I- INTRODUCTION
3.2- La séquence
3.2.1- Le travail dans la séquence
3.2.2- Le travail hors séquence
IV- STRATEGIE D’ENSEIGNEMENT/APPRENTISSAGE
4.1- Savoir lire
4.5- La consigne
4.6- Evaluer
V- CONTENUS D’ENSEIGNEMENT/APPRENTISSAGE
5.1- La description et ses fonctions
VI- ANNEXES
6.1- Grille d’évaluation d’une séquence (à l’usage de l’enseignant)
6.2- Glossaire
I- INTRODUCTION
Ce document d’accompagnement s’adresse aux professeurs du collège. Il
est destiné à les aider dans la mise en œuvre du programme dont la finalité est
d’approfondir et de développer les acquis antérieurs de l’élève dans les domaines
de l’oral et de l’écrit.
Les principes d’enseignement et d’apprentissage sont les mêmes tout au
long du cursus de l’enseignement moyen. Aussi, l’on ne s’étonnera pas de voir
certains chapitres évoqués déjà en 1ère AM reconduits cette année.
Au cours de la 1ère AM l’élève a pris contact avec les divers types de textes
tout en privilégiant le texte narratif. Il poursuivra en 2ème AM cet apprentissage
discursif en approfondissant ses connaissances du texte descriptif et son
insertion dans d’autres types de textes.
L’élève sujet des apprentissages
Le programme de 2ème AM fait le choix de s’inscrire dans la pédagogie du projet
qui organise les apprentissages en séquences c’est-à-dire un mode
d’organisation des activités qui rassemble des contenus différents autour d’un
ou de plusieurs objectifs.
Ces activités reposent sur la pratique des quatre domaines (écouter/parler,
lire/écrire).
Le travail en séquences, qui met en œuvre le décloisonnement, redéfinit
l’apprentissage comme appropriation des savoirs par les élèves et relativise la
seule transmission. L’élève, désormais impliqué dans la construction de ses
apprentissages sera incité à répondre aux questions de lecture plus qu’à écouter,
à poser des questions plus qu’à recevoir de l’information, à explorer des séries de
réponses possibles plus qu’à chercher l’unique bonne réponse, à construire des
cheminements plus qu’à appliquer des formules … et ce, dans une pédagogie
ouverte et interactive.
Le projet formalise ces processus d’acquisition. L’élève est amené à réaliser une
production, en trois séquences et plus qui finaliseront les apprentissages.
On fera appel avec profit à une pédagogie différenciée qui reconnaît le droit à des
rythmes de travail, des façons d’apprendre, des modalités de mémorisation,
différents suivant les élèves. Par ailleurs, il est reconnu que le travail en groupe
en favorisant les échanges et la confrontation, permet une meilleure construction
des savoirs.
II- COMPETENCES/OBJECTIFS D’APPRENTISSAGE
La compétence est un ensemble de savoirs, savoir-faire et savoir-être qui permet
de résoudre une famille de situations-problèmes. Elle se démultiplie en autant
d’objectifs d’apprentissage que nécessaire. L’objectif d’apprentissage permet
d’identifier des actions pédagogiques précises, adaptées à un niveau déterminé.
C’est un instrument fonctionnel intégré dans la logique de mise en place de
séquences.
Parler de compétence en milieu scolaire, c’est donc mettre l’accent sur le
développement personnel et social de l’élève, c’est-à-dire sur le nécessaire lien à
créer entre les apprentissages acquis à l’école et les contextes d’utilisation hors de
la classe.
De ce fait la mise en place d’un nouveau contrat didactique, la pratique d’une
évaluation formative et l’ouverture aux autres disciplines s’impose. C’est donc
dans la perspective d’une appropriation à la fois durable et significative des
connaissances que se fait l’entrée dans les programmes par les compétences.
a- Conception du projet :
la planification (ou niveau pré-pédagogique) précède la mise en œuvre du projet
en classe. C’est donc la préparation du projet par l’enseignant.
- analyse des besoins.
- sélection d’une (ou des) compétence(s) (cf. programme).
- sélection des objectifs correspondants (cf. programme) et les démultiplier
si cela est nécessaire.
- détermination des contenus linguistiques et discursifs.
- détermination des délais de réalisation du projet (3 à 6 semaines).
- les modalités de fonctionnement (en groupe, classe, en sous-groupes, en
binômes ou individuellement).
- sélection des supports (l’enseignant peut compléter les textes du manuel
par des documents authentiques : guides touristiques, dépliants, prospectus,
publicités, schémas, cartes postales, tableaux de peinture, CV, cartes
d’identités, dessins humoristiques…).
b- Réalisation du projet :
- nature des activités.
