d’écoute que nécessitent vos spécificités
métier.
Contactez‐nous dès maintenant et bénéficiez des premiers conseils adaptés.
Céline Leroux
Tél. : 04 93 00 10 15
celine.leroux@visiplus.com
Siège social Bureau de liaison
1300 route des Crêtes 85 rue de Ménilmontant
06560 Sophia Antipolis 75020 Paris
Tél. : 04 93 00 09 58 Tél. : 01 46 36 69 12
54