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Objectif
➔Se rapportant aux biens qu'elles possèdent, à l’activité qu'elles exercent et aux opérations
lucratives qu'elles réalisent au Maroc, même à titre occasionnel ;
➔Ainsi ceux dont le droit d’imposition est attribué au Maroc en vertu des conventions tendant
à éviter la double imposition en matière d’impôts sur le revenu.
Toute sté quel que soit le lieu d’établissement de son siège social (stés résidentes et non
résidentes) est assujettie à l’impôt en considération de l’ensemble des bénéfices et revenus de
sources marocaines se rapportant aux biens qu'elles possèdent, à l’activité qu'elles exercent
et aux opérations lucratives qu'elles réalisent au Maroc, même à titre occasionnel.
Le critère de la source
Les modalités d’imposition en l’absence de CFI pour les personnes morales
résidentes :
L’article 5 limite les champs d’application pour lesdites stés, alors seuls produits
et bénéfices et revenus tirés d’opérations réalisées au Maroc sont soumis à
l’impôt.
Cad que l’assujettissement à l’impôt des opérations faites à l’étranger par les stés
de droit marocains dépend de la nature de l’opération ainsi que la qualité de
l’opérateur à l’étranger
Types d’opération
➔Opérations de ventes :
Les bénéfices tirés d’une vente faite à partir du territoire marocain sont imputables
à l’activité de la sté résidente qui les réalisent, elle s’agit dans ce cas d’une
exportation.
En revanche, les produits des ventes qui sont faites par la sté résidente mais pas
depuis le sol marocain depuis le sol étranger ne sont pas imposables à l’IS
marocain. Elles échappent à l’IS au Maroc.
On dit qu’il s’agit d’un cycle commercial complet réalisé à l’étranger
Cycle commercial complet : « une série d’opérations commerciales industriels ou
artisanales dirigées vers un but déterminé bien évidement lucratif et dont
ensemble forment un tout cohérent »
Il s’agit de toutes les opérations d’achat à l’étranger et puis la transformation est
faite à l’étranger et la vente depuis le même sol étranger c’est un cycle
commerciale complet réalisé à l’étranger. Et par conséquent les bénéfices tirés de
cette opération ne sont pas rattachés à l’assiette fiscale de la sté au Maroc.
➔Pour les prestations de services
Les bénéfices tirés d’une prestation de services sont imputables à l’activité de la
sté résidente qui les réalisent, lorsqu’ils ne se rattachent pas à un établissement
stable d’une sté à l’étranger.
Cad une sté résidente au Maroc et effectue des prestations de services (Etudes de
marché, expertise, Comptabilité).
→Si ces prestations en faveur d’un client là l’étranger sont rattachables à un
établissement stable de cette société à l’étranger.
La question qui se pose : est ce que la sté résidente est entrain d’effectuer ces
opérations depuis le siège sociale au Maroc ? ou bien il est en train d’effectuer ces
opérations depuis un établissement stable (siège, filiale locale) situé à l’étranger ?
Résumé :
➔Une filiale marocaine d’une sté résidente : toutes les opérations et prestations
de services réalisés par la filiale marocaine de cette sté résidentes sont imposable
à l’IS. La même filiale marocaine qui réalise des prestations à l’étranger, les
produits de ces prestations sont imposables à l’IS dans les conditions prévues par
la loi. C’est une opération d’exportation
➔Maintenant la même sté résidente qui dispose d’une filiale à l’étranger, cette
filiale à l’étranger sont statut est « filiale française d’une sté marocaine », toutes
les prestations de service réalisées par cette filiale installé à l’étranger vont
échapper à l’IS marocain car ils sont réalisés dans le cadre d’un établissement
stable qui est située à l’étranger.
