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et de ses alliages
1. Généralités................................................................................................. M 670 - 2
1.1 Utilisations du zinc et de ses alliages ........................................................ — 2
1.2 Modes de transformation ........................................................................... — 2
1.3 Alliages ......................................................................................................... — 3
1.4 Perspectives ................................................................................................. — 3
2. Particularités de la déformation plastique des alliages de zinc — 3
2.1 Structure et cristallographie ....................................................................... — 3
2.2 Température de fusion ................................................................................ — 3
2.3 Influence des éléments d’addition ............................................................. — 3
2.4 Modes de déformation................................................................................ — 4
2.5 Caractéristiques mécaniques...................................................................... — 4
2.6 Superplasticité ............................................................................................. — 4
3. Fonderie et première transformation................................................. — 5
3.1 Fusion ........................................................................................................... — 5
3.2 Coulée continue ........................................................................................... — 5
3.2.1 Coulée continue des produits plats................................................... — 6
3.2.2 Coulée continue des produits longs ................................................. — 6
3.3 Laminage...................................................................................................... — 7
3.3.1 Laminage des produits plats ............................................................. — 7
3.3.2 Laminage des produits longs ............................................................ — 8
3.4 Traitements de surface ................................................................................ — 8
3.4.1 Phosphatation ..................................................................................... — 8
3.4.2 Laquage ............................................................................................... — 9
4. Seconde transformation ........................................................................ — 9
4.1 Seconde transformation à chaud ............................................................... — 9
4.1.1 Filage ................................................................................................... — 9
4.1.2 Estampage........................................................................................... — 9
4.1.3 Tréfilage ............................................................................................... — 9
4.1.4 Mise en forme dans l’état superplastique ........................................ — 10
4.2 Seconde transformation à froid ................................................................. — 10
4.2.1 Découpage .......................................................................................... — 10
4.2.2 Profilage .............................................................................................. — 10
10 - 1995
Toute reproduction sans autorisation du Centre français d’exploitation du droit de copie est strictement interdite.
© Techniques de l’Ingénieur, traité Matériaux métalliques M 670 − 1
MISE EN FORME DU ZINC ET DE SES ALLIAGES ______________________________________________________________________________________________
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M 670 − 2 © Techniques de l’Ingénieur, traité Matériaux métalliques
______________________________________________________________________________________________ MISE EN FORME DU ZINC ET DE SES ALLIAGES
Dans le cas particulier du laminé pour le bâtiment, les produits La matrice de zinc, contenant éventuellement d’autres éléments
après l’étape de première transformation sont susceptibles de rece- en solution solide, a une structure cristalline hexagonale compacte,
voir un traitement de surface en continu, notamment par phospha- dont le rapport c /a, égal à 1,856, est supérieur à la valeur de celui
tation ou laquage organique, qui leur confèrent un aspect innovant, d’une structure hexagonale compacte idéale [2].
essentiellement destinés aux besoins architecturaux. Nota : pour de plus amples informations sur les métaux à réseau hexagonal compact
le lecteur se reportera à la référence [11].
L’étape de seconde transformation se fait en général dans des
ateliers de capacités plus modestes, pour obtenir des pièces finies
par diverses techniques telles que le profilage, l’emboutissage, le
découpage, le matriçage à froid ou à chaud, le filage inverse par choc 2.2 Température de fusion
pour les produits plats et le tréfilage pour les produits ronds. Les
techniques sont très voisines de celles mises en œuvre pour les La température de fusion du zinc et de ses alliages est toujours
alliages d’aluminium et de cuivre ou pour les aciers. de l’ordre de 420 oC, compte tenu de la faible quantité d’éléments
d’addition. L’énergie nécessaire à la fusion du métal et à la prépa-
ration des alliages en fonderie est donc relativement peu élevée par
1.3 Alliages rapport à celle nécessaire aux autres métaux usuels. À l’état liquide,
les alliages sont peu oxydables à l’air et la solubilité d’éléments
gazeux est pratiquement négligeable.
