A
A-A
. 5
4
.
.
3
2
.
. 1
Page-28-
Dessin d’ensemble
A
A-A
. 5
4
.
.
3
2
.
. 1
Page-29-
Leçon N°1 : Le dessin d’ensemble« Rappels » Chapitre II
Goujon
Vis C HC, M4x20
Bague épaulée
Page-30-
Leçon N°1 : Le dessin d’ensemble« Rappels » Chapitre II
7
4 …..
9
….
….
10
…..
…. …..
…..
Classe C
Classe B
Classe A Classe D
Classe E Classe F
Page-31-
Leçon N°1 : Le dessin d’ensemble« Rappels » Chapitre II
Tube en cuivre
Galets (9)
………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………….
Page-32-
Leçon N°1 : Le dessin d’ensemble« Rappels » Chapitre II
5 A
4 8
3 9
2
C
1 B
2-2-
A
2-3- La pièce (8) : Désignation : Vis (Avec tête cylindrique à six pans creux ; symbole : CHC)
Matière : Acier
Référence : NF E 25-125
3) Etude technologique:
- Quelle est la fonction de l’élément repère (8) ?
……………………………………………………………………………………
- Relever sur le dessin d’ensemble de la perforatrice page 66 la course du poinçon (6)
………………………………………………………………………………..
- Quelle est la fonction du ressort repère (3) ?
………………………………………………………………………………
- Pourquoi le poinçon (6), les goupilles de positionnement (9) et la vis (8) ne sont-ils pas hachurés sur la coupe
A-A ?
………………………………………………………………………………………….
- Quelle est l’épaisseur maximale des feuilles qu’on peut perforer ?
……………………………………………………………………………………….
- On remarque que le corps (2) comporte les chanfreins A et B et C. Donner leurs fonction :
Page-33-
Leçon N°1 : Le dessin d’ensemble« Rappels » Chapitre II
Capteur de position
Longeron
Poussoir
Ferrure en pente
Vantail de prote
Vérin
Poussoir Poussoir
b- La course maximale de la tige (2) est d’a peut prés 11,5 mm.
c- La vis à téton (8) limite la course de la tige (2).
d- Il assure la condition de rappel automatique de la tige (2).
e- Il assure une liaison encastrement entre la vis (6) et la tige (2).
Page-34-
Leçon N°1 : Le dessin d’ensemble« Rappels » Chapitre II
f-
Borne (8)
Questions Réponses
Si on appui sur le poussoir puis on relâche, y a t ……………………………………………….
il encore un passage de courant électrique ? ……………………………………………….
………………………………………………
Le poussoir (5) et le corps (1) sont en matière ……………………………………………….
plastique. Justifier ce choix et donner d’autres ……………………………………………….
matériaux qui assurent la même fonction. ………………………………………………
……………………………………………….
………………………………………………
………………………………………………
Indiquer le nom de la liaison entre le cylindre de ………………………………………………
poussée (6) et la douille (2)
Quel est le rôle des écrous (4) et (3) ? ……………………………………………
Quel est le rôle du ressort (9) ? ………………………………………………
Quel est le rôle de la vis (12) ? ………………………………………………
Page-35-
Leçon N°2 : La cotation Fonctionnelle
Arbre
Alésage
Page-36-
Leçon N°2 : La cotation Fonctionnelle Chapitre II
« Tiroir de table »
3
1- Mise en situation : 1
2- Travaille demandé :
a-
D’après le dessin ci-contre le montant (2) ne
peut pas translater par rapport au support (1)
b-
Pour que le tiroir puisse translater par
rapport à la table (3) et le support (1) 2
il faut laisser un espace entre (1) et (2).
1- Définition :
Coter fonctionnellement un dessin c’est choisir les cotes qui expriment directement le bon
fonctionnement du produit.
