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propos d’un mot que répétait le cocher de sa mère : Quand on a levé le
coude, il faut regarder entre les oreilles de son cheval, et faire comme fait
levoisin. Le maréchal s’arrêta longtemps auprès de plusieurs corps de
cavalerie qu'il fit charger ; mais pendant une heure ou deux, il n’eut guère la
conscience de ce qui se passait autour de lui. Il se sentait fort las.
STENDHAL, La chartreuse de Pame, 1839
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Il y avait, chez Nantas, une ambition entêtée de fortune, qu'il tenait de sa
mère. C’était un garçon de décision prompte, de volonté froide. Tout jeune,
il disait être une force . Souvent on ri de lui, lorsqu'il s'oubliait à faire des
confidences et à répéter sa phrase favorite « Je suis une force », phrase
qui devient comique, quand on le voyait avec sa mince redingote noire,
craquée aux épaules, et dont les manches lui remontaient au-dessus des
poignets. Peu à peu, il s'était ainsi fait une religion de la force, ne
voyantquelle dans le monde , convaincu que les forts sont quand même les
victorieux. Selon lui, il suffisait de vouloir et de pouvoir. Le reste n'avait
pas d’importance.
Émile Zola, « Nantas » (1883).
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7- Conjuguez les verbes au présent de l’indicatif et accorde les mots entre
parenthèses. /4
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