INTRODUCTION VEILLE

TECHNOLOGIQUE

Z.Alimazighi/ FEI/USTHBi
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Master Mathématiques Informatique

décisionnelle
PLAN: VEILLE TECHNOLOGIQUE
 Chapitre 1: Concepts généraux de la veille
 introduction:
1. Définitions

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1. Veille stratégique
2. Veille technologique
3. Veille concurrentielle
2. Eléments nécessaires à la veille
3. Le processus de veille

 Chapitre 2: Le Travail coopératif assisté par

ordinateur
1. Notion de Groupware
2. Notion de Workflow

2
 Z.Alimazighi/ FEI/USTHBi
CHAPITRE 1: CONCEPTS
GÉNÉRAUX DE LA VEILLE
3
 PRÉAMBULE
« La veille technologique consiste à s'informer de
façon systématique sur les techniques les plus
récentes …. Cette activité met en œuvre des

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techniques d'acquisition, de stockage et d'analyse
d'informations et leur distribution automatique
aux différentes sections concernées de l'entreprise,
à la manière d'une revue de presse.
Ces informations peuvent concerner une matière
première, un produit, un composant, un procédé,
l'état de l'art et l'évolution de l'environnement
scientifique, technique, industriel ou commercial
de l'entreprise…» © Wikipedia
« 4
 PREAMBULE
On distingue différents types de veille (liste non
exhaustive) :
- Veille concurrentielle : La veille concurrentielle est
l’étude de l’évolution des concurrents directs et

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indirects, actuels et potentiels de l’entreprise
- Veille commerciale : La veille commerciale fait
référence à la surveillance d’informations relatives
aux clients/prospects, aux fournisseurs et aux
distributeurs (signature de contrats, nouveaux
produits). (
- Veille d’e-réputation : La veille d’e-réputation
renvoie à l’image (positive ou négative) véhiculée par
une marque. 5
 PREAMBULE
- Veille marketing : La veille marketing s’intéresse à
l’évolution d’un marché, au comportement des
consommateurs, à la communication des entreprises,
ainsi qu’à la retombée de ses propres campagnes

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marketing.
- Veille juridique : La veille juridique consiste à
surveiller la législation, la jurisprudence et les
- Veille stratégique : Approche plus globale qui doit
fédérer les différents types de veille de l’entreprise et
intégrer la dimension stratégique. Démarche plus
orienté vers l’action.
- Veille technologique : La veille technologique
permet de recueillir des informations concernant
6
l’évolution des normes et l’évolution des technologies
.
INTRODUCTION

 La veille doit aider les gestionnaires

d’entreprises ou autre organisation à prendre des
décisions lorsque des événements arrivent ou

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sont annoncés dans leur environnement
(changement de l’environnement).

 Un décideur doit pouvoir agir au bon moment et

à moindre cout en utilisant l’intelligence
collective (appelée aussi intelligence
économique)

7
INTRODUCTION

 « Dans quasiment tous les secteurs d’activité, les

entreprises doivent désormais impérativement
offrir à leur décideurs un accès immédiat à

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l’information pour leur permettre d’obtenir
rapidement les réponses aux questions qu’ils se
posent. En effet l’entreprise devient
collectivement plus intelligente dés lors qu’elle
est en mesure de partager, distiller et analyser les
informations parcellaires provenant de multiples
départements » e-business intelligence: Bernard
Liautaud, 2001
8
INTRODUCTION

 Le processus de veille est un processus collectif

et pro-actif par lequel des membres de
l’entreprise traquent l’information qui concerne

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son environnement externe et les changements
qui peuvent s’y produire. [lesca H. « Veille
stratégique: la méthode L.E Scanning » édition
EMS2003]
 Veille signifie être éveillé, être attentif à tout ce
qui peut se produire dans l’environnement.

9
INTRODUCTION

 Les changements dans l’environnement:

 Changements progressifs ou plus ou

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moins rapide mais en continuité du
passé
 Rupture nette avec la passé

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INTRODUCTION

 Les éléments de l’intelligence:

 Les données constituent la matière brute
L’information : données contextualisées,

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
interprétables, signifiantes
 La connaissance: élévation des données et de
l’information: extraction de l’intelligence de données
purement transactionnelles (datamining, profilage
etc.)