Page-37-
Leçon N°2 : La cotation Fonctionnelle Chapitre II
7 Jb
5
1
4
2
Ja
4
5
7 2
La fonction remplie par une liaison est conditionnée par l’existence d’un : Jeu / Serrage / Dépassement /Retrait
Dans notre exemple :
- Jeu (Ja) : Espace laissé entre (6) et (4) pour assurer une liaison pivot de 7/4.
- Retrait (Jb) : De (4) par rapport à (1) pour que l’axe (4) puisse être encastré sur le support(1).
Page-38-
Leçon N°2 : La cotation Fonctionnelle Chapitre II
6 Ja
1 Jb
Surfaces de liaison ou
surfaces d’appui : c’est la La cote condition : c’est une
surface commune à deux dimension qui assure un
pièces participant à la fonctionnement normale.
chaîne de cotes. Cette La cote condition est représentée
surface doit être par un vecteur double orienté du
perpendiculaire à la cote bas vers le haut ou de la gauche
condition. vers la droite.
Page-39-
Leçon N°2 : La cotation Fonctionnelle Chapitre II
SL 4/1
Remarque : Pour dimensionner toutes les autres pièces qui participent à assurer cette condition du bon
fonctionnement on doit alors suivre une méthode :
- On ne prend que les surfaces de contact perpendiculaire à la cote condition.
- On prend le diagramme le plus cour et fermé qui contient la cote condition.
<< Equations aux valeurs nominales >> << Equations aux valeurs limites>>
J b Max b1 Max b4 min
Jb b1 b4
J b min b1 min b4 Max
III –Exercice résolu : (Voir manuel du cours page 66)
0,1
0 ,1
4-e- Report des cotes fonctionnelles:
14 0 , 4
Page-40-
Leçon N°2 : La cotation Fonctionnelle Chapitre II
EXERCICES D’APPLICATIONS
Exercice N°1 : Système : Serre-joint de menuisier
1°) Etablir sur la section sortie C-C la chaîne minimale de cotes qui installe la condition «a »
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Leçon N°2 : La cotation Fonctionnelle Chapitre II
10 1 Rivet
9 1 Rivet
8 1 Vis de pression
7 2 Bague
6 1 Tige de manoeuvre
5 1 Guide
4 1 Vis de manoeuvre
3 1 Piston
2 1 Mors fixe
1 1 Mors mobile
Rep Nb Désignation
ECHELLE : Nom : Badra Sahbi
SERRE-JOINT DE MINUISIER Date : Le 04-01-2012
Page-42-
Leçon N°2 : La cotation Fonctionnelle Chapitre II
Vis H (5)
Arbre (1)
Pignon (2)
- Travail demandé :
« a » : ………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………….
« b » : ……………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………….
………………………………………………………………………………………………………
2- Compléter les différentes cases du tableau suivant :
Page-43-
Leçon N°2 : La cotation Fonctionnelle Chapitre II
3- Etablir les chaînes de côtes qui installent les conditions (a) et (b).
A Condition « a »
A-A 2
3
1
4
a
5
Condition « b »
A
4- En fonction de la chaîne tracée pour la cote condition « a » calculer le jeu « a3 », sachant que :
0 ,5
0 0 ,3 0 ,49
a1 31 0 ,20
; a2 39 et a 0, 3 0
a3 = …….
a3 min = …………………………… AN : a3 min = …………………………….
5- Reporter la côte fonctionnelle sur le dessin de définition de la pièce (1) (sur la vue de droite en coupe B-B) :
B
B-B 1
B
6- En se référant au calcul réalisé sur la cote « a3 » ; compléter le tableau des mesures ci-dessous en indiquant par une
croix la case correspondante :
Page-44-
Leçon N°2 : La cotation Fonctionnelle Chapitre II
4
3
2 Ja
d’ou a3 = ……………………………………………………….
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Leçon N°3 : Le dessin de définition (Rappels)
Objectif :
Un dessin de définition a pour objectif d’exprimer les exigences auxquelles doit répondre la pièce
représentée. Il doit donc être parfaitement clair, c'est-à-dire :
Complet évitant toute interprétation ou déduction ;
Facile à lire (choix judicieux des vues et leur nombre) ;
Ne contenir que les spécifications fonctionnelles indispensables, avec de tolérances aussi peu
élevées que possible.