Les alliages de zinc utilisés dans l’industrie peuvent se classer en
cinq grandes familles : Le rapport de la température ambiante à la température de fusion
— le zinc pur non allié qui sert essentiellement à la fabrication du zinc, les deux étant exprimées en kelvins, est de 0,4. On voit donc
d’anodes (galvanoplastie) ou de fils (métallisation) ; que la mise en forme des demi-produits se déroulera toujours dans
le domaine de la déformation à tiède (0,3 T F < T < 0,5 T F) ou dans
— les alliages au plomb-cadmium et plomb-manganèse pour les
celui de la déformation à chaud (T > 0,5 T F), où T F désigne la tem-
applications en godets de piles obtenus par filage inverse par choc
pérature de fusion et T la température de déformation du matériau.
ou par emboutissage ;
— les alliages au cuivre-titane pour le bâtiment essentiellement ; ■ Dans le stade de première transformation, le laminage des
— les alliages au magnésium-aluminium pour les plaques produits plats ou des barres se déroulera au-dessous de 250 oC pour
destinées à la photogravure (activité en régression) ; éviter les phénomènes de fragilité à chaud, jusqu’à 100 o C en
— les alliages à l’aluminium pour leurs propriétés superplastiques général, rarement jusqu’à 50 o C pour certaines applications
(activité en développement), ou sous forme de fils (métallisation). particulières (alliage pour photogravure, ou augmentation de résis-
tance mécanique du produit).
La première transformation se fera donc essentiellement dans le
1.4 Perspectives domaine de déformation à chaud.
■ Dans le stade de seconde transformation, le filage inverse par
La production mondiale des produits corroyés en alliage de zinc
choc et l’estampage se feront dans le domaine de déformation à
est relativement stationnaire, l’apparition de nouvelles applications
chaud (150 à 250 oC), le tréfilage, l’emboutissage, le profilage et le
(produits matricés ou emboutis, fusibles automobiles) compensant
matriçage à froid, dans le domaine de déformation à tiède [12].
la légère baisse des marchés traditionnels (piles salines).
Le développement des utilisations est freiné par le coût du zinc
contenu qui évolue en dents de scie. Il est facilité par le faible coût
des opérations de transformation (faible température de fusion et 2.3 Influence des éléments d’addition
faible résistance à la déformation) et la bonne tenue à la corrosion
des produits finis par rapport aux matériaux concurrents. Le zinc forme avec les éléments d’addition des solutions solides
d’étendue très limitée. Les alliages utilisés sont donc polyphasés,
Les axes de développement pour le matériau de base concernent
avec une proportion de phases excédentaires très faible [13].
surtout la mise au point d’alliages à résistance mécanique plus
élevée (200 à 400 MPa au lieu de 150 environ à l’heure actuelle) et Ces éléments d’addition permettent d’améliorer l’aptitude à la
l’utilisation des propriétés superplastiques de certains alliages mise en forme et les caractéristiques mécaniques du zinc.
pour la mise en œuvre de nouvelles méthodes de transformation a) Aptitude à la mise en forme :
(§ 4.1.4). — la structure de solidification du zinc pur est de type basaltique,
Pour les produits finis dans le bâtiment, les axes de développe- à gros grains (quelques millimètres à quelques centimètres), et pré-
ment consistent à fournir à la clientèle une gamme d’état de surface sente une certaine fragilité intergranulaire à chaud lors de l’étape
de plus en plus variée et une gamme de façonnés et d’accessoires de première transformation ; l’addition d’éléments (surtout le cuivre,
de couverture ou d’évacuation d’eaux pluviales adaptée à ses le titane et le magnésium) conduit à un affinage notable du grain
exigences de durabilité, d’esthétique et de facilité de pose. et à une structure partiellement équiaxe, voire totalement équiaxe,
plus aisée à déformer ;
— la température de recristallisation du zinc pur est de 4 oC ;
l’addition de certains éléments (dans l’ordre d’influence décrois-
2. Particularités sante, le magnésium, le cadmium et le cuivre) permet de la remonter
à 150 oC, voire à 200 oC [3] et d’obtenir un produit à grains fins après
de la déformation plastique le stade de première transformation, plus ductile pour les opérations
ultérieures de mise en forme ; l’addition d’autres éléments, par la
des alliages de zinc formation de précipités ou d’eutectiques (par exemple le fer, le titane
et le plomb), permet d’éviter une croissance exagérée du grain après
recristallisation, par ancrage des joints de grains [4].
