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QUALIFICATION EG.1 : ETUDES GEOTECHNIQUES DES BATIMENTS COURANTS
(Bâtiments sans difficultés géotechniques majeures)
Analyse granulométrique par tamisage
Mesure de la teneur en eau
Limites d’Atterberg
Mesures des masses volumiques apparente et spécifique
Essais de cisaillement rectiligne et/ou triaxial
Essais de compressibilité œdométrique
Mesure de la résistance à la compression simple sur roche
Mesure de la densité et porosité des roches
QUALIFICATION EG.5 : ETUDES GEOTECHNIQUES DES OUVRAGES D’ART COURANTS (dalots et ponts à faible
portée, ouvrages hydrauliques, ouvrages agricoles, ouvrages d’assainissement et d’eau potable, sans difficultés
géotechniques majeures)
Analyse granulométrique par tamisage
Mesure de la teneur en eau
Limites d’Atterberg
Mesures des masses volumiques apparente et spécifique
Essais de cisaillement rectiligne et/ou triaxial
Essais de compressibilité œdométrique
Mesure de la résistance à la compression simple sur roche
Mesure de la densité et porosité des roches
QUALIFICATION CQ.4: CONTROLE DES TRAVAUX DES CHAUSSEES BITUMINEUSES TYPE 1 A BASE DE
MELANGE HYDROCARBONE COURANT (GE, EB, GBB,….)
GNT, Granulats, sables & fines
Analyse granulométrique par tamisage
Mesure de la teneur en eau
Limites d’Atterberg
Mesures des masses volumiques apparente et spécifique
Essai de bleu de méthylène
Essai d’équivalent de sable
Teneur en CaCo3
Essai Proctor
Essai CBR, IPI, gonflement
Essai de dureté Los Angeles
Essai Deval ou micro-Deval
Essai de friabilité du sable
Essai de propreté superficielle des granulats
Détermination du coefficient d’aplatissement des granulats
Liants hydrocarbonés
Emulsions de Bitumes
Essais d’adhésivité Adhésivité émulsion-granulat
Charge des émulsions
Teneur en eau des émulsions de bitume
Homogénéité des émulsions de bitume
Indice de rupture des émulsions de bitume
Teneur en diluants pétroliers
Pseudo viscosité à 25°C des émulsions de bitume
Stabilité au stockage des émulsions de bitume
Stabilité au ciment
Bitumes
Température de ramollissement
Pénétrabilité à l’aiguille
Mesure de l’elasticité des bitumes-Ductilité
Adhésivité Bitume – gravette
Point d’éclair
Densité relative – la méthode du pycnomètre
Distillation des bitumes fluidifiés
Retour élastique à 25°C et à 10°C
Mélanges hydrocarbonés
Mesure de densité hydrostatique sur carottes d’enrobés
Essai d’extraction bitume pour détermination dosage et granularité du mélange minéral
Essai Marshall
Essai Duriez sur mélanges hydrocarbonés à chaud
Essai Duriez sur mélanges hydrocarbonés à froid à l’émulsion
Essai de compactabilité à la presse à cisaillement giratoire (*)
Essais in-situ (sur chantier routier)
Contrôle des températures sur chantier
Mesure des dosages en liant du revêtement superficiel et couches d’imprégnation
Mesure des dosages en granulats du revêtement superficiel
Carottage des enrobés in-situ
Mesure de la densité au densitomètre à membrane ou gamma-densimètre
Essai de la hauteur au sable HSv
QUALIFICATION CQ.9 : CONTROLE DES TRAVAUX DES LOTS SECONDAIRES DES BATIMENTS
ESSAIS SUR MENUISERIE ET GARDE CORPS
Essais de choc au corps dur, mou et lourd sur les gardes corps
Essais d’immersion à l’eau des parties basses des portes
Essais d’étanchéité à l’eau in situ (fenêtres)
ESSAIS SUR TRAVAUX DE PLOMBERIE
Essais d’étanchéité
Contrôle de fonctionnement
ESSAIS SUR TRAVAUX DE PEINTURE
Humidité du support
Température et hygrométrie du support (pour support métallique)
Adhérence par quadrillage
Adhérence par arrachement
Mesure des épaisseurs (film sec pour métallique et humide pour autre)
ESSAIS SUR INSTALLATIONS ELECTRIQUES
Mesure de la prise de terre
Essai de déclenchement des dispositifs différentiels,
Mesure et vérification de la continuité des circuits de terre et des circuits équipotentiels
Mesure de l’isolement des départs électriques
Mesure d’intensité de courant par phase et vérification de l’équilibrage des phases
ESSAIS SUR ENDUITS
Essais de la masse volumique apparente sèche du mortier durci
Essais d’adhérence des mortiers d’enduit durcis appliqués sur supports
Essais de Mesure du coefficient d’absorption d’eau par capillarité du mortier durci ou au tube de Karsten
Essai de la planéité des enduits
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QUALIFICATION CQ.1 : CONTROLE DES TRAVAUX DE BATIMENTS COURANTS
Mesure du poids au m2 du complexe Etanchéité
Mesure de l’épaisseur du complexe Etanchéité
Masse volumique du complexe Etanchéité
Essai d’extraction du bitume (dosage) du complexe Etanchéité
QUALIFICATION CQ.4: CONTROLE DES TRAVAUX DES CHAUSSEES BITUMINEUSES TYPE 1 A BASE DE
MELANGE HYDROCARBONE COURANT (GE, EB, GBB,….)
