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S1

Objectif

OCDE : l’organisation pour le commerce et le développement économique


Comment ce fait le partage des compétences fiscales entre les Etats ????
La ressource fiscale permet de financer les budgets de l’Etat
Objectif 1 : saisir les mécanismes de partages des compétence fiscales.
Le concept de l’établissement stable : la règle fondamentale de liaison seuil, cette
règle détermine si un pays peut exercer son pouvoir d’imposition des bénéfices
qui sont réalisé par les stés étrangères qui exerce des activités sur son territoire
Objectif 2 : Connaitre les bases de fiscalité directe applicable aux stés étrangères
installées au Maroc.
Objectif 3 : Maitrise des mécanismes de prévention des doubles impositions : la
double imposition économique et la double imposition juridique.
Ils sont définis par les deux modèles de convention de l’OCDE
On distingue la méthode de l’exonération ‘article 23 A du modèle de l’OCDE’ et
la méthode de l’imputation
S2 :

Les firmes transnationales au lieu des multinationales


1- Le droit fiscal interne
C’est un ensemble de règles qui sont applicables à l’intérieur d’un territoire doté
de la souveraineté fiscale, ces règles étant applicable à des agents, qu’ils s’agissent
des personnes physiques ou des personnes morales ou des opérations qui sont
réalisées à l’intérieur de ce territoire.
Cette souveraineté fiscale découle de la souveraineté politique
La souveraineté fiscale est le corollaire de la souveraineté politique, contrairement
à la SP la SF peut être partagé entre l’Etat et une autre entité.
Ex : Royaume Unis et ses territoires d’outre-mer
Ces Iles ne disposent pas de la souveraineté politique, mais ils disposent de la
souveraineté fiscale, ils disposent d’un système fiscal basé en général sur une
imposition faible des bénéfices des non-résidents, et le secret bancaire.
La SF implique deux composantes :
➔Le pouvoir exclusif de mettre en place un Système fiscal sur un territoire donné.
C’est ce qu’on appel l’autonomie technique
➔Le pouvoir d’exercer la compétence fiscale au contribuable qui sont régit par
le SF qui a été mis en place par les autorités compétente.
Les conséquences fiscales :
L’exercice de chaque Etat le pouvoir d’imposition aboutis à des interactions entre
les différents systèmes fiscaux nationaux, ce qui conduit en conséquence à des
superpositions (chevauchements). Entre système fiscaux qui peuvent entrainer
des doubles impositions internationales. Flewel la
DI J et E
DIJ : elle se présente lorsque un même revenu ou une même fortune est imposée
dans le chef de même contribuable par plus d’un Etat. => Personne physique
DIE : elle se présente lorsqu’une entreprise mondiale est imposée 2* dans deux
pays différents pour les mêmes activités et c’est le cas de la sté mère (la sté
apparentée) et de ces filiales. (Dividende, redevance)
Elle peut se manifester également à un redressement fiscal d’un Etat suite à un
contrôle de prix de transfert.
Droit fiscal international
C’est l’ensemble des règles fiscale qui gouverne les échanges internationaux qui
se déroulent dans un cadre transfrontalier (qui dépasse les frontières nationales).
La double imposition est apparue lorsque deux ou plusieurs souverainetés
interviennent en vue d’imposer au même impôt de matière fiscale identique
provenant d’un contribuable quelconque. Et par conséquent il subit une charge
fiscale qui est plus lourd que ‘il était soumis à une seule souveraineté.
Les sources de droit fiscale international
➔Les sources unilatérales :
Ce sont des règles qui n’engage que la partie de l’autorité qui les a détectés cad pas
de réciprocité, ces règles découlent essentiellement des pouvoirs législatifs
représentés par le parlement. Qui légifère sur un ensemble de lois concernant la
gestion des affaires de l’Etat y compris des questions d’ordre fiscal.
Vue la technicité de la matière les pouvoirs veillent à ce que ces règles sont
applicables.
➔Sources conventionnelles
Fait référence à l’ensemble des règles de droit découlent des conventions fiscales
internationales. Les conventions fiscales sont des conventions bilatérales signées
entre deux Etats, elles permettent de résoudre les problèmes de DI internationales.
Et promouvoir les échanges en instaurant un climat de confiance et de sécurité
fiscale.
Ces conventions s’inscrire des deux modèles : OCDE et ONU
Leurs champs d’application est déterminé par la notion de résidence pour les
personnes physique et par la notion d’établissement stable pour les personnes
morales.
La plupart des règles de territorialité prévues par le droit fiscale interne
s’appliquent intégralement qu’en l’absence CFI, car lorsque la convention
internationale existe elle prime le droit interne.
➔Les accords intergouvernementaux
Magalt walo

