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________________________________________
industriels. Guide
Standards techniques pour le ________________________________________
Statut Exécutoire
dimensionnement et la conception.
Objet Expliciter les principes de chauffage dans les usines et préciser les exigences minimales
de Renault pour la réalisation de ces installations.
Remplace
Classe E65
Langue Français
Sommaire
Page
1 Objectif du document............................................................................................................... 3
2 Besoin de chauffage................................................................................................................. 4
1 Objectif du document
L’objectif du présent document consiste à :
capitaliser les bonnes pratiques en ce qui concerne le chauffage,
lister les exigences minimales de Renault pour la création d’installation de chauffage en tenant
compte de contraintes d’ordre :
énergétique,
économique,
technique,
environnemental,
légal,
en relation avec la maintenabilité.
expliciter les principes et schémas de fonctionnement couramment utilisés pour le chauffage,
aider à la rédaction de cahiers des charges pour l’installation de moyens de chauffage,
faciliter le dépouillement des offres reçues dans le cadre d’une consultation pour l’installation de
moyens de chauffage.
2 Besoin de chauffage
Le besoin en chauffage d’un bâtiment est la quantité d’énergie qu’il faut apporter à ce bâtiment pour
compenser les déperditions thermiques de l’édifice et maintenir la température d’ambiance
souhaitée à l’intérieur de ce dernier.
Les déperditions thermiques peuvent être de deux ordres :
statiques lorsque l’énergie est perdue au travers d’une paroi sans transfert de matière :
déperditions statiques surfaciques pour les parois latérales (vitrages, allèges, bardages,
murs, …) et les parois supérieures (toiture, systèmes de désenfumage, vitrages de toiture,
sheds, …),
déperditions statiques linéiques pour les parois inférieures directement en contact avec le
sol.
dynamiques lorsque l’énergie est perdue avec transfert de matière par infiltration d’air (portes,
fenêtres, manque d’étanchéité des bâtiments, …)
A ces déperditions, peuvent venir se soustraire des apports thermiques liés au process, à l’éclairage,
à la présence humaine, ... Toutefois, de manière générale, ces apports ne sont pas pris en compte dans
le dimensionnement du chauffage dans la mesure où le chauffage doit pouvoir fonctionner (maintenir ou
monter en température le bâtiment) indépendamment de l’occupation des locaux.
Déperditions
Température Apport par le chauffage
statiques
extérieure
toiture
Déperditions
statiques
Apport Apport des murs
par par
l’éclairage le process
Température
d’ambiance
Déperditions
statiques
des sols
Chez Renault, la consigne de température à respecter à l’intérieur des bâtiments doit être de 17°C dans
les locaux industriels humanisés et de 12°C dans les locaux de stockage. La consigne de 17°C
correspond à la limite basse de la zone de confort hygro-thermique recommandée par l’ADEME ou le
COSTIC (cf. diagramme psychrométrique ci-après).
D’autre part, suivant la climatologie, la consigne de température n’est pas forcément suffisante pour
garantir le confort nécessaire aux opérateurs. En effet, dans les pays froid, même si l’air est saturé (%
élevé d’hygrométrie), il contient très peu d’eau à très basse température. Pour atteindre la zone de
confort acceptable, au dessus de la zone de difficulté respiratoire, il peut donc être nécessaire
d’augmenter l’hygrométrie de l’air. La nécessité d’humidifier l’air apparaît en général dans des zones
climatiques où la température extérieures reste inférieure à -10°C pendant de longues périodes ; c’est à
dire dans des zones climatiques où la température minimale est inférieure à -15 ou -20°C.
Température
minimale
B
3
D C
4
Quantité d’eau
minimale dans l’air
Humidification souhaitable
A
1
Humidification minimale 1
Le choix de la technologie des moyens de chauffage est en général réalisé en fonction de la hauteur du
bâtiment à chauffer, de son isolation, de son activité, de la climatologie de la région :
Les moyens convectifs étant plutôt destinés à des locaux de faible ou moyenne hauteur, bien
isolés ou avec des obstacles majeurs entre sol et toiture
Les moyens rayonnants étant quant à eux plutôt destinés à des bâtiments de moyenne ou
grande hauteur, mal isolés et sans obstacle majeur entre sol et toiture.
