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On a souvent tendance à confondre Web 2.0 et réseaux sociaux. Le Web 2.0 est une sorte d’auberge 
espagnole  regroupant  un  grand  nombre  d’innovations  d’ordre  technique  et  sociologique :  les 
internautes prennent la parole et, d’une certaine manière, le pouvoir. 
 
Si les réseaux sociaux ne représentent qu’une infime partie du Web 2.0, ils en constituent pourtant 
un des éléments essentiels et des plus populaires auprès du grand public. 
 
De nos jours, les réseaux sociaux connaissent une apogée et ils s’apparentent à de véritables plates‐
formes de conversion sociale et de diffusion de contenu. 
 
La question est de savoir comment nous allons les utiliser pour : 
 
 Promouvoir notre marque ; 
 Faire connaître nos produits et nos services ; 
 Développer des réflexes de mémorisation et de fidélisation ; 
 Provoquer des ventes ou susciter des pistes de vente. 
 
Dans cette optique, les sites de réseautage social permettent de : 
 
 Créer des sites web à part entière ; 
 Mettre en ligne des profils dédiés qui vont nous aider à atteindre nos objectifs ; 
 Créer des outils à installer sur nos sites ou, directement, « chez l’internaute » ; 
 Créer des communautés qui fonctionneront de manière (presque) autonome. 
 
De fait, ils favorisent une relation de proximité qui viendra renforcer notre « effet de marque ». 
 
Est‐ce que les réseaux sociaux font partie du marketing transactionnel ou du marketing relationnel ? 
C’est toute la particularité de ces drôles de médias, de favoriser de nouvelles conversions, comme de 
jouer sur cet effet diffus lié au « Branding » (le « pouvoir de la marque »). 
 
Voici une visite guidée de 15 stratégies à mettre en place de toute urgence en 2011 ! 

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1/ Trouver de nouveaux clients avec les FanPages de FaceBook 

« Les FanPages : rendez vos marques désirables » 
 
Le  but  est  de  développer  notre  base  de  prospects  comme  de  fidéliser  les  internautes  qui  sont 
« fans » de notre marque et de nos produits.  

 
 
 
Un certain nombre de questions doivent être posées : 
 
 Quelles sont les différences entre les profils, les groupes et les FanPages ? 
 Quelles sont les attentes des internautes vis‐à‐vis des FanPages ? 
 Comment animer efficacement une FanPage ? 

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Un profil présente un grand nombre de restrictions dont, principalement, l’inconvénient que nous ne 
pouvons pas le personnaliser. 
 
C’est  le  même  reproche  que  nous  pourrions  faire  au  système  des  groupes  bien  que  ces  derniers 
possèdent une particularité : nous pouvons envoyer un message à l’ensemble des fans… 
 
Ils en seront prévenus par email. En bref, un groupe convient parfaitement à la défense d’une cause 
ou  à  la  création  d’une  communauté  centrée  autour  d’une  idée  ou  d’une  thématique  favorisant  les 
échanges entre les membres. 
 
Si  1,5  millions  d’entreprises  étaient  présentes  sur  Facebook  en  2010,  55,77%  des  internautes  sont 
fans d’au moins une page consacrée à une marque : 
 
 38,40% sont fans parce qu’ils sont clients ; 
 30,80% sont fans pour les offres ; 
 20,20% sont fans parce qu’ils recherchent des informations ; 
 10% sont fans parce qu’ils aiment la marque. 
 
Quelles sont alors les annonces qui suscitent le plus d’interactions de la part des « Facebookers » ? 
D’après notre expérience, nous pouvons, principalement, en distinguer quatre à cinq : 
 
 Les actualités liées à la société et qui ont un rapport avec les thématiques sur lesquelles elle 
souhaite se mettre en avant ; 
 Les histoires qui sortent de l’ordinaire et qui provoquent des réactions fortes de la part des 
internautes ; 
 Les  demandes  de  feedbacks  (« Que  pensez‐vous  de  notre  nouvelle  collection  de 
vêtements ? ») ; 
 Les  dispositifs  qui  permettent  aux  internautes  d’envoyer  leur  propre  contenu  (multimédia, 
par exemple) ; 
 Les promotions autour des nouveaux produits et les offres dédiées aux fans. 
 
Notez que l’espace privilégié pour échanger et converser avec nos fans est bien le mur… Et que toute 
la  difficulté  est  de  pouvoir  réagir  rapidement  (nous  sommes  dans  l’instantanéité)  et  de  modérer 
(toujours en temps réel) les messages qui s’écartent des règles édictées par la société. 
 
L’entreprise, au travers des FanPages, devra donc trouver un juste milieu entre « communication de 
marque » et publications relationnelles… 
 
En  conclusion,  les  fans  attendent  que  la  marque  prenne  en  compte  leurs  observations,  réponde  à 
leurs questions et sollicite leur avis. 
 
L’important  est  de  bien  comprendre  que  Facebook  s’apparente  maintenant  à  une  véritable 
plateforme de création de mini‐sites puisque nous pouvons : 
 

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 Personnaliser l’adresse URL de notre FanPage ; 
 Modifier l’ordre des onglets ; 
 Créer de véritables pages web avec, par exemple, des systèmes de menus ; 
 Ajouter du contenu multimédia comme des photos ou des vidéos ; 
 Importer dynamiquement le contenu de notre site web directement sur la FanPage ; 
 Définir  qu’elle  sera  la  page  d’entrée  du  site  et  susciter  des  adhésions  supplémentaires 
(« J’aime ») ; 
 Organiser des jeux‐concours ou offrir des coupons de réduction ; 
 Créer des boutiques en ligne (le « F‐Commerce ») ; 
 Favoriser des abonnements à notre newsletter ; 
 Envoyer des messages aux fans ; 
 Faire de la publicité autour des évènements que nous organisons ; 
 S’inviter sur les profils des internautes ; 
 Mettre en avant un blog ou un profil sur Twitter ; 
 Suivre les statistiques d’interactions entre nos pages et les internautes ; 
 Afficher le nombre de visiteurs envoyés sur notre site ainsi que leur comportement d’achat. 
 

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Tout  l’intérêt  des  FanPages  est  qu’elles  permettent  de  jouer  sur  l’effet  magique  de  la  première 
impression (le « Wow! Effect ») et de susciter un sentiment d’adhésion chez l’internaute. 
 
 
 

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2/ Utiliser Facebook pour drainer du trafic

« Les internautes passent  5% de  leur  temps  sur les moteurs  de  recherche,  et 


95% sur les sites web » 
 
Facebook est un service suffisamment puissant pour pouvoir s’adapter à toutes sortes de stratégies 
marketing qu’elles soient tournées vers les utilisateurs finaux (B2C) ou les décideurs qui font partie 
de notre cible économique (B2B). 
 
Tout d’abord, une statistique intéressante : le temps passé sur Facebook s’élève à 3h33 minutes par 
visiteur et par mois contre 1h09 pour Google (Performics 2010). 
 