La territorialité de l’impôt : droit fiscale interne


➔Pour l’IR :
Au Maroc, l’IR s’applique au plein droit à l’ensemble des revenus et produit de
source marocaine et étrangère des personnes physique (les stés de personnes
physiques qui sont imposées au nom de l’associé principale) fiscalement
domiciliés au Maroc et quel que soit la nationalité marocaine ou étrangère.
===> En l’absence de CF :
L’IR s’applique au RGI ; quel que soit la source➔l’imposition de bénéfice
mondiale
C’est la solidarité par rapport au Budget de l’Etat, (la citoyenneté fiscale).
Pour les personnes non résidentes : elles sont imposables sur l’ensemble de leurs
revenus de sources marocaine en l’absence de convention fiscale de NDI.
===> En présence de CF
Sont assujetties à l’IR, les personnes physiques ou morales qui ont ou non leur
domicile fiscal au Maroc et qui réalisent bénéfices et perçoivent des revenus dans
le droit d’imposition est attribué Maroc et ce en vertu des conventions tendant à
éviter la double imposition en matière de l’impôt sur le revenu. Le législateur à
pris en considération le DFI.
Synthèse :
En vertu de principe de OFI, le droit fiscal interne soumis à imposition tous les
revenus des personnes résidentes quelque sot la source.
Pour les personnes non résidentes elles ne sont concernées par l’IR marocaine que
lorsqu’elles réalisent des revenus sur le territoire marocain.
Pour les personnes physique résidentes ou pas dans un pays un lequel le Maroc à
signé une convention de non double imposition.
Si la convention donne le pouvoir d’imposition au Maroc. Il peut l’exercer.
➔Pour l’IS
Les sociétés, qu'elles aient ou non un siège au Maroc, sont imposables à raison de l'ensemble
des produits, bénéfices et revenus :

➔Se rapportant aux biens qu'elles possèdent, à l’activité qu'elles exercent et aux opérations
lucratives qu'elles réalisent au Maroc, même à titre occasionnel ;

➔Ainsi ceux dont le droit d’imposition est attribué au Maroc en vertu des conventions tendant
à éviter la double imposition en matière d’impôts sur le revenu.

===>En l’absence de CFI

Toute sté quel que soit le lieu d’établissement de son siège social (stés résidentes et non
résidentes) est assujettie à l’impôt en considération de l’ensemble des bénéfices et revenus de
sources marocaines se rapportant aux biens qu'elles possèdent, à l’activité qu'elles exercent
et aux opérations lucratives qu'elles réalisent au Maroc, même à titre occasionnel.

