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De Bonjour, je Cinq jours


l’importance m’appelle qui ont
d’avoir un Cécile. changé ma
rêve vie

L’histoire que j’ai inventé dans


ma tête
Publié le 10 avril 2016 par Cécile | 19 Commentaires

J’aime l’authenticité et la vulnérabilité. On pourrait


en parler avec plein de jolis mots mais à la place,
je vais vous raconter une histoire. Imaginez que
vous sortez d’un RDV avec quelqu’un, vous lui
dites « c’était super de te voir! » et en réponse,
vous voyez qu’il roule les yeux vers le ciel et qu’il
expire bruyamment avec énervement. Vous
bloquez. Oh punaise. A l’intérieur de vous, une
petite partie de votre cœur se fend. Vous rentrez
chez vous en pensant: « j’ai surement dit un truc
de travers, mais qu’est-ce que j’ai fait de mal, il ne
m’aime pas (sensations de boule au ventre
possible) » suivi par « bon et puis tu sais quoi, de
toute façon je ne l’ai jamais aimé non plus! Je
m’en fiche de ce qu’il pense. »

Pourquoi ?

Parce que quand quelque chose de difficile nous


arrive (une conversation difficile, un regard froid,
vous lisez un commentaire critique ou vous
recevez un mail négatif) nous sommes neuro-
biologiquement branchés pour créer du sens. Le
cerveau a besoin de créer du sens derrière nos
expériences. Et le cerveau reconnait la narration
d’une histoire : début, milieu, fin. Ça le rassure. Le
cerveau va donc, rapidement, créer une histoire
pour mieux comprendre ce moment.

On pense que l’histoire sera rationnelle et posée –


mais pas du tout. Parce que d’un point de vue du
cerveau, ce sont nos émotions qui sont au
volant! Les pensées et le comportement ne sont
pas à l’avant de la voiture, même pas à l’arrière,
ils sont dans le coffre en train de se demander–
mon dieu, on va où, ça a l’air fou?!Et souvent, les
émotions qui contrôlent notre cerveau sont la
honte et la peur. Leurs messages préférés:

Qui est-ce que tu crois que tu es ?

Et

Tu n’es pas assez bien.

Et c’est là que j’ai envie de vous introduire un outil


qui a changé ma vie : l’histoire que j’ai inventé
dans ma tête.

Image: Buddha Doodles

L’HISTOIRE QUE J’AI


INVENTÉ DANS MA
TÊTE
Cette histoire, on la crée tous. Elle nous permet
de passer d’une émotion floue et intense (comme
quand vous lisez un mail négatif et votre cœur
s’accélère, vos mains transpirent, votre vue se
brouille) à une histoire plus construite. Sauf que
cette histoire est souvent contrôlée par la peur :
« Je ne suis pas assez bien, il me déteste, ça s’est
mal passé » et puis « tu sais quoi si tu penses que
tu es meilleur que moi, je t’emm****de« .

Bien sur, tout cela ne se passe *que* dans notre


tête.

LE POUVOIR DE
L’AUTHENTICITÉ ET LA
VULNÉRABILITÉ
Brené Brown est une femme exceptionnelle qui
fait des recherches sur la honte, la vulnérabilité,
l’authenticité, le courage. Et elle s’est demandé
qu’est-ce qui différenciait les personnes qui
surmontaient les défis dans leur vie par rapport à
ceux qui se laissaient abattre. C’est leur capacité
à être authentique et vulnérable dans ce qui les
bouleverse. Donc, à questionner et comprendre
l’histoire qu’ils ont inventé dans leur tête après un
moment difficile. Premièrement, 70% de ces
personnes ont écrit cette première histoire
énervée et paniquée. Puis ils se sont posées deux
questions:

Comment je me sens ? (ou: mon dieu,


qu’est-ce qui m’arrive, pourquoi je suis
aussi tendu!)
La plupart du temps on ne sent pas ces émotions.
On les bloque. On les enfonce. On les
anesthésie. Et parfois nous sommes bien
meilleurs à faire à infliger de la douleur qu’à la
sentir pour nous-mêmes (par exemple dire à
quelqu’un après avoir été blessé par lui: et bien tu
sais quoi, je t’emm**erde ) (NB: cet article sera en
effet, particulièrement riche en astérix juteux).

Nous avons du mal à reconnaître et sentir nos


émotions. D’après des études, la personne
moyenne considère qu’elle connait et
peut reconnaître 3 émotions en elle: content,
triste, en colère (vé-ner !). Seulement 3, vous
imaginez.

Donc la première étape, après avoir compris


qu’on s’était inventé toute une histoire dans la
tête, consiste à reconnaître ses émotions: qu’est-
ce qui m’arrive ?

Qu’est-ce que j’ai besoin de savoir ?