En  créant  un  groupe  ou/et  une  FanPage,  nous  retrouvons  donc  les  internautes  là  où  ils  sont…  Et, 
d’après  une  étude  de  Médiamétrie  (février  2010),  Facebook  est  le  premier  site  communautaire  en 
France avec 21 millions de visiteurs uniques par mois. 
 

 
 
 
 
 
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L’objectif est de tirer partie du fait que : 
 
 Facebook est aussi un moteur de recherche extrêmement utilisé ; 
 Les  internautes  saisissent,  dans  Facebook,  les  noms  des  sociétés  qu’ils  connaissent  ou  des 
produits et des services dont ils ont besoin ; 
 Les  internautes  s’attendent  à  retrouver  sur  Facebook  des  offres  qu’ils  ne  trouvent  pas 
ailleurs. 
 
Ce  moteur de recherche est particulier puisqu’il ne se base pas sur des algorithmes mais, pour ainsi 
dire, sur des données issues de la vie réelle. Les résultats sont ajustés en fonction de l’historique de 
chacun des utilisateurs. 
 
Il  faut  donc  susciter  des  interactions  avec  nos  pages  afin  d’être  le  mieux  placé  dans  ces  sortes  de 
« Serps  bis »  (« Search  Engine  Results »  ou  « Résultats  des  pages  de  résultats »).  Et,  c’est  toute  la 
difficulté  d’être  bien  positionné  sur  un  service  qui  tient,  à  la  fois,  des  moteurs  de  recherche 
personnalisés et de la recommandation sociale. 
 
Facebook propose une fonctionnalité extrêmement efficace pour faire connaître notre FanPage : le 
bouton  « J’aime ».  En  bref,  dès  qu’un  internaute  aime  une  FanPage,  son  réflexe  d’adhésion  sera 
mentionné dans son fil d’actualités ainsi que dans ceux de ses amis. 
 

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Par exemple, l’internaute devra aimer un élément de notre mini‐site sur Facebook pour avoir accès à 
un code promotionnel ou pour afficher du contenu réservé aux « privilégiés ». 
 
Quelles  sont  alors  les  bonnes  tactiques  à  employer  pour  inciter  les  internautes  à  « Liker »  notre 
FanPage et bénéficier, par la même, de l’effet « Boule de neige » propre aux réseaux sociaux ? 
 
 Du contenu réservé aux fans ; 
 Des offres promotionnelles ; 
 La participation à un jeu concours ; 
 Des vidéos des coulisses ; 
 Des invitations à assister à des avant‐premières ; 
 Des fichiers à télécharger ; 
 L’inscription à une newsletter ; 
 Etc. 
 

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Une fois qu’ils ont interagi avec notre FanPage : 
 
 72 % déclarent avoir au final une pensée plus positive de la marque ; 
 71 % indiquent qu’ils pourraient être plus enclins à acheter cette marque ; 
 66 % précisent qu’ils se sentent plus fidèles à la marque ; 
 63 % ont invité d’autres personnes à les rejoindre (http://www.umww.com 2010). 
 
Nous sommes dans l’ère de la socialisation des marques : messagerie instantanée, partage d’images 
et d’informations, tout s’effectue à partir d’un même espace dédié : la FanPage. 
 

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3/ Convertir des prospects avec Facebook

« Un  internaute  qui  s’inscrit,  c’est  un  internaute  qui  s’engage.  Et  un 
internaute qui s’engage, c’est quelqu’un qui achète » 
 
Tout d’abord, voici quelques chiffres communiqués, en 2010, par Facebook : 
 
 Chaque mois, plus de 60 millions d’internautes utiliseraient Facebook Connect ; 
 Les  sites  qui  ont  implémenté  Facebook  Connect  ont  enregistré  entre  30%  et  300% 
d’inscriptions en plus. 
 
L’objectif  est  de  favoriser,  sur  notre  site,  l’engagement  des  utilisateurs,  d’utiliser  les 
recommandations  faites  par  les  communautés  d’amis  et  de  l’enrichir  en  se  servant  d’un  levier 
marketing bien connu : la preuve des amis (« le bouche à oreille numérique »)… 
 
C’est  une  chose  d’afficher  les  avis  des  internautes,  s’en  est  une  toute  autre  (et  beaucoup  plus 
efficace) de montrer ce que vos proches ont vu et aimé sur notre site. 
 
Le but est aussi de prolonger leurs visites, de les fidéliser et d’augmenter la valeur moyenne de leur 
panier d’achat. 
 
Quels sont les avantages de Facebook Connect ? 
 
 Nous utilisons gratuitement les outils faisant partie du « Social Graph » de Facebook ; 
 Sa facilité d’implémentation fait qu’un bouton Facebook Connect s’installe très rapidement ; 
 Nous récupérons, pour notre compte, la puissance de feu offerte par les réseaux sociaux. 
 
En bref, nous sociabilisons notre site web… 
 
Le mécanisme de Facebook Connect est simple à comprendre : 
 

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Les  internautes  se  connectent  sur  notre  site  en  utilisant  leurs  identifiants  Facebook  (le  « Moi 
social ») ; 
 
La procédure d’inscription est simplifiée et donc plus efficace… 
 
 Il est possible d’enrichir l’expérience utilisateur en utilisant les informations sociales fournies 
par Facebook (le « Web augmenté ») ; 
 Les  internautes  peuvent  voir  les  produits  ou  les  pages  qui  ont  particulièrement  intéressé 
leurs amis (le « Social Shoping »). 
 
 
C’est  le  propos  du  site  « Lévis »  aux  États‐Unis :  une  fois  que  le  visiteur  a  décliné  son  identité 
Facebook,  il  peut  explorer  les  articles  que  la  communauté  ou,  plus  particulièrement,  ses  amis  ont 
appréciés. 
 
 
 
 
 
 
 
 
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La  multinationale  a  bien  compris  un  des  paradoxes  du  Web :  bien  que  l’on  surfe  seul  sur  Internet, 
nous avons besoin d’être encouragés dans nos achats en simulant une expérience collective… 
C’est le propos de la preuve humaniste : « Qui a déjà fait les mêmes choses que je désire faire pour 
que je puisse me décider à les faire ? ». 
 
De fait, ce sont les internautes qui deviennent les ambassadeurs de nos marques… 
 
 
 
 

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De fait, les internautes sont plus enclins à effectuer des transactions à partir du moment où nous leur 
facilitons la tâche et nous leur proposons une expérience personnalisée. 
 
Un  point  qui  mérite  d’être  souligné :  les  sites  utilisant  Facebook  Connect  ont  vu  les  interactions 
utilisateur augmenter de 15 à 100%. 
 
Mais, ce n’est pas le principal intérêt de Facebook Connect ! 
 
Lors  de  la  procédure  d’inscription,  nous  pouvons  paramétrer  les  autorisations  que  l’utilisateur  va 
nous accorder : 
 
 Récupérer son adresse email ; 
 Obtenir ses noms et prénoms ; 
 Publier sur son mur ; 
 Accéder à sa liste d’amis ; 
 Afficher ses centres d’intérêts ;  
 Etc. 