- exercices.
- techniques d’expression.
- modes d’évaluation.
Il faut prévoir un moment de présentation du projet aux élèves et de
concertation (négociation). Il faut aussi prévoir des moments de systématisation
des points de langue étudiés (grammaire, orthographe, lexique) et de
métacognition (faire réfléchir les élèves sur leurs propres stratégies
d’apprentissage).
La planification du projet est donc une organisation rigoureuse selon un plan à
suivre. Des réajustements, des reprises, des mises au point doivent lui permettre
de faire correspondre les actions planifiées et celles réellement réalisées en
classe.
Des activités décrochées (cf. glossaire) peuvent être programmées hors séquence
en fonction des besoins.
Exemples d’activités :
Séquence n°2 : Réunir les poèmes et les chansons retenus pour le récital.
Objectifs d’apprentissage :
- savoir ce qu’est un récital.
- Distinguer le texte poétique, la chanson d’un ensemble de textes.
- Identifier le passage descriptif à travers un poème, une chanson.
Exemples d’activités :
Séquence n°3 : Comprendre pour bien dire un texte poétique, une chanson.
Objectifs d’apprentissage :
▪ repérer la visée de l’auteur à travers un poème, une chanson.
Objectifs d’apprentissage :
- Mémoriser les poèmes, les chansons pour la répétition du récital.
- Développer la gestuelle pour mettre en valeur les textes choisis.
- Présenter cette mise en scène à un public classe.
- Reproduire le programme sur une carte ou un dépliant attractif pour le
distribuer au public.
Exemples d’activités :
Objectifs d’apprentissage :
- présenter le récital à un public élargi : les autres classes, les parents
d’élèves….
Exemples d’activités :
Le non-verbal :
- En récitant mon poème, j’ai respecté :
- les mouvements scéniques adéquats.
- la gestuelle.
- le regard.
- l’expression du visage.
b- Projet écrit :
Présenter à l’écrit un personnage historique pour le faire connaître, sous forme de
petite brochure.
Objectifs :
• Observer
plusieurs
images pour
dire si l’une
d’entre elles
renvoie à un
personnage
historique.
2)- Les activités qui répondent à l’irruption, dans la vie de la classe, d’un
événement imprévu qui mobilisent l’attention et les affects des élèves :
- événement au collège : un professeur part à la retraite, un élève tombe
malade, sélection de la chorale de l’école à un concours, obtention d’une coupe
par les élèves de l’école …
- événement local : intempéries, séisme, inondation, reboisement, inauguration
d’une bibliothèque...
- événement mondial : jeux olympiques, coupe du monde de football, journée
internationale du livre …
Il est donc bienvenu d’ouvrir un espace de parole (débat, discussion libre),
d’écriture (écrire une lettre, un texte de solidarité), de lecture (on lit ensemble un
article de presse, une affiche, etc.) au cours d’une séance indépendante du projet
sur lequel on est en train de travailler.
Texte :
Fleur du désert.
1- Compréhension :
1- Qui est décrit dans ce texte ? relève trois expressions qui le montrent. type
1
2- Où se passe la rencontre ? justifie ta réponse. type 1
3- A quel moment de la journée a eu lieu la rencontre ? type 1
4- Voici quelques traits caractérisant la petite fille, classe-les dans le tableau
suivant : coquette – petits pieds – grands sourcils – polie – bouche charnue –
bonne. type 4
Si la séquence est axée, par exemple, sur l’organisation de la description d’un lieu,
l’enseignant va signaler l’absence de localisateurs, il met en place un dispositif
d’amélioration. Par des consignes ou questions appropriées, il guide les élèves
qui travaillent soit seuls sur leur travail individuel, soit à deux ou plus, ou en grand
groupe, sur une copie sélectionnée. Après avoir mis l’accent sur les questions de
cohérence, de structuration, de clarté ou d’adéquation à la consigne, on peut aller
vers les problèmes « locaux » qui ne touchent que la phrase (orthographe
grammaticale, syntaxe de la phrase …).
L’élève peut alors refaire sa propre production, en partie ou en entier, qui sera à
nouveau évaluée.
On trouvera ci-dessous un exemple de consigne de réécriture à partir du premier
jet d’écriture d’un élève de 9ème AF. (rappelons que la consigne d’écriture est :
«Lors de tes dernières vacances, tu as eu le loisir d’admirer tout au long du trajet
de beaux paysages, raconte ce que tu as vu. ») Les productions d’élèves
constituent des supports authentiques pour les activités.