====> En vertu de : les produits de prestation de services sont imposables à
l’activité de de la société résidente lorsque ces prestations ne se rattachent pas à
un établissement stable. Cad que à partir au moment où les prestations sont
effectuées et réalisé par un établissement stable localisé à l’étranger c’est
l’administration fiscale étrangère qui va imposer cette prestation et pas
l’administration fiscale marocaine.
Exemple de prestation :
=>Etudes techniques : une sté résidentes qui réalise des études techniques au
profit des d’un client français. Si cette étude technique au siège ca veut que la
prestation est rattaché à l’activité de la sté résidente et par conséquent imposable
à l’IS marocain.
Si, cette technique est effectuée depuis le bureau français, de notre sté résidente
là il s’agit d’une opération qui va échapper à l’IS marocain, car le bureau est
considéré comme étant un établissement stable. À l’étranger de la sté résidente et
par conséquent on ne peut pouvoir remonter le bénéfice réalisé par ce bureau.
=>Location de matériel.
=>les travaux immobiliers ou de montage :
Sauf application des disposition fiscales internationales évitant la double
imposition.
Les revenus et bénéfices tirés des travaux immobiliers ou de montage effectué à
l’étranger par les sociétés résidentes à ne relève pas du champ d’application de
l’IS.
Peut importe si ces revenus sont réalisés par l’intermédiaire de l’établissement
stable ou pas.
C’est une règle fiscale internationale.
Les stés résidentes ayant une filiale à l’étranger :
Elles sont imposables à l’IS, sur les rémunérations qu’elles perçoivent en
contrepartie de toutes les prestations à caractère administratif (la tenue de la
comptabilité, la direction générale…). Qui sont assuré au profit de leurs
établissements à l’étranger.
Toutes ces rémunérations doivent être rattaché à l’assiette fiscale, de la sté au
Maroc.
Pour conclure on peut dire que les bénéfices réalisés à l’étranger par une sté
résidente. Soit par l’intermédiaire d’un établissement stable soit dans le cadre d’un
cycle commercial complet sont exclus de champs d’application de l’IS.
Les stés résidentes sont imposable à l’IS sur les bénéfices, les revenus au cas ou
ces bénéfices ne sont pas réalisés par l’intermédiaire d’un établissement stable ou
dans le cadre d’un cycle commercial complet.
Au cours de ces dernières années, il y a un ceci principale qui est celui de lutter contre l’évasion
fiscale internationale.
Les conventions constituent des instruments privilégiés pour la mise en place de ce que nous
vient d’appeler le droit fiscal international.
Ces conventions s’inspirent de deux modèles de convention : OCDE et ONU qui visent la
non double imposition ou encore l’absence d’imposition.
Ces conventions sont multipliées par l’extension du commerce international et que leurs
champs d’application est déterminé par la notion de résidence pour les personnes physiques et
par celle d’établissement stable pour ce qui est des personnes morale et l’établissement
stable/cycle commercial complet pour les personnes morales.
On a commencé par l’absence des conventions fiscales car en l’existence de CFND on va référer
aux dispositions de la convention.
Selon la CMOCD
La question de la résidence d’un contribuable doit être d’abord regelée par référence au droit
fiscale interne. Pour déterminer la résidence d’un contribuable il faut tout d’abord référer aux
dispositions du droit fiscal interne.
Selon : CMOCDE
Pour organiser les compétences fiscales, il faut commencer tout d’abord par identifier, entre les
deux l’Etat de résidence du contribuable. Et pour cela dans un premier temps il faut se référer à
la législation interne. Mais on ne peut pas considérer comme étant résident de votre pays une
personne qui n’est assujettie à l’impôt dans votre Etat que pour les revenus de source qui sont
situé dans votre Etat ou pour la fortune qui est située. Cad dont on est source.
Pour définir de façon conventionnelle la notion de résidence, la CMOCDE invite les Etats à
déterminer l’Etat de résidence tout d’abord en se référant à la législation interne, mais la dernière
partie du paragraphe précise que la référence aux dispositifs de droit fiscal interne ne doit
permettre de qualifier de résident d’un Etat une personne qui dispose uniquement de revenu de
source locale, autrement une personne qui n’est pas soumise à l’obligation fiscale illimité .
