Pr. AHMED EL HAJJAMI SYLLA PPT DRT ENT DIFF

●
Présenté par :
Pr. EL HAJJAMI
AHMED
I. Généralités
Généralités..
I. Généralités.
L’importance du droit La finalité des

des entreprises en procédures collectives
difficultés :
Sanction
qualitative
Paiement des
créanciers
quantitative Redressement de
l’entreprise.
I. Généralités.
 Le droit comparé des entreprises en

difficultés.
 Le droit américain (CHAPITRE 11);

Le droit français : Du droit de la faillite à
la sauvegarde de l’entreprise.
I. Généralités.
 Le droit comparé des entreprises en

difficultés.
 Le droit marocain des Procédures Collectives .
 Faillite de la législation sur la faillite DH du
12/AOUT 1913.
 Reforme de 1996 LIVRE V CODE DE
COMMERCE.
 Contexte de la réforme.
• La reforme de la réforme
• La loi 73_17
• Innovations
• Renforcement de la prévention
• Création de la procédure de
sauvegarde
• Réglémentation de la faillite
transfrontalière
Les orientations de la réforme
Loi à caractère économique.
Distinction du sort de l’homme et de l’entreprise
Elargissement de la notion de difficultés

Les orientations de la réforme
Institution de la prévention.
Elargissement du rôle du tribunal.
Adoucissement des sanctions

Les insuffisances de la loi
Inadaptation de
la loi à la réalité
de l’entreprise
marocaine
Exclusion des
personnes Régime unique
morales de droit pour toutes les
privé non entreprises
commerçants
Insuffisances
Double
Marginalisation
représentation
des salariés
du syndic
Réduction du
rôle des
créanciers
Les traits généraux du nouveau droit des
entreprises en difficultés.
Droit diversifié
Droit de
Régime organisé compromis
Les traits généraux du nouveau droit des
 Application de la procédure collective aux

artisans;
 Nécessité de réformer la réforme selon les
recommandations de la banque mondiale;
 Le projet de réforme élaboré par l’USAID et
le ministère de la Justice;
 Les orientations de la loi type de la
CNUDCI.
INTERROGATIONS
Quel dirigeant n’a jamais été confronté à un dépôt de

bilan chez un client ou un fournisseur?
Cette situation soulève de nombreuses

interrogations:
 Quelles sont les causes du dépôt de bilan?
 Peut-on prévenir un défaillance d’entreprise?

INTERROGATIONS
 Comment traiter une défaillance d’entreprise?
 Quel est le sort des créanciers?
 Quelles sont les risques qui guettent les

dirigeants?
Schéma de la procédure de redressement
judiciaire.
Liquidation
Jugement
Jugement décidant du
d’ouverture Période sort de Redressement
d’observation l’entreprise
(6 à 20 mois)
Cession Continuation
Phase final
Exposé du schéma de la procédure de
redressement judiciaire.
① Champ d’application de la procédure (art 560)
* Les commerçants , personnes physiques et sociétés

commerciales et les artisans.
* Non respect du règlement amiable.
* Les personnes non concernées par la loi sur les difficultés de

l’entreprise.
LES COMPÉTENCES
La compétence La compétence
d’attribution territoriale Art 566
Les tribunaux de Tribunal du lieu du
commerce. principal
établissement du
commerçant ou du
siège social de la
société
III. CONDITIONS D’OUVERTURE DE LA
PROCÉDURE.
Inexécution du
L’exigence de la
règlement amiable.
cessation des
paiements.
IV.. SAISINE DU TRIBUNAL.
IV
Par le Par un
débiteur créancier
(art 562). (art 563)
La requête
La saisine du
d’office (art Procureur
563) du Roi (art
563).
V. PROCÉDURE ET DÉCISION DU TRIBUNAL (art 567)
① Phase antérieure à l’ouverture de la procédure

(art 561)
 Audition en chambre du conseil du chef de

l’entreprise et de toute les personnes dont
l’audition est utile.
 Mission confiée à un Juge du siège pour recueillir
tout les renseignements sur la situation
financière, économique et sociale
V. PROCÉDURE ET DÉCISION DU TRIBUNAL (art 567)
① P
② L’ouverture de la procédure (art 568)
 Nomination des organes de la procédure:
-Syndic;
-Juge commissaire;
L’ouverture de la liquidation judiciaire.
OUVERTURE DE LA PROCEDURE:
 Le prononcé de la liquidation judiciaire.
 Critère: situation financière irrémédiablement

compromise.
L’ouverture de la liquidation judiciaire.
Le moment de l’ouverture de la procédure (art

568 et 619).
Après le dépôt du bilan économique et social par

le syndic (art 590).
Le refus d’arrêter le plan (art 579).