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Bien  entendu,  tout  est  question  de  juste  mesure  mais  les  informations  que  nous  allons  en  retirer 
seront forcément passionnantes pour le Marketeur qui sommeille en chacun de nous ! 
 
Facebook Connect fait partie intégrante d’une stratégie qui vise à augmenter le taux de conversion 
de notre site web et à prolonger les visites des internautes : nombre de pages vues et temps moyen 
passé sur le site. 
 

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4/ Facebook : un outil de marketing viral

« La meilleure des publicités, c’est celle que nous font les internautes » 
 
Facebook a révélé, en juillet 2010, que plus de 65 millions d’utilisateurs Facebook utilisaient, chaque 
jour, le bouton « J’aime ». 
 
Ce Widget (une sorte de gadget en ligne) a ceci de particulier : ce sont les internautes qui s’occupent 
de faire connaître nos marques, nos services et nos produits. 
 
Il fait aussi partie des fonctionnalités proposées par l’« Open Social Graph » de Facebook. 
 
 Les internautes se dévoilent pour mieux se mettre en avant (adhésion à l’offre) ; 
 Notre contenu est visible sur leurs profils Facebook (diffusion de l’offre) ; 
 Cette  propagation  du  contenu  entraîne  des  visites de  prospects  qualifiés  (viralisation  de 
l’offre) ; 
 Ces visites suscitent de nouvelles conversions et leur nombre croît de manière exponentielle 
(encore l’effet boule de neige). 
 

Le bouton « J’aime » peut être implémenté sur l’ensemble des pages d’un site Web 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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Mais  rien  n’empêche  de  changer  le  texte  de  votre  bouton  et  d’en  faire,  par  exemple,  un  bouton 
« Recommander » : 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
De la même manière, nous pouvons afficher un Widget qui montrera aux « Facebookers » le contenu 
soumis par la communauté ou leurs amis. 
 
Il est aussi possible d’installer, sur notre site web, une « Like Box ». Ainsi, les internautes verront : 
 
 Combien d’utilisateurs Facebook aiment déjà notre FanPage et, parmi eux, lesquels de leurs 
amis ; 
 Les messages que vous avez laissés sur notre FanPage. 
 
Par ailleurs, ils pourront aimer notre FanPage sans quitter notre site et, pour ainsi dire, à distance. 
 
 
 
 
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Enfin,  le  bouton  « J’aime »  peut  être  directement  intégré  aux  différents  blocs  qui  composent  une 
FanPage : 
 
 

 
Vous  l’avez  déjà  compris :  le  bouton  « J’aime »  est  une  composante  essentielle  d’une  stratégie  e‐
marketing… 

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5/ Favoriser la diffusion de votre contenu

« Partager pour mieux susciter le partage » 
 
Le Widget « Facebook Share » permet également de partager un élément présent sur une page. Son 
intérêt  est  que  nous  pouvons  décider  de  l’apparence  de  la  miniature  qui  sera  visible  sur  les  profils 
Facebook des internautes qui ont cliqué dessus, ainsi que du contenu de cette « Box ». 
 

 
Plus nous donnons aux internautes des choses à faire, plus ils auront envie de s’engager avec notre 
marque, nos produits et nos services… Nous avons instauré une relation de confiance parce que nous 
avons mis en place des leviers d’action. 
 
Il existe plein d’autres Widgets Facebook… 
 
 Les  commentaires  Facebook qui  vont  permettre  aux  internautes  de  commenter  nos  pages 
web et de les publier sur leur mur (« Wall ») ; 
 Le Widget « Activités récentes » qui va afficher l’ensemble des interactions sociales entre les 
internautes et notre site : clics sur les boutons « J’aime » et « Partager » ; 
 Les « Live Stream » qui offrent la possibilité aux internautes de partager leurs commentaires 
et leurs activités. C’est un bon complément à la diffusion en temps réel – sur notre site ou 
notre FanPage – de vidéos de concerts, de conférences, de Webcasts (vidéo conférence) ou 
de « Big Games » (jeu à plusieurs). 
 
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Voici un autre exemple d’implémentation du bouton « Partager » : 
 

 
 
Ce  style  de  bouton  permet,  outre  de  partager  du  contenu  sur  Facebook,  de  le  faire  connaître  sur 
Twitter… En bref, de faire d’une pierre, deux coups ! 
 
Il existe d’autres genres de barres sociales qui fonctionnent comme de véritables outils de création 
de valeur ajoutée : 
 
 Les  internautes  pourront  se  connecter  en  utilisant  leurs  identifiants  Facebook,  Google, 
Twitter, Yahoo!, LinkedIn, Windows Live ou MySpace ; 
 Ils offrent une vision globale de notre audience et du profil des utilisateurs de notre site ; 
 Ils présentent des statistiques détaillées des interactions entre les visiteurs et le contenu de 
notre site web ; 
 Ils  permettent  d’ajouter  des  modules  comme  un  sondage  en  ligne,  des  commentaires  en 
temps réel, un formulaire d’inscription à une newsletter, etc. 
 Nous  pouvons  adapter  le  contenu  de  notre  site  web  en  fonction  des  préférences  des 
utilisateurs. 
 

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Enfin, le bouton « Partager » peut être directement intégré à un des blocs de notre FanPage… 
 
 
 
 

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6/ Se faire connaître avec les publicités Facebook

« Cibler vos prospects pour augmenter votre ROI » 
 
Le ROI (« Return Over Investment » ou « Retour sur investissement ») est la pierre angulaire de notre 
stratégie marketing… 
 
Les  « Facebook  Ads »  sont  des  sortes  de  Flyers  qui  permettent  de  faire  de  la  publicité  auprès  de 
populations d’internautes soigneusement ciblées. 
 
Cette plate‐forme fonctionne dans une complémentarité entre publicité et viralité. En effet, 39% des 
internautes  arrivent  sur  une  FanPage  en  cliquant  sur  une  publicité  de  la  marque  tandis  que  29  % 
d’entre eux y arrivent parce qu’ils ont été invités par un ami. 
 

   

 
 
 

 
Ce type de publicité qui, bientôt, utilisera les possibilités offertes par la géolocalisation, présente de 
nombreux avantages : 
 
 Développer sa notoriété sans payer au nombre d’affichages mais au coût par clic ; 
 Communiquer auprès des millions d’internautes français qui sont inscrits sur ce réseau ; 
 Profiter d’un CPC (« Cost Per Click » ou « Coût par clic ») qui, souvent, est bien plus bas que 
sur la plupart des autres supports ; 
 Développer la popularité d’une FanPage ou faire connaître une offre promotionnelle. 
 

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Les objectifs sont multiples : 
 
 Cibler les internautes par langue et par localisation géographique ; 
 Cibler nos visiteurs en fonction de leurs centres d’intérêts ; 
 Filtrer les prospects selon les pages qu’ils ont aimées ; 
 Ne retenir que certains profils sociodémographiques ; 
 Recruter des futurs collaborateurs en fonction de leur poste actuel ; 
 Etc. 
 