Cette histoire qui te ferait mourir de honte si
quelqu’un d’autre la lisait – peut ressembler à ça :

***

Julie n’a pas répondu à mon mail. Je suis sure


qu’elle ne m’aime pas. Et en même temps, qui
est-ce qu’elle croit qu’elle est ? Elle pourrait faire
des efforts. Elle est hypocrite. Je ne l’aime plus !

***

Cette première histoire est super importante. Elle


te dit tout ce que tu ne sais pas (par exemple:
pourquoi Julie n’a pas répondu à ton mail, peut
être qu’elle est débordée?) et de quoi tu as
vraiment peur (de ne pas être aimé, d’avoir
besoin de l’approbation des autres pour être bien
avec toi-même). Elle te dit quelle histoire tu es
entrain de créer dans ta tête. Et selon ton
paysage mental, ça oscille souvent entre
« personne ne me comprend et ne m’aime » à «ils
me font tous ch*** ils ne comprennent rien à la
vie ». On part en guerre contre nous-mêmes ou
contre les autres.

Il n’y a rien de plus dangereux que les histoires


qu’on se raconte à soi-même. On s’assoit seul
avec nos histoires emplis de doutes et de
rancœur et le monde se renferme sur nous alors
qu’en fait, en réalité, le monde est ouvert! Par
exemple :

Les histoires sur notre créativité

On crée tous des choses au quotidien. Un article,


un cours, une chanson, une photo, un site web,
un concert, un objet de bricolage. Et parfois, on
reçoit des retours négatifs ou pas de retour du
tout. Souviens toi. Ce n’est pas parce que
quelqu’un n’a pas compris quelque chose que
tu as créé que ça lui enlève sa valeur ou que
ça réduit la tienne. Continue à créer, si ça vient
de ton coeur :)

Notre capacité à être aimé

Par exemple, ton père ou ton ex-copain/copine t’a


laissé tomber, tu commences à croire que tu n’es
pas digne d’amour (même si tu caches cela sous
des couches d’ironie ou d’humour). Ce n’est pas
parce que quelqu’un n’a pas eu la capacité de
t’aimer que tu n’es pas digne d’amour.

QUE FAIRE AVEC


L’HISTOIRE ?
« L’histoire que je suis entrain de créer dans ma
tête » n’est pas forcément une histoire que je vais
partager avec la personne concernée. La plupart
du temps, parce que le fait de l’avoir écrite, de se
l’être appropriée nous indique les aspects de
nous qui sont vulnérables (je me sens pas digne
d’être aimé, je ne me sens pas légitime dans mon
travail, ce que je fais est chiant, les gens
n’apprécient pas mon travail, etc.). Et on peut
juste – comme ça – décider de ne plus l’alimenter.
Bye-bye histoire dramatique! 95% du temps,
cette histoire est fausse, et vous le savez si
vous avez déjà eu l’occasion de confronter
l’histoire dans votre tête à la réalité.

Pour preuve, je vais vous donner un exemple


d’une histoire que Brené raconte. Cela faisait 3
fois qu’elle sortait d’une réunion avec son équipe
et à chaque fois une de ses collègues faisait des
grimaces et des bruits d’exaspération en sortant.
Elle s’est rendu compte que son cerveau avait
commencé à créer une histoire dans sa tête :
« mais tu sais quoi, si tu n’es pas contente de
travailler ici, tu peux te barrer! ». Elle se sentait
clairement sur la défensive. Alors elle est allée la
voir pour lui dire :

« Hey, je peux te parler de quelque chose deux


minutes ? Cela fait quelques fois que je te vois
sortir de réunion, en faisant des
bruits exaspérés et j’ai inventé toute une histoire
dans ma tête comme quoi tu étais énervée par
rapport au travail, est-ce qu’on peut en parler? »

Et sa collègue de lui répondre : « Oh mon


dieu ! Ça fait trois semaines que j’ai commencé à
prendre des cours de zumba et à chaque fois que
je m’assois plus de trente minutes, j’ai ma hanche
qui se bloque complètement à cause de la zumba!
ça me fait un mal de chien ! »

Boum.

Brené était prête à nourrir une rancœur contre sa


collègue, à s’imaginer qu’elle ne l’aimait pas elle
(donc à souffrir aussi), tout ça à cause de l’histoire
qu’elle avait inventé dans sa tête. Combien
d’entre nous peuvent se reconnaître dans cette
histoire?

CONCLUSION
Nous créons tous des histoires dramatiques dans
notre tête. Pas besoin de s’en vouloir pour ça.
Mais une fois la vague émotionnelle passée,
qu’est-ce qu’on peut faire ? La saison du
printemps me donne toujours envie d’être plus
légère et de moins prendre les choses au sérieux.
D’autant plus, si ce sont des histoires qui n’ont
aucun fondement mais qui nous font souffrir
quand même. Quelle histoire tourne en boucle
dans ta tête ? Qu’est-ce qu’elle t’apprend sur tes
peurs et tes besoins ? Est-ce que tu es prête à
l’écrire et à la laisser partir? Sois authentique et
vulnérable avec toi-même. Et peut-être même,
partage tes doutes avec la personne concernée.