 La poursuite de l’activité en cours de
liquidation.
 La réalisation des actifs
 Apurement du passif.
 Clôture de la procédure de liquidation judiciaire

(art 635).
Schéma de la procédure collective
 Le règlement amiable.
 Le redressement judiciaire: plan de continuation

et le plan de cession.
 La liquidation judiciaire.
Conclusion:
 La nécessité de réformer la réforme.

Comment faire valoir ses droits?
L’objectif de la formation est de répondre à

toutes ces interrogations en vue d’initier les
bénéficiaires aux droits et pratiques des
Chapitre 1. Le dépôt de bilan , un tableau
d’ensemble.
Le dépôt de bilan n’est pas séparable du système

économique qui l’engendre. Il en est le résultat
direct, le symptôme naturel d’une économie du
marché internationalisée.
Une règle de l’économie de marché

d’ensemble.
 Des exceptions notables
Le secteur public et parapublic constitue une

exception à la règle de mise en œuvre de la
procédure collective (ex: la RAM).
d’ensemble.
• L’apparition de nouveaux risques de marché

dans la vie des affaires.
• Faillites et risques du marché.
Exemple : faillite de la SIMEF et la COTEF à Fès

d’ensemble.
• Faillite des banques
• Les rachats d’entreprises en difficultés et

risques de dépôts de bilan
d’ensemble.
Facteurs Age
de la
défaillance
: forme de l’entreprise
Région
Secteur
Mauvaise Gestion
Défaillance des clients
d’ensemble.
 Les formes de dépôt de bilan.
① Le dépôt de bilan acte de gestion.

② Le dépôt de bilan sanctions.
③ Le dépôt de bilan frauduleux.
④ Risques de contamination au plan national et
international.
Chapitre 2. Les causes du dépôt de
bilan
Des causes humaines et sociales:

inadaptation du potentiel humain sous
rigidité sociale.
performance sociale.
Des causes économiques:

Un marché instable ou trop concurrentiel
Un produit rejeté par le marché.
(ex: secteur de textiles)
Technologie dépassée ou trop couteuse.

bilan
 Des causes financières:
Liquidité et L’entreprise L’entreprise L’entreprise

rentabilité. déséquilibrée en difficultés condamnée
Les
Les Les
entreprises
entreprises entreprises
insolvables dépendante
rigides
s.
Crise de
trésorerie
bilan
 Causes psychologiques
Connaissance des difficultés de l’entreprise par le public change le
comportement de ses partenaires.
Les concurrents.
Les banques
Les fournisseurs.
Les clients.
Chapitre 3. La prévention d’un dépôt de
bilan.
Il vaut mieux prévenir que guérir:
Institution de la prévention par la réforme de

1996.
bilan.
① Détecter les difficultés de l’entreprise par:
L’analyse financière. L’analyse comptable.
Les informations centralisées par la

Fabrication de bilans.
banque du Maroc.
Les inscriptions de sûreté sur le titre La certification complaisante par le

foncier. commissaire au compte.
Les renseignements détenus par les

établissements de crédits.
Les renseignements professionnels.

bilan.
I) Les moyens de prévention:
La prévention par l’alerte:

① Les procédures d’alerte internes à l’entreprise
( art. 546-547 du code de commerce).
② Le pouvoir d’alerte du commissaire au
compte. ART 546
③ Le droit d’alerte des associés.
bilan.
La prévention externe (art 548-549 du code de

commerce).
Le droit d’alerte du président du tribunal de

commerce (art. 548 du code de commerce)
bilan.
Les informations comptables, financières et

prévisionnelles des entreprises.
① Les obligations communes à toutes les sociétés

commerciales.
-Documents à déposer au greffe du tribunal de
commerce du siège social.
bilan.
① L
② Les obligations spécifiques aux entreprises