Il n’est pas si facile de créer des annonces Facebook qui soient efficaces : 
 
 Quelles sont les bonnes techniques de « Copywriting » ? 
 Quels sont les outils qui permettent de segmenter notre audience ? 
 Comment créer des annonces qui enregistrent un nombre important de clics ? 
 Faut‐il rediriger les internautes vers notre FanPage ou vers un site externe ? 
 Quelle  corrélation  existe  entre  le  CTR  (pourcentage  de  clics  par  rapport  au  pourcentage 
d’impressions) et le coût par clic ? 
 Faut‐il favoriser les clics sur les boutons « j’aime » qui sont visibles sous les publicités ? 
 Comment diminuer le coût au clic des annonces ? 
 Comment tester différentes versions d’annonces ? 
  
Une  fois  que  l’on  a  parfaitement  maitrisé  les  « Facebook  Ads »,  ces  derniers  sont  une  excellente 
manière  de  mettre  un  pied  dans  l’univers  Facebook  et  de  lancer  une  FanPage.  Mais  c’est  aussi  un 
excellent outil pour « chiper » des prospects à nos concurrents. 
 
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7/ Communiquer auprès des « Early Adopters »

« Twitter : le couteau suisse des réseaux sociaux » 
 
Nous  avons  vu  précédemment  qu’un  des  intérêts  des  réseaux  sociaux  était  de  retrouver  nos 
prospects là où ils étaient… Un autre problème est de savoir si notre cible utilise Twitter et si elle est 
constituée de ces « utilisateurs précoces ». La réponse est, souvent, oui… 
 
 D’après une étude menée par Nielsen en 2010, Twitter touche un peu plus de deux millions 
d’internautes français ; 
 On estime qu’en 2011, entre 10 et 15 % d’internautes francophones utiliseront Twitter ; 
 L’âge moyen des utilisateurs est de 31 ans (majoritairement urbains et mobiles). 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Twitter peut être utilisé comme : 
 Système de veille concurrentielle et de « Social Media Monitoring » ; 
 Outil de « Live Blogging » lors de conférences ou d’évènements particuliers ; 
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 Application de messagerie mobile ; 
 Outil de promotion des produits ou des services commercialisés par une société ; 
 Outil de « Personal Branding » pour, par exemple, un chef d’entreprise ; 
 Vecteur de lancement d’un produit via une campagne de « Buzz marketing » ; 
 Tremplin pour animer un « Location Game » (jeu utilisant la géolocalisation) ; 
 Passerelle entre mondes réels et mondes virtuels : c’est le principe des Twunchs ; 
 Application de « Feedback » ou de communication en temps réel avec les clients. 
 
 

 
Mais, tout d’abord, comment fonctionne Twitter ? 
 
Le principe est d’envoyer des messages faisant moins de 140 caractères : ce sont les Tweets… 
Il existe quatre sortes de Tweets : 
 
 Ceux  qui  peuvent  être  envoyés  automatiquement  via  des  flux  RSS,  lors  de,  par  exemple,  la 
mise à jour d’un blog… 
 Ceux qui sont envoyés manuellement pour partager une information trouvée sur Internet ; 
 Ceux  déposés,  en  exclusivité,  sur  Twitter  pour  offrir  une  promo  réservée  à  notre 
communauté, proposer un sondage, poser des questions… 
 Les  Retweets  qui  consistent  à  partager  un  Tweet  déjà  existant  en,  éventuellement,  le 
complétant par une appréciation personnelle. 

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Comment développer notre communauté sur Twitter ? 
 
Le principe est de suivre des internautes qui, en échange, vont nous suivre… Et, de fil en aiguille, le 
groupe de personnes que nous suivons et ceux qui nous rendent la monnaie de la pièce va croître de 
manière exponentielle. 
En ce sens, Twitter est réellement un service de réseautage social. 
 
Parlons maintenant d’une des particularités de Twitter : les Hashtags… 
 
Au départ, les Hashtags sont des mots‐clés que l’on intègre à un Tweet afin d’en préciser le ou les 
sujets qu’il traite. Par exemple, si nous « tweetons » une information concernant la société Google et 
qui parle de référencement, nous allons ajouter ces Hashtags à notre Tweet : #google #seo. 
 
Vous l’avez compris les Hashtags sont signalés en les faisant précéder du signe dièse. 
 
Quelles sont les étapes de la création d’un compte Twitter ? 
 
 Renseigner de la manière la plus précise possible notre biographie ; 
 Choisir un avatar ou une photo de profil ; 
 Définir l’image d’arrière‐plan ; 
 
 

 
 Paramétrer les options de sécurité attachées au compte Twitter ; 
 Ajouter  les  amis  que  Twitter  va  aller  récupérer  à  partir  de  nos  différents  comptes  de 
messagerie ; 
 Identifier les personnes les plus influentes dans notre secteur d’activité ; 
 Publier automatiquement des informations comme les billets de nos blogs ; 
 Mettre en place un système de présence et réfléchir aux offres que nous allons faire ; 

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 Installer  un  outil  qui  permette  de  tweeter  automatiquement  les  ressources  qui  nous  ont 
semblées intéressantes ; 
 Installer un client Twitter afin de gagner en temps et en efficacité ; 
 Mettre en place des liens vers notre profil Twitter, et ce à partir des différents comptes que 
nous possédons sur les réseaux sociaux et de nos sites web. 
 
Twitter est un outil efficace parce qu’il se prête à une multitude d’usages… 
 
 Le système des Hashtags permet de mettre en œuvre une véritable communication autour 
de nos marques et de nos services ; 
 Nous devons maximiser les chances que nos tweets soient retweetés ; 
 Nous  avons  à  apprendre  comment  susciter  de  l’engouement  chez  les  internautes  en  leur 
proposant du contenu « mémorable ». 
 

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8/ Du trafic vers notre site web avec Twitter

« Les réseaux sociaux : entre acquisition et fidélisation » 
 
Twitter est, pour les marques, une façon d’engager la conversation avec ses clients. Le principe est de 
suivre nos prospects là où ils sont : 
 
 Sur ce site de réseautage social ; 
 Partout où ils vont en utilisant leur téléphone mobile. 
 
Par exemple, certaines entreprises utilisent Twitter comme un « Call Center » déporté et un outil de 
promotion de leurs produits ou de leurs services. 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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Mais Twitter permet aussi de constituer des bases de prospects importantes à partir du moment que 
l’on a, sous la main, les outils adaptés : 
 
 Récupérer les profils des personnes qui suivent telle ou telle société ; 
 Filtrer les recherches en fonction des centres d’intérêt des utilisateurs ; 
 Envoyer  des  messages  aux  internautes  qui  s’intéressent  à  une  gamme  de  produits  en 
particulier ; 
 Suivre et être suivi en retour par les habitants d’une région ou d’une ville en particulier ; 
 Repérer les utilisateurs les plus actifs en fonction de leur nombre de « suiveurs » ; 
 Sauvegarder des listes d’utilisateurs ciblés en fonction de leurs faits et gestes sur Twitter. 
 