Allège toi de cette histoire qui ne te sert pas. Il est


temps! Il est temps :)

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Cet article est classé dans Environnement, Société.


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19 RÉPONSES À L’HISTOIRE QUE J’AI INVENTÉ


DANS MA TÊTE

Loetitia Cuisine Végane | 10 avril 2016


à 16 h 38 min | Répondre

C’est tellement vrai ! Merci Cécile.

Marylaure | 10 avril 2016 à 19 h 54 min |


Répondre

en plein dans le mille… comme toujours !


(^-^) merci

Nanou | 11 avril 2016 à 2 h 04 min |


Répondre

Astérix (!) au pays des Bisounours.

schmitt Carine | 11 avril 2016 à 8 h 16


min | Répondre

Merci pour ce magnifique article qui


sonne tellement vrai et qui permet de
comprendre bien des choses.

Anne Maëlle | 12 avril 2016 à 1 h 46 min |


Répondre

très très bel article, merci pour ta


sincérité et tes pensées tellement
humaines, ça fait du bien :)

Pierre | 14 avril 2016 à 18 h 17 min |


Répondre

Très bel article qui m’a rappelé le


discours si vrai et inspirant de Brown sur
TED.com « The power of vulnerability »: à
écouter absolument si vous ne le
connaissez pas encore.

Malheureusement il est très dur de faire


part de vulnerabilité dans notre société.
Et il est encore plus dur d’accepter sa
propre vulnerabilité…. mais c’est sans
conteste une des voies (/voix) du
bonheur.

Merci Cécile !

Elisa | 17 avril 2016 à 9 h 49 min | Répondre

Mon mari et moi nous disputons très


souvent cela prend des proportions très
difficiles à supporter, du moins pour moi.
Il hurle hurle en me jettant toute sa
hargne/haine à la figure, je veux répliquer
mais sa voix couvre la mienne pour que
je ne puisse pas en placer une. Et je
monte le ton aussi et là, il me dit
invariablement après avoir hurler tout ce
qu’il peut, « je ne t’écouterai que lorsque
tu te calmeras ».
Cela me met réellement hors de moi, il a
obtenu ce qu’il voulait que je m’énerve
vraiment que je perde les pédales, tout
ça devant notre fils auquel il dit « tu vois
ta mère est folle ». Il me ressort ma
réaction comme un plat froid dès qu’il
peut.
Pourquoi lorsqu’il me demande de me
calmer alors que c’est lui qui hurle cela
me met il hors de moi? Je crois que c’est
tout ce que je ne veux pas être. J’ai été
élevé dans le mépris des femmes, je suis
une femme donc dans le mépris de moi.
La prochaine qu’il me fera le coup, très
bientôt donc j’essaierai de regarder cela
de l’extérieur de moi.
Cette histoire n’est pas tout à fait en
rapport avec ton sujet Cécile mais elle
m’a permis e me poser un peu, merci.

Elisa | 17 avril 2016 à 10 h 03 min | Répondre

Une autre partie de ton texte résonne


pour moi, « ton père ou ton ex-
copain/copine t’a laissé tomber, tu
commences à croire que tu n’es pas
digne d’amour (même si tu caches cela
sous des couches d’ironie ou d’humour).
Ce n’est pas parce que quelqu’un n’a
pas eu la capacité de t’aimer que tu n’es
pas digne d’amour. »
Je n’ai jamais eu de lien avec mon père
toutes mes tentatives ont échouées, la
dernière, il y a une semaine aussi, c’était
juste une question à laquelle il a répondu
en disant ce qu’il fallait penser du sujet
mais pas en me répondant à moi. Il m’a
répété toute mon enfance « tu n’es pas
aimable, tu n’es vraiment pas aimable ».
Aimable employé plutôt dans le sens
avenante qu’au sens littéral mais….cela
était plusieurs fois par semaine, c’était
dur…J’en pleure en l’écrivant.
Aujourd’hui, confer commentaire
précédent, mon mariage est une cata,
c’est dur aussi et ça me renvoie au peu
de considération que mes parents m’ont
témoigné, pour toutes sortes de raisons.
Je fais du yoga depuis bientôt trois ans
et je tente d’expérimenter le datcha, le
témoin neutre, plusieurs fois j’ai constaté
l’efficacité de ce moyen, je progresse
mais lorsque les émotions sont trop
fortes, j’oublie la méthode.

valeriec | 9 mai 2016 à 1 h 58 min |


Répondre

j’ai aussi été touchée par ce passage,


j’ai pleuré en le lisant et ça m’a permis
de comprendre pourquoi je cherche à
tout prix, à ce que dans mon couple
ça ne fonctionne pas bien, alors que
je suis sure d’être aimée par mon ami.
C’est comme si je n’étais pas digne
de cet amour.
Merci Cécile de m’avoir permis de
mieux me comprendre et de voir que
je peux changer l’histoire que je me
suis faite dans ma tête.
Merci Elisa pour ton partage, car ça
n’a pas dû être facile de l’écrire mais
je pense que c’est essentiel de le
faire. Ne pas rester seule.
Demain, une nouvelle journée
commence, tout est possible !