« L’intelligence économique est l’ensemble des

actions coordonnées de recherche, de traitement,
de distribution et de protection de l’information
en vue de son exploitation, utile aux acteurs
économiques et obtenu légalement » 11
EXEMPLES:
Donnée: 1m80

Taille, longueur d’une fenêtre etc.

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Information:

Mr X mesure 1m80

Connaissance:
Toutes les personnes mesurant plus d’1m80 peuvent
prétendre à faire du basket de haut niveau (profilage)

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INTRODUCTION

 Le concept d’intelligence économique est

intimement lié à la notion de veille sous toutes ses
formes: stratégique, technologique, concurrentielle

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etc.
 Le ciment de base de la veille est l’information
composante essentielle de la réussite d’une
entreprise
 « L’information est la clé de l’élaboration des
stratégies » Jaques Delors
 « Pour certains économistes, l’information est
désormais le troisième facteur de production
au même titre que la main d’œuvre et le
capital » Thèse de doctorat Rostaing Hervé, 1993, 13
Université d’Aix Marseille
 INTRODUCTION

 Diversité des types d’information: deux grandes

catégories:
 Information formelle : texte sous forme papier ou

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électronique plus répandue aujourd’hui : bases de
données regroupées en 4 domaines suivant leur contenu
 BD scientifiques et techniques
 Économiques et sociales

 Commerciales

 juridiques

 Information informelle : floue, expertise, foires salons

etc. dite « de terrain », caractérisée par une durée
relativement courte.
14
 1- DÉFINITIONS
Notion de veille:
Ce terme désigne toute activité de surveillance de
l’environnement des entreprises

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Définition 1: [Jakobiak François, 1992]
C’est « l’observation et l’analyse de l’environnement
scientifique, technique, technologique et des
impacts économiques présents et futurs, pour en
déduire les menaces et les opportunités de
développement ».

15
DEFINITIONS
Définition 2: [Rouach Daniel, 1996]

« l’art de repérer, collecter, traiter, stocker des

informations et des signaux pertinents (faibles, forts)

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qui vont irriguer l’entreprise à tous les niveaux de
rentabilité, permettre d’orienter le futur
(technologique, commercial, …) et également de
protéger le présent et l’avenir face aux attaques de la
concurrence… La veille se pratique dans la légalité et
le respect des règles de déontologie… En d’autres
termes, la veille conduit à transférer des
connaissances de l’extérieur vers l’intérieur de
l’entreprise, en suivant des règles de fonctionnement
strictes. » 16
E
N
VI
R Les sous- Les Les Les Les
O traitants Clients Fournisseurs organes de organes
N contrôle financiers
N
E
M La concurrence

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E
N
T

Connaitre l’environnement
E
N Comprendre l’environnement
T Veille
Stratégique
R Prévenir l’environnement stratégique
Long terme
E Veille
P Décider et Agir Technologi
Tactique
RI que, veille
Court et
S moyen concurrenti17
E terme elle, etc.
DÉFINITIONS : VEILLE TECHNOLOGIQUE

 « La veille technologique est un processus à

court terme qui traduit les efforts portés sur
un axe technologique »

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 Principe: L’installation d’une veille technologique
nécessite la mise en place d’un processus
d’observation et d’analyse:
 de l’information scientifique, technique et technologique
 Des impacts et des marchés de l’environnement
économique, commercial et financier

Pour détecter les menaces et saisir les opportunités

de développement 18
DÉFINITIONS : VEILLE TECHNOLOGIQUE

 « Une opportunité est une évolution présumée de

l’environnement susceptible d’entrainer un
développement nouveau pour l’entreprise »
 Exemple: Augmentation du plafond des importations

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 « Une menace peut résulter d’une évolution
défavorable de l’environnement qui, sans réaction
de l’entreprise, pourrait causer à plus ou moins long
terme une dégradation de sa rentabilité globale »
 Exemple : l’ouverture du marché du textile à
l’international a impliqué beaucoup de désagréments et
de manque à gagner aux petites entreprises du textile
 [thèse de doctorat: Lopès Da Silva: Université d’Aix
Marseille: 2002]
19
ANALYSE SWOT :( SERA DÉVELOPPÉE EN TD)
 L’analyse SWOT [Andrews Kenneth, 1971]:
acronyme de Strenghts (forces), Weakness
(faiblesses), Opportunities, Threats (opportunités
et menaces).