Liants hydrocarbonés
Emulsions de Bitumes
Essais d’adhésivité Adhésivité émulsion-granulat
Charge des émulsions
Teneur en eau des émulsions de bitume
Homogénéité des émulsions de bitume
Indice de rupture des émulsions de bitume
Teneur en diluants pétroliers
Pseudo viscosité à 25°C des émulsions de bitume
Stabilité au stockage des émulsions de bitume
Stabilité au ciment
Bitumes
Température de ramollissement
Pénétrabilité à l’aiguille
Mesure de l’elasticité des bitumes-Ductilité
Adhésivité Bitume – gravette
Point d’éclair
Densité relative – la méthode du pycnomètre
Distillation des bitumes fluidifiés
Retour élastique à 25°C et à 10°C
Mélanges hydrocarbonés
Mesure de densité hydrostatique sur carottes d’enrobés
Essai d’extraction bitume pour détermination dosage et granularité du mélange minéral
Essai Marshall
Essai Duriez sur mélanges hydrocarbonés à chaud
Essai Duriez sur mélanges hydrocarbonés à froid à l’émulsion
Essai de compactabilité à la presse à cisaillement giratoire (*)
Essais in-situ (sur chantier routier)
Contrôle des températures sur chantier
Mesure des dosages en liant du revêtement superficiel et couches d’imprégnation
Mesure des dosages en granulats du revêtement superficiel
Carottage des enrobés in-situ
Essai de la hauteur au sable HSv
ESSAIS Domaine
NM EN 12697 1 2017
NM NF P 98-
13.1.027 2001 276-1 1992
Norme
Année
disponible
NF EN 13589 2008
PNM 03.4.282 2019
NF EN ISO 2592 2017
NF EN 15326+A1 2009
NF EN 13358 2010
NF EN 12697 6 2007
NF EN 12697 1 2012
NF EN 12697 34 2007
NF P 98-251-1 2002
NF P 98-251-4 2004
NF EN 12697 10 2003
NF EN 13036-1 2010
NF EN 12697-13 2001
Accrédité Accrédité
NF EN 13614 2011
Oui
NF EN 12848 2002 Oui
N° Appareillage selon la norme Quantité
1 Anneaux 2
2 Plaque de coulage 1
3 Billes 2
5 Porte-anneaux et assemblage 1
6 Bain 1
8 Agitateur 1
en acier inoxydable ou en laiton, avec un support (A) pouvant soutenir les deux anneaux en
position horizontale, dont la forme et les dimensions sont indiquées à la Figure 4, lui-même
fixé à l’assemblage illustré à la Figure 5. Le rebord inférieur des anneaux à épaulement dans
le porte-anneaux doit être situé à (25,0 x 0,4) mm au-dessus de la surface supérieure de la
plaque inférieure (B) (voir Figure 6) ; le rebord supérieur des anneaux doit être situé à (50 x
3) mm en dessous de la surface du liquide du bain.
un bécher en verre pouvant être chauffé, d’un diamètre extérieur d’au moins 85 mm et
d’une profondeur d’au moins 120 mm à partir du fond du bécher, comme indiqué à la Figure
5. NOTE : Un bécher de forme basse d’une contenance de 600 ml convient parfaitement.
Non
oui oui
oui oui
oui oui
oui oui
Non
Non
N° Appareillage selon la norme Quantité
1 Pénétromètre 1
2 Aiguille de pénétration 1
5 Cuve de transfert 1
6 Dispositif de chronométrage 1
Cylindrique, à fond plat, en verre ou en métal. La profondeur interne du récipient doit être adaptée pour contenir un écha
bitume dont l’épaisseur doit être supérieure d’au moins 10 mm à la pénétrabilité attendue, et elle ne doit être ni inférieur
ni supérieure à 60 mm. Son diamètre interne doit être au moins de 55 mm et au plus de 70 mm. NOTE 1 Les dimensions
recommandées pour le récipient d’échantillon d’essai sont présentées dans le Tableau 1.
A température constante, d’une capacité d’au moins 10 l, et capable d’assurer la stabilité de la température de l’échantillo
dans une plage de ± 0,15 °C. Le bain doit être équipé d’un support perforé placé à au moins 50 mm du fond et à au moins
sous le niveau du liquide. Si les essais de pénétration doivent être conduits dans le bain lui-même, prévoir un autre suppor
suffisamment solide pour pouvoir soutenir le pénétromètre. L’utilisation d’eau distillée ou déminéralisée est fortement co
pour le bain-marie. Il convient de veiller à éviter toute contamination de l’eau du bain par des détergents ou d’autres subs
peuvent affecter les valeurs de pénétrabilité.
Pour les essais conduits hors du bain-marie. Cette cuve doit avoir une capacité minimale de 350 ml et être suffisamment p
pour permettre au récipient d’échantillon d’essai d’être complètement recouvert d’eau. Le fond de la cuve de transfert do
conçu de façon à empêcher toute oscillation de celle-ci lorsqu’elle est placée sur le socle du pénétromètre. De même, la su
laquelle repose le récipient d’échantillon doit être conçue de façon à empêcher toute oscillation de celui-ci au cours de la
pénétration de l’échantillon à analyser. Pour des températures inférieures à 25 °C, la cuve de transfert doit avoir une capa
minimale de 1,5 l.
Capable de mesurer à 0,1 s près, l’instant où l’équipement est libéré et la durée de l’essai.
Oui Non
Non
Oui oui
Oui oui
N° Apparaeillage selon la norme NM 10 8 919 - 2010
1 Etuve ventillé
2 Dispositif d'élongation
3 Règle
4 Pied à coulisse
5 Gabarit
6 Mandarin
7 Colle
8 Matériaux et matériels divers
Apparaeillage selon la norme NM 10 8 919 - 2010
Permettant d'obtenir une température (70 + 2 )°C
Permettant d'imposer un allongement à la vitesse de (300 + 50) mm/min et de maintenir cet allongement.
Pour une longueur initiale de 90 mm, et pour un allongement de 200 %, la longueur utile de l'appareillage est de
l'ordre de 400 mm. Pour une meilleure répétabilité, un banc permettant l'allongement simultané des éprouvettes
d'une même fourniture est souhaitable.
Non
Oui Oui
Oui Oui
Non
Non
Non
Oui
N° Apparaeillage selon la norme NF EN 1339
1 Appareillage et verrerie courants de laboratoire
Ductilimètre
Composé d’un bain-marie avec régulation de
3 température et dispositif
de traction
4 Couteau
5 Agent de démoulage
6 Ciseaux
7 Règle
Apparaeillage selon la norme NF EN 13398 - 2010
Les moules doivent être en métal, être constitués de deux moitiés, et avoir les dimensions données sur la Figure 1.
Les extrémités des moules sont appelées étriers et sont similaires à ceux spécifiés dans l'EN 13589. Il convient que le
rayon interne R des étriers soit de (15,5 ± 0,7) mm, la largeur B d'ouverture des étriers de (20,0 ± 0,2) mm et la
longueur interne des étriers E (=R+D) de (22,8 ± 0,9) mm (voir Figure 1).