2.1 Structure et cristallographie
b) Caractéristiques mécaniques : pour certaines applications,
celles du zinc pur sont insuffisantes. L’introduction d’éléments
Tous les alliages de zinc corroyés, à l’exception des alliages
d’addition permet d’obtenir une gamme de produits adaptés à
Zn-Al que nous traiterons à part, contiennent plus de 98 % de zinc
l’emploi visé.
et ont des comportements à la mise en forme assez voisins.
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Tableau 2 – Caractéristiques mécaniques des alliages de zinc laminés à chaud (à température ambiante)
Résistance Allongement Limite Module Dureté Vitesse
Type Utilisations Composition à la traction à la rupture d’élasticité d’élasticité Vickers de fluage
d’alliage principales chimique Rm A Rp 0,2 en traction sous
70 MPa
(MPa) (%) (MPa) (MPa) (HV) (en 10– 4 %/ h)
(% en masse) SL ST SL ST SL ST SL ST SL
Bardages Cu = 0,9 – Ti = 0,17 230 290 34 12 190 250 100 000 120 000 78 0,5
Mg = 0,01
Bâtiment Pb = 0,65 118 146 68 42 70 90 43 000 48 000 38 200 000
Au plomb-
cadmium Emboutissage Pb = 0,35 – Cd = 0,02 144 158 63 36 95 100 75 000 77 000 44 20 000
Piles
Au magnésium Photogravure Al = 0,1 – Mg = 0,05 270 335 25 12 185 255 80 000 100 000 90 7 000
- aluminium
SL sens de laminage ST sens travers
On trouve pour m des valeurs allant de 0,4 à 0,6 et pour K 1 environ Par exemple, l’énergie nécessaire pour fondre 1 t de zinc et la porter
480 MPa · s0,4 à 0,6. à 480 oC est de 85 kWh, le rendement électrique des inducteurs est
En dehors du domaine de superplasticité, m est égal à 0,05 pour de 0,9 et les pertes thermiques sont de l’ordre de 110 kW, dans un
du zinc allié au cuivre-titane et à 0,25 pour du zinc pur, les deux à four contenant 60 t de zinc liquide et de 15 t / h de capacité de fusion.
l’état de laminé plat. — bonne homogénéisation de l’alliage, par les mouvements de
L’origine de la superplasticité des alliages Zn-22 % Al découle du convection qui se développent au sein du métal liquide.
diagramme de phases, où une transformation eutectoïde à 275 oC On utilise en général des fours basse fréquence à canal, parfois
conduit à une structure biphasée fine [13]. des fours sans canal de rendement électrique inférieur, pour la fabri-
cation d’alliage mère, lorsque le besoin s’en fait sentir. La protection
de la surface du zinc liquide dans les fours contre l’oxydation de l’air
est assurée par la présence en surface d’un flux (chlorure d’ammo-
3. Fonderie et première nium).
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3.3.1 Laminage des produits plats Le laminoir est capable de produire des bobines de 45 t. La
première passe de dégrossissage, effectuée en même temps que la
Les installations utilisées dans le monde sont de conceptions très coulée continue, a lieu à une vitesse limitée par celle de la coulée.
variées, comme pour le laminage des autres métaux. Les autres passes de finition se déroulent à 300 m/ min au
À titre d’exemple, on trouve une installation comportant 5 cages de maximum.
type duo en tandem, d’autres avec deux duos dégrossisseurs et des La régulation de l’épaisseur du laminé peut s’effectuer soit par
quartos réversibles finisseurs, enfin une installation avec un laminoir modification de la précontrainte de la cage (régulation de force), soit
unique multicylindre. par l’intermédiaire de l’indication de la jauge d’épaisseur en sortie
Les principaux producteurs de laminés plats sont : en France, Union de laminage (fonctionnant par mesure d’absorption de rayons γ ).
Minière France ; en Allemagne, Rheinzink et Grillo Werke ; aux Pays-Bas La tolérance sur l’épaisseur est fonction de l’épaisseur nominale
Nedzink ; en Belgique, Union Minière et, aux États-Unis, Alltrista et finale (± 0,02 mm pour 1 mm, ± 0,01 mm pour 0,5 mm, ± 0,005 mm
La Salle Rolling Mills. pour 0,2 mm).