3.1.1 Aérothermes
3.1.1.1.1 Généralités
Les aérothermes recycleurs sont des moyens de chauffage avec lesquels de l’air est repris dans
l’atelier, mis en mouvement à l’aide d’un ventilateur, circulé au travers d’un échangeur puis soufflé chaud
dans le local à chauffer. Ces appareils n’ont pas d’effet sur la quantité d’eau dans l’air.
AIR REPRIS
AIR CHAUD
Cheminée
Brûleur
Ventilateur
AIR
CHAUD
AIR
REPRIS
COMBUSITION
Les aérothermes recycleurs à gaz sont principalement destinés aux locaux de faible ou moyenne
hauteur, bien isolés et étanches (de 3 à 8 m de haut).
Les aérothermes recycleurs à gaz ne sont pas indiqués pour les bâtiments de stockage, pour les
bâtiments avec une présence de solvants, de produits inflammables dans l’air. Sauf les appareils
étanches type « ventouse » avec l’accord de l’assureur.
Les aérothermes recycleurs à gaz sont mieux adaptés aux configurations du métier tôlerie que les
moyens rayonnants (détaillés au § 3.2). En effet, l’encombrement important lié au process fait obstacle
au rayonnement.
Pour les climats rigoureux, les aérothermes recycleurs à gaz peuvent fonctionner mais nécessitent
une humidification complémentaire pendant les heures d’ouverture de l’atelier. Cette humidification est
réalisée par des Centrales de Traitement d’Air (CTA) équipées de modules de réchauffage de l’air et
d’humidification :
en emboutissage et au montage, qui sont des "métiers" généralement non ventilés, si les
moyens de chauffage principaux sont des aérothermes recycleurs à gaz, l’installation de CTA
recycleuses dédiées à l’humidification est nécessaire,
en tôlerie, en peinture et en usinage qui sont des "métiers" généralement ventilés, si les moyens
de chauffage principaux sont des aérothermes recycleurs à gaz, l’installation de CTA dédiées à
l’humidification n’est pas utile car celle ci peut être prise en charge par les CTA de ventilation.
D’autre part, lorsqu’il n’y a pas de fluides chauds disponibles, l’utilisation des aérothermes recycleurs
à gaz doit rester limitée pour des raisons économiques. Cette limitation s’effectue comme suit :
lorsque le gaz est disponible, lorsque l’activité affectée au local à chauffer permet l’utilisation du
gaz direct, lorsque les aérothermes à gaz sont peu nombreux ou que la puissance cumulée de
ces appareils n’est pas suffisante pour installer et engager une petite chaudière de production de
fluides chauds au gaz, il est souhaitable de privilégier l’utilisation directe du gaz au niveau des
appareils de chauffage,
dès que le nombre d’aérothermes au gaz est important et que la puissance cumulée de ces
appareils est suffisante pour installer et engager une petite chaudière de production de fluides
chauds au gaz, il est souhaitable de privilégier l’installation cumulée d’une chaudière et
d’aérothermes à fluides chauds.
En résumé :
(1) Complément à faire par CTA pour humidifier l’air pour T< -15°C
(2) Humidification faite par les CTA de ventilation pour T < -15°C
(3) Faible nombre ou faible puissance cumulée
(4) Grand nombre et forte puissance cumulée
Vivement conseillé
Possible
Possible mais non conseillé
Non Approprié
Interdit
3.1.1.1.3 Aérothermes à fluide chaud (eau chaude, eau chaude surchauffée, vapeur, …)
Les organes principaux d’un aérotherme à fluide chaud sont les suivants :
AIR AIR
FLUIDE
CHAUD REPRIS
CHAUD
FLUIDE
REFROIDI
Ventilateur
Echangeur « Air - Liquide ou Vapeur »
Déflecteur
Les aérothermes recycleurs à fluide chaud sont principalement destinés aux locaux de faible ou
moyenne hauteur, bien isolés et étanches (de 3 à 8 m de haut) y compris les bâtiments de stockage à
présence permanente en poste fixe.