I- Rappel :
Définition : (Voir manuel du cours page 70)
-Mettre en évidence les formes générales d’une pièce (colorier la pièce concernée sur les
différentes vues ou elle apparaît. (Voir manuel du cours page 71)
-Il faut construire des volumes et non des contours (Parallélépipède, cylindre, sphère, …)
-Toutes les vues doivent être conduites simultanément pour éviter les risques d’oublis et de confusion.
-Effectuer des opérations booléennes appliquées aux volumes élémentaires tel que la soustraction
(retranchement), l’addition (réunion), et quelquefois l’intersection.
(Voir manuel du cours page 72-73)
Par la cotation afin de spécifier les dimensions des différentes surfaces de la pièce avec plus de
précision qu’un simple relevé. (Voir manuel du cours page 75)
Page-46-
Leçon N°3 : Le dessin de définition (Rappels) Chapitre II
Section rabattue :
1-Repérer le plan coupant la pièce, par sa trace, en trait mixte fin.
2-N'indiquer le sens d'observation que s'il peut y avoir confusion. Ne pas mettre de lettre.
3-Amener par rotation de 90°, autour de l'axe de la section, le plan coupant la pièce dans le sens du dessin.
4-Dessiner en trait continu fin la surface de la pièce contenue dans le plan sécant.
5-Hachurer la section (Dans ce cas, bien que cela soit à éviter, les hachures peuvent couper
un trait fort, voir figures 1b et 1c.)
Figure 1b
Figure 1c
Page-47-
Leçon N°3 : Le dessin de définition (Rappels) Chapitre II
Corps
Chapeau
Galet
Chape
Effecteu
r
Levier
Page-48-
Travail demandé:
On demande de compléter :
a) La vue de face en coupe A-A
b) La vue de gauche
c) La vue de dessus en coupe B-B
A
B B
1 1 Chape
Rep Nb Désignation Matière Observation
ECHELLE : 2:1 Nom : BADRA
Numéro : 00
ETABLISSEMENT : Lycée Lycée Hammam-Lif
Page-49-
EX N°2 : SYSTEME TECHNIQUE : « Borne réglable»
On demande de compléter :
-La vue de face en coupe A-A
-La vue de gauche
-La vue de dessus
-Section sortie C-C
C C
Page-50-
CHAPITRE III(3)
COMPORTEMENT DES MATERIAUX
« Rappels sur les sollicitations simples »
A- La traction :
Définition : Une pièce est sollicitée à la traction lorsqu'elle est soumise à deux forces directement
opposées qui tendent à l'allonger.
Bilan des Forces :
F1 F2
On a F1 et F2 sont les efforts appliqués respectivement sur cette éprouvette. Sous l'action de
ces deux forces, l’éprouvette tend à s’allongée.
Déformation :
Retenons :
-- Une pièce est sollicitée à la traction lorsqu'elle est soumise à l'action de deux efforts
directement opposés qui tendent à l'allonger.
-- Les allongements d'une pièce sollicitée à la traction sont proportionnels aux charges.
F ( pente).l
-- La valeur de l’allongement d’une pièce soumise à la traction dépend de la nature du matériau de la pièce
sollicitée.
Cuivre
Aluminium
Page-51-
Rappels sur les sollicitations simples Chapitre III
B- La compression :
Définition :
Par analogie à la traction, on peut définir la sollicitation de compression : une pièce sollicitée à la
compression lorsqu’elle est soumise à l’action de deux forces directement opposées qui tendent à la
raccourcir.
Bilan des Forces :
F1 F2
On a F1 et F2 sont les efforts appliqués respectivement sur cette éprouvette. Sous l'action de ces deux
forces, l’éprouvette tend à ce raccourcir.