 Le critère de la source
Les modalités d’imposition en l’absence de CFI pour les personnes morales
résidentes :
L’article 5 limite les champs d’application pour lesdites stés, alors seuls produits
et bénéfices et revenus tirés d’opérations réalisées au Maroc sont soumis à
l’impôt.
Cad que l’assujettissement à l’impôt des opérations faites à l’étranger par les stés
de droit marocains dépend de la nature de l’opération ainsi que la qualité de
l’opérateur à l’étranger
Types d’opération
➔Opérations de ventes :
Les bénéfices tirés d’une vente faite à partir du territoire marocain sont imputables
à l’activité de la sté résidente qui les réalisent, elle s’agit dans ce cas d’une
exportation.
En revanche, les produits des ventes qui sont faites par la sté résidente mais pas
depuis le sol marocain depuis le sol étranger ne sont pas imposables à l’IS
marocain. Elles échappent à l’IS au Maroc.
On dit qu’il s’agit d’un cycle commercial complet réalisé à l’étranger
Cycle commercial complet : « une série d’opérations commerciales industriels ou
artisanales dirigées vers un but déterminé bien évidement lucratif et dont
ensemble forment un tout cohérent »
Il s’agit de toutes les opérations d’achat à l’étranger et puis la transformation est
faite à l’étranger et la vente depuis le même sol étranger c’est un cycle
commerciale complet réalisé à l’étranger. Et par conséquent les bénéfices tirés de
cette opération ne sont pas rattachés à l’assiette fiscale de la sté au Maroc.
➔Pour les prestations de services
Les bénéfices tirés d’une prestation de services sont imputables à l’activité de la
sté résidente qui les réalisent, lorsqu’ils ne se rattachent pas à un établissement
stable d’une sté à l’étranger.
Cad une sté résidente au Maroc et effectue des prestations de services (Etudes de
marché, expertise, Comptabilité).
→Si ces prestations en faveur d’un client là l’étranger sont rattachables à un
établissement stable de cette société à l’étranger.
La question qui se pose : est ce que la sté résidente est entrain d’effectuer ces
opérations depuis le siège sociale au Maroc ? ou bien il est en train d’effectuer ces
opérations depuis un établissement stable (siège, filiale locale) situé à l’étranger ?
Résumé :
➔Une filiale marocaine d’une sté résidente : toutes les opérations et prestations
de services réalisés par la filiale marocaine de cette sté résidentes sont imposable
à l’IS. La même filiale marocaine qui réalise des prestations à l’étranger, les
produits de ces prestations sont imposables à l’IS dans les conditions prévues par
la loi. C’est une opération d’exportation
➔Maintenant la même sté résidente qui dispose d’une filiale à l’étranger, cette
filiale à l’étranger sont statut est « filiale française d’une sté marocaine », toutes
les prestations de service réalisées par cette filiale installé à l’étranger vont
échapper à l’IS marocain car ils sont réalisés dans le cadre d’un établissement
stable qui est située à l’étranger.
====> En vertu de : les produits de prestation de services sont imposables à
l’activité de de la société résidente lorsque ces prestations ne se rattachent pas à
un établissement stable. Cad que à partir au moment où les prestations sont
effectuées et réalisé par un établissement stable localisé à l’étranger c’est
l’administration fiscale étrangère qui va imposer cette prestation et pas
l’administration fiscale marocaine.
Exemple de prestation :
=>Etudes techniques : une sté résidentes qui réalise des études techniques au
profit des d’un client français. Si cette étude technique au siège ca veut que la
prestation est rattaché à l’activité de la sté résidente et par conséquent imposable
à l’IS marocain.
Si, cette technique est effectuée depuis le bureau français, de notre sté résidente
là il s’agit d’une opération qui va échapper à l’IS marocain, car le bureau est
considéré comme étant un établissement stable. À l’étranger de la sté résidente et
par conséquent on ne peut pouvoir remonter le bénéfice réalisé par ce bureau.
=>Location de matériel.
=>les travaux immobiliers ou de montage :
Sauf application des disposition fiscales internationales évitant la double
imposition.
Les revenus et bénéfices tirés des travaux immobiliers ou de montage effectué à
l’étranger par les sociétés résidentes à ne relève pas du champ d’application de
l’IS.
Peut importe si ces revenus sont réalisés par l’intermédiaire de l’établissement
stable ou pas.
C’est une règle fiscale internationale.
Les stés résidentes ayant une filiale à l’étranger :
Elles sont imposables à l’IS, sur les rémunérations qu’elles perçoivent en
contrepartie de toutes les prestations à caractère administratif (la tenue de la
comptabilité, la direction générale…). Qui sont assuré au profit de leurs
établissements à l’étranger.
Toutes ces rémunérations doivent être rattaché à l’assiette fiscale, de la sté au
Maroc.
Pour conclure on peut dire que les bénéfices réalisés à l’étranger par une sté
résidente. Soit par l’intermédiaire d’un établissement stable soit dans le cadre d’un
cycle commercial complet sont exclus de champs d’application de l’IS.
Les stés résidentes sont imposable à l’IS sur les bénéfices, les revenus au cas ou
ces bénéfices ne sont pas réalisés par l’intermédiaire d’un établissement stable ou
dans le cadre d’un cycle commercial complet.