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 Principe général de la méthode:
Se basant sur la combinaison des forces et
faiblesses de l’organisation, pouvoir faire face aux
évolutions de l’environnement et identifier ainsi
les opportunités à saisir ou détecter les menaces
potentielles, afin de tirer profit

20
ANALYSE SWOT

Analyse interne de Forces

l’organisation Capacité stratégique
ressources
compétences Faiblesses

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Actions à
Analyse externe de mener
l’environnement :
• Forces de la Opportunités
concurrence Facteurs clés de succès
• Position
concurrentielle Menaces
Axes prioritaires à surveiller

Résultat : déterminer si l’organisation possède les ressources et les

compétences nécessaires pour être en adéquation avec l’évolution de
son environnement, sinon actions à mener : exemples
- acquérir de nouvelles ressources et/ou développer des 21
compétences
- nouvelles orientations
DÉFINITIONS : VEILLE TECHNOLOGIQUE

 Les sources d’informations à surveiller:

 Les brevets

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 Les rapports d’études
 Les marchés, la concurrence
 Les normes (ISO International Organisation de
Standardisation, AFNOR Association française de
Normalisation, etc.)
 Les paramètres de production chez les concurrents,
 Les données sur la sécurité,
 Les acteurs impliqués dans les programmes de
recherche, et les programmes de recherche eux-mêmes
(exemple les PNR, programmes nationaux de
22
recherche). ETC.
RÉCAPITULATION : VEILLE TECHNOLOGIQUE

INFORMATION INFORMATION INFORMATION

SCIENTIFIQUE TECHNIQUE TECHNOLOGIQUE

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RECHERCHE INNOVATION PRODUCTION

UNE VEILLE EFFICACE NECESSITE LE BON FONCTIONNEMENT

DE LA CHAINE CI-DESSUS

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EXEMPLES

Information scientifique:
Nouveaux algorithmes de data mining, ou autre de résolution
d’images,
Interactivité entre le corps et l’image video

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Information technique:
Utilisation de ces nouveaux algorithmes sur des domaines
précis comme les techniques commerciales , les jeux vidéo,
réalité augmentée

Information technologique:
Elaboration de programmes permettant la prise en charge de
ces algorithmes pour aller vers le produit commercial

24
EXEMPLE DU JAPON [ROSTAING 93]
Le japon est souvent pris comme modèle de veille industrielle..
Comment ce pays a pu réussir économiquement après la deuxième
guerre mondiale:
« Ceci en grande partie à son aptitude à recueillir et exploiter les
informations pour les actions commerciales et industrielles »
Cependant l’attention accordée par les japonais à l’information remonte

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à plus loin puisque dés 1868, figurait dans la constitution japonaise la
phrase suivante: « nous irons chercher la connaissance dans le
monde entier afin de renforcer les fondements du pouvoir
impérial »
Ainsi ce pays a mis en place une infrastructure adéquate pour faciliter
la collecte, le stockage et la diffusion auprès des entreprises:
-JETRO (Japan External Trade Organisation
-JICST (Japan Information Center of Science and Technology)
-JAPATIC (Institut Japonais de la production industrielle)
-AIST (Agency of Industrial Science and Technology)

-Tout japonais en voyage à l’étranger est tenu de rapporter toute

information qui lui semble digne d’intérêt. 25
-Aujourd’hui ce pays est parmi les premiers mondiaux dans le
domaine de l’électronique
LA VEILLE CONCURRENTIELLE
(ÉCONOMIQUE)

 Elle a pour principale fonction d’évaluer les forces

et faiblesses des concurrents , tout en mettant en
évidence les opportunités à saisir et les

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menaces à contourner.