Déformation : Raccourcissement
Type de sollicitation : Compression
C- La flexion simple :
Définition : Une pièce est sollicitée à la flexion lorsqu'elle est soumise à l'action de plusieurs forces
perpendiculaires à son axe qui tendent à la fléchir.
On a F1 , F2et F3sont les efforts appliqués respectivement sur cette barre. Sous l'action des trois forces,
l’éprouvette tend à fléchir.
Page-52-
Rappels sur les sollicitations simples Chapitre III
On a F1 , F2 sont les efforts appliqués sur cette planche. Sous l’action des deux forces elle tend à fléchir.
Retenons :
-- Une pièce est sollicitée à la flexion simple lorsqu'elle est soumise à l'action de plusieurs forces
perpendiculaire à sont axe qui tendent à la fléchir.
-- La déformation de flexion d'une pièce sollicitée à la flexion est proportionnelle aux charges.
F ( pente). f
-- La valeur de la flèche d’une pièce soumise à la flexion simple dépend de la nature de son matériau.
Exemple :
f Al fCu f Fe
Fer
Cuivre
Aluminium
D- La torsion :
Définition :
Une pièce est sollicitée à la torsion lorsqu'elle est soumise à l'action de deux moments de torsion opposés
(deux couples de forces opposé : les forces sont situés dans un plan perpendiculaire à l'axe de la pièce) qui
tendent à la tordre.
Page-53-
Rappels sur les sollicitations simples Chapitre III
On a Mt1 et Mt2 sont les moments appliqués sur l’éprouvette. Sous l'action des deux couples de forces
l’éprouvette tend à ce tordre.
Déformation :
Angle de torsion ( )
Type de sollicitation : Torsion
Retenons :
-- Une pièce est sollicitée à la torsion lorsqu'elle est soumise à l'action de deux moments de forces opposée.
-- Les déformations angulaires d'une pièce sollicitée à la torsion sont proportionnelles aux moments de forces
appliquées.
Mt ( pente).
-- La déformation angulaire d'une pièce sollicitée à la torsion dépend de la nature de son matériau.
Exemple : Al Cu Fe
Fer
Cuivre
Aluminium
Page-54-
COMPORTEMENT DES MATERIAUX : GENERALITES
B
5 1
C
2 5 1 Bâti
3 4 1 Barre d’acier
E
3 1 Lame
D 2 1 Biellette
1 1 Levier
4 Rep Nb Désignation
Figure N°2
Ligne moyenne
Exemples de poutre
G Surface (S)
Page-55-
GENERALITES Chapitre III
Coupure
Levier FB
C B A
(2) (1)
df
FA
Dans le cas de la pièce (2) du système Pince pantographe: (Voir figure 4)
Pour la biellette (2) les efforts de cohésions se réduisent à une force N normale à la section N df
df N N
Donc C appelé contrainte normale et noté (Sigma) :
ds S S
Figure N°4
1
E FE FE
N E
2
3 df
4 (2)
D Coupure
6 (1)
5
D
FD FD
Pince pantographe
Page-56-
Leçon : Traction simple
I- DEFINITION :
Une poutre est soumise à la traction lorsqu’elle est soumise à deux forces directement opposées qui tendent
à l’allonger.
Exemple : Pièce (2) de la pince pantographe.
II- ESSAI DE TRACTION :
Pour vérifier la résistance et l’allongement de la pièce (2) nous avons besoin de connaître les propriétés
mécaniques du matériau constituant cette pièce.
Pour définir ces propriétés, on procède à un essai de traction.
L’essai de traction s’effectue sur une éprouvette extraite du même matériau que la pièce (2) (voir figure 5)
Les extrémités de l’éprouvette sont pincées dans les mâchoires d’une machine à essai de traction comportant un
mécanisme enregistreur (voir figure 6)
L’essai consiste à chercher la variation de la longueur L en fonction de l’intensité de l’effort exercé sur
l’éprouvette.