Production d’élève :
Pendant les vacances d’été, ma cousine et moi ne trouvant plus aucun
intérêt de rester à Alger avions décidé de passer quelques jours à Beni-Yenni : un
petit village qui se trouve en Grande-Kabylie et dont nous sommes toutes deux
originaires, pour se reposer et passer du bon temps dans les bras de la nature.
Une fois arrivées, à peine nos bagages par terre, nous nous précipitâmes
vers « Tamazirt »qui est une très jolie vallée dont la vue est admirable. Il y avait
de tout : des arbres aux différents fruits et dont je ne connais même pas le nom,
des fleurs multicolores et partout de la verdure, on respirait l’air pur qu’on ne
respirait plus depuis si longtemps en ville et on entendait le bruit de la cigale qui
chantait, à droite on pouvait voir les animaux de la famille voisine, plus bas se
trouvait un berger qui gardait ses moutons et ses vaches, et en face se trouvait la
plus incroyable des vues : les montagnes ! C’était là un spectacle merveilleux, ces
montagnes formaient une chaîne qui nous laissait très admiratives.
Nous retournâmes en ville après quelques jours le cœur plein de volonté
de découvrir d’autres paysages tout aussi ravissants.
(Djender Mériem - 9ème.AF)
Décrire : l’énonciation
La description est souvent à la troisième personne mais on y relève les marques
de l’énonciation.
Le point de vue au sens strict (place de celui qui voit) comme le point de vue au
sens plus large (visée ou effet de le description) sont à étudier en 2ème AM.
Les marques de l’énonciation sont présentes dans l’énoncé, texte ou phrase.
Le texte :
Le texte est à étudier selon les points suivants :
Les connecteurs : (mots qui organisent spatialement, on accordera une
importance aux groupes nominaux exprimant le lieu, aux adverbes de lieu
notamment).
Le thème et le propos :
S’il est prématuré d’étudier la progression thématique à l’école moyenne, nous
donnons ci-après les caractéristiques de l’organisation thème/propos dans un
texte descriptif.
On peut décrire en suivant une progression à thème constant, une progression
linéaire ou une progression à thème éclaté.
Cet enchaînement thème/propos est très important à la lecture mais surtout
pour l’écriture. L’élève est ainsi guidé dans la construction de son texte (cf
contenus d’enseignement/apprentissage )
Les anaphores :
Les reprises lexicales (sous forme de GN) ou pronominales sont constitutives de
tout texte. Le descriptif n’échappe pas à la règle.
Un travail sur le lexique s’impose : pour reprendre un terme il faut connaître son
équivalent. Pour décrire quelque chose ou quelqu’un, il faut savoir en
décomposer les éléments qui le caractérisent.
Le champ lexical dépend de la compréhension. Il est toujours construit à
posteriori : ce n’est que lorsqu’on a compris de quoi il s’agit que l’on dégage le
champ lexical du texte.
La phrase :
Les outils linguistiques pour nommer, qualifier et localiser sont à étudier en
2ème AM.
Les notions de grammaire ont été listées dans les programmes.
La séance de grammaire fait découvrir les faits de langue pour comprendre
les textes. Le professeur s’appuiera sur les opérations de suppression, de
commutation, de permutation, d’encadrement, etc.
Les activités d’étiquetage, de récitation de règles (de grammaire,
d’orthographe et de conjugaison) ou de listes de mots ne sont pas à pratiquer à
priori. Elles n’interviendront, le cas échéant, qu’après manipulation et
compréhension de la notion ; les élèves ne retiendront qu’après avoir compris.
Professeur Elèves
- Il questionne.
4.5- La consigne :
Dans la vie scolaire de l’élève, la consigne écrite ou orale est le chemin qui
mène aux apprentissages. « Comprendre ce qu’il est demandé de faire » aide
l’élève qui apprend à construire son savoir. Il existe de bonnes et de mauvaises
consignes.
Une bonne consigne est précise, explicite et facilite la tâche à entre prendre. Elle
peut être courte ou longue mais doit surtout focaliser l’attention de l’élève sur
ce qui est important en fonction de l’objectif poursuivi.
4.6- Evaluer :
Evaluer n’est pas noter, comme on le croit trop souvent.
L’enseignant n’évalue pas l’apprenant pour le sanctionner, le classer dans
un niveau définitif par l’attribution d’une note ou d’une appréciation. Evaluer c’est
identifier, déterminer et définir les lacunes de l’élève pour y remédier
éventuellement. C’est aussi déceler ses capacités pour les améliorer et les
développer. On n’évaluera que ce qu’on a enseigné. On n’évaluera pas
l’orthographe morphologique des verbes si on a seulement travaillé la structure
d’un texte ou les connecteurs logiques.