IMPORTANT — Les tolérances des dimensions D et R sont supérieures aux valeurs usuelles, dès lors
les moules de l’ATSM D113 peuvent également être utilisés.
Les deux étriers du moule doivent être maintenus en place par les deux pinces mobiles diamétralement opposées.
Les moules doivent être placés sur une plaque de base, également en métal, et ils doivent être maintenus assemblés
à l'aide d'une tige filetée ou par une plaque pendant l’opération de coulage des éprouvettes.
Le bain-marie doit permettre l’élongation de l’éprouvette sur 200 mm minimum. Il doit être conçu de manière à
permettre que deux échantillons au moins soient testés en parallèle. La distance minimale entre chaque moule et
entre les parois du bain-marie doit être au moins de 10 mm. Le niveau d’eau doit être tel qu’il y ait au moins 25 mm
d’eau au-dessus et en dessous de l’échantillon.
Un thermostat pour réguler la température de l’eau en circulation et si possible une isolation thermique
supplémentaire du bain liquide doivent garantir la température d’essai demandée à ± 0,5 °C. Le débit doit être limité
pendant l’essai à environ 1,5 l/min.
NOTE Il est conseillé de diriger le débit d’eau à l’entrée contre une chicane pour éviter un débit d’eau turbulent.
Le dispositif de traction doit permettre que l’essai soit mené en parallèle sur les deux échantillons. Les plateaux de
traction seront positionnés exactement à l'aide d'un contacteur permettant l’introduction facile des goupilles dans les
trous des clips. La commande du dispositif de traction doit être conçue de manière à ce que le mouvement combiné
des goupilles pendant toute la durée de l’essai soit constant à une vitesse de (50 ± 2,5) mm/min. La commande doit
être suffisamment puissante pour supporter une résistance élevée à la déformation au début de l’essai sans perte de
vitesse.
Oui oui
Oui oui
Oui oui
Oui oui
Oui Non
manque de dextrine ou de
Oui silicone
Oui
Oui oui
N° Appareillage selon la norme Quantité
1 Dispositif de traction 1
2 Bain d’eau 1
3 Dispositif d'enregistrement 1
1. Le dispositif de traction doit pouvoir maintenir une vitesse constante des parties mobiles de (50 ± 2,5) mm/min.
2. Les dispositifs de fixation situés à chaque extrémité de l'éprouvette ne doivent pas exercer, sur une partie
quelconque des têtes de l'éprouvette, des contraintes localisées pouvant entraîner la déchirure ou la rupture de
l'éprouvette.
3. Des moyens appropriés doivent permettre d'effectuer les mesures suivantes :
a) force de traction exercée sur l'éprouvette sur une plage de 1 N à 300 N, à ± 0,1 N ;
b) allongement de l'éprouvette, soit en suivant l'écartement des points de fixation, soit au moyen d'un extensomètre
optique couvrant la plage s'étendant de 1 mm à au moins 450 mm, avec une précision de ± 1 mm
Les moules doivent être en métal, être constitués de quatre parties (2 demi-parties latérales et 2 étriers), et avoir les
dimensions données sur la Figure 1. Les extrémités des moules sont appelées étriers et sont similaires à ceux spécifiés
dans l'EN 13398. Il convient que le rayon interne des étriers soit de (15,5 ± 0,1) mm, la largeur d'ouverture de (20,0 ±
0,2) mm et la longueur interne des étriers de (22,8 ± 0,2) mm
Au cours de l'essai, les deux étriers du moule doivent être maintenus en place par les deux pinces mobiles
diamétralement opposées. Pendant l’opération de coulage des éprouvettes et lors de la conservation à la
température de l'essai, les moules doivent être placés sur une plaque de base, également en métal, et ils doivent être
maintenus assemblés à l'aide d'une tige filetée.
Disponibilité Conformité caractéristiques
Oui oui
probleme de
Oui refroidissemen( l'essai realise
dans 5 °C)
Non
Oui Non
N° Essai Mélange Qté Apparaeillage
1 Minimum 12 Moule
- D < 14 mm
2 - Piston
3 Minimum 10 Moule
- D > 14 mm
4 - Piston
5 D > 14 mm 1 Presse
-
6 D < 14 mm 1 Presse
Système
8 - - 1 d'application de la
charge
Apparaeillage selon la norme NM 13 1 046 / 2005
Métalique cylindrique de diamètre inférieur compris entre 80 - 0,1mm et 80 + 0,3 mm et de hauteur minimale 190
mm (Annexe A)
Diamètre extérieur minimal de 79,75 mm pouvant coulisser librement par rapport au moule (Annexe A)
Métalique cylindrique de diamètre inférieur compris entre 120 - 0,1 mm et 120 + 0,3 mm et de hauteur minimale 270
mm (Annexe A)
Diamètre extérieur minimal 119,75 mm (Annexe A)
Permettant le compactage à double effet 1) et le mantien d'une charge de 180kN + 0,5% pendant 5 mn sur chaque
éprouvette.
Permettant le compactage à double effet et le mantien d'une charge de 60kN + 0,5% pendant 5 mn sur chaque
éprouvette
Comportant au moins une rotule permettant un avancement moyen à vide de 1 mm/s, équipé d'un dispositif
permettant de mesurer l'effort en cours d'essai avec exactitude relative de + 1 %.
Disponibilité Conformité caractéristiques
OUI oui
OUI oui
8 (manque de 2) oui
OUI oui
OUI oui
Oui oui
N° Essai Mélange Qté Apparaeillage s
1 Minimum 8 Moule
- D < 14 mm
2 - Piston
3 Minimum 8 Moule
- D > 14 mm
4 - Piston
5 D > 14 mm 1 Presse
Confection
6 D < 14 mm 1 Presse
Compression
7 - 1 Presse
simple
Apparaeillage selon la norme NM 13 1 035 / 2001
Diamètre extérieur 79,8 + 0,05 mm (Annexe A) et comporte des rainures de 1 mm de profondeur et de 2 mm de large
suivant 4 génératrices à 90° pour évacuer l'eau pendant le compactage.