quottées en bourse.
Section I. L’alerte
La prévention par l’alerte.
① L’alerte déclenchée par le commissaire au

compte (art 546).
- Information donnée aux dirigeants de l’entreprise
destinée à provoquer leur réaction.
1.L’opportunité du 2. Les motifs de

déclenchement de déclenchement de
l’alerte. l’alerte.
Fait de nature à
compromettre la
continuité de
l’exploitation.
Le déclenchement de l’alerte.
• Le moment.
• Le déclenchement de la procédure
d’alerte
Phase 1: Information et demande d’explication aux

dirigeants(art 546)
le CAC informe les dirigeants de l’entreprise sur les

faits de nature à compromettre la continuité de
l’exploitation et leur demande des explications. .
Deuxième phase
Rédaction d’un rapport spécial et invitation des dirigeants

à faire délibérer la prochaine A G aux dirigeants sur ce
sujet (art 546)
Phase 3: information du président du tribunal
Si le CAC considère que la délibération de l’assemblée

générale ne permet pas d’assurer la continuité de
l’exploitation ,il informe le président du tribunal
① D
② Déclenchement de l’alerte par les associés dans

les SA et les SARL (art 545).
① A
② Alerte déclenchée par le président du tribunal

(art 548). Prévention externe
 Convocation des dirigeants en vue d’examiner

les mesures appropriées pour redresser la
situation;
 Demande d’informations complémentaires aux
tiers
Section II. Règlement amiable et
mandataire spécial
① A
A. Les conditions d’ouverture Règlement amiable

① les entreprises concernée Art 550
Entreprise
commerciale ou
artisanale
Exclusion des
personnes morales
de droit privé non
commerçantes
mandataire spécial
① A
② Les conditions d’ouverture
Absence de cessation des paiements
Existence d’une difficulté juridique, économique ou

financière ou des besoins ne pouvant être couverts par
un financement adapté aux possibilités de l’entreprise
Saisine par requête explicative du président du tribunal

de commerce du lieu du siège social de l’entreprise
mandataire spécial
① A
② L
③ Les caractères de la procédure
Procédure Procédure Compétence

judiciaire confidentielle exclusive du
Président du
tribunal
mandataire spécial
① A
B. Les organes du règlement amiable

Le président du tribunal de commerçant : ( art
548)
• Convocation du représentant légal de l’entreprise pour
l’entendre en ses explications
• Appréciation souveraine des propositions du débiteur
• Information du ministère public
• Demande d’informations aux tiers
• Nomination d’un expert pour établir un rapport sur la
situation de l’entreprise
• Ouverture du règlement amiable
• Nomination du conciliateur
mandataire spécial
① A
Le conciliateur ( art 553-554)
• Fixation de sa mission par le président

du tribunal
• Communication des information au
conciliateur
• Rôle intermédiaire du conciliateur
mandataire spécial
① A
Autres organes
• Le ministère public
• Le commissaires aux compte
• Les experts
• Les associés
mandataire spécial
① A
C. Le déroulement du règlement amiable et ses

effets
① La demande et l’ordonnance de suspension

provisoire des poursuites ( art 555)
mandataire spécial
① L
② Les effets de la suspension provisoire des

poursuites
EFFETS
• Suspension ou interdiction de toute action en justice des
créanciers antérieurs à la date de décision suspendant
provisoirement les poursuites
• Arrêt ou interdiction de toute voie d’exécution diligenté par
les créanciers sur les biens de l’entreprise tant meubles
qu’immeubles
• Interdiction, sauf autorisation du président du tribunal, de
payer, en tout ou partie, une créance antérieure à la décision
mandataire spécial
① L
EFFETS
• Interdiction de consentir une hypothèque ou un
nantissement.
• Interdiction de désintéresser les cautions qui
paieraient des créances antérieures à la décision.
• Interdiction de disposer des actifs de l’entreprise,
en dehors d’une gestion normale.
mandataire spécial
① A
② A
③ L’accord avec les créanciers
 Le contenu de l’accord;
 Les effets de l’accord:
 L’accord suspend toute action en justice et toute
poursuite individuelle des créanciers signataires
seulement
 Il suspend les délais impartis aux créanciers.
mandataire spécial
① A
② A
③ L
④ Les conséquences de l’échec du règlement

amiable ( art 558)
Déchéance des délais de paiement
Résolution de l’accord
Ouverture du redressement judiciaire