 
 
Une  fois  que  nous  aurons  dressé  notre  liste  des  personnes  à  suivre,  nous  n’aurons  plus  qu’à  les 
contacter automatiquement (le logiciel s’occupe de tout) puis de vérifier qu’elles nous ont bien suivis 
en retour. 
 
Bien entendu et puisque nous pouvons personnaliser notre profil Twitter, il ne nous restera plus qu’à 
vérifier que nos efforts de prospection ont été récompensés par une augmentation significative des 
visites sur notre site. 
 
 
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Un client Twitter permet aussi d’automatiser un certain nombre de tâches : 
 
 Programmer un système de réponses automatiques ; 
 Créer un message de remerciement pour les internautes qui nous suivent ; 
 Planifier l’envoi de Tweets tout au long de la journée ; 
 Générer des Tweets à partir d’un flux RSS ; 
 Supprimer  automatiquement  les  personnes  que  nous  suivons  et  qui,  en  échange,  ne  nous 
suivent pas. 
 
En bref, Twitter est un excellent outil de prospection et donc une application complète de marketing 
direct. 
  9/ Sociabiliser un site web
 

Sociabiliser un site web

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9/ Sociabiliser un site web

« Le Web 2.0 marque la fin des contenus statiques : le site web, c’est le hub » 
 
Nous avons vu les possibilités offertes par les boutons « J’aime » et « Partager » de Facebook, mais 
Twitter permet aussi d’ajouter un bouton de « Retweet ». Il vise à favoriser la diffusion du contenu 
de  notre  site  en  direction  de  la  « Twittosphère »  et  plus  le  nombre  de  tweets  obtenus  par  l’article 
sera important, plus il sera diffusé et partagé à l’intérieur de la communauté. 
 
  

 
Nous pouvons utiliser la puissance de feu des réseaux sociaux pour : 
 
 Promouvoir notre contenu web ; 
 Mettre en place des fonctions de recommandation ; 
 Susciter des adhésions à notre FanPage à partir de notre site ; 
 Proposer plus facilement du contenu multimédia ; 
 Créer un maillage de contenu qui soit diffusé dans la sphère sociale. 
 
 
 
 
 
 
 
 

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La promotion d’un espace social peut porter sur beaucoup de supports possibles : 
 
 L’emailing ; 
 Les cartes de visites ; 
 Les documents diffusés par la société ; 
 Les espaces réels comme les vitrines de boutiques ; 
 La presse magazine, la télé ; 
 Les pages d’entrée du site ; 
 etc. 
 
 

 
Nous pouvons aussi intégrer toutes sortes de contenu (atomisé) à notre site : 
 
 Un Widget Twitter qui montre notre activité sur cette application ; 
 Les listes des personnes que nous suivons sur Twitter ; 
 Un encart affichant les actualités de notre FanPage ; 
 Un bouton de vote « Google Buzz » ; 
 Un chat en ligne ; 
 Un carrousel des photos publiées sur Facebook ; 
 Une galerie de nos vidéos sur YouTube, etc. 
 
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Mais les Widgets permettent aussi d’obtenir, de la part des internautes, un Feedback instantané afin 
de favoriser les retours client et mieux comprendre leurs motivations. 
 

 
 
 

 
 
Nous pouvons également ajouter de véritables barres sociales qui renverront les internautes vers nos 
différents  profils :  Facebook,  Twitter,  YouTube,  etc.  Enfin,  Il  est  possible  de  créer  des  Widgets 
communautaires avec, en ligne, l’ensemble des statistiques détaillées d’utilisation. 
 
 
 
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10/ Trouver des « Leads » en B2B

« Apprenez à donner avant de recevoir » 
 
Viadeo en quelques chiffres ? 
 
 Viadeo, c’est 75% de cadres, 15% de chefs d’entreprise et 5% d’indépendants ; 
 Viadeo compte, en France, plus de 2 200 000 d’utilisateurs uniques (Viadeo 2010). 
 

 
 
Viadeo va nous permettre de : 
 
 Dénicher le précieux contact : client, fournisseur ou partenaire commercial ; 
 Recruter des collaborateurs « on line » et passer des annonces ; 
 Diffuser des communiqués de presse et annoncer sur des évènements ; 
 Échanger des informations et des points de vue sur des thématiques métiers précises ; 
 Améliorer notre e‐réputation ainsi que celle de notre entreprise. 
 
En ce sens, Viadeo est un réseau professionnel qui convient parfaitement aux sociétés B2B… 
 
Il  sera  pleinement  efficace  à  partir  du  moment  où  l’ensemble  des  salariés  de  l’entreprise  participe 
aux efforts visant à accroître notre visibilité : 
 
 Questions/Réponses ; 
 Mises en relation directes et indirectes ; 
 Utilisation des recommandations ; 
 Support aux forces de vente ; 
 Élaboration de contenus à forte valeur ajoutée ; 
 Participation aux forums de discussions et lancement de nouveaux sujets de réflexion. 
 
 
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Par  ailleurs,  il  faut  savoir  trouver  un  juste  milieu  entre  un  ton  trop  « Corporate »  et  une  approche 
plus créative : 
 
 Accroche parlant du problème du client ou de ses interrogations ; 
 Description des bénéfices apportés par nos solutions ; 
 Mise en avant des avantages immédiats à tester ou venir essayer un produit ou un service. 
 

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Il faut savoir jouer des coudes pour être visible sur Viadeo : 
 
 Créer ou participer à des Hubs et des communautés ; 
 Faire des annonces d’évènements ; 
 Rejoindre les « Club Business » et susciter des rencontres dans le monde réel ; 
 Utiliser les recommandations pour mieux préparer des rendez‐vous professionnels ; 
 Multiplier les bonnes tactiques quand on diffuse des communiqués de presse ; 
 Utiliser les fonctionnalités de recherche avancée afin de trouver les bons contacts ; 
 Mettre en place des systèmes de veille afin de savoir ce qu’il se passe chez nos concurrents. 
 
Viadeo est une application efficace quand on souhaite bâtir de véritables systèmes relationnels qui 
nous  permettront  de  trouver  de  nouveaux  clients  en  B2B  et,  pour  ainsi  dire,  de  vendre  notre 
expertise pour ensuite les intéresser à nos produits ou à nos services. 
 
 Quels sont les clés d’une présence réussie sur Viadeo ? 
 Comment  est‐il  possible  d’utiliser  les  recherches  sur  Viadeo  sans  souscrire  à  une  offre 
payante ? 
 Existe‐t‐il  une  manière  de  savoir  qui  a  visité  notre  profil  (toujours  sans  posséder 
d’abonnement) ?  
 Quelles sont les bonnes tactiques à adopter pour susciter des visites sur notre site ? 
 Est‐ce qu’il faut créer une page entreprise ou privilégier les approches en deux temps ? 
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LinkedIn est aussi un réseau intéressant de part les outils qu’il propose et, notamment, son système 
d’alertes sur les sociétés de notre choix.  
 
