LE THÉÂTRE

• L’Hôtel de Bourgogne, le théâtre du marais, les italiens (Cda, canova), la troupe de Molière, les comédiens français
(fusion des troupes de la T.d.M et de B.), l’Opéra (Lulli).
• Unité d’action : l’attention du public doit se concentrer sur une seule intrigue
• Unité de temps : l’action a une durée limitée proche du temps réel (vingt-quatre heures)
• Unité de lieu : l’action se déroule dans un lieu unique (place d’une ville ou l’intérieur d’un palais, d’une maison)
Interdit le mélange de genre : on pouvait écrire ou tragédie ou comédies.
• Vraisemblance : le sujet de l’histoire doit paraitre vrai puisque le théâtre est une imitation de la vie réelle.
• Bienséances : un ensemble de règles qui visent à ne pas choquer le public, pas de duel et de mort violente devant le
public.
• Gloire : le héros cherche avant tout sa gloire et désire susciter un sentiment d’admiration ou de pitié dans le public
• Plaire et instruire : fondements de la doctrine classique, car le spectateur doit s’amuser et en même temps tirer des
exemples.

René DESCARTES :
• Esprit rationnelle, philosophe et mathématicien. •«Le discours de la méthode» (d’appliquer à la philosophie).
•1 partie: critique la logique d’Aristote (la méthode de lui sert seulement pour ce que nous savons déjà, in ne faut pas
pour évoluer la connaissance) •2 partie : Fondée sur le pensée «Cogito ergo sum» (Je pense donc je suis). 1) Il faut
accepter seulement ce qui est évident à la raisonne. 2) Quand on a un problème, pour le résoudre on a le diviser en
morceaux. 3) commencer par les étapes les plus simples. 4) Révision générale.
•La générosité est la capacité de triompher sur les passions par la volonté et la raison, d’être maître de lui-même et de
suivre le chemin de la vertu. •Acte public qui a le but d’obtenir l’estime des autres. •Le généreux a une forte volonté et
capacité de suivre les vertus parce que la raison mène toujours à faire des bons choses. Il met les autres avant son
propre intérêt personnel. Il est supérieur à toutes les formes de faiblesse. •Capable de se sacrifier pour l’honneur.

Jean RACINE
• Vie (1639-1699) né à La Ferté-Milon. A étudié chez les Petites Écoles de Port Royale. Il est influencé par la pensée
janséniste (considération négative de la faiblesse de l’homme qui n’a pas reçu la grâce divine, la souffrance reste et c’est
difficile se libérer de la passion. La faut reste.). Il écrit des poèmes reconnaisses par le roi, il commence une carrière dans
le T. Il écrit deux tragédies de façon biblique pour Madame de Mainenan et pour le Collège du San Sir.
•Œuvres : est en plein époque classique et il respecte les règles du classicisme (Plaire et Instruire). •Auteur tragique par
excellence. •Prot surtout des femmes •Dans ses tragédies il est concentré sur le développement d’une passion
impossible et fatale comme dans le t grec, d’amour ou de colère. •La pièce commence au début de la crise du prot, il est
soumis à cette passion que ne permit pas de raisonner. Son destin est déterminé de la fatalité. • Pers victimes de la
haine des dieux, de leurs passions que leur portera à commettre des gestes fatales. Ils préfèrent mourir plutôt
qu’abandonner ses passions. • Vocabulaire réduit, action réduite au minimum, simple. •La Thébaide, Andromaque, Les
plaideurs, Britannicus, Bérénice, Hermione, Phèdre, Esther, Athalie.