Chapitre IV:
IV: Les conditions classiques
d’ouverture des procédures collectives
A. L’exigence de la cessation des paiements
① Facteurs internes
② Facteurs externes.
③ Facteurs internationaux.
Chapitre IV:
Insuffisance des mécanismes de la prévention interne
• Incidents de paiement
• Détérioration de la situation financière
• Non-respect de la loi
• Des événements graves
• Dégradation de la trésorerie
• Compte non fiable
• Dégradation de la situation humaine
• Dégradation de l’environnement de l’entreprise
Insuffisance du règlement amiable.
• Procédure facultative.
• Échec des pourparlers.
• Sacrifice des créanciers.
Chapitre IV:
L’échec des solutions extrajudiciaires
Fautes des dirigeants.
• Fautes de gestion ( art 706 et 714 du code de commerce).
Insuffisance du mécanisme de prévention

externe.
• Faiblesse des moyens logistiques des tribunaux de
commerce.
Chapitre IV:
① A
② Facteurs externes.
Caractère
familial des
entreprises.
Ampleur du
Concurrence. commerce
informel.
Facteurs
nationaux.
Chapitre IV:
① A
② A
③ Facteurs internationaux.
 Effet néfaste de la mondialisation.

Chapitre V. Conditions d’ouverture des
procédures collectives: redressement et
liquidation judiciaires
A. Champ d’application
① Les personnes concernées:
Les personnes physiques

• Aux commerçants
• Aux artisans
Les personnes morales de droit privée commerçantes
① L
② La cessation des paiements
Le passif exigible
L’actif disponible
• Les liquidités existant en caisse et en banque
• Les valeurs réalisables susceptibles d’une conversion
immédiate
• Les réserves de crédit dont bénéficie l’entreprise
① L
② La cessation des paiements
 L’impossibilité de faire face;

 Preuve de l’état de cessation des paiements;
 Date de la cessation des paiements;
B. La procédure de redressement ou de liquidation

judiciaires
① Le tribunal compétent
Compétence d’attribution
• Le tribunal de commerce si le débiteur est commerçant (personne physique ou

personne morale) ou artisan.
• Le tribunal de grande instance dans les autres cas. (personnes morales de droit
privé, agricultures)
Compétence territoriale
① L
② La saisine du tribunal
Saisine par le
Saisine d’office
débiteur
Saisine d’office par le tribunal qui
convoque le débiteur et précise par une
Auteur de la déclaration note les faits de nature à motiver la
saisine d’office.
Saisine sur requête de procureur de la

Formalisme République indiquant les faits de nature à
motiver la demande.
Saisine d’office initiée par le comité

Sanctions d’entreprise ou les délégués du
personnel.
① L
② La saisine du tribunal
Autres modalités de saisine
• Saisine en cas d’inexécution des engagements

financiers d’un règlement amiable
• Saisine en cas d’inexécution des engagements
d’un plan de continuation.
• Saisine en cas d’incidents en matière de
location-gérance dans le cadre d’un plan de
cession.
① L
② L
③ Le déroulement de l’instance
Mesures préalables
Enquête préalable
facultative
Les auditions
préalables
① L
② L
③ Le déroulement de l’instance
Le jugement d’ouverture
Les effets du jugement et voies de

recours
Contenu du jugement • le jugement prend effet à l’égard de tous: créanciers,
salariés et plus généralement, tout intéressés.
• Voies de recours
Chapitre VI. Les initiateurs de la procédure
① L
A .Les débiteurs Art 560
① Personnes physiques :
a. Les commerçants
b. L’artisan
a) Les commerçants
 La capacité commerciale;
 Le mineure;
 L’étranger;
 La femme mariée;
a) Les commerçants
 Les incompatibilités;
 Obligation d’immatriculation au RCS ART 75;
 La preuve de la qualité de commerçant

a) L
b) L’artisan
 Qualité d’artisan
① L
② Personnes morales de droit privé :
a. Exigence de la personnalité morale:

Sociétés visées
Sociétés élues
① L
② Personnes morales de droit privé :

a. L
b. le caractère privé de la personne morale :
Exclusion des personne morale de droit public