Enfin, nous pouvons nous servir de ces réseaux sociaux pour recruter efficacement sur Internet. 
 
Il suffira ensuite de générer un flux RSS à partir des recherches que nous avons tapées pour être, par 
exemple,  automatiquement  prévenu  quand  un  profil  qui  nous  intéresse  vient  de  s’inscrire  sur 
Viadeo. 
 

 
 

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11/ Créer une chaîne TV pour développer sa marque

« YouTube : le média de prédilection… de qui, au juste ? » 
 
C’est une erreur courante de croire que YouTube est une plateforme de partage vidéos uniquement 
destinée…  aux  jeunes.  Ces  quelques  statistiques  –  communiquées  par  YouTube  en  2010  –  sont 
intéressantes : 
 
 YouTube est le deuxième moteur de recherche au monde ; 
 YouTube utilise l’équivalent, en bande passante, de tout l’Internet en 2000 ; 
 Chaque jour, plus de 200 000 vidéos sont publiées ; 
 Le nombre de vidéos visualisées, quotidiennement, avoisine les deux milliards. 
 
C’est une autre manière de dire que, sur YouTube, toutes les tranches d’âge sont représentées… Et 
que les statistiques de fréquentation des chaînes des « Influenceurs » ont, souvent, de quoi donner 
le vertige. 

 
 
L’objectif consiste aussi à créer un espace dédié qui permette de : 
 
 Renforcer l’image de marque de notre société ; 
 Faire connaître les produits et les services que nous commercialisons ; 
 Communiquer sur les évènements marquants de notre société ; 
 Développer le trafic entrant vers notre site ; 

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 Créer  des  campagnes  marketing  en  utilisant  le  pouvoir  de  viralité  des  vidéos.Les  chaînes 
YouTube ?  C’est  profiter,  à  la  fois,  de  l’audience  du  3ème  site  le  plus  visité  en  France  et  du 

cinquième réseau social en France (IFOP, octobre 2010). 

Il est aussi possible de créer une chaîne sur YouTube et de bénéficier des fonctionnalités suivantes : 
 
 Outils  permettant  de  faire  du  montage  vidéo,  d’ajouter  des  bandes  son,  des  éléments 
interactifs, etc. 
 Fonctionnalités avancées permettant d’optimiser le référencement de ses vidéos sur Google ; 
 Indexation immédiate par Google sur des requêtes très concurrentielles ; 
 Création de listes de diffusion afin de favoriser les interactions avec les internautes ; 
 Statistiques détaillées de la diffusion de nos clips, et ce même quand ils sont intégrés sur des 
sites tiers. 
 
Les points suivants doivent être soigneusement réfléchis : 
 
 La présence des mots‐clés voulus dans l’adresse URL de la chaîne ; 
 Le titre de la chaîne ainsi que sa description ; 
 Les listes de mots‐clés de ciblage sur lesquels nous souhaitons nous positionner ; 
 Les paramètres de visibilité de notre chaîne ; 
 Les  possibilités  que  nous  allons  donner  aux  internautes  afin  qu’ils  puissent  interagir  avec 
notre contenu multimédia. 
 
Une  chaîne  sur  YouTube  est  une  excellente  façon  de  toucher  une  audience  qui  croît  de  manière 
exponentielle… 

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12/ Booster son trafic avec les vidéos

« Une image vaut mille mots… Et une vidéo vaut tous les discours » 
 
Quand  nous  examinons  l’apport  de  la vidéo  aux  réseaux  sociaux,  nous  pouvons  distinguer  ces  cinq 
grandes tendances : 
 
 Optimiser son SEO de façon à susciter du trafic supplémentaire ; 
 Développer le taux de conversion de son site en montrant des produits « en situation » ; 
 Améliorer son image de marque en utilisant des vidéos de « Branding » ; 
 Créer des clips qui serviront de support à une campagne virale ; 
 Gagner des conversions nouvelles en faisant de la publicité vidéo. 
 
Le  but  est  bien  d’intégrer  des  vidéos  sur  notre  site  web  et  notre  FanPage…  Et  de  gagner  des 
conversions issues à partir de ce média particulièrement efficace. 
 

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Par définition, la vidéo est sociale : 
 
 Les internautes peuvent annoter nos vidéos ; 
 À l’intérieur d’un clip, nous pouvons rediriger l’internaute vers un jeu‐concours, notre chaîne 
sur YouTube, une page dédiée de notre site, etc. 
 Les  fonctionnalités  de  partage  font  qu’une  vidéo  peut  être  diffusée  rapidement  dans  la 
communauté ; 
 Ces  mêmes  facilités  d’implémentation  favorisent  la  publication  de  ce  contenu  sur  d’autres 
sites. 
 
La  vidéo  est  aussi  un  média  concret :  il  est  beaucoup  plus  simple  d’expliquer  quelque  chose  en 
images que de le dire avec des mots. C’est donc une occasion d’aborder de manière ludique ou/et 
pédagogique le fonctionnement de nos produits, les bénéfices clients apportés par nos services, les 
coulisses de notre société, les évènements que nous organisons, les « Making of », etc. 

 
Une vidéo peut, par exemple, montrer : 
 
 Des comptes‐rendus d’évènements marquants ; 
 Des explications sur les services que nous commercialisons ; 
 Des interviews des cadres de notre société ou des employés les plus représentatifs ; 
 La vie de l’entreprise avec des vues des locaux et des entrepôts ; 
 Les coulisses de la société ; 
 Des tutoriaux filmés de l’utilisation de nos produits (les « Screencasts ») ; 
 Des films ludiques dans lesquels les employés se mettent en scène (les « Lipdubs ») ; 
 Des retransmissions en temps réel de certaines manifestations (le « Livestreaming ») ; 
 Des produits tels qu’ils fonctionnent chez nos clients. 
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Comment indexer et promouvoir de manière efficace une vidéo ? 
 

 Il  est  conseillé  d’utiliser  un  fichier  de  sous‐titre  afin  de  donner  du  grain  à  moudre  aux 
moteurs de recherche ; 
 Il faut réfléchir au choix de la miniature car elle fonctionnera comme une incitation au clic ; 
 Une vidéo raconte d’abord une histoire avant de promouvoir un message commercial ; 
 Une vidéo doit obéir à un certain nombre de règles en termes de longueur de contenu ; 
 Elle doit intégrer, de manière visible, notre logo ; 
 Nous  devons  ajouter  des  liens  vers  le  site  « maison »  mais  aussi  vers  nos  différents  profils 
sociaux ; 
 Nous pouvons utiliser le système des annotations afin d’ajouter des éléments interactifs. 
 

Existent‐ils d’autres avantages à mettre des vidéos en ligne ? 
 