Les modalités d’imposition des stés non résidentes qui ne


disposent pas de leurs sièges sociaux au Maroc en l’absence de
CFNDI

Selon l’article 5 de CGI


« Les sociétés étrangères sont passible de l’IS sur les bénéfices ou revenus qu’ont leurs
sources au Maroc » ➔la règle privilégiée est la règle de source.
Dans les cas suivants :
➔Lorsque ces revenus, profits et bénéfice sont générés par des biens que ces sociétés non
résidentes possèdes au Maroc.
➔Lorsque ces revenus et bénéfices découlent d’activité économique exercée par ces sociétés
au Maroc
➔Lorsque ces sociétés réalisent des opérations lucratives au Maroc même à titre et ce même
à titre occasionnel, cad que ces opérations n’ont pas un caractère habituel au Maroc.
➔Lorsque ces sociétés perçoivent des produits bruts en contrepartie de travaux ou de services
au profit de personnes résidentes ou exerçant une activité au Maroc.
Cette définie un critère de territorialité et par conséquent une règle de source et d’imposition :
1-Une sté étrangère est passible de l’IS dans les conditions prévues par la loi en raison de tous
les revenus et profits ou de la cession de biens immobiliers ou encore de bien mobiliers (les
revenus de location de bien meubles et immeubles).
2-En ce qui concerne l’exercice de l’activité au Maroc : dans le cadre de l’établissement stable
au Maroc, soit dans le cadre d’un cycle commercial complet
Précision Selon la convention modèle OCDE
Un chantier de construction ou de montage ne constitue un établissement stable que si sa durée
dépasse 12 mois. La notion de chantier couvre toutes les activités de construction ou de
montage : cad notamment la construction de port, de routes….
Même les activités de conseil et de surveillance et d’organisation sont considérées comme ES,
s’elles sont effectué par l’entreprise dans le cadre de sa participation à un chantier à condition
que l’activité soit exercée dans la juridiction ou et ou situé le chantier.
Cela veut que si l’organisation de la sté se fait depuis le siège de la sté situé dans un pays
étranger, elle ne devra pas être rattachée fiscalement au chantier. Elle ne peut pas être imposable
dans les mains de l’administration fiscale de l’Etat qui accueille le chantier.
Selon le modèle ONU :
Un chantier de construction ou de montage ne constitue un établissement stable que si sa durée
dépasse 6 mois
Quelle est la définition qui serve mieux les intérêts des pays en voie de développement. ?
Favorise un accès plus facile des pays en voie de développement au droit d’imposer les
bénéfices des sociétés étrangères exerçant sur leur territoire. Notons à ce titre que ce modèle
considère qu’un chantier de construction est assimilé à un établissement stable lorsque sa durée
est supérieure à six mois (article 5, ONU).
La fixation de la durée du chantier est très importante en ce sens que plus la durée prévue par
la convention conclue par les deux Etats contractants est courte, plus le pays d’implantation du
chantier bénéficie de plus de possibilités d’imposer les bénéfices liés à ce chantier.
APD : Aides public au développement

Les conventions fiscales internationales


de non double impositions
Les conventions fiscales internationales sont des traités bilatéraux, qui ont pour objectif principal
l’élimination des doubles impositions internationales »

Au cours de ces dernières années, il y a un ceci principale qui est celui de lutter contre l’évasion
fiscale internationale.

Les conventions constituent des instruments privilégiés pour la mise en place de ce que nous
vient d’appeler le droit fiscal international.
Ces conventions s’inspirent de deux modèles de convention : OCDE et ONU qui visent la
non double imposition ou encore l’absence d’imposition.
Ces conventions sont multipliées par l’extension du commerce international et que leurs
champs d’application est déterminé par la notion de résidence pour les personnes physiques et
par celle d’établissement stable pour ce qui est des personnes morale et l’établissement
stable/cycle commercial complet pour les personnes morales.

Les objectifs des conventions fiscales internationales

➔Organiser la répartition des compétences fiscales entre les signataires


La compétence fiscale : en tant qu’Etat souveraine on a le droit d’imposer l’ensemble des
bénéfices qui trouve leur source sur votre territoire. Vous avez le droit d’imposer l’ensemble des
bénéfices qui sont réalisés par les personnes résidentes sur le territoire. Et les bénéfices réalisés
par les personnes résidentes.

On a commencé par l’absence des conventions fiscales car en l’existence de CFND on va référer
aux dispositions de la convention.

Selon la CMOCD

La question de la résidence d’un contribuable doit être d’abord regelée par référence au droit
fiscale interne. Pour déterminer la résidence d’un contribuable il faut tout d’abord référer aux
dispositions du droit fiscal interne.

Selon : CMOCDE

Pour organiser les compétences fiscales, il faut commencer tout d’abord par identifier, entre les
deux l’Etat de résidence du contribuable. Et pour cela dans un premier temps il faut se référer à
la législation interne. Mais on ne peut pas considérer comme étant résident de votre pays une
personne qui n’est assujettie à l’impôt dans votre Etat que pour les revenus de source qui sont
situé dans votre Etat ou pour la fortune qui est située. Cad dont on est source.

Pour définir de façon conventionnelle la notion de résidence, la CMOCDE invite les Etats à
déterminer l’Etat de résidence tout d’abord en se référant à la législation interne, mais la dernière
partie du paragraphe précise que la référence aux dispositifs de droit fiscal interne ne doit
permettre de qualifier de résident d’un Etat une personne qui dispose uniquement de revenu de
source locale, autrement une personne qui n’est pas soumise à l’obligation fiscale illimité .

L’article nous dit attention c’est pas parce que une personne dispose de revenu qu’elle réalise
sur votre territoire vous avez le droit de la qualifiez de personne résidente non, puisque on est
que l’Etat de la source.