Confronte entre Racine et Corneille

• Les sujets de C sont invraisemblables mais vrais, justifiés par l’histoire et la Légende. Ceux de R sont vraisemblable au
vrai et simple. • Le spectateur se concentre sur un seul problème tragique, il connaît les pers principaux, leur passé et
leurs passions. • La p dominante est l’amour, contre laquelle la raison n’a volonté, n’est pas partagé (≠C), il y a la
jalousie et la vengeance envers le rival. Cet amour-passion porte les héros à être menteurs, à perdre leur dignité. •
L’amour de C est fondé sur l’estime et l’honneur, son pers sont lucides, au contraire ceux de R sont lucides seulement
quand ils reconnaissent les raisons de leur douleur. • Dans la tragédie racinienne les pers tuent et meurent par amour à
cause de la jalousie. • Les pers son féminins car les femmes sont plus faibles devant la violence de la passion d’amour
qui cause une jalousie cruelle qui transforme l’amour en haine, qui porte au crime et l’amour au suicide. • Le héros
racinien n’est pas maître de ses passions comme le Héros de C. • L’influence janséniste a marqué R qui a une vision
pessimiste de l’homme, qui n’est pas libre, mais condamné déjà dès sa naissance. Il n’y a pas aucun espoir de pardon, de
compréhension.

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Phèdre: Tirée de la tragédie Hyppolyte d’Euripide, ou le prot est un homme. P mot grecque qui signifie la lumineuse.
•P est la femme du Thésée qui a un fils, Hippolyte eu avec une autre femme. T est absent on le croit mort. •P tombe en
amour avec H et elle avoue son amour à sa nourrice, Oenone. Elle avoue son amour à H qui la refuse et provoque sa
humiliation. •T retour et O lui dit que son fils H a essayé de séduire P pour la sauver. •T considère H coupable et il est
éloigné de la cour. •T invoque la colère du dieu Neptune, mais P veux sauver son beau-fils. •P apprendre que H est
amoureux d’Aricie, P est jalouse et elle décide de ne lui disculper pas. •H meurt tué par un monstre marin •P est plein
de remords, se repent et prend du poison, avue son passion amoureuse à T

Andromaque: (1667) Se base sur la passion d’amour qui ne peut pas se développer. • Amour non partagé, il connait des
obstacles, passion que mène à la tragédie. • Les pers (féminins) appartiennent à la mythologie grecque. • Amour égoïste
triomphe. L’amour d’A soit sublime, mais il cause de morts. • Baudelaire A dans la poésie Le cygne Hugo.
• • L’action se déroule en Épire chez Pyrrus, fils d’Achille, où Andromaque, épouse d’Hector qui est mort dans un duel,
après la chute de Troie, devient prisonnier avec son fils Astyanax et esclave du fils de Achille, Pyrrhus. Les Grecs ont
envoyé Oreste comme ambassadeur pour réclamer A. qui un jour pourrait venger la mort de son père. P, fiancé à
Hermione, tombe amoureux d’A et il veut l’épouser. Les autres pers considère ce mariage positif, parce qu’elle
deviendrait une princesse. Elle veut rester fidèle à son mari, mais elle ne peut pas refuser p q P fait u chantage  : il se
vengera sur le fils A en lui libérant aux Grecs, si elle refuse. A accepte mais elle veut se suicider après le mariage, en
sauvant son fils e sa fidélité à Hector.  Pendant ce temps O tombe amoureux d’Hermione qui est jalouse d’A et veut se
venger. Donc demande à O de tuer P, lui promettant en échange son amour. O tue P, mais au lieu de l’amour d’H, elle lui
reproche et elle va se suicider sur le corps de P et O devient fou.