Métalique cylindrique de diamètre inférieur 120 + 0,1 mm et de hauteur minimale 270 mm (Annexe B)
Oui oui
Oui oui
Oui oui
N° Qté
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
Apparaeillage selon la norme NM 03.4.036 / 1989
Etuves à température réglable de 50 à 150 °C à + 1°C muni d'un système de ventilation
Balance sensible au décigrame
Tamis de 14 mm (Voir NM N° 0.00C.003)
Tamis de 10 mm (Voir NM N° 0.00C.003)
Tamis de 0,630 mm avec son fond (Voir NM N° 0.00C.003)
Capsules métalliques (1 litre environ)
Spatule métallique
Bécher de 500 ml
Verres de montre de 10 à 15 cm de diamètre
Boite métallique étanche de 500 à 1000 ml
Disponibilité Conformité caractéristiques
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui (sans fond) Oui
Non
Oui Oui
Non
Non
Non
N° Qté
1 1
2 1
3 2
4 1
5 2
6 5
7 1
8 1
9 1
10 1
Apparaeillage selon la norme NF EN 13614/2011 Disponibilité
Étuve ventilée, pouvant maintenir une température de (60 ± 3) °C. oui
Spatule. Non
capsules résistant à la chaleur, de 15 cm à 20 cm de diamètre approximatif oui
Chronomètre, précis à 1 s près pour une durée de 60 s. oui
béchers, d’une capacité approximative de 500 ml. Non
Jeu de cinq verres de montre Non
Balance, de capacité suffisante, précise à ± 1 g près. oui
Éprouvette graduée de 250 ml à 500 ml de capacité Non
Thermomètre, de gamme adaptée, permettant de mesurer les températures indiquées
oui
avec une précisionde ± 1 °C.
Étuve ventilée, pouvant maintenir une température de (110 ± 5) °C. oui
Conformité caractéristiques
oui
oui
oui
oui
oui
oui
N° Appareillage selon la norme Quantité
1 Etuve ventilée 1
2 Etuve ventilée 1
3 Spatule 1
4 Capsules résistant à la chaleur 2
5 Chronomètre 1
6 béchers 2
7 Verres de montre 1
8 Balance 1
9 Eprouvette graduée 1
10 Thermomètres 1
11 Plaque chauffante 1
Caractéristiques Disponibilité
Capable de maintenir une température de (60 ± 3) °C. oui
capable de maintenir une température précise à ± 5 °C au niveau des
oui
échantillons, pour des températures allant de 100 °C à 200 °C.
oui
de 150 mm à 200 mm de diamètre environ. oui
précis à 1 s près pour une durée de 60 s. oui
d’une capacité approximative de 400 ml Non
de 100 mm à 150 mm de diamètre environ. Non
permettant une mesure jusqu'à 500 g, permettant des pesées à ± 1 g. oui
d’une capacité de 250 ml à 500 ml. Non
de gamme adaptée, permettant de mesurer les températures indiquées avec
une précision de ± 1 °C. oui
oui
oui
oui
oui
oui
oui
oui
N° Qté Apparaeillage selon la norme NM 1
1 3 Moule de compactage
2 2 Piston extracteur
3 1 Dame de compactage
7 1 Presse
8 1 Bain thermostatique
Apparaeillage selon la norme NM 13.1.034 / 2001
Comportant chacun une base,un corps de moule, une hausse : la base et la hausse s'adaptent aux deux extrémités du
courps de moule. Le diamètre intérieur du moule doit etre de 101,6 + 0,1 mm (Fig 2)
Comportant un marteau pesant 4536 + 5 g. Ce marteau coulisse librement sur une tige et tombe en chute libre de 457
+ 5 mm sur la base (Fig 4)
en chêne de dimensions suivantes : largeur 300 mm, longueur 300 mm, hauteur 450 mm. Ce bloc est muni de deux
boulons servant de calage du moule.
Chacune étant composée de deux min-machoires ayant un rayon de courbure intérieur compris entre 50,9 et 51 mm
(Fig 5)
à 0,1 mm près
à avancement moyen à vide réglée à la valeur de 0,85 + 0,1 mm/s, équipée d'un dispositif permettant de mesurer
l'effort au cours de l'essai. L'erreur de justesse de ce dispositif doit être de + 1 % de la valeur lue et la répétabilité de +
0,5 de la valeur lue.
Pouvant contenir au moins éprouvettes et trois machoires d'écrasement
Disponibilité Conformité caractéristiques
Oui oui
Oui A verifier
Oui oui
Oui (seulement 2)
Oui oui
Oui oui
Oui oui
N°
Machine d'essai
1 de compression
3 Éditeur graphique :
4 Tête d'essai
5 Bain d'eau
6 Thermomètre
7 Etuve
Apparaeillage selon la norme NF EN 12697-34+A1 - 2007
de classe 2 ou mieux selon l’EN ISO 7500-1, ayant une capacité minimale recommandée de 28 kN et capable
d'appliquer des charges sur les éprouvettes à une vitesse constante dedéformation de (50 ± 2) mm/min, après une
période transitoire de moins de 20 % du temps de charge. La vitesse de déformation est à maintenir pendant toute la
durée d'application de la charge.
capable de déterminer une déformation avec une exactitude de ± 0,1 mm.
dispositif pour évaluer la courbe de force en fonction du fluage, par exemple une table traçante, un enregistreur ou
un logiciel informatique.
des mâchoires d'écrasement supérieures et inférieures avec les dimensions données dans l'Annexe B.
ayant une profondeur d'au moins 150 mm et capable de maintenir l'eau thermostatiquement à une température de
(60 ± 1) °C. Le bain doit disposer d'un double-fond ou d'une étagère perforée permettant de suspendre les
éprouvettes à au moins 25 mm au-dessus du fond du bain et de laisser une hauteur d'eau d'au moins 25 mm au-
dessus des éprouvettes. La dimension du bain doit permettre de placer les éprouvettes face en bas et sans contact
entre elles. Il doit être équipé également d'un dispositif assurant une circulation d'eau continue.
capable de mesurer 60 °C avec une exactitude de 0,5 °C.
Capable de maintenir une température de (110 ± 5) °C.