L’article nous dit attention c’est pas parce que une personne dispose de revenu qu’elle réalise
sur votre territoire vous avez le droit de la qualifiez de personne résidente non, puisque on est
que l’Etat de la source.
Car le MCOCDE accord le pouvoir d’imposition principale à l’Etat de la résidence, et les plus part
des transnationales réside au sein des pays occidentaux.
En ce qui concerne les personnes physiques : la CFOCDE énumère un certain critère subsidiaire.
On recourt à ces critères que lorsqu’il y a un conflit de loi fiscale qui fait qu’une personne est
considérée comme étant domicilié fiscalement dans les deux Etats.
Ce sont des critères auxquels ces autorité peuvent y recourir en cas conflits de loi fiscale, dans
ce cas la convention doit prévoir des critères qui permet de situer l’Etat de résidence de
contribuable en question.
➔Les liens personnels les plus étroit (au Maroc : le centre d’intérêts économique)
➔Le séjour habituel : simplement un caractère habituel (principal au Maroc : période de 183
jours)
➔La Nationalité
➔Accord commun (la Procédure amiable : procédure qui permet de déterminer l’Eta de
résidence de contribuable lorsque on a épuisé tous les critères de CMOCDE.
Exempter cad exonérer, dispenser dans ce cas l’Etat de résidence de contribuable, renonce à
imposer les revenus pour lesquels la convention, reconnu un droit d’impos ition à l’Etat de la
source. Cad l’Etat de résidence doit exonérer le revenu de source étrangère.
======>l’exemption intégrale :
Eliminer complétement les revenus de source étrangère réalisé par le contribuable dans
l’assiette fiscale, puisqu’ils ont déjà subi des retenues à la source. L’Etat de la résidence élimine
la totalité des revenus de source étrangère dans la base imposable de façon intégrale.
Méthode d’imputation
Cette méthode consiste de la part de l’Etat de résidence, de remédier à la situation pour éviter
le risque de non double imposition.
Cette méthode consiste de la part de l’Etat de contribuable à accorder à celui-ci une déduction
fiscale, réduction fiscale sur impôt. Impôt sur impôt. Il déclare l’impôt net et le revenu net. A
condition d’apporter une attestation. Et par conséquent en appliquant une imputation.
➔L’imputation intégrale
Il ne sert pas les intérêts de l’Etat de résidence, surtout cet Etat en développement. C’est le
droit de bénéficier d’un crédit d’impôt qui égale au taux de 42% alors que nous c’est
uniquement 38%. C’est épuisement de notre recette fiscal.
Hna day3in men jouj jwayh awel haja l’imputation, tani haja l’epuisement de la recette fiscale.
Le crédit de l’impôt accordé par l’Etat de résidence ne va pas excéder la fraction de l’impôt que
cet Etat de résidence aurai dû faire payer le contribuable s’il a eu la possibilité de l’imposer. Cad
que la fraction de l’IR marocain qui correspond à l’impôt de source étrangère.
Quel est le nombre des conventions fiscal signé au Maroc avec les autres pays ??
=>l’annualité de l’impôt : car la comptabilité de l’entreprise est organisée de façon annuelle, c’est
parce que les impôts sont annuels que nous somme, obligé d’organiser la comptabilité sous forme
annuel. On a obligé de procéder à u découpage artificiel (ce n’est pas réel, puisqu’il y a de la
continuité) de l’activité de l’entreprise en année.
L’impôt sert à financer les budgets de l’Etat et puisqu’ils sont annuel, l’impôt est annuel aussi.
=>l’efficacité fiscale
=>l’équité fiscale
=>l’efficience
=>la légalité de l’impôt : application par force de la loi.