MOLIÈRE
VIE: Jean-Baptiste Poquelin naît à Paris dans une famille bourgeoise (son père est tapissier du roi). Il étude au collège de
Clermont chez les jésuites, puis à Orléans. • Il entre dans le monde du théâtre avec les Béjart, mais leurs débuts sont
très difficiles, M devient prisonnier et il va en province. Il voyage et il étude les hommes ridicules. Puis il joue devant
Monsieur qui protège sa troupe. • Il épouse Armande Béjart et triomphe au Palais Royal avec L’école des femmes. Le roi
lui accorde une pension. Il y a des problèmes en.c.q.c son mariage, mais le roi devient le parrain de son fils. • Puis la
troupe devient Troupe du Roi et elle reçoive des pensions. • Il tombe malade, il se sépare et meurt pendant la
représentation du Malade imaginaire. • Comme tous les acteurs il est frappé d’excommunication, mais intervient le roi
qui obtient un enterrement dans un cimetière chrétien.
ŒUVRE: Les précieuses ridicules, L’école des femmes, Tartuffe, Dom Juan, Le misanthrope, L’avare, Le malade
imaginaire.
•M reprend comme modèle les sujets de la tradition latine, italienne de la CdA, de la farce du Moyen âge.
• À travers le rire il pouvait donner des enseignements, il devait amuser et instruire à travers la satire.
•Les prot sont pers normal, de la vie commun, qui appartiennent à l’époque. Il présent un monde réelle.
•Le schéma/intrigue habituel est basé sur un mariage contrarié: une couple veut se marier. À ce projet s’oppose le prot
princ parce qu’il est obsédé par un manie/vice/névrose/véritable maladie (Avar: obsession, Ma im: hypocondrie; Mis:
conception négative du reste d’humanité). Cette manie rendre insupportable la vie du prot.
• Ils sont bourgeoises qui ont des servants très intelligente qui aident à résoudre les probl de la couple. Ils découvrent
l’obsession du prot. des pers vicieux, ridicules, hypocrites, raisonnables •L’amour triomphe mais le vice reste.
•Il a une vision pessimiste de la nature humaine. Il doit recourir à des stratagèmes artificiels pour faire finir la c bien.
Seul Le Misanthrope ne se termine pas bien. •Coup de théâtre: situation tellement compliqué qui il y a l’intervint d’un
deus ex machina, un pouvoir super naturel, qui est l’intervention du roi qui envoie une personne qui arriva à résoudre la
situation.
• M attaque tous les vices de son époque. La satire doit être honnête et permise et peindre les mœurs sans vouloir
toucher aux personnes. Les comédies sont miroirs publics. Il veut moquer un certain type des femmes (est un peu
misogyne)
•Adopte la théorie de la juste mesure: l’humanité est médiocre avec des vices. On ne peut pas avoir la volonté de la
changer totalement. Il défend la morale de la raison : on doit avoir un équilibre général, sans changer les caractères. Il
faut les prendre comme ils sont, n’essayer pas de changer. À la fin ils sont améliorés.
• La t et Les Grandes c. étaient en vers, les c en prose. Il n’y avait pas des règles parce que les r de A ne peuvent pas
être utilisé. Le public est juge absolu et il aime la peinture vraisemblable des pers.

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•La différence entre farce et comédie est que la farce a comme but de faire rire avec des pirouettes, mots grossiers. Au
contraire la c dissipe la gravité de certaines situations et est une caricature des faiblesses humaines. •La c a comme but
de faire amuser et penser, réfléchir sur les vices de son siècle.
• Comique de gestes: hommes qui tombent, qui courent, qui combattent (surtout dans les farces : critique sociale). Puis
les com successives sont plus complexes.
• Les Grands Comédies sont considéré le chef-d’œuvre de M. Analyse physiologie des pers.Il montre la condition d’une
humanité mediocre.
• M écrit les œuvres, il est le metteur et il joue le rôle principal, il est le directeur de la troupe qui joue seulement les
pièces de M. Il est avantagé : avait l’idée si il faisait rire. Si pas, il pouvait changer. Il avait la responsabilité économique
de la troupe. Il écrivait des textes proches aux gouts du public.
• Satire social : abordé surtout dans les Comédies des Mœurs. "Les femmes savantes, «L’école de femmes» précieuse.
Les précieuses ridicules dénoncent l’excès de la préciosité. Il se moque de l’enseignement religieux donné aux filles.