Malaury | 23 avril 2016 à 13 h 17 min |


Répondre

Oui oui oui c’est complètement ça. Je


suis arrivée à me défaire un peu de tout
ça avec « les accords toltèques » qui
m’ont grandement aidé. Je les ai écouté
et lu plusieurs fois dans une période de
grande sensibilité, j’en avais besoin à ce
moment là, et cela m’a aidé à surpasser
certaines souffrances. Il y a aussi un
autre livre que j’ai lu et qui m’a aidé
également à me « sauver » de moi-même
: « Etes-vous votre pire ennemi? » d’Ana
Sandrea. Pas mal du tout !

Mais même si l’on se sent soulagé d’un


poids, il faut toujours se méfier des
rechutes…

florence | 8 mai 2016 à 17 h 33 min |


Répondre

Cet article est tellement d’actualité!


Parfois nous avons du mal a capter le
monde sensible du fait des technologies
et on en oubli peu etre l’essentiel.

Vîni | 8 mai 2016 à 22 h 00 min | Répondre

Hey bien moi c est mon quotidien de m


en raconter des histoires il est grand
temps que je prenne soin de mon cœur
et avance …

Cécile Friedrich Réflexologie | 9 mai


2016 à 5 h 52 min | Répondre

On s’y retrouve totalement ! C’est le


combat du mental pour ne pas perdre sa
place contre l’être de lumière que nous
portons chacun en nous. L’écoute et le
partage font partie intégrante de la
vulnérabilité et de l’authenticité. Merci
pour ce bel article !

Cécile | 10 mai 2016 à 9 h 47 min |


Répondre

Merci Cécile :) contente de te lire ici!


Bises,
Cécile

Cassiope | 11 mai 2016 à 9 h 34 min |


Répondre

Merci, c’est tellement vrai cette histoire.


Cela m’en fait prendre conscience, c’est
un premier pas :)

Marie-Pierre COURJEAU
FOUSSADIER | 2 juillet 2016 à 6 h 57 min |
Répondre

Plein d’évidences, bien sûr ! Merci pour


tes éclairages simples, et bienfaisants :-)

malek | 10 décembre 2016 à 20 h 30 min |


Répondre

bjr cécile, cet article et vraiment tres


ordonné mot par mot , et j sens qu’il
parle a chaque etre , humaine sur tout ,
mais n’avons nous pas besoin de
senssibilité pour porte a l’eveil ? en faite
n’avais tu jamais ecris ou lis ou bien un
jour penser a la senssibilté de maniere
humaine et spirituelle? parle et ecris
nous a peu sur se sujet cecile .
merci et bien amicalement

Maurine | 10 mars 2017 à 5 h 22 min |


Répondre

J’ai toujours un peu peur de laisser un


commentaire sur un blog ou des vidéos
YouTube, la communauté étant installée
bien avant que je n’arrive mais des fois
j’me tire les doigts de mon séant quand
je ressens le besoin (pourtant je suis en
phase enchanteresse !;)). J’ai découvert
ton blog en me demandant depuis quand
on mangeait du sucre raffiné, car j’ai
appris qu’avant il se vendait en pain de
sucre jusqu’à la fin du XIXeme siècle,
tout ça parce que j’avais vu un pain de
sucre et que je me suis demandé
pourquoi on appelait ça comme ça !
BREF. Disgression de fou juste pour dire
Merci pour ce chouette contenu, étoffé,
travaillé, inspirant et agréable à lire!
Super article sur la lune rouge et les
règles, passionnant ! Je vais
m’empresser d’étudier ca de plus près.
Article sur les 4 désirs tout aussi génial
qui donne des bonnes pistes à ce que
j’avais du mal à analyser en moi.
Fin bref, j’vais arrêter ici sinon je ne vais
plus tarir d’éloges!
Bravo et merci pour ton travail. Bele
découverte du jour !

Cécile | 12 mars 2017 à 14 h 54 min |


Répondre

Merci Maurine, je suis contente que tu


aies laissé un commentaire :)
Bienvenue dans cette communauté,
j’espère que tu t’y sentiras toujours
soutenue.

Chaleureusement,
Cécile

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