Pour quoi la résidence est très importante ?

Car le MCOCDE accord le pouvoir d’imposition principale à l’Etat de la résidence, et les plus part
des transnationales réside au sein des pays occidentaux.
En ce qui concerne les personnes physiques : la CFOCDE énumère un certain critère subsidiaire.
On recourt à ces critères que lorsqu’il y a un conflit de loi fiscale qui fait qu’une personne est
considérée comme étant domicilié fiscalement dans les deux Etats.

Ce sont des critères auxquels ces autorité peuvent y recourir en cas conflits de loi fiscale, dans
ce cas la convention doit prévoir des critères qui permet de situer l’Etat de résidence de
contribuable en question.

Les critères subsidiaires : Personne physique :

➔Le foyer d’habitation permanant

➔Les liens personnels les plus étroit (au Maroc : le centre d’intérêts économique)

➔Le séjour habituel : simplement un caractère habituel (principal au Maroc : période de 183
jours)

➔La Nationalité

➔Accord commun (la Procédure amiable : procédure qui permet de déterminer l’Eta de
résidence de contribuable lorsque on a épuisé tous les critères de CMOCDE.

Les critères subsidiaires : Personne Morale :

Les Méthodes d’élimination de la double imposition

La CMOCDE, a énuméré deux méthodes :

➔La méthode de l’exemption :

Exempter cad exonérer, dispenser dans ce cas l’Etat de résidence de contribuable, renonce à
imposer les revenus pour lesquels la convention, reconnu un droit d’impos ition à l’Etat de la
source. Cad l’Etat de résidence doit exonérer le revenu de source étrangère.

======>l’exemption intégrale :

Eliminer complétement les revenus de source étrangère réalisé par le contribuable dans
l’assiette fiscale, puisqu’ils ont déjà subi des retenues à la source. L’Etat de la résidence élimine
la totalité des revenus de source étrangère dans la base imposable de façon intégrale.

======>L’exemption avec taux effectif


Pour éviter les inconvénients qui sont lié à cette méthode on inclure les revenus de source
étrangère pour leurs montant Net uniquement pour ressortir le taux d’imposition effectif qui
doit aux revenus non exemptés.

Méthode d’imputation

Cette méthode consiste de la part de l’Etat de résidence, de remédier à la situation pour éviter
le risque de non double imposition.

Cette méthode consiste de la part de l’Etat de contribuable à accorder à celui-ci une déduction
fiscale, réduction fiscale sur impôt. Impôt sur impôt. Il déclare l’impôt net et le revenu net. A
condition d’apporter une attestation. Et par conséquent en appliquant une imputation.

➔L’imputation intégrale

Il ne sert pas les intérêts de l’Etat de résidence, surtout cet Etat en développement. C’est le
droit de bénéficier d’un crédit d’impôt qui égale au taux de 42% alors que nous c’est
uniquement 38%. C’est épuisement de notre recette fiscal.

Hna day3in men jouj jwayh awel haja l’imputation, tani haja l’epuisement de la recette fiscale.

En tout les cas le contribuable est gagnant.

Le montant de crédit d’impôt doit être imputer sut l’impôt théorique.

➔L’imputation ordinaire ou limité :

Le crédit de l’impôt accordé par l’Etat de résidence ne va pas excéder la fraction de l’impôt que
cet Etat de résidence aurai dû faire payer le contribuable s’il a eu la possibilité de l’imposer. Cad
que la fraction de l’IR marocain qui correspond à l’impôt de source étrangère.

Quel est le nombre des conventions fiscal signé au Maroc avec les autres pays ??

➔Lutter contre l’évasion et la fraude fiscale internationale

➔Assurant la non-discrimination et l’assistance mutuelle

La non-discrimination entre les résidents et les non-résidents

Les systèmes fiscaux s’appuient sur plusieurs principes :

=>l’annualité de l’impôt : car la comptabilité de l’entreprise est organisée de façon annuelle, c’est
parce que les impôts sont annuels que nous somme, obligé d’organiser la comptabilité sous forme
annuel. On a obligé de procéder à u découpage artificiel (ce n’est pas réel, puisqu’il y a de la
continuité) de l’activité de l’entreprise en année.

L’impôt sert à financer les budgets de l’Etat et puisqu’ils sont annuel, l’impôt est annuel aussi.

=>la neutralité fiscale

=>l’efficacité fiscale

=>l’équité fiscale

=>L’égalité devant l’impôt

=>l’efficience
=>la légalité de l’impôt : application par force de la loi.

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