L’évaluation sera régulière. Elle accompagne l’apprenant dans tout son
cursus d’apprentissage : diagnostique au début, formative en cours de séquence et
sommative à la fin.
• L’évaluation diagnostique permet de préciser un état initial, un profil
d’entrée.
• L’évaluation formative est intégrée aux apprentissages et permet de réguler
un enseignement et de remédier aux difficultés en cours d’apprentissage.
• L’évaluation sommative permet de faire le point à la fin d’un projet pour
mesurer le degré de maîtrise des compétences attendues et de prendre une
décision d’enseignement (remédiation).
Elle peut prendre la forme d’un travail écrit, d’une activité orale (« qu’avez-
vous retenu de telle leçon ? »), d’une réalisation matérielle (réussir le montage
d’un objet grâce à des explications écrites par des élèves), d’une manifestation
réussie (une exposition qui a du succès, un spectacle de poèmes qui plaît aux
élèves).
L’élève participe à l’élaboration des critères d’évaluation d’une activité,
pour arriver à s’auto-évaluer, ou à évaluer ses camarades avant l’évaluation
sommative.
Auto-évaluer/co-évaluer :
On vient de le voir une évaluation peut être diagnostique, formative ou
sommative : cela dépend de son objectif et du moment de la tâche où elle
intervient.
Mais elle peut aussi être faite par l’enseignant, par l’élève lui-même, ou par la
classe : cela dépend de « qui évalue ? ».On aboutit ainsi à 3 catégories possibles :
- l’évaluation magistrale : le maître évalue une tâche effective ;
- l’autoévaluation : l’élève évalue sa propre tâche ;
- la co-évalutaion : la tâche est évaluée par la classe ou un groupe d’élèves, en
dehors du maître et de l’élève qui l’a effectuée.
V- CONTENUS D’ENSEIGNEMENT/APPRENTISSAGE
Comme pour la 1ère AM la grammaire doit enseigner les notions constitutives de
l’énoncé (le thème et le propos, les substituts, les temps, les connexions) et de
l’énonciation : qui parle à qui ? quand ? comment ? où ? pour quoi faire ? (visée).
C’est une activité fondamentale, indispensable à la compréhension et à la
production des énoncés - du texte à la phrase -
Thème et propos :
Le thème est ce dont on parle, c’est à dire l’élément à propos duquel on apporte
une information. C’est le point de départ de l’énoncé.
Le propos est ce qu’on en dit, c’est-à-dire l’information apportée.
La distinction entre thème et propos correspond aux deux règles fondamentales
de la cohérence textuelle : la règle de répétition et la règle de progression. Pour
qu’un texte soit cohérent, il faut que les phrases qui le constituent s’enchaînent en
prenant appui sur des éléments connus récurrents, il faut en même temps un
apport d’informations nouvelles.
Progression thématique :
C’est un ordre suivant lequel s’enchaînent les différentes informations dans un
texte.
On distingue trois (03) sortes de progression thématique.
1)- La progression à thème constant : c’est sans doute la plus simple et la plus
fréquente. Le même thème est repris au fil des phrases (assurant ainsi une forte
cohérence du texte, mais où une série de propos apporte des informations
différentes. A titre d’exemple, un même thème peut être repris par différents
substituts : « En allant à Bou-Saâda, nous avons rencontré une petite
fille. Elle pouvait avoir cinq ans et resplendissait de coquetterie. Elle avait les
mains couvertes de henné. Fleur du désert (c’est ainsi qu’on l’appelait) nous a
offert un sourire mêlé de joie, de tristesse et de bonté. »
2)- La progression linéaire : chaque thème est issu du propos précédent, c’est-à-
dire que le propos du premier énoncé devient le thème du deuxième énoncé (de
fil en aiguille). A titre d’exemple : « A l’ouest d’Alger, il y a Tipaza. A Tipaza, se
trouvent les ruines romaines. Ces ruines romaines ont inspiré
Albert Camus. Camus a beaucoup écrit sur Alger. »
Ce type de progression convient parfaitement au texte descriptif (le décor se
constitue progressivement, par précision successives).
3)- La progression à thème éclaté : elle est plus complexe que les précédentes,
les phrases se succèdent sur des thèmes différents ; mais ces thèmes sont liés
entre eux comme les parties d’un tout : le tout est ce qu’appelle l’hyper thème du
passage. A titre d’exemple : « Oran est une belle ville. Sa corniche est très
appréciée par les estivants. Son front de mer attire de nombreux promeneurs
et son théâtre de verdure accueille chaque été le festival du Raï. »
Grammaire :
- Le groupe nominal (G.N) et ses expansions :
• Le déterminant, le nom, l’adjectif qualificatif (épithète, attribut et apposé).
