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FLM – TD

Etude de cas n°1 :

(Vidéo 1)

1- Faites un relevé précis des propositions de travail métacognitif :

Dans cette vidéo, nous observons une trame précise : le travail de médiation > nous avons
dans un premier temps les consignes, ensuite un travail individuel, un échange sur les
stratégies. S'en suit un travail en sous-groupe, puis le résumé. Il y a la règle qui fait partie du
principe de généralisation) et pour finir, des exemples afin de voir si les apprenants ont
compris. Cette trame me paraît tout à fait logique.

Au départ il faut se mettre d'accord sur ce qu'il y a à faire (important dans la communication
et la compréhension des tâches). Le professeur réfléchit sur la méthodologie employée afin de
répondre à une situation complexe et l'objectif étant de dépasser la tâche donnée. On observe
qu'elle demande à chacun des apprenants leurs méthodes afin de répondre aux questions des
documents (ici, l'échange est très important). Ensuite ils échangent leurs réponses, ces
échangent sont riches et se complètent. Les réponses sont écrites au tableau afin d'en garder
une trace écrite. Tout ceci permet aux apprenants de se rendre compte de leur manière de
penser, que ces pensées peuvent être différentes des autres, mais qu'elles ne sont pas
forcément fausses. Le fait de travailler en groupe permet de se connaître entre apprenants, et
grâce à cela, ils peuvent comprendre que l'erreur est dédramatisée et que cela n'est pas grave
puisque l'on peut la corriger.

2- Quels sont les moments importants de la prise en compte des points nodaux ?

3- A l’aide des éléments précédents, proposez en 10 lignes une définition personnelle de la


médiation :

La médiation est un ensemble de processus fait par l'enseignant afin d'aider et de guider les
apprenants à construire leur pensée et de s'approprier certaines notions. Elle aide à faire
réaliser que l'erreur est un moyen pédagogique d'apprendre (on parle de métacognition =
penser sur sa propre pensée).

Correction > définition de la médiation :

- Consiste à placer celui qui enseigne au second plan par rapport aux apprenants en
favorisant les interactions entre les apprenants et entre les apprenants et les
enseignants. Développe le langage (quel que soit leur âge et le sujet de réflexion) =
meilleure appropriation de la langue..
- Enseignement explicite : donner ses objectifs, préciser les étapes par lesquelles on va
passer et comment les faire.
- Pourquoi et comment fait-on les choses ? = adhésion de l’apprenant à la démarche.
- Il faut toujours partir du vécu, des acquis et des représentations des apprenants.
- Afin de construire le métalangage il faut interroger la représentation.
Le socioconstructivisme = je construis à plusieurs
L’apprenant confronte sa pensée à celle de l’autre à l’aide du langage. La médiation utilise le
langage sur des points particuliers comme des consignes, elle alterne le travail individuel et en
groupe = efficient. L’enseignante a un langage bien particulier, elle fait des questions ouvertes
(prise de risque, manière de prendre en considération ce que dit l’apprenant en disant « est-ce
que je peux dire telle ou telle chose).
Le résumé = qu’est-ce qu’on doit retenir ? Il faut se focaliser sur les choses importantes.
Pour conclure, dans la deuxième vidéo : les points nodaux (nœuds) c’est un obstacle que je
vais anticiper, une difficulté que je prépare et à laquelle je vais essayer de répondre.

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