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N’oubliez pas, pour ceux qui rendront leur mémoire en deuxième session, que les
professeur.e.s et assistant.e.s prennent leurs congés annuels typiquement en juillet/août :
vous ne pourrez donc pas nécessairement compter sur elles·eux durant cette période pour
répondre à vos questions, vous donner un coup de main pour les analyses, ou encore pour
relire votre mémoire. Anticipez donc les RDV pour vous rendre autonome dès avant !
FORMAT
Le mémoire comporte une soixantaine de pages maximum, imprimées recto-verso,
références comprises, hors annexes.
Le mémoire se rédige en une police de caractère de taille raisonnable (par exemple,
Calibri 12, Times New Roman 12, Arial 11, …), avec une interligne raisonnable (aux
environs de 1.5).
Les marges de gauche et de droite seront de 2.5 à 3 cm
Le mémoire est paginé.
Le mémoire se rédige au choix avec le « nous » majestif ou le « je » personnel.
La forme du mémoire doit être soignée : mise en page, orthographe et grammaire
impeccables.
Le plagiat est bien entendu interdit
Les références dans le texte et en fin de mémoire doivent strictement respecter les
normes APA. Outre les prescriptions enseignées en BA, vous trouverez quantité de
sites internet présentant en détail ces normes APA.
STRUCTURE
Le mémoire se structure assez similairement à un article de recherche scientifique
empirique. Les indications qui suivent (notamment le nombre de pages) sont données à titre
indicatif. On peut en effet imaginer qu’avec une méthodologie qualitative, la présentation
des résultats puisse être un peu plus longue qu’indiquée.
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Apports de la littérature, structurés en chapitres / titres (maximum 25 pages)
Problématique, y compris hypothèses (1 à 3 pages)
Méthode (2 à 5 pages)
Résultats (environ 10 pages)
Discussion (3 à 6 pages)
Conclusion (1 page)
Références
Annexes (uniquement dans la version électronique)
CONTENU
Les apports de la littérature sont structurés en chapitres / titres, eux-mêmes bien souvent
aérés par des sous-titres. Une bonne part de ces apports de la littérature devrait être
constituée par votre TPR (prémémoire), enrichi, adapté, complété, nuancé, selon les
indications de votre promoteur.
La partie méthode doit être détaillée : c’est en effet par ces détails que la méthode devient
transparente, et que la recherche atteint son caractère reproductible. La méthode se rédige
avec un style précis et impersonnel – prenez exemple sur des articles scientifiques parus
dans de bonnes revues de votre domaine. La méthode sera nécessairement structurée en les
points suivants :
o Participant.e.s. L’idée est de présenter la manière dont les participant.e.s ont
été recruté.e.s, les critères pour les sélectionner. Si opportun, la population
visée et les participant.e.s effectif.ve.s (cf. taux de participation). Nombre de
participant.e.s, leurs caractéristiques (genre, âge, etc.). Partie très descriptive.
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o Mesures (canevas d’entretien, questionnaires, EEG, etc.). L’idée est de
présenter les outils utilisés dans votre mémoire, au regard de vos hypothèses.
On donne du détail sur les mesures préexistantes (auteur, adaptation
éventuelle, exemple d’items, etc.), et on développe la présentation des
mesures construites ad hoc (ex : canevas d’entretien : quelles questions,
pourquoi).
Résultats. Cette partie est évidemment centrale. N’attendez pas la dernière minute avant de
récolter vos données, pour vous permettre d’avoir suffisamment de temps pour explorer vos
données, et les analyser en profondeur.
La partie résultat est typiquement composée par une présentation descriptive de vos
données, et ensuite les analyses pour tester vos hypothèses. N’hésitez pas à présenter l’un
ou l’autre graphique ou tableau synthétique. Cela aère le texte et facilite la lecture et
l’assimilation des informations. Ne réalisez pas des analyses de façon automatique :
réfléchissez à ce que vous faites, pourquoi vous le faites, et ce que cela vous apportera.
Prenez du recul sur ce que vous écrivez : est-ce bien clair, complet et compréhensible ?
Discussion. La partie discussion est composée assez typiquement de plusieurs parties : (1) le
rappel / la synthèse de vos résultats et leur interprétation en regard de vos hypothèses, et le
retour aux auteurs de la partie théorique, pour une comparaison de vos apports avec les
leurs ; (2) les limites de votre étude – cf. regard critique ; (3) les perspectives de recherche
étant donnés vos résultats et/ou les limites de votre étude ; (4) les perspectives
pragmatiques (sur le terrain) étant donnés vos résultats.