Les aérothermes recycleurs à fluide chaud sont mieux adaptés aux configurations des métiers
peinture et tôlerie que les moyens rayonnants (détaillés au § 3.2). En effet, l’encombrement important
lié au process fait obstacle au rayonnement.
Pour les climats rigoureux, les aérothermes recycleurs à fluides chauds peuvent fonctionner mais
nécessitent une humidification complémentaire pendant les heures d’ouverture de l’atelier. Cette
humidification est réalisée par des Centrale de Traitement d’Air équipées de modules de réchauffage de
l’air et d’humidification.
en emboutissage, au montage, en logistique sans chariots de manutention au gaz, qui sont des
"métiers" généralement non ventilés, si les moyens de chauffage principaux sont des
aérothermes recycleurs à fluides chauds, l’installation de CTA recycleuses dédiées à
l’humidification est nécessaire.
en tôlerie, en peinture, en usinage qui sont des "métiers" généralement ventilés, si les moyens
de chauffage principaux sont des aérothermes recycleurs à fluides chauds, l’installation de CTA
recycleuses dédiées à l’humidification n’est pas utile car celle ci peut être prise en charge par les
CTA de ventilation.
En résumé :
(1) Complément à faire par CTA pour humidifier l’air pour T< -15°C
(2) Humidification faite par les CTA de ventilation pour T < -15°C
(3) Faible nombre ou faible puissance cumulée
(4) Grand nombre et forte puissance cumulée
(5) Présence humaine permanente en poste fixe sans cars à fourches au gaz
(6) Présence humaine permanente en poste fixe avec cars à fourches au gaz
(7) Présence humaine intermittente ou mobile sans cars à fourches au gaz
(8) Présence humaine intermittente ou mobile avec cars à fourches au gaz
Vivement conseillé
Possible
Possible mais non conseillé
Non Approprié
Interdit
Les aérothermes introducteurs ne sont pas des moyens de chauffage mais des moyens
d’introduction d’air « neuf » chauffés pour assurer une partie de la fonction ventilation. A ce titre, ils
ne sont donc pas traités en détail dans ce document consacré aux moyens de chauffage.
Les aérothermes introducteurs NE DOIVENT PAS être utilisés pour faire du chauffage.
3.1.2.1.1 Généralités
Les centrales de traitement d’air recycleuses sont constituées d’éléments modulaires qui sont à minima
au nombre de 6 :
des volets motorisés sur la reprise d’air,
des filtres,
un échangeur de chaleur,
un ventilateur,
des gaines de distribution d’air chaud,
des diffuseurs d’air chauds.
Pour Renault, dans l’objectif de pouvoir prendre en compte l’évolution des conditions de travail, il est
possible de prévoir 2 modules vides, entre l’échangeur chaud et le ventilateur, pour être prédisposé à
l’installation d’un échangeur froid et d’un humidificateur pour une éventuelle climatisation. Le ventilateur
doit être dimensionné en conséquence.
Les centrales de traitement d’air sont par ailleurs les seuls équipements de chauffage avec lesquelles il
est possible d’augmenter l’hygrométrie de l’air soufflé.
AIR
REPRIS
Echangeur
Gaines
AIR
CHAUD
Les gaines sont de préférence de section ronde du type « spiralé » en acier galvanisé, non
calorifugées à l’intérieur des bâtiments. Pour des cas particuliers (plafond bas, passage de ferme,
passage entre des poutrelles de charpente, etc.), elles peuvent être de section rectangulaire avec
raidisseur (par exemple en pointe de diamant).
Les diffuseurs peuvent être de différents types en fonction du brassage d’air nécessaire :
grilles
buses
diffuseurs circulaires
Chez Renault :
Dans les zones humanisées, la diffusion d’air basse inspirée du déplacement d’air doit être
privilégiée pour des raisons de confort et de prédisposition pour la climatisation. Si les
diffuseurs sont installés en hauteur, ils doivent être équipés d’un mode été et d’un mode hiver
agissant sur vitesse de soufflage et inclinaison des registres.