• Le nom ou le G.N mis en apposition.
• Le complément du nom, la proposition subordonnée relative.
- L’expression de lieu (C.C.L, adverbes de lieu).
- Les connecteurs.
- Les anaphores.
- Les substituts grammaticaux et lexicaux.
- L’expression de la comparaison.
- L’expression de l’opposition.
- L’expression de la cause.
- L’expression de la conséquence.
- Le présentatif.
• L’adjectif qualificatif (épithète, attribut, apposé).
• L’apposition : groupe nominal apposé à un autre.
Conjugaison :
• Maîtrise du présent de l’indicatif (particulièrement les verbes irréguliers et
les verbes du 3ème.groupe).
• Maîtrise de l’imparfait de l’indicatif.
Lexique :
• Le lexique des formes et des couleurs.
• Le lexique des sensations.
• Le lexique des sentiments.
• La synonymie et l’antonymie.
• La composition de mots : préfixation et suffixation.
• Le champ lexical.
• La famille de mots.
• Le lexique laudatif/péjoratif ou mélioratif/dépréciatif.
• Les verbes de perception visuelle.
• Les verbes de mouvement.
Orthographe :
Les accords dans le groupe nominal (D/ ADJ/ N).
L’accord sujet/verbe.
Les homonymes.
Les homophones : c’est, ses, ces, s’est / ce, se / sont, son / quelle, qu’elle.
L’accord du participe passé.
VI- ANNEXES
6.1- Grille d’évaluation d’une séquence (à l’usage de l’enseignant) :
Oui Non
1. Sélection d’une compétence (cf. programme)
- à l’oral.
- à l’écrit.
- en lecture.
- à l’oral.
- en langue (grammaire/conjugaison/orthographe/lexique).
- en écriture.
- en lecture (texte).
- en langue (corpus).
- en écriture.
- de lecture.
- d’oral.
- de langue.
- d’écriture.
- de lecture.
- de travail de l’oral.
- de fonctionnement de la langue
- d’écriture.
- en groupe-classe.
- en sous-groupe.
- en binôme.
- individuellement.
- de réécriture.
- de synthèse.
6.2- Glossaire
Remarques préliminaires :
Les définitions proposées dans ce glossaire se fondent sur la littérature spécialisée
en matière d'enseignement/apprentissage. Toutefois, plutôt que de citer
textuellement les auteurs consultés, nous avons opté, dans un souci de clarté, pour
une simplification des définitions en fonction de la pratique quotidienne des
enseignants. Ils enrichiront ce glossaire par leurs lectures et dans le cadre des
actions de formation avec les inspecteurs.
Pour les mots et expressions ci-dessous, le sens suivant a été retenu :
- communication/expression :
- connexion : rattachement entre des faits, des idées, des démarches par la
relation cohérente, établie entre les éléments (par comparaison, par analogie
par référence).
- contexte : conditions socioculturelles ou langagières de production d'un
texte écrit ou oral.
- décrire : c'est nommer, qualifier et caractériser des objets, des lieux, des
personnes...
- énoncé/énonciation :
- grammaire implicite/explicite :
• grammaire implicite : pendant les deux premières années
d'enseignement/apprentissage, on entraîne l'élève à utiliser des
règles linguistiques sans les nommer.
- métaphore : c'est une image, une figure de style qui consiste à rapprocher
des êtres ou des choses en prêtant aux uns les caractéristiques des autres,
afin d'exprimer leur ressemblance.
- métalangage : ensemble des mots qui servent à décrire les catégories et
les fonctionnements linguistiques. Exemples : sujet, verbe, types de textes …
- modalisation/modalisateurs :
- pédagogie/didactique :
• pédagogie : (cf. didactique) manière de gérer la classe dans
toutes les activités scolaires. Exemple : pédagogie différenciée, du
projet.
- phonèmes/graphèmes :
- phonétique :
API : Alphabet phonétique international : répertoire sous forme de signes
conventionnels de l'ensemble des phonèmes de toutes les langues du monde.
- sémantique (adj.) : tout ce qui concerne le sens d'un mot, d'une phrase,
d'un texte. On parle de niveau sémantique, de champ sémantique, de
recherche sémantique.
- syntaxe/morphologie :
- tâche/activité :
• non verbal : ce qui est exprimé autrement que par les mots
(symboles comme les panneaux routiers par exemple, gestes,
images, dessins, photos …).