① L
a. L
c. Les autres exclusions :
Exclusion des Exclusion des

Exclusion des
associations et professions
agriculteurs
des fondations libérales
Exclusion des Nécessité de

particuliers in réformer l’art
solvables 560
① L
B. Les créanciers Article 563
① Assignation
a. Finalités : protection des créanciers

b. Catégorie des créanciers
Abus d’assignation
Modalités d’assignation
Contenu de l’assignation
① L
C. Les autres initiateurs

Défense de l’ordre public économique
Le ministère public
Partie jointe
Partie principale
Rôle timide
Intervention exceptionnelle
Intervention peu fréquente
① L
C. Les autres initiateurs
Saisie d’office (article 563)

Le tribunal
Diversité des moyens d’information

Impartialité du juge
Respect des droits de la défense
Formes de convocation
Chapitre VII. La mise en œuvre des
procédures de traitement des difficultés de
l’entreprise
① L
A. Les règles de procédure à suivre
 Détermination du tribunal compétent

 Droit international
 Droit interne
 Caractère d’ordre public
l’entreprise
Compétence territoriale
• Le critère du siège sociale de l’entreprise

• Problème spécifique de détermination du siège social
• Cas des filiales et des succursales (article 566)
• Cas des groupements d’intérêt du GIE
Compétence d’attribution
l’entreprise
① L
A. La période préalable à l’ouverture

Formalisme persistant
Personnes habilitées à saisir le tribunal de commerce (article 561 et 563)

La saisie du
Chef de l’entreprise
tribunal
Assignation d’un créancier
Requête du ministère public
Saisine d’office par le tribunal

l’entreprise
La preuve préalable par les pièces

L’instruction de
La communication des pièces

La communication spontanée
l’affaire
La communication demandée
La production des pièces
La preuve par des mesures d’instruction
Les mesures d’instruction
Rôle actif du juge
Les moyens d’information (article 567)
l’entreprise
① L
 Le prononcé de jugement d’ouverture de la

procédure de redressement judiciaire ( article
560)
① Le contenu du jugement d’ouverture de la
procédure
a. La désignation des organes de la procédure

b. La fixation de la date de la cessation des
paiements
l’entreprise
① L
② L’effet du jugement d’ouverture de la procédure

Autorité du jugement
Effet immédiat du jugement (article 569)
Notification du jugement dans le délai de 8 jours
Publicité du jugement
Publicité au BO et au journal d’annonces légales
Les voies de recours

Appel dont le délai de 10 jours a ppartir de la notification
(article 730)
Opposition et tierce opposition (article 729)
l’entreprise
① L
 La mise en place des organes de procédure:
 Pluralité d’organes
 Rôles
l’entreprise
① Les organes de la procédure:
Intervention nécessaire et collaboration avec le

tribunal
l’entreprise
Le rôle du juge-commissaire
• Rôle ou chef d’orchestre de la procédure (article

641 et 642)
• Diversité des attributions
• Les recours contre l’ordonnance du juge-
commissaire (article 697)
• Récusations du juge-commissaire
l’entreprise
Le syndic
• Profession non encadrée

• Pratique judiciaire
• Missions (article 640 à 644)
• Double représentation: entreprise et ses créanciers
• Préparation de solution de la procédure
• Préservation des intérêts en présence
• Vérification des créances et propositions des solutions au juge-
commissaire
l’entreprise
① L
② Les autorités judiciaires
Le tribunal de commerce
• Rôles importants et omniprésence dans la

procédure
• Désignation des organes de la procédure
• Compositions collégiales
• Décision du sort de l’entreprise et des dirigeants
l’entreprise
 Le président du tribunal de commerce
(i) Il rend des ordonnances .
(ii) Il statut sur les règles de compétences

l’entreprise
Le ministère public
• Protection de l’ordre public économique

• Rôle préventif
• Rôle effacé en pratique
• Nécessité d’une refonte du livre 5 du code de
commerce
l’entreprise
① L
② L
③ Les autres organes de la procédure
 Les contrôleurs;
 Les experts en diagnostic

Chapitre VIII. La recherche de la solution
opportune pour l’entreprise
Rappel de la finalité de la loi

① L
 Le diagnostic de la situation de l’entreprise

débitrice
• Sauvegarde de l’activité de l’entreprise

• Recherche des causes de la défaillance
• Les prises de mesure conservatoires
Définition des mesures conservatoires
Des mesures destinées à conserver un droit ou un

bien afin de protéger le créancier
Finalité:
Préservation du patrimoine social de l’entreprise