AIR -
REPRIS
+ H
AIR
CHAUD
0 à 3 m du sol
Dans les zones très peu humanisées, la diffusion par gaine perforée peut être intéressante et
doit être étudiée en alternative à la diffusion par diffuseurs classiques circulaires.
AIR
REPRIS + - H
AIR
CHAUD
Hauteur sous ferme
AIR + - H
REPRIS
Les grilles doivent rester exceptionnelles dans la mesure où ces diffuseurs ne sont pas très
efficaces.
Cheminée
AIR
REPRIS
AIR Ventilateur
GAZ BRULES CHAUDS
CHAUD de soufflage
ou de tirage
Rampe de
COMBUSITION brûleurs
GAZ NATUREL
Les centrales de traitement d’air à gaz indirect sont principalement destinées aux locaux de faible ou
moyenne hauteur, bien isolés et étanches (de 3 à 8 m de haut) situés dans une zone climatique très
froide nécessitant une humidification de l’air ou un seuil de filtration.
En résumé :
(5) Présence humaine permanente en poste fixe sans cars à fourches au gaz
(6) Présence humaine permanente en poste fixe avec cars à fourches au gaz
(7) Présence humaine intermittente ou mobile sans cars à fourches au gaz
(8) Présence humaine intermittente ou mobile avec cars à fourches au gaz
(9) Uniquement en complément d’un chauffage principal pour humidification de l’air pour T < -15°C
Vivement conseillé
Possible
Possible mais non conseillé
Non Approprié
Interdit
En résumé :
(5) Présence humaine permanente en poste fixe sans cars à fourches au gaz
(6) Présence humaine permanente en poste fixe avec cars à fourches au gaz
(7) Présence humaine intermittente ou mobile sans cars à fourches au gaz
(8) Présence humaine intermittente ou mobile avec cars à fourches au gaz
(9) Uniquement en complément d’un chauffage principal pour humidification de l’air pour T < -15°C
Vivement conseillé
Possible
Possible mais non conseillé
Non Approprié
Interdit
GAZ BRULES
GAZ NATUREL,
GPL, …
Panoplie
RAYONNEMENT
HAUTE Réflecteur
TEMPERATURE
Support de combustion céramique
Lorsque des panneaux rayonnants lumineux sont utilisés, les produits de combustion sont directement
rejetés dans l’atelier. L’installation de ce type de chauffage nécessite donc une petite installation de
ventilation (introduction et extraction) pour assurer un renouvellement d’air destiné à garantir que la
concentration en CO2 admissible n’est pas dépassée et que les apports d’air pour la combustion sont
assurés. Cette ventilation permet aussi d’évacuer la vapeur d’eau des gaz de combustion qui peut
devenir saturante et condenser sur les parois froides.
Ces moyens de chauffage sont principalement destinés aux locaux de grande et très grande hauteur,
peu isolés ou semi couverts (de 8 à 20 m de haut) où il n’y a pas d’obstacles qui peuvent soit être
endommagés par les hautes températures, soit gêner l’illumination des zones à chauffer.
Suivant la puissance unitaire des appareils, il faut prévoir une distance minimale de 1 à 2,5 m entre les
panneaux rayonnants et les obstacles éventuels, isoler les surfaces sensibles à la chaleur et faire
attention aux obstacles supérieurs situés dans le flux des gaz d’échappement.
L’utilisation des panneaux rayonnants lumineux peut être gênante dans les atmosphères où de l’huile
ou des solvants sont présents dans l’air. Ces hydrocarbures peuvent en effet être dégradés à différents
états par les hautes températures et générer une pollution plus gênante, voir plus dangereuse.
Les panneaux rayonnants lumineux ne sont pas indiqués pour les bâtiments de stockage.
Chez Renault, les panneaux rayonnants lumineux sont donc appropriés et préconisés pour :
les quais de déchargement,
les gares routières sans présence de produits inflammables.