 C’est un processus à moyen terme qui traduit les

efforts portés sur un axe économique et financier
 Elle amène des réponses sur la concurrence et les
marchés mais d’un point de vue économique et
financier
 Exemple: dégager de nouveaux produits, modifier une
gamme de voiture etc. 26
LA VEILLE CONCURRENTIELLE

 Les sources d’information à surveiller:

 Exploiter les journaux spécialisés, les documents
professionnels, etc;

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 Exploiter les données économiques et financières (les
indices de développement, la bourse etc.)
 Surveiller les événements publicitaires (salons, foires
etc.)
 Etre informé sur les tarifs de la concurrence

Pour cela, s’entourer d’un réseau de veilleurs, chargé

de capturer l’information.
27
LA VEILLE STRATÉGIQUE
 Concept de stratégie : pas de définition unique

 « L’art d’utiliser les informations qui surviennent dans

l’action, de les intégrer, de formuler soudain des schémas

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d’action apte à rassembler le maximum de certitudes pour
affronter l’incertain » [Edgar Morin, 1981]

 « la stratégie recueille les plans de la direction pour

atteindre des résultats en rapport avec les missions et
objectifs de l’entreprise » {Peter Wright et al , 1992]

28
DÉFINITIONS: LA VEILLE STRATÉGIQUE

 «La veille stratégique est un processus à long

terme par lequel l’entreprise observe, recherche,
localise, traite, analyse et diffuse l’information

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stratégique à des buts décisionnels et
compétitifs ».
 La veille stratégique est le prolongement des
différentes veilles (technologique, concurrentielle,
etc.) est a pour finalité de coordonner les
différentes actions résultantes de ces veilles.

29
 LES ÉLÉMENTS NÉCESSAIRES À LA VEILLE

 Un réseau de veilleurs

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 Le système d’information (SI) et les technologies de
l’Information et de la communication (TIC) (chapitre 2)
 Les bases de données : (partie 2)
 La gestion des connaissances et le savoir-faire
(Knowledge Management)
 Le KM désigne un ensemble de concepts et d’outils
permettant aux membres d’une organisation de
travailler ensemble pour produire de la
connaissance et permettre le développement de
compétences individuelles et collectives
30
LE RÉSEAU DE VEILLEURS
 Les acteurs de la veille
 Les décideurs : définissent les facteurs clés de succès et
analysent les informations de synthèse provenant des
autres acteurs de niveau plus bas afin de prendre des
décisions

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 Décision opérationnelle (court et moyen terme)
 Décision stratégique (long terme)

 Les veilleurs institutionnels

 La principale fonction du veilleur est de fournir à ses clients qui
sont des travailleurs de diverses fonctionnalités (ingénieurs,
chercheurs, experts, décideurs, etc.) des informations qu’il capture
à travers ses observations sur des thématiques en rapport avec
les objectifs et fonctionnalités de l’organisation.

Les Observateurs : toute personne de l’entreprise peut être guetteur

Les experts : valide le travail des veilleurs

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LE RÉSEAU DE VEILLEURS
 La chaine d’information
 Définition du plan de veille : élaboration
d’objectifs, cerner les besoins et définir les flux

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d’informations
 Cibler les sources d’informations : quels sont les
sites, les séminaires, les foires etc qui peuvent être
pertinents
 Collecte des informations
 Exploitation des informations
 Diffusion des informations vers les personnes
et/ou structures ciblées
 Capitalisation des informations : constitution du
dossier de veille
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LE RÉSEAU DE VEILLEURS

 Les veilleurs institutionnels doivent avoir un

ensemble de compétences et d’aptitudes
 « La compétence est la connaissance approfondie,
reconnue qui confère le droit de juger ou de décider

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en certaines matières » [le Robert]
 Exemples : maitriser les techniques d’entretien, maitriser
les techniques d’analyse de l’information, connaitre les
mécanismes de stockage et diffusion de l’information,
maitriser les techniques de travail coopératif etc.
 « L’aptitude est une disposition naturelle
 Esprit d’analyse, capacités relationnelles pour le travail de
groupe, capacités rédactionnelles etc.
 Esprit curieux, créatif, innovateur etc.

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