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Exercices autour des subordonnées

Entourez les mots subordonnants, puis mettrez entre crochets chaque subordonnée.

1. Il s’achète les romans policiers que je lui conseille ou dont il a lu de bonnes critiques.

2. Avant que tu ne sortes, tu viendras me voir et tu me diras à quelle heure tu penses rentrer.

3. Puisque tu réagis ainsi et que tu refuses d’écouter les conseils que je te donne, je m’en vais.

La subordonnée en gras est-elle une interrogative indirecte, une relative, une conjonctive
circonstancielle ou une conjonctive par que ? Indiquez la fonction de chaque subordonnée.

1. J’ignore où il vit. .......................................................................................................

2. Puisqu’il pleut, ne sors pas. .........................................................................................

3. Je crois qu’elle a changé. ............................................................................................

4. Le livre auquel tu penses a été écrit en 1920. ..................................................................

Soulignez les subordonnées, puis indiquez leur nature précise et leur fonction grammaticale.

1. Quand crois-tu que nous pourrons préparer l’exposé que le professeur nous a
donné ? ............................................................................................................................... . .

2. Je me demande quand aura lieu le match et où il se


déroulera. ............................................................................................................................... . .

3. Connais-tu l’endroit où le repas de fin d’année sera organisé et sais-tu qui sera
présent ? ............................................................................................................................... . .

4. Quand il fait beau, je vais me promener sur ce chemin qui est pittoresque.

Relevez les subordonnées du texte. Indiquez leurs classes et leurs fonctions.

La nuit était fort avancée lorsque la ronde qui passait aperçut un homme étendu sans mouvement à
la porte d’une église. Les archers s’approchèrent, croyant que c’était le cadavre d’un homme
assassiné. Ils reconnurent aussitôt le comte de Marana, et ils essayèrent de le ranimer en lui jetant
de l’eau fraîche au visage ; mais, voyant qu’il ne reprenait pas connaissance, ils le portèrent à sa
maison. […] On lui fit une abondante saignée, et il ne tarda pas à reprendre ses sens. […] Il demanda
où il était.

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