Figure N°5
F1 F2
Section (S) de l’éprouvette d
P
d = 10 mm ; L = 100 mm
d2 102
S 78.54 mm2
L 4 4
Figure N°6
Eprouvettes
5 Comparateur
Cylindre de
4 Traverse supérieur 9
pression
3 Indicateur de force 8 Traverse inférieur
Force d’essai Colonnes de
2 7
(manivelle) guidage
1 Table 6 Mors
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Leçon : Traction simple Chapitre III
Force en N 5000 10000 15000 20000 25000 Force élastique 35000 Force de rupture
L en mm 0.03 0.06 0.09 0.12 0.16
Section (S)
F ( KN )
B
35 Eprouvette avant la traction
A C
25 Effort de traction
Section S’ < S
Striction de la pièce
ZONE OA : Zone de déformation élastique, la courbe est une droite les déformations ( L ) sont
proportionnelles aux charges (F) F = K. L (équation 1)
F L
De l’équation 1, on peut écrire E. puisque S et L sont deux constantes.
S L
F L 10000 100
E : module d’élasticité longitudinale ou module de Young E 212206 N / mm2
S L 78,54 0, 06
Ch arg e F
Dans cette zone la contrainte de traction dans le métal :
Section de l ' éprouvette S
L
En écrivant (epsilon) l’allongement relatif on aura E . : loi de Hook
L
Fe 25000
Au point A on définit la limite élastique ou résistance à l’extension Re 318.3 N / mm 2
S 78.54
Fe : Force de la limite élastique en Newton et S : Aire de la section droite de l’éprouvette en mm2.
ZONE AB : Zone de déformation permanente, elle correspond à une période plastique de grands
allongement qui croissent plus vite que les charges.
ZONE BC : Zone de rupture ou le point C marque le début de la striction. Nous déduisons la limite
Fr 35000
de résistance ou résistance à la rupture à l’extension R r 445.63 N / mm 2
S 78.54
Page-58-
Leçon : Traction simple Chapitre III
Après rupture rapprochant les deux parties de l’éprouvette brisées et mesurons l’allongement L
Lu-L = 22 mm
22
A% = = 22
100
L
Lu
Re N
Rpe avec s coefficient de sécurité ; 2 s 5; Rpe : Condition de résistance à la traction
s S
a
On donne : L = 120 mm ; la section S = a.b = 20.4 = 80 mm2 b FE
On donne : F = Fe = 1400 N
E
1- Vérification de la résistance de la pièce (2) en adoptant un coefficient de sécurité s=2
F Re 318 L
Rpe Rpe avec Rpe 159 N / mm 2
S s 2
F 1400
17,5 N / mm 2 Donc la condition de résistance est vérifiée
S 80 D
2- Calcul de l’allongement :
FD
F L F . L 1400 120
E. L 0, 01 mm
S L S . E 80 212206
Page-59-
Leçon : Traction simple Chapitre III
Exercice d’application
NB : Le mouvement des deux mâchoires est lié à l’action sur la tige du piston du vérin
Mors adaptation
Plaque support
Vérin
Mâchoires
Sachant que la pression pneumatique exercée sur le piston du vérin et de diamètre Dpiston = 30 mm et que
P = 60 x 105 Pa
Page-60-
Leçon : Traction simple Chapitre III
Sachant que la tige du piston qui est sollicitée à la compression et un cylindre creux en acier de diamètre
intérieur dint = 10 mm et de limite élastique Re= 180 N/mm2. On adoptera un coefficient de sécurité s = 3
3- Calculer la variation de la longueur (Δl) sachant que la longueur initiale de la tige du piston L0 = 100 mm;
On donne E=2.105 N/mm2 (Module d’Young) :
…………………………………………………………………………………………...............................................
…………………………………………………………………………………………...............................................
…………………………………………………………………………………………...............................................
…………………………………………………………………………………………...............................................
…………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………. Δl = …………...
Piston
Contrainte Normale :
F F en (N)
S en (mm2) : Avec σ < 0 : dans le cas de la compression
S en (N/mm2)
Page-61-