 Il  est  couramment  admis  que  la  présence  de  clips  permet  d’augmenter  le  taux  de 
transformation des sites e‐commerce de 15% ; 
 Les vidéos sont un excellent moyen de rapprocher les prospects des produits ou des services 
que commercialise une société ; 
 Une  vidéo  présente  un  fort  pouvoir  d’attractivité :  quel  que  soit  l’endroit  où  elles  sont 
placées sur le site, elles suscitent un nombre important de lectures ; 
 Les  vidéos  possèdent  l’avantage  d’être  complètement  « traçables » :  nombre  de  clics  sur  le 
bouton « Lecture », sur le bouton « Pause », sur les boutons de partage, horodatation de la 
fin de lecture, etc. 
 
C’est donc un médium qui a toute sa place dans un processus de conversion et dont l’efficacité peut 
être mesurée de manière très précise.  
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13/ Créer un blog pour améliorer son référencement

« La blogosphère : un continent à conquérir » 
 
Nous  pouvons  décider  de  créer  un  blog  ou/et  d’utiliser  la  Blogosphère  comme  un  tremplin  à  une 
campagne marketing : 
 
 34% des articles publiés sur les blogs concernent des marques et des sociétés ; 
 21% des internautes décident d’acheter un produit après avoir lu un blog ; 
 Les entreprises qui possèdent un Blog bénéficient en moyenne de 55 % d’augmentation de 
trafic sur leur site Web. 
 
Contrairement  aux  idées  reçues,  un  blog  présente  de  nombreux  avantages  comparés  à  son  grand‐
frère « Corporate » :  13/ Créer un blog pour améliorer son référencem
 
 Il est excellent pour le référencement du site « maison » (liens croisés) ; 
 C’est l’occasion de s’adresser, d’une autre manière, à notre cible commerciale ; 
 C’est une façon rapide d’engager le dialogue avec nos clients ; 
 C’est un passage obligé pour qui veut être présent sur les réseaux sociaux. 
 

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Avec  un  blog,  nous  drainons  un  trafic  mieux  ciblé  puisque  nous  nous  adressons,  d’une  manière 
différente, aux internautes. 
Pourtant, l’élaboration d’un blog d’entreprise nécessite une longue réflexion préalable : 
 
 Quel CMS (« Content Management System ») choisir ? 
 Quelle sera la ligne éditoriale ? 
 Quelles sont les règles d’écriture à respecter ? 
 Quelles sont les recettes d’un article souvent cité ? 
 Quelles sont les bonnes pratiques dont nous pouvons nous inspirer ? 
 Comment utiliser la Blogosphère pour drainer du trafic nouveau ? 
 Quels sont les principes à respecter pour que notre blog soit bien référencé par Google ? 
 Comment faire partie de la recherche en temps réel ? 
 À quelle condition pouvons‐nous adhérer au programme Google Actualités ? 
 Comment susciter plus de commentaires chez les internautes ? 
 Comment faire partie de la « longue traîne » ? 
 Comment générer un ou plusieurs flux RSS « optimisés » ? 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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Les articles peuvent être : 
 
 Des compilations de ressources ; 
 Des listes de liens ; 
 Des articles écrits par un « invité » (« le blog posting ») ; 
 Des tutoriaux ; 
 Des interviews des employés ; 
 Les interventions du « patron » ; 
 Des articles mettant en valeur l’expertise de la société ; 
 Un récapitulatif de nos interventions sur Twitter ; 
 Des compléments de réponses à une discussion sur Facebook ; 
 Etc. 
 
Un blog apporte de nombreux résultats tangibles : 
 
 Attirer de nouveaux prospects ; 
 Valoriser notre expertise ; 
 Vendre plus et mieux ; 
 Rendre, nos marques et notre société, plus proches des internautes. 
 
La  blogosphère ?  Une  bonne  façon  de  trouver  des  relayeurs  d’opinion  et  de  toucher  les 
prescripteurs. 
 
Mais  puisque  l’on  parle  des  « influenceurs »,  nous  pouvons  aussi  chercher  à  toucher  les  blogueurs 
qui ont le vent en poupe afin qu’ils parlent des produits ou des services que nous commercialisons. 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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Il nous faudra dans ce cas : 
 
 Identifier les blogueurs qui, en plus de posséder une large audience, ont l’avantage d’être des 
« Early Adopters » ; 
 Préparer des campagnes de communication qui soient efficaces ; 
 Susciter  une  large  adhésion  de  leur  part  en  mettant  en  place  des  systèmes  « donnant, 
donnant » ; 
 Utiliser la Blogosphère comme d’un relais à un jeu‐concours, à une opération de promotion. 
 
 

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14/ Mesurer et optimiser ses campagnes de « Social Media »

« On ne peut améliorer que ce qu’on mesure » 
 
La question qui se pose, quand nous faisons du marketing relationnel ou du marketing multi‐canal, 
est la façon de mesurer l’apport réel des réseaux sociaux dans les conversions réalisées sur notre site 
web. Il existe trois possibilités : 
 
 Des réseaux sociaux comme Facebook proposent un suivi analytique des FanPages ; 
 Des applications dédiées opèrent une synthèse de nos interactions et de notre influence sur, 
par exemple, Twitter ; 
 Une  application  de  Web  Analytics  permet  de  traquer  les  visites  provenant  directement,  ou 
indirectement, d’un site de réseautage social. 
 
 

 
Le défaut des deux premières solutions est qu’elles s’arrêtent à notre site web : nous savons ce qui 
s’est passé sur une FanPage ou dans la « Twittosphère » mais rien en ce qui concerne les visites. 
 
 
 
 
 
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Et d’autres problèmes se posent à nous : 
 
 Différencier les apports respectifs de tel ou tel Hub sur Viadeo ; 
 Traquer les campagnes « hors ligne » ; 
 Distinguer  les  différentes  sources à  l’intérieur  d’un  même  réseau  :  les  clients  Twitter,  les 
pages de profil, les raccourcisseurs d’URL, le moteur de recherche Twitter, etc. 
 Mesurer l’efficacité respective des liens à l’intérieur d’un même support : le mur d’une page 
Facebook, l’image cliquable visible sur l’onglet « Promotions estivales », etc. 
 
Il  faut  alors  créer  des  campagnes  structurées  de  manière  à  ce  que  les  différents  éléments  qui  les 
composent :  nom de la campagne, support, source, slogan utilisé, variante du lien et  de l’annonce, 
soient récupérés dans notre application de « Web Analytics ». 
 
 
 

Et  l’astuce  consiste  à  utiliser  une  fonctionnalité  appelée  « URL  intelligentes »  afin  de  pouvoir 
comparer le ROI de nos différentes campagnes de « Social Media ». 
 
Comment  est‐ce  que  cela  fonctionne ?  En  même  temps  que  nous  définissions  les  adresses  URL  de 
destination, nous allons ajouter des paramètres spéciaux qui vont fonctionner comme des signaux de 
reconnaissance pour, par exemple, Google Analytics. 
 
