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Sommaire
A) Introduction…………………………..………….2
B) TP N◦ 1 : Logique combinatoire ………………..2
C) TP N◦ 2 : Logique séquentielle ………………...13
D) TP N◦ 3 : Automate programmable industriel
(siemens : LOGO)……………………………………29
E) TP N◦ 4 : Automate programmable industriel..34
F) Concision ………………………………………..36
TP AUTOMATISME
ESTF
A. Introduction :
L’automatisme consiste en l’étude de la commande de systèmes
industriels. Les techniques et méthodes d’automatisation sont en
continuelle évolution ; elles font appel à des technologies :
électromécaniques, électronique, pneumatique, hydraulique. Les
automatismes sont présents dans tous les secteurs d’activité
(menuiserie, textile, alimentaire, automobile…).
B. TP N◦ 1 : Logique
combinatoire :
Le but de cette manipulation est de simuler le fonctionnement des
systèmes combinatoires sur des maquettes de simulation
DIGIBORAD.
1) Définition :
Fonction logique dont la valeur de sortie dépend uniquement des
valeurs des variables d’entrées et ne dépend pas des états antérieurs de
la fonction (pas de mémorisation).
Variable logique : Grandeur représenté par un symbole, pouvant
prendre deux valeurs logiques distinctes. ü Etat logique : Valeur d’une
variable logique, représentée par les chiffres « 0 » ou « 1 » ou les
lettres « L » ou « H ».
Fonction logique : Groupes de variables reliées entre-elles par des
opérateurs logiques.
Il est nécessaire de distinguer :
• la grandeur physique représentée.
TP AUTOMATISME
ESTF
2) Manipulation :
Dans cette partie, on va tracer les logigrammes NAND de plusieurs
fonctions à deux entrées en réalisant le câblage sur le simulateur :
a.b
a a.b
b
S=a.b
TP AUTOMATISME
ESTF
a.b
Tableau de Vérité :
a b S
0 0 0
0 1 0
1 0 0
1 1 0
A+B
Tableau de Vérité :
TP AUTOMATISME
ESTF
a b S
0 0 0
0 1 1
1 0 1
1 1 1
a b :
Tableau de Vérité
a b S
0 0 0
0 1 1
1 0 1
1 1 0
A ʘB :
TP AUTOMATISME
ESTF
Tableau de Vérité
a b S
0 0 1
0 1 0
1 0 0
1 1 1
ĀC-+AḆ
DECODEUR
Définition et fonctionnement :
TP AUTOMATISME
ESTF
Schéma :
TP AUTOMATISME
ESTF
MUX
Définition et fonctionnement :
Schéma :
TP AUTOMATISME
ESTF
½ Additionneur
Définition et fonctionnement :
TP AUTOMATISME
ESTF
Additionneur complet
TP AUTOMATISME
ESTF
Définition et fonctionnement :
Un additionneur complet nécessite une entrée supplémentaire :
une retenue.
L'intérêt de celle-ci est de permettre le chaînage des circuits.
L’additionneur complet, est composé de deux demi-
additionneurs en série accompagnés d'une logique pour calculer la
retenue (un OU entre les deux retenues générales par chacun des demi-
additionneurs)
Schéma :
TP AUTOMATISME
ESTF
1) Définition :
Un circuit logique séquentiel est un circuit logique possédant des
entrées et des sorties et présentant un comportement où les sorties ne
dépendent pas seulement des entrées, mais également des séquences
des entrées passées. Pour ce faire, le circuit utilise une partie mémoire
qui va lui permettre de retrouver l’état induit par les entrées passées.
La sortie est par conséquent calculée en fonction de l’état présent et
des entrées qui arrivent au système.
2) Manipulations :
La bascule rs asynchrone :
TP AUTOMATISME
ESTF
Définition et fonctionnement :
Une bascule RS est une fonction mémoire. Cette fonction
mémoire est réalisée par un opérateur logique qui peut stocker une
information jusqu'à ce que cette information soit effacée par une autre
information. L'opération de stockage d'information s'appelle "SET"
(Mise à un) l'opération d'effacement s'appelle "RESET " (Mise à
zéro). Ces opérateurs peuvent être électriques, électroniques,
pneumatiques...
A la mise sous tension la bascule est déjà positionnée c’est pour
cela que l’état [0, 0] est fonction de l’état précédent. Si on peut décrire
le comportement de la bascule pour les états [0,1] et [1, 0], on est par
contre incapable de décrire son fonctionnement pour l’état [1,1], on
peut dire qu’il est instable. Il existe des mémoires à marche prioritaire
on les distingue par un petit astérisque. Pour cette mémoire
l'indétermination (état [1, 1]) est levée.
En fonctionnement asynchrone, les changements d'état des
fonctions s'effectuent au fur et à mesure de la propagation des signaux
le long d’une chaine de bascules.
Schéma :
TP AUTOMATISME
ESTF
la bascule rsh :
Définition et fonctionnement :
TP AUTOMATISME
ESTF
F= (m+X).non a
TP AUTOMATISME
ESTF
TP AUTOMATISME
ESTF
TP AUTOMATISME
ESTF
Définition et fonctionnement :
Schéma :
TP AUTOMATISME
ESTF
registres :
Un registre est un circuit permettant d’enregistrer provisoirement
un *mot* binaire en vue de son transfert ultérieur dans un autre
circuit. Il est constitué par autant de bascules élémentaires qu’il y a
de <bits> dans le mot (4 pour un quartet, 8 pour un octet).