(article 646 du Code)
① Les mesures afférentes à l’entreprise
La position des scellés (article 648)

- Les biens visés
- Les biens exclues
L’inventaire des biens de l’entreprise (article 649 du

Code de commerce)
Identification et préservation du
patrimoine
La remise des documents et des livres comptables
- Communication des livres comptables ( article 646)

- Pouvoir d’investigation du syndic
La remise de la correspondance
① L
② Les mesures concernant les dirigeants de

l’entrepris débitrice
 L’immobilisation des droits sociaux (article

650)
 Fixation de la rémunération par le JC
① L
 Elaboration du bilan économique et social de

L’entreprise par le syndic
① Composition
 Notion comptable
 Notion sociale
 Notion propre aux procédures collectives
 Finalité : projet de plan
① C
② Contenu du plan
 Rapport sur la situation économique et
sociale de l’entreprise
① C
② C
③ Consultation des créanciers Art (585 )
 Réponse aux consultations

 Forme
 Délai
① L
 Les modes de gestion de l’entreprise
① Gestion directe
 Gestion assurée par le débiteur

 Gestion partagée entre le débiteur et le syndic
Intervention du juge commissaire pour certains actes

graves Art 578
 Modification de la mission du syndic Art 576;
 Responsabilité du Syndic
① H
② Location gérance
 Avantages
 Lacune de la loi marocaine

Chapitre IX.la situation des créanciers
① L
 Restrictions des droits des créanciers

A. Paralysie des droits des créanciers
① Gel des actions

 Arrêt des poursuites individuelles ART653;
 Domaine d’application
① G
② Gel des créances
 Interdiction de paiement des créances antérieures

Art 657
 Exception : droit de rétention

① G
Sanction Article 658
 Arrêt des inscriptions des nouvelles suretés

Article 666
 Arrêt des cours des intérêts Article 659
B. Les contraintes de déclaration de créances

Article 686
 Finalité
 Obligation de déclaration
 Délais de déclaration des créances antérieures art
687
 Exception : créances salariales;
 Avertissement personnel des créanciers titulaires

de sûretés publiés ou d’un contrat de crédit bail
publié
 problème de Justification de la créance;
 Sanction de forclusion;
 Le relevé de forclusion
① L
 la continuation des contrats en cours d’exécution

art 573
Importance du contrat pour l’entreprise

A. Notion de contrat en cours
 Absence de définition légale;
 Notion spécifique aux procédure collectives

B. Décision de continuation du contrat en cours
 Liberté d’option du syndic

 Maintien du lien contractuel
 Paralysie des droits des créanciers
 Mise en demeure du syndic d’opter
B. Décision de continuation du contrat en cours
 Choix de solution :
 Plan de continuation
 Plan de cession
 Liquidation judiciaire
Chapitre X Le plan de continuation
Caractère judiciaire
(article 590 et 592)
Notion du plan
de continuation
 Les critères de l’adoption du plan de continuation
Chances sérieuses de redressement

① La viabilité de l’entreprise
② Le caractère sérieux du plan de continuation
 Possibilités sérieuses de redressement et du

règlement passif
 La flexibilité du plan de continuation
① Restructuration économique
Le recours à la sous-traitance
② Restructuration juridique (article 595)

 L’adoption du plan de continuation
① La décision du tribunal
 Principe
 Force juridique du jugement arrêtant le plan
 Opposabilité du plan
 Effets du plan
① La
② Les voies de recours contre la décision arrêtant le

plan de continuation
Chapitre XI. Le plan de cession
Nouvelle technique de redressement (article 603 du

code de Commerce)
 Les règles présidant à l’élaboration du plan de

cession
 Exigence d’une offre sérieuse

 L’accès aux documents sociaux
 Personne pouvant présenter une offre de cession
 Problèmes suscités par la notion de tiers
 Les règles présidant à l’élaboration du plan de

cession
 Contenu de l’offre (article 604)

 Irrévocabilité de l’offre
 Intangibilité de l’offre
 Les règles présidant à la mise en œuvre du plan

de cession
 Appréciation de l’offre par le syndic

 Importance du pouvoir du tribunal
 La portée du plan de cession
 Sauvetage de l’entreprise
 La survie du contrat cédé
 Domaine de cession (article 606)
 Pouvoir souverain du tribunal
 Les limites du plan cession
Chapitre XI.
XI. La liquidation judicaire
 Ouverture de la liquidation.
 Echec de redressement
 Désignation du liquidateur.
Chapitre XI.
 Dessaisissement du débiteur.
 Portée générale du dessaisissement.