MISANTHROPE:
• Thème: pessimisme et conscience de la nécessité et impossibilité de changer l’humanité. La vision de A est
totalement négative. Homme qui déteste la vie, considère la plus part de l’humanité plein de faute. Il préfère rester
isolé. • Il n’y a pas la structure des comédies.
• Intrigue :le prot, Alceste est caractérisé d’une vertu excessive. Il y a un ami, Filante (alter-ego de Molière) qui lui dit
qu’il doit être plus tolérant et accepter les fautes de l’humanité. A. tombe amoureux de Célimène qui incarne toutes les
choses qu’il déteste. Elle fréquent les salons, elle n’est pas capable de comprendre la vision du monde du A. Elle est
définie une coquette, ne peut pas tolérer le type de vie qu’il le propose. Elle répondre qu’elle continuera à vivre dans la
société. Donc A commence à fréquenter cette société il s’embrouille avec tout le monde. Il ne peut pas vivre dans cette
ambiance d’hypocrisie, où les personnes sont fausses et hyp. Il dit à C. qu’elle doit choisir entre vivre en solitude avec lui
ou vivre sans lui. Se termine tragiquement. Elle ne peut pas accepter cette condition, donc A restera totalement seul. Se
auto condamne à une la mort civile du prot: il décide de se retirer dans un lieu isolé, pour lui il y a quelque chose
d’inconciliable entre le monde et la vertu parce que le monde est hyp.

TARTUFFE: synonyme d’hypocrite. Provoque grand scandale. T montre son hyp à travers le comportement d’un homme
bigot. • Il représente les faux dévots qui montrent à l’extérieur un comportement religieux avec une dévotion
excessive. M voulait attaquer l’hyp et un groupe de personnes qui existaient réellement dans la société : pers bigotes
qui voulaient appliquer en France les règles de la contreréforme.
• Intrigue: Mariane et Valère s’aiment mais le père de M, Orgon, s’oppose à cette couple et il préfère le dévot Tartuffe
qu’il accueille dans sa maison et il lui donne ses biens. Tartuffe est un hyp et un faux dévot qui essaye de séduire la
femme d’Orgon, Elmire. T est démasqué grâce à la servante. Mais T a dans ses mains tout le patrimoine de la famille.
C’est ici qui intervient le roi (deus ex machina) qui arrête le faux dévot, qui en réalité est un escroc recherché depuis
longtemps.
• La pièce est jouée devant le roi à Versailles, mais elle était interdite publiquement à cause des adversaires de M, la
Compagnie du Saint-Sacrement et d’Anne d’Autriche mère de L. Puis il joue Tart au Palais Royal et la pièce est encore
interdite, même si il avait réécrite le texte en éliminant des parts. Réécrite 3 fois. Enfin le roi lui autorise à la représenter
au Palais Royale.

Dom Juan: en prose, DJ avec son valet Sgarnarelle fuit et il est suivi par les parents des femmes qu’il a séduites et
abandonné. DJ athée, libertin, séducteur, vive pour suivre ses passions, intérêt d’avoir tous les femmes possibles. refuse
la morale traditionnelle ; Sg défende cette morale. DJ fait l’apologie d’une hyp nécessaire pour vivre dans la société.
• Le prot est un aristocrate. N’est pas une comédie. Final Tragique. DJ condamné. Est une sorte de mythe. Prot d’une
opéra lyrique de mo. Lorenzo Da Ponte. • Libertin : moraliste sur la condition humaine. libertino=donnaiolo. •
Libertinage : recherche de liberté intellectuelle. Appelé libre penseur, laïque, revendiquaient la liberté de vivre et de
penser. DJ revendique jusqu’à la mort, il n’a pas l’intention de se repentir. Est conscient de ses choix.

• LES SALONS : lieu de naissance de la culture. Ici né la civilisation de la conversation qui a des règles. Les
organisatrices sont des femmes qui appartiennent à l’aristocratie ou bourgeoisie, cultivées. Se tenaient dans les palais
des femmes, les maisons particulières. Hôtel : salons des palais, de Rambouillet le plus célèbre de M.me Rambouillet.
• La préciosité : les fem des salons étaient appelés précieuses. Style qui reste minoritaire en France, mais un triomphe
en Europe. • Le style Baroque reste marginal en F, on n’utilise pas le terme B mais pré. • Le style pr voulait rendre la

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langue plus riche, utiliser des synonymes, périphrases, métaphores. Le B utilise des formes plus complexes. Le langage
normal est considéré vulgaire. • Ici naissent les idées de la révolution.
• On commence à écrire des Romans : le Roman Précieuse écrit et lu par des femmes.