 
 
 
 

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Ce dernier va pouvoir ensuite ranger les différentes pages vues en fonction : 
 
 Du nom de la campagne (« Fête des mères 2010 ») ; 
 Du support utilisé (« Réseaux sociaux », « Blogs », « Emailing ») ; 
 De la source de la visite (« Facebook », « Twitter », « Viadeo ») ; 
 De l’emplacement du lien (« Lien image », « Skyscraper ») ; 
 De l’intitulé de l’annonce publicitaire (« Commander des roses », « Livraison le jour même »). 
 
De cette façon, nous pourrons : 
 
 Juger de la qualité du trafic envoyé par tel ou tel réseau social ; 
 Mettre en compétition les différents canaux d’acquisition (SMO, SEA, SEO, etc.) ; 
 Ajuster nos budgets marketing en fonction du ROI constaté ; 
 Justifier  de  l’efficacité  de  nos  campagnes  en  mettant  en  évidence  les  retombées  pour 
l’entreprise. 

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15/ Surveiller et anticiper un Buzz négatif

« Il faut 20 ans pour construire une réputation et 5 minutes pour la détruire » 
(Warren Buffet) 
 
C’est  une  autre  manière  de  dire  que  si  nous  n’occupons  pas  tout  l’espace  disponible,  ce  sont  nos 
détracteurs qui vont en disposer. Quelques constats : 
 
 L’e‐Réputation  est  mondiale  :  le  Web  est,  à  la  fois,  une  caisse  de  résonnance  et  un 
accélérateur ; 
 L’e‐Réputation se fait aussi locale : Foursquare, Google Maps, Gowalla, dismoiou, etc. 
 
Nous faisons allusion au formidable essor de la géolocalisation dans les réseaux sociaux… 
 
 L’e‐Réputation  ne  touche  pas  que  les  entreprises,  mais  aussi  les  universités,  les  grandes 
écoles, les institutions publiques, etc. 
 L’e‐Réputation  concerne  l’ensemble  des  corps  de  métier  quelle  que  soit  leur  taille  (voir  le 
développement des sites de notation). 
 

 
 
Quand on parle de nous ou de notre entreprise sur un forum, un site d’actualités ou à connotation 
sociale, nous avons 9 chances sur 10 que ce lien soit visible dans Google et, généralement, en 3ème 
position (sur les requêtes de notoriété). 
 

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En  bref,  Google  favorisera  systématiquement  la  voix  des  utilisateurs  au  détriment  de  la  nôtre  : 
« Votre  marque,  ce  n’est  pas  ce  que  vous  en  dites  mais  ce  que  Google  en  dit  »  (Chris  Anderson  ‐ 
Rédacteur en chef de Wired). 
 
Mettre en place un dispositif de veille répond à ces objectifs : 
 
 Surveiller  les  détournements  possibles  de  nos  données  (logos,  contenus,  documents 
importants, etc.) 
 Surveiller  ce  qui  se  dit  sur  notre  société,  nos  produits  et  nos  services,  mais  aussi  sur  les 
salariés ; 
 Surveiller ce que font nos concurrents : nouvelles lignes de produits, changements dans les 
prix,  pages  récemment  indexées  par  les  moteurs,  offres  promotionnelles,  projets 
d’entreprise, etc. 
 Surveiller  les  contenus  web  qui  nous  intéressent  :  applications  métier,  thématiques, 
actualités juridiques, économiques, etc. 
 
 
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Il  existe  deux  types  d’outils  permettant  de  mener  à  bien  les  différentes  tâches  que  nous  nous 
sommes fixées : 
 
 Les applications de veille : être tenu informé des nouveautés publiées sur un thème précis via 
des alertes en mode push (l’école du savoir : les flux RSS !) ; 
 Les  outils  de  Web  scraping  qui  permettent  de  générer,  par  exemple,  une  alerte  e‐mail  dès 
que du contenu web, quel qu’il soit, est mis à jour. 
 
Les  flux  RSS,  quand  ils  sont  utilisés  avec  des  applications  dédiées  (les  agrégateurs),  présentent  de 
nombreux avantages par rapport aux alertes e‐mails : 
 
 Ils sont beaucoup plus rapides puisqu’ils font partie de l’indexation en « Temps réel » ; 
 Ils offrent des possibilités de classement et un système de priorisation ; 
 Ils permettent des recherches à l’intérieur d’un ensemble de sites web précis ; 
 De  par  la  souplesse  de  leur  structure,  ils  peuvent  être  « transformés » :  page  HTML,  fichier 
PDF, gadget installé sur le Bureau Windows, fichier multimédia, etc. 
 Ils peuvent être consultables à tout moment puisqu’ils sont, généralement, stockés en ligne 
(le « Cloud Computing »). 
 
Plusieurs questions se posent alors : 
 
 Existe‐t‐il  des  applications  gratuites  qui  permettent  de  faire  de  la  veille  d’entreprise ?  La 
réponse est oui ! 
 Est‐ce aussi le cas pour les outils de Web scrapping ? Là encore, nous pouvons répondre par 
l’affirmative… 
 Quelles  sont  les  meilleures  plates‐formes  professionnelles  de  veille  et  comment  rédiger  un 
cahier des charges précis, et ce afin d’éviter des déconvenues ? 
 Dans ce cas, quels sont les avantages des solutions payantes comparées à leurs homologues 
libres de droit ? 
 Enfin,  comment  mettre  en  place  un  système  de  veille  efficace  qui  va  nous  permettre  de 
réagir « au quart de tour » ? 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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Une fois que nous aurons mis en place des dispositifs d’écoute et d’analyse, nous serons à même de 
pouvoir  anticiper  sur  les  évènements.  De  fait,  nous  mettrons  de  côté  la  communication 
unidirectionnelle  (le  « Mass  marketing »)  au  profit  d’une  conversation  à  deux  sens,  ou  «  peer‐to‐
peer ». 
 
 
 
 

 
 

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Et maintenant ?

 
La grande difficulté est de définir des stratégies pérennes alors qu’il existe une profusion d’outils. 
Par  ailleurs,  et  si  les  réseaux  sociaux  demandent  des  budgets  réduits,  ils  sont  extrêmement 
chronophages. Faut‐il rappeler que le temps, c’est surtout de l’argent ? 
 
Enfin, mettre sur pied des campagnes « Social Média » nécessite une réflexion sur les objectifs que 
l’on souhaite atteindre, et les moyens techniques et humains qui seront nécessaires. 
Ce n’est donc pas une mince affaire, et ce même si les enjeux, pour l’entreprise, sont importants. 
 
‐>  Pourquoi,  dans  ce  cas,  ne  pas  suivre  une  formation  de  deux  jours  qui  vous  permettra 
de : 
 Profiter de l’expérience d’experts en Web marketing ; 
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Siège social  Bureau de liaison  
1300 route des Crêtes  85 rue de Ménilmontant 
06560 Sophia Antipolis  75020 Paris 
Tél. : 04 93 00 09 58  Tél. : 01 46 36 69 12 

 
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