En résumé :
(10) + (1)
(1) Complément à faire par CTA pour humidifier l’air pour T< -15°C
(2) Humidification faite par les CTA de ventilation pour T < -15°C
(3) Faible nombre ou faible puissance cumulée
(4) Grand nombre et forte puissance cumulée
(5) Présence humaine permanente en poste fixe sans cars à fourches au gaz
(6) Présence humaine permanente en poste fixe avec cars à fourches au gaz
(7) Présence humaine intermittente ou mobile sans cars à fourches au gaz
(8) Présence humaine intermittente ou mobile avec cars à fourches au gaz
(9) Uniquement en complément d’un chauffage principal pour humidification de l’air pour T < -15°C
(10)Lorsqu’il y a beaucoup d’huile sur les tôles
Vivement conseillé
Possible
Possible mais non conseillé
Non Approprié
Interdit
Les panneaux rayonnants sombres sont en général choisis en fonction du fluide caloporteur et de la
hauteur du bâtiment.
16
14
Grande et
Hauteur du bât. en m
12 très grande
hauteur
10
8
Moyenne
6
hauteur
4
2 Faible
hauteur
0
Convectif TBT BT MT MT HT
< 60°C < 90°C < 180°C < 350°C 600 à
900°C
Moyens de chauffage
Cheminée
GAZ NATUREL,
Brûleur GAZ BRULES REFROIDIS
GPL, .
Ventilateur de tirage ou de soufflage
Réflecteur
RAYONNEMENT
HAUTE
TEMPERATURE
Lorsque des panneaux rayonnants sombres au gaz sont utilisés, il est nécessaire de disposer d’une
petite installation de ventilation pour assurer un renouvellement d’air destiné à garantir les apports d’air
pour la combustion (souvent réduites à de simples grilles d’entrée d’air).
L’utilisation des panneaux rayonnants sombres au gaz peut être gênante dans les atmosphères où de
l’huile ou des solvants sont présents dans l’air. Ces hydrocarbures peuvent en effet être dégradés à
différents états par les hautes températures et générer une pollution plus gênante, voir plus dangereuse.
La mise en place d’une cheminée est vivement recommandée pour éviter la pollution des locaux par les
gaz de combustion.
Les panneaux rayonnants sombres au gaz ne sont pas non plus indiqués pour les bâtiments de
stockage.
En résumé :
(1) Complément à faire par CTA pour humidifier l’air pour T< -15°C
(2) Humidification faite par les CTA de ventilation pour T < -15°C
(3) Faible nombre ou faible puissance cumulée
(4) Grand nombre et forte puissance cumulée
(5) Présence humaine permanente en poste fixe sans cars à fourches au gaz
(6) Présence humaine permanente en poste fixe avec cars à fourches au gaz
(7) Présence humaine intermittente ou mobile sans cars à fourches au gaz
(8) Présence humaine intermittente ou mobile avec cars à fourches au gaz
(9) Uniquement en complément d’un chauffage principal pour humidification de l’air pour T < -15°C
(10)Lorsqu’il y a beaucoup d’huile sur les tôles
Vivement conseillé
Possible
Possible mais non conseillé
Non Approprié
Interdit
Isolant
Réflecteur FLUIDE
REFROIDI
Tube rayonnant
RAYONNEMENT
FLUIDE BASSE OU
CHAUD MOYENNE
TEMPERATURE
En résumé :
(1) Complément à faire par CTA pour humidifier l’air pour T< -15°C
(2) Humidification faite par les CTA de ventilation pour T < -15°C
(3) Faible nombre ou faible puissance cumulée
(4) Grand nombre et forte puissance cumulée
(5) Présence humaine permanente en poste fixe sans cars à fourches au gaz
(6) Présence humaine permanente en poste fixe avec cars à fourches au gaz
(7) Présence humaine intermittente ou mobile sans cars à fourches au gaz
(8) Présence humaine intermittente ou mobile avec cars à fourches au gaz