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Compte tenu de la faible température de recristallisation du zinc flans pour pièces de monnaie, soit des produits minces (0,1 à
pur, on doit considérer que cette mise en forme s’effectue dans le 0,6 mm) pour la production de fusibles pour automobiles, ou de
domaine de la transformation à tiède, contrairement aux autres métal déployé. Les cadences des presses mécaniques vont de 100
métaux usuels. En outre, aucune opération de traitement thermique à 1 000 coups/min, avec des outillages comprenant en général plus
n’est nécessaire au cours des étapes intermédiaires du tréfilage, le de 10 poinçons, la lubrification de l’opération étant assurée par de
métal étant complètement recristallisé après chaque passe. l’huile soluble.
Exemple : à titre indicatif, la barre laminée à chaud est tréfilée en
une dizaine de passes pour obtenir un fil de diamètre de 1 mm au mini-
mum. Le pourcentage d’allongement à chaque passe est compris entre
4.2.2 Profilage
7 et 23 %, selon l’alliage considéré. Le fil est porté à une température
Cette technique est surtout mise en œuvre pour les produits longs
qui ne dépasse pas 60 oC, à une vitesse maximale de 600 m/min.
destinés au bâtiment (gouttières, tuyaux, éléments de couverture ou
Les filières sont en carbure de tungstène pour les premières passes, de bardage).
en diamant pour les deux dernières passes de finition ; leur angle est
de 15 à 20 degrés. Elle est donc essentiellement utilisée pour des demi-produits plats,
d’épaisseur comprise entre 0,5 et 1 mm, et de largeur comprise entre
Le lubrifiant utilisé est une huile spéciale pour tréfilage ou un savon
250 et 600 mm.
(stéarate).
Elle fait intervenir soit le pilage à la presse, soit plus fréquemment
Nota : on trouvera dans les références [21] [22] des informations complémentaires sur le profilage dans des machines à galets (7 à 12 galets selon la
le sujet.
complexité du profil, à une vitesse d’environ 30 m/min).
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P
O
U
Mise en forme du zinc R
et de ses alliages
E
N
par Ronald RACEK
Ingénieur de l’École Centrale de Paris
Docteur ès Sciences
S
Manager Production – Recherche – Qualité à la Société Union Minière France
A
Bibliographie V
+ historique de la question
★ étude théorique de la question
∆ comporte des résultats d’essais de labo-
ratoire
❍ étude technologique de la question
❒ description d’appareillages ou d’instal-
O
▲ comporte des résultats pratiques ou lations
industriels I
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10 - 1995
E Dimensions.
Deutsches Institut für Normung DIN
Travaux du CENT/ TC 128 Produits de couverture pour pose en discontinu :
prEN 501 Produits de couverture en tôle mécanique.
A Organismes
V France
Chambre syndicale du zinc et du cadmium.
International Lead and Zinc Research Organisation
ILZRO.
O Allemagne
Zinkberatung e. V.
Europe
European Zinc Institute EZI.
Grande-Bretagne
I Belgique
Centre des métaux non ferreux. Zinc Development Association ZDA.
Pays-Bas
États-Unis
R Informatie Centrum voor Zink ICZ.
Producteurs de demi-produits
P Alltrista (Zinc Products Co). Nedzink BV.
L Cominco Ltd.
La Salle Rolling Mills.
Grillo Werke AG.
Rheinzink GmbH.
Union Minière S.A. Union Minière France.
U
S
Cahier des charges. Règlements. Spécifications
Centre Scientifique et Technique du bâtiment CSTB
DTU 40-41 Couvertures par éléments métalliques en feuilles et longues feuilles en zinc. Cahier des clauses
techniques. Cahier des clauses spéciales Juin 1987.
Travaux de révision en cours.
RAL Deutsches Institut für Gütesicherung
und Kennzeichnung e.V.
RAL-RG681 Güteschutz Bauelemente aus Zinkblech 1972.
Constructeurs
Hazelett Strip-Casting Corp.
Continuus SpA.
SMS Schloemann-Siemag AG.
Alsthom Atlantique.