Disponibilité Conformité caractéristiques
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
N°
1 Balance
2 Appareil d’extraction de liant
3 Tamis
Apparaeillage selon la norme NF EN 12697-1 / 2012 - NF EN 12697-2 / 2003 (Granulomètrie)
Capable de peser la masse d’une prise d’essai avec une exactitude de 0,05 % de cette masse.
Conforme aux exigences appropriées de la méthode choisie en B.1.
Les tamis ayant des ouvertures de dimension inférieure ou égale à 2,8 mm doivent être conformes
à l’ISO 3310-1.
Les tamis ayant des ouvertures de dimension supérieure ou égale à 4 mm doivent être conformes
à l’ISO 3310-2.
Disponibilité Conformité caractéristiques
Oui oui
Oui oui
Oui oui
Oui oui
,
12500
N° Qté
1
2
5
6
7
8
Apparaeillage selon la norme NM 03 4 035 / 1989
Une trémie à surface non adhérante
une tirette
une plaquette munie d'une ouverture de 2,5 mm,tel que le débit de fines soit de 0,3 à 0,5 gramme par seconde,ou tout au
1 bain thermostatique
1 balance précise au décigramme
Tamis de 0,630 mm
Fines SILICEUSES
- Silice fine naturelle,non broyé,de couleur blanche
- Teneur en SiO2 supérieure à 98 %
- Masse volumique réelle 2,65 g/cm3
- pH neutre
- Fuseau granulométrique :
Refus sur tamis de 0,100 mm 1 à 5 %
Refus sur tamis de 0,080 mm 5 à 10 %
Refus sur tamis de 0,063 mm 15 à 25 %
Refus sur tamis de 0,050 mm 10 à 20 %
Refus sur tamis de 0,040 mm 25 à 35 %
Passant à 0,040 mm 17 à 30 %
- Indice de finesse AFS = 210 à 250
Disponibilité Conformité caractéristiques
Oui Oui
Oui Oui
Oui A vérifier
Non
N° Qté
1
2
3
4
10
Apparaeillage selon la norme NM EN 13075-1 /2017
une capsule émaillée de 20 cm de diamètre intérieur, 10 cm de hauteur.
Une spatule en nickel ou en inox de longueur approximative 20 cm.
Etuve, permettant de maintenir une température de (110 5) °C.
Entonnoir conique, permettant d’approvisionner le distributeur en fines avec un débit continu.
Distributeur réglable de fines, placé en sortie de l'entonnoir conique et permettant de distribuer
les fines à un débit compris de (0,35 ± 0,10) g/s. Ce dispositif doit être étalonné. L'étalonnage doit être
effectué par pesage de la masse de fines versée durant un temps compris entre 100 s et 600 s, fonction
de la durée prévue de l’essai et mesuré avec une précision de 0,2 s.
Minuteur ou chronomètre, avec une précision de 0,2 s ou mieux sur un intervalle de temps d’au
moins 600 s.
Flacons adaptés, d'une capacité d'environ 500 ml et fabriqués en un matériau ne réagissant pas
avec l'émulsion et munis de couvercles permettant une fermeture correcte.
Oui A verifier
oui oui
Non
Non
oui oui
Non
N° Qté
1
2
3
4
5
Apparaeillage selon la norme NM 03 4 034 / 1989
Générateur de courant continu de 12 V ou source de courant redressé,muni d'un milliamperemètre et d'une résistance va
deux plaques d'acier inoxydable 100 mm x 25 mm environ, isolées l'une de l'autre et maintenues fermement parallèles, à 1
Bécher de 150 à 250 ml
Tamis en acier inoxydable d'ouverture de maille 0,630 mm
Chronomètre
Disponibilité Conformité caractéristiques
Oui Oui
Oui Oui
Non
Oui Oui
Oui Oui
N° Qté
1
2
3
5
6
10
11
Apparaeillage selon la norme NF EN 1430 /2009
Des liquides de rinçage efficaces ou du xylène conforme à l'ISO 5280, peuvent être utilisés.
Propan-2-ol.
Éthanol, 96 % minimum ou de l’alcool éthylique dénaturé 99 %.
Source de courant, capable de fournir un courant continu ou redressé de 8 mA sous une tension de 4,5 V
à 15 V pendant 30 min.
Milliampèremètre, avec une déviation pleine échelle de 10 mA.
Potentiomètre.
Électrodes, deux plaques en acier inoxydable, d’environ 100 mm de longueur, 25 mm de largeur et 1,0 mm
d'épaisseur. Un dispositif isolant doit permettre de maintenir les deux plaques parallèles à 12 mm l'une de l'autre dans
l'émulsion (voir Figure 1).
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Non
Oui Oui
N° Qté
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
Apparaeillage selon la norme NM 03.4.036 / 1989
Tamis en toile inox ayant un diamètre utile de 7,5 cm environ :
Tamis à ouverture de maille de 0,630 mm
Tamis à ouverture de maille de 0,160 mm
Fonds de tamis d'un diamètre approprié
Flacon en verre de 1 l
Flacon en verre de 1 l à bouchon vissé
Entonnoir (diamètre 11 à 12 cm) monté sur support
Fiole conique de 250 ml
Fiole conique de 200 ml à bouchon rodé
Dessiccateur
Balance sensible au décigramme (porté 2 kg)
Balance analytique précise à 0,1 mg
Etuve réglé à 100 - 110 °C
Disponibilité Conformité caractéristiques
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Non
Non
Non
Non
Oui Oui
Non
Oui Oui
Oui Oui
Non
Oui Oui
N° Qté
1
2
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
Apparaeillage selon la norme
Matériel et verrerie courants
Tamis en acier inoxydable ou en laiton, avec un diamètre du cadre compris entre 75 mm et 100 mm et d'ouverture de mailles
Tamis (voir ISO 565), en acier inoxydable ou en laiton, avec un diamètre du cadre compris entre 75 mm et 100 mm et d'ouvert
(optionnel selon spécifications).
Fonds de tamis, de diamètre correspondant.
Balance, de capacité suffisante, permettant des pesées à 1 g près
Balance, de capacité suffisante, permettant des pesées à 0,01 g près
Balance, de capacité suffisante, permettant des pesées à 0,001 g près
Fiole conique, de 200 ml, avec bouchon rodé.