Vivement conseillé
Possible
Possible mais non conseillé
Non Approprié
Interdit
(10) + (1)
Panneaux (1) (2) (1)
rayonnants
sombres à
gaz
(10) + (1)
Panneaux (1) (2) (2) (1) (2) (5) + (1)
rayonnants (6) (8)
MT (vapeur + +
ou fluide à (2) (2)
env. 350°C) (7) + (1)
Panneaux (1) (2) (2) (1) (2) (5) + (1)
rayonnants (6) (8)
MT (ECS à + +
env. 180°C) (2) (2)
(7) + (1)
Panneaux (1) (2) (2) (1) (2) (5) + (1)
rayonnants (6) (8)
BT (EC à + +
env. 90°C) (2) (2)
(7) + (1)
Panneaux
rayonnants
TBT (EC à
env. 60°C)
(1) Complément à faire par CTA pour humidifier l’air pour T < - 15°C
(2) Humidification faite par les CTA de ventilation pour T < -15°C
(3) Faible nombre ou faible puissance cumulée
(4) Grand nombre et forte puissance cumulée
(5) Présence humaine permanente en poste fixe sans cars à fourches au gaz
(6) Présence humaine permanente en poste fixe avec cars à fourches au gaz
(7) Présence humaine intermittente ou mobile sans cars à fourches au gaz
(8) Présence humaine intermittente ou mobile avec cars à fourches au gaz
(9) Uniquement en complément d’un chauffage principal pour humidification de l’air pour T < -15°C
(10)Lorsqu’il y beaucoup d’huile sur les tôles
Vivement conseillé
Possible
Possible mais non conseillé
Non Approprié
Interdit
l
D = n travée L
Avec n travée L < Portée < n + 1 travée L
D = n travée l
Avec n travée l < Portée < n + 1 travée l
Puissance d’un côté = déperditions du côté + 20% + 1/3 infiltrations réparties au prorata des
surfaces latérales
Pour la toiture des bâtiments, une seule considération est à prendre en compte : Il faut que les
aérothermes installés en toiture du bâtiment permettent de compenser :
les déperditions statiques de la toiture augmentées de 20%,
les 2/3 des déperditions dynamiques liées aux infiltrations.
Les aérothermes sont répartis de façon homogène pour se rapprocher au mieux de la configuration
suivante sans que toutes les possibilités d’implantation soient forcément remplies.
L
l
D = n travée L
Avec n travée L < Portée < n+1 travée L
D = n travée l
Avec n travée l < Portée < n+1 travée l
Déstratificateurs Aérothermes
recycleurs
A l’intérieur d’une zone, des sous groupes de 5 à 10 d’appareils sont créés et reliés à la même armoire
d’alimentation électrique.
Sonde de zone 2
Sonde de zone 1
Fumées
Circulation Circulation
du fluide de la vapeur
chaud
Gaz Naturel
GE65-004R /A
Pour les fluides chauds, la distribution par boucle de « Tickelmann » bien que plus intéressante
économiquement n’est pas conseillée à cause de la difficulté de gérer et de faire évoluer un tel réseau.
La distribution classique reste le standard.
H H H
H H H
Sonde de Sonde de
zone 1 zone 2
Circulation
Circulation
du fluide
+ - H de la vapeur + - H
chaud
Fumées
+ - H
Gaz Naturel
Pour les fluides chauds, la distribution par boucle de « Tickelmann » bien que plus intéressante
économiquement n’est pas conseillée à cause de la difficulté de gérer et de faire évoluer un tel réseau.
1,8 à 2 m du sol
1,8 à 2 m du sol
Température
extérieure Température
d’ambiance
Sonde 1
Sonde 2
1,8 à 2 m du sol
Zone de chauffage 1
Zone de chauffage 2
Fumées
Circulation Circulation
du fluide de la vapeur
chaud
Gaz Naturel
Pour les fluides chauds, la distribution par réseau de « Tickelmann » bien que plus intéressante
économiquement est pas conseillée à cause de la difficulté de gérer et de faire évoluer un tel réseau.
La distribution classique reste donc le standard.