 Biens soumis au dessaisissement.
 Actes soumis au dessaisissement.
Chapitre XI.
 Actions soumises au dessaisissement.

 Limites du dessaisissement.
 Sanctions du dessaisissement: inopposabilité des
actes .
Chapitre XI.
 Actions soumises au dessaisissement.

 Limites du dessaisissement.
 Sanctions du dessaisissement: inopposabilité des
actes .
Chapitre XI.
 La survie de la personnalité morale pour le

besoin de la liquidation.
 Le maintien de la capacité juridique de la société.

 Capacité d’ester en justice.
 Le maintien du patrimoine social.
 Le déroulement de la liquidation.
Chapitre XI.
 Le déroulement de la liquidation judiciaire.
 La réalisation de l’actif (art 622 à 629).

 Le cas particulier du créancier rétenteur.
 Déblocage pour le besoin de la liquidation.
 Le créancier gagiste.
 Les modalités de réalisation des biens.
Chapitre XI.
 Le déroulement de la liquidation judiciaire.
 Les ventes des biens.

 Réalisation des meubles.
 Cessions d’unité de production.
 L’apurement du passif ( art 630 à 634).
Chapitre XI.
 Le dénouement de la liquidation.
 Les modalités de clôture de la liquidation (art

635).
 Extinction du passif.
 Insuffisance de l’actif.
Chapitre XI.
 Le dénouement de la liquidation.
 Effet du jugement de la clôture de liquidation.

 Fin de la mission des organes de la procédure.
 Radiation d’office du registre de commerce de la
personne morale.
 Purge des dettes.
Chapitre XII. Les sanctions civiles.
 Les sanctions patrimoniales.
① L’action en comblement du passif ( art 704)
 Nécessité d’une faute de gestion.

 Pluralité d’actes qualifiant une faute de gestion.
 Preuve de la faute.
① L’action en comblement du passif ( art 704)
 Les effets de l’action en comblement du passif.

 Exclusion de la transaction.
 Extension de la procédure au dirigeant.
① L
② L’extension de la procédure collective au

dirigeant.
 Dirigeant de droit ou de fait fautif (art 706).

 Dirigeant retiré (art 564).
 Dirigeant décédé (art 564).
 Confusion du patrimoine.
 L’existence des flux financiers anormaux.
 Les sanctions personnelles.
① La déchéance commerciale (art 512 à 515).

 Effets de la déchéance commerciale.
 Interdiction de diriger, gérer, d’administrer ou de
contrôler une entreprise.
 Obligation du paiement du passif social.
① La déchéance commerciale (art 512 à 515).
 Restriction des droits sociaux des dirigeants.

 Durée de la déchéance commerciale et
réhabilitation.
 Procédure de publicité.
Chapitre XIII.
XIII. Les sanctions pénales
 Délit de banqueroute.
① Domaine d’application (art 702).
 Dirigeant de droit et dirigeant de fait.

 Ouverture préalable d’une procédure de
redressement judiciaire.
Chapitre XIII.
Fait constitutif de banqueroute (art 721).
 Élément moral.
 Élément matériel.
Chapitre XIII.
Emploi des moyens ruineux.
Détournement ou diminution de l’actif.
Augmentation frauduleuse du passif.

Chapitre XIII.
Mauvaise tenue de comptabilité.
Peines encourues (art 722).

Chapitre XIII.
 Les autres infractions (art 724).
 Personnes visées: dirigeants, syndics et créanciers.

 Action publique.
 Prescription et mise en œuvre (art 725 et 727) .
Chapitre XIII.
 Conclusion Générale
 Bilan de la réforme
Chapitre XIII.
 Effort important de la Jurisprudence

Chapitre XIII.
 Absence du décret d’application
 Nécessité d’une réforme partielle de la réforme
 Les orientations de la nouvelle réforme

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