Fioles coniques, deux, de 250 ml, avec bouchon rodé.
Fiole conique, de 500 ml de capacité, avec bouchon rodé (voir 9.1)
Bouteille, de capacité suffisante, à bouchon vissé
Récipient, de capacité suffisante
Étuve ventilée, permettant d’obtenir une température de (105 ± 5) °C au voisinage de l’échantillon.
Dessiccateur.
Entonnoir.
acide chlorhydrique de concentration 1 mol/l
chlorure d'alkyltriméthylammonium ( préparer la solution aqueuse pour les émulsions catio
Bromure de cétyltriméthylammonium
Laurylsulfate de sodium
Hydroxyde de sodium ( préparer la solution aqueuse pour les émulsions
xylène ; conforme à l'ISO 5280
Éthanol, 96 % minimum ou de l’alcool dénaturé 99 %.
l'eau distillé
Disponibilité Conformité caractéristiques
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Non
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Non
Non
Oui (sans bouchon)
Non
Non
Oui Oui
Oui Oui
Non
Non
Non
Non
Non
Non
Non
Non
Non
N° Apparaeillage selon la norme NF EN 13036-1 /2010
1 Matériau
Cylindre
2
calibré
3 Disque araseur
4 Brosses
Dispositif de
5 protection
contre le vent
6 Balance
7 Règle graduée
Apparaeillage selon la norme NF EN 13036-1 /2010
Un récipient cylindrique calibré en métal ou en matière plastique d'un volume interne prédéfini d'au moins
(25 000 (25 ml) ± 150) mm3 doit être utilisé pour déterminer le volume de billes de verre utilisé.
Disque dur et plat d'environ (65 ± 1) mm de diamètre, dont l'une des faces est revêtue d'une plaque de caoutchouc
dur de (2 ± 0,5) mm d'épaisseur et dont la masse est de (305 ± 10) g, conformément à la Figure 2.
Une brosse à poils souples doit être utilisée pour nettoyer à fond la surface du revêtement avant l'application de
l'échantillon de matériau.
Un écran de protection contre le vent ou une autre protection appropriée peut être placé(e) à la surface du
revêtement de manière à protéger l'échantillon de matériau du vent et des turbulences engendrées par le trafic. La
Figure 1 en donne un exemple.
il est recommandé d'utiliser une balance de laboratoire, d'une sensibilité de 0,1 g, pour contrôler la masse de
matériau utilisée pour le mesurage de la profondeur de macrotexture de la surface.
Il convient d'utiliser une règle normalisée graduée au mm et d'une longueur de 500 mm.
Disponibilité Conformité caractéristiques
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
1 Pycnomètre
3 Thermomètre du bain
4 Balance
5 Étuve adaptée
Verrerie, comprenant un récipient conique ou cylindrique parfaitement rodé pour recevoir un bouchon de verre
parfaitement étanche. Le pycnomètre bouché doit avoir une capacité de (25 ± 2) cm3, et ne doit pas peser plus de 40
g. Le pycnomètre à large ouverture (Hubbard) décrit dans l'ISO 3507 peut être utilisé. Dans le cas où des échantillons
en quantité plus importante sont disponibles, un pycnomètre Hubbard d'une capacité de 50 ml peut être utilisé, il est
également décrit dans l'ISO 3507 ; les masses doivent être déterminées avec la même précision.
La partie supérieure du bouchon doit être lisse et parfaitement plate. Sa partie inférieure doit être concave pour
permettre aux bulles d’air de s’éliminer aisément à travers l’ouverture. La partie concave doit avoir une hauteur de (5
± 1) mm au centre.
La Figure 1 illustre un exemple de pycnomètre utilisable.
ayant une profondeur supérieure à la hauteur du pycnomètre, capable de maintenir la température de consigne à ±
0,2 °C.
Le thermomètre doit être lisible à ± 0,1 °C et doit être vérifié à partir d’un étalon de référence.
Balance de laboratoire ayant la précision requise.
Pouvant atteindre la température de 220 °C, permettant de fondre n'importe quel liant bitumineux. La température
adéquate doit être définie en fonction du liant testé.
Une capacité de 600 ml est suffisante.
Disponibilité Conformité caractéristiques
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
N°
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
Apparaeillage selon la norme NM 13 1 006 - 1998
Disponibilité Conformité caractéristiques
Oui Oui
N°
1 Balance
avec une capacité suffisante et une exactitude d’au moins ± 0,1 g, convenant pour la pesée de l’éprouvette dans l’air
et dans l’eau (par exemple à l’aide d’un panier métallique dont le déplacement d’eau et la masse sont pris en compte
par tarage). La précision de l’échelle doit être limitée à une masse maximale d’éprouvette.
Bain-marie maintenu à une température uniforme à ± 1,0 °C près aux alentours des éprouvettes. Une grille doit être
prévue pour permettre la circulation de l’eau autour de l’éprouvette. Le bain doit avoir une capacité trois fois plus
importante que celle du volume de l’éprouvette.
Pied à coulisse ou autre appareillage pour le mesurage des dimensions de l’éprouvette avec une exactitude d’au
moins ± 0,1 mm (voir EN 12697-29).
Disponibilité Conformité caractéristiques
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Non
Oui Oui
N° Apparaeillage selon la norme NF EN 12697-13 /2001
1 Généralités
Appareils de mesure de la
2 température du matériau dans un
camion ou sur un tas
Appareils de mesure de la
température du matériau après
3 mise en oeuvre et avant ou
pendant le compactage
Apparaeillage selon la norme NF EN 12697-13 /2001
L’appareil de mesure doit mesurer la température au plus par intervalles de 5 °C à ± 2 °C près et doit être muni d’une
sonde appropriée dont le temps de réponse est connu pour l’étendue de température à mesurer. Le thermomètre et
la sonde doivent être adaptés à l’emplacement de la mesure.
NOTE 1 Plusieurs types d’appareils de mesure de la température conviennent, par exemple des thermomètres
électroniques à thermocouples ou à thermistors ou des thermomètres bimétalliques rotatifs. Les thermomètres de ce
dernier type, quoique meilleur marché, sont moins satisfaisants du fait de leur manque de solidité, de leur temps de
réponse long et de la nécessité d’étalonnages fréquents. Il existe des modèles plus robustes, mais la robustesse
implique un temps de réponse plus long.