TP AUTOMATISME
ESTF
Tous les bits sont transmis et mémorisés en même temps dans ce type
de registre.
Ces registres sont caractérisés par :
- n entrées de donnée,
- n sorties de donnée,
TP AUTOMATISME
ESTF
- n bascules,
- une entrée de chargement (horloge)
- éventuellement une entrée de commande de lecture (READ)
Schéma :
TP AUTOMATISME
ESTF
L'automate programmable
industriel :
La structure interne d’un API peut se représenter comme suit :
TP AUTOMATISME
ESTF
Le microprocesseur :
Le microprocesseur réalise toutes les fonctions logiques ET,
OU, les fonctions de temporisation, de comptage, de calcul... à partir
d'un programme contenu dans sa mémoire.
Il est connecté aux autres éléments (mémoire et interface E/S)
par des liaisons parallèles appelées ' BUS 'qui véhiculent les
informations sous forme binaire.
TP AUTOMATISME
ESTF
TP AUTOMATISME
ESTF
L'automate programmable
reçoit les informations relatives
au système, il traite ces
informations en fonction du jeu
d'instruction et modifie l'état de
ses sorties qui commandent les
pré-actionneurs.
Recevoir : nécessité
d'informations d'entrées.
Traiter : notion de programme
et de microprocesseur.
Jeu d'instructions : notion de
stockage donc de mémoire.
TP AUTOMATISME
ESTF
Raccordement automate
Présentation
TP AUTOMATISME
ESTF
Des entrées, des sorties, des mémoires internes : toutes sont binaires
(0 ou 1), on peut les lire (c.a.d connaître leur état) (même les sorties),
mais on ne peut écrire (modifier l'état) que sur les sorties et les
mémoires internes. Les mémoires internes servent pour stocker des
résultats temporaires, et s'en resservir plus tard.
Des fonctions combinatoires : ET, OU, NON (mais aussi
quelquefois XOR, NAND,...).
Des fonctions séquentielles : bascules RS (ou du moins Set et Reset
des bascules), temporisations, compteurs/décompteurs mais aussi
quelquefois registres à décalage, etc...
Des fonctions algorithmiques : sauts (vers l'avant mais aussi
quelquefois saut généralisés), boucles, instructions conditionnelles...
De plus il permet de créer, essayer, modifier, sauver un programme,
quelquefois par l'intermédiaire d'une console séparable et utilisable
pour plusieurs automates. Désormais cette fonctionnalité est
également possible sur PC, permettant une plus grande souplesse, une
assistance automatique, des simulations graphiques,... mais pour un
prix supérieur.
TP AUTOMATISME
ESTF
1) Définition :
Le « Ladder » (LD) est un langage graphique de
programmation. Proche dans sa représentation graphique des schémas
électriques, c’est un langage visuel très simple d’utilisation. Associé
au « Function Block Diagram » (FBD) le ladder devient un langage
complet de programmation.
Un schéma « Ladder » est constitué de plusieurs réseaux.
Chaque réseau possède une ligne d’alimentation gauche, une ligne
d’alimentation droite et des branches reliant les entrées situées à
gauche et les sorties situées à droite.
L’évaluation de chaque réseau se fait de la gauche vers la droite.
L’évaluation de l’ensemble des réseaux se fait du haut vers le bas.
2) Manipulations :
L’équation va et vient :
S= A ⊕ B :
Le schéma en Ladder :
Les entrées : I1 (A), I2 (B)
La sortie :Q1 (S)
TP AUTOMATISME
ESTF
Fonctionnement du programme :
A=0 et B=0 S=0
Fonctionnement du
programme :
a=0 et m=0 x=1 et X=1
TP AUTOMATISME
ESTF
Schéma :
TP AUTOMATISME
ESTF
Temporisation à l’enclenchement :
Temporisation au déclanchement :
TP AUTOMATISME
ESTF
Compteur/décompteur :
TP AUTOMATISME
ESTF
Fonctionnement
Au départ l’ensemble est à l’arrêt.
Cahier de charge :
Informations actions
L’ensemble en arrêt, un action sur le Allumer le feu vert de la voie.=AFV.
bouton S1en position jour.=S1 Pendant 5s.
Au bout d’un temps préréglé de Allumer le feu orange.=AFO. Pendant 1s.
5s.=t/1/5s.
Au bout d’un temps préréglé de Allumer le feu rouge.=AFR. Pendant 8s.
1s=t/2/1s.
TP AUTOMATISME
ESTF
Il y a deux cas :
Au bout d’un temps de 8s et le bouton S1 Allumer le feu vert. AFV. Pendant 5s.
est toujours en position jour=S1.
Réalisation
Réalisation du GRAFCET avec les actions et les transitions :
TP AUTOMATISME
ESTF
F.Conclusion :
Ce TP nous a permet d’acquérir des nouvelles connaissances
concernant la conception et la réalisation d’un automatisme industriel,
de connaître qu’est-ce qu’un automate programmable industriel, quel
est son rôle dans la réalisation des automatismes et enfin comment
programmer un automatisme sur un automate en utilisant le langage
LADDER.
ET on a conclure que n’importe qu’elle fonction peut être
représenter par des portes NAND, tous ça pour l’avantages de
minimiser le nombre de portes a utiliser dans les câblages et dans
d’autre cas de faciliter le travail du concepteur.
TP AUTOMATISME