NOTE 2 Pour ce qui concerne le thermomètre de type électronique, le détecteur thermique est très petit et est
généralement placé à l’extrémité de la sonde, ce qui permet par conséquent d’utiliser la sonde pour mesurer la
température à la fois du matériau foisonné ou mis en oeuvre. Les sondes à thermocouples disponibles couvrent une
grande plage de température, de l’ordre par exemple de 400 °C, alors que celles à thermistors n’ont une précision
suffisante que sur une plage limitée, de l’ordre par exemple de 100 °C.
NOTE 3 Il convient que l’appareil de mesure de température ait une inertie thermique aussi faible que possible,
compatible avec une robustesse convenable, afin de réduire le temps requis pour obtenir une lecture fiable.
La sonde du thermomètre doit avoir une longueur minimale de 300 mm, avec un détecteur thermique situé près de
l’extrémité
Le thermomètre doit être muni d’un capteur de température suffisamment petit pour être complètement entouré par
le matériau bitumineux déjà répandu.
Disponibilité Conformité caractéristiques
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Non
Oui Oui
N° Qté Apparaeillag
1 Récipient de
distillation (Fig 1)
2
3 Réfrigérant droit
Tube recette
4
(Fig 2)
5 -
6
Tolérences pour les
parties graduées
7
Apparaeillage selon la norme NM 03.4.036 / 1989
Ballon en verre, à col court et large, dont la capacité est de 500 ou 1000 ml et sur lequel doit pouvoir s'adapter facilement
le ballon, le tube de recette et le réfrigerant sont raccordés par tout moyen assurant l'étanchéité. Il est recommandé d'util
sphériques.
de 0 à 0,1 ml : graduation de 0,1 ml avec erreur maximale de 0,05 ml
Oui Oui
Oui Oui
Dificulté de vérification du
Oui
diametre
Non
3 Réfrigérant
5 Embout
Support de l’écran et du
7
ballon
8 Source de chaleur
9 Cheminée
10 Éprouvette réceptrice
11 Thermomètre
12 Récipient
13 Balance
Apparaeillage selon la norme
500 ml, avec tubulure latérale, dont les dimensions sont données à la Figure 1.
normalisé, à double enveloppe en verre, de longueur nominale d’enveloppe entre 200 mm et 300 mm et d’une
longueur totale de tube de (450 ± 10) mm (voir Figure 3).
en verre de 1 mm d’épaisseur environ, renforcé à sa partie supérieure, formant un angle d’environ 105°. Le diamètre
intérieur doit être de (18 ± 2) mm à l’extrémité la plus large et ne doit pas être inférieur à 5 mm à l’extrémité la plus
étroite. La surface inférieure de l’embout doit former une courbe descendante lisse à partir de l’extrémité la plus large
vers l’extrémité la plus étroite. L’axe intérieur du tube de sortie doit être vertical et l’extrémité doit être découpée ou
rodée (non polie à la flamme) selon un angle de (45 ± 5) °.
Écran, en acier doublé d’une isolation thermique de 3 mm d’épaisseur et muni de fenêtres en mica transparent ayant
la forme et les dimensions indiquées sur la Figure 2. Il est utilisé pour protéger le ballon contre les courants d’air et
réduire les radiations.
Couvercle (sommet) fait de deux parties réalisées en matériau résistant au feu d’épaisseur minimum 6 mm.
Deux feuilles de 150 mm × 150 mm de toile métallique d’ouverture de maille d’environ 1 mm sur un trépied ou un
anneau.
brûleur à gaz type Tirrill 1) réglable ou équivalent.
Pour protéger la flamme du brûleur à gaz, comme indiqué Figure 3.
éprouvette cylindrique standard de 100 ml graduée et dont les dimensions sont données sur la Figure 4.
conforme aux exigences décrites dans l’Annexe A.
D’autres systèmes de mesure de la température peuvent être utilisés à la place de thermomètres à colonne de
mercure. Toutefois, le thermomètre à colonne de mercure est le système de référence. Ainsi, tout autre système
alternatif utilisé doit être calibré d’une manière telle qu’il donne la même valeur que celle qui serait fournie par le
thermomètre à colonne de mercure, tout en reconnaissant et en prenant en compte les différences des temps de
réponse thermique par rapport au thermomètre à colonne de mercure.
Pour la présente méthode, dans laquelle des températures croissantes sont lues lors du mode opératoire, les
corrections doivent être déterminées à l’avance et appliquées aux lectures observées.
pour récupérer le résidu, de capacité 250 ml environ. Un récipient métallique sans soudure, avec un couvercle facile à
adapter, de diamètre (75 ± 5) mm et de hauteur (55 ± 5) mm, ou équivalent, convient.
avec une précision de lecture minimale de 0,1 g.
Disponibilité Conformité caractéristiques
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui Non
Oui Non
Non
Oui Oui
N° Qté Apparaeillage selon la
1 Viscosimètre Engler
Thermomètre
2
Engler
3 Pointeaux
4 Fiole jaugée
5 Chronomètre
7 Bécher
Apparaeillage selon la norme NM 03.4.033 / 1989
donnant le cinquième de second
de 500 ml environ
Disponibilité Conformité caractéristiques
Oui Oui
Non
Oui
Oui Oui
Oui
Oui Oui
N°
Apparaeillage selon la norme NM 13.1.027 / 2001
Boite doseuse des granulats est constituée :
La boite parallélépipédique a une dimension de : 85 cm x 35 cm x 7 cm
Les parois latérales sont équipées sur leurs faces internes de deux rainures situées à une hauteur h du fond de la
caisse de :
- h = 5 cm pour les gravillons 10/14
- h = 3 cm pour les gravillons 6,3/10 et 4/6,3
Au dessous de la boite sont fixés 4 vis servant de pied support de la boite dans sa position horizontale
Le couvercle transparant est gradué sur deux faces :
- La première face est utilisée pour les gravillons 10/14 et est graduée en 8 l/m2 , 10 l/m2 et 12 l/m2 : elle
correspond à l'introduction du couvercle dans la rainure superieur ( h = 5 cm du fond de la caisse )
- La deuxième face est utilisée pour les gravillons 6,3/10 et est graduée en 6 l/m2 , 8 l/m2 et 10 l/m2 : elle
correspond à l'introduction du couvercle dans l'inférieur ( h = 3 cm du fond de la caisse )
Le peigne à araser est constitué d'une tige de 80 cm de long équipée à une extrémité de 3 pointés, il offre une largeur
maximale inférieur à 3 cm?
Disponibilité Conformité caractéristiques
Non
N° Appareillage selon la norme
1 Vase d’essai.
2 Plaque chauffante
Appareil Cleveland à vase ouvert
4 Dispositif de chauffage.
9 Écran protecteur
10 Baromètre
Le vase d’essai doit être en laiton ou autre métal inoxydable de conductivité thermique équivalente, conforme aux
dimensions telles qu’indiquées à la Figure A.1 (gauche). Le vase d’essai peut être muni d’une poignée.
La plaque chauffante doit être de dimension suffisante et d’un matériau tel qu’il est assuré que la
chaleur thermique n’est appliquée qu’au fond du vase d’essai et que la chaleur étrangère à ce vase est
réduite au minimum. La Figure A.1 (droite) montre une configuration habituelle lors de l’utilisation
d’un brûleur à gaz.
Le dispositif de balayage de la flamme peut être de tout type adapté, mais il est recommandé que le diamètre extérieur
du tube ait un maximum de 2 mm et que la tête soit de (1,6 ± 0,05) mm de diamètre environ au bout et que l’orifice au
bout ait un diamètre d’environ (0,8 ± 0,05) mm. Le dispositif de balayage de la flamme d’essai peut être monté de
manière à permettre la répétition automatique du balayage de la flamme d’essai, avec un rayon de balayage d’au moins
150 mm et la position du centre de la flamme d’essai est maintenue de manière qu’il passe dans un plan situé à 2 mm
maximum du plan du bord du vase d’essai. Une bille ou un anneau métallique d’un diamètre de 3,2 mm à 4,8 mm, monté
à un endroit adapté de l’appareillage, peuvent aider à assurer que la flamme d’essai est de la taille spécifiée. Cela est
dessiné sur la plaque chauffante de la Figure A.1
Utiliser soit un appareil de chauffage électrique contrôlé, un brûleur à gaz ou une lampe à alcool, mais il
ne faut jamais laisser les produits de la combustion ou la flamme monter autour du vase d’essai. Centrer
la source de chaleur sous l’ouverture de la plaque chauffante pour éviter les phénomènes de surchauffe
localisée. Si un appareil de chauffage électrique est utilisé, s’assurer que l’élément électrique n’est pas
en contact direct avec le vase d’essai.
Il est possible de protéger les dispositifs de chauffage à flamme des courants d’air ou d’une radiation
excessive par un écran adapté qui ne dépasse pas le niveau de la face supérieure de la plaque résistant
à la chaleur.
Ce support doit maintenir le système de mesure de la température dans la position spécifiée pendant l’essai et permettre
facilement son retrait du vase d’essai à la fin de l’essai.
pour couvrir au moins trois côtés du vase d’essai. L’appareil peut inclure un écran protecteur incorporé.
donnant la pression absolue avec une précision de 0,5 kPa et une résolution de 0,1 kPa. Les baromètres précorrigés pour
fournir les résultats au niveau de la mer, tels que ceux utilisés dans les stations météorologiques et les aéroports, ne
doivent pas être utilisés
Disponibilité Conformité caractéristiques
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Oui Oui
Non
Oui Non
Non
Non
N°
1 Dispositif d’essai
2 Moules métalliques
a) permettant à l'éprouvette d'être soumise à une contrainte conformément au principe décrit à l'article 4 et
conformément aux exigences de l’article 7 relatives à l’angle et à la force ;
b) capable de maintenir, au moins en un point à proximité du plan médian, situé entre 30 mm et 45 mm de l’axe du
moule, la température d’essai prescrite à ± 10 °C près pendant l’essai ;
c) capable de maintenir constante la vitesse de rotation pendant l’essai à ± 10 % près, à une vitesse inférieure à 32
tr/min.
L’angle et la force doivent être conformes aux dispositions de l’Annexe A, de l’Annexe B ou de l’Annexe C.
NOTE L’Annexe A convient pour l’évaluation du pourcentage de vides et pour effectuer des études dans le domaine du
compactage tandis que les Annexes B et C ont pour objet de permettre la confection d’éprouvettes en vue d’essais
mécaniques.
Annexes A, B et C
a) présentant en surface une dureté supérieure à 48 HRC selon l’EN ISO 6508-1;
b) ayant soit :
- une rugosité Ra inférieure à 1 μm selon l’EN ISO 4287 ; soit
- une rugosité initiale inférieure à 0,8 μm selon l’EN ISO 4287 et sans défaut, rayure ou trace visible à l’oeil nu ;
c) ayant dans la zone en contact avec le matériau pendant le compactage, un diamètre intérieur de (150,0 ± 0,1) mm ou
(160,0 ± 0,1) mm ou (100,0 ± 0,1) mm ;
d) ayant une hauteur compatible avec le volume de matériau nécessaire pour l'éprouvette pendant l'essai ;
e) ayant une épaisseur supérieure à 7,5 mm.
a) ayant une surface active plane à ± 0,1 mm près (la surface devant être en contact avec le matériau) ;
b) ayant une dureté de surface d’au moins 55 HRC selon l’EN ISO 6508-1 ;
c) ayant soit une rugosité Ra inférieure à 0,8 μm selon l’EN ISO 4287, soit une rugosité initiale inférieure à 0,8 μm selon
l’EN ISO 4287, et sans défaut, rayure ou trace visible à l’oeil nu ;
d) ayant une forme appropriée à la cinétique du mouvement et un diamètre tel que le jeu pastille/moule soit compris
entre 0,1 mm et 0,6 mm.
Disponibilité Conformité caractéristiques
Oui
Oui
Oui
Oui
Oui Oui
Oui Oui
N°
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
Apparaeillage selon la norme
Disponibilité
N°
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
Apparaeillage selon la norme
Disponibilité
N°
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
Apparaeillage selon la norme
Disponibilité