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INTRODUCTION

L’Homme essaie toujours d’exploiter les ressources que lui offre la nature, et d’en profiter au
maximum possible dans tous les domaines, comme c’est le cas en approvisionnement énergétiques,
il tente constamment de trouver d’autres ressources pour mettre fin à sa dépendance aux énergies
fossiles, qui sont en diminution aussi terrifiante, mais avant de fournir une solution à ce problème
aussi complexe, on essaie d’optimiser les taux de récupération des hydrocarbures. Pour ce faire, il
faut une bonne connaissance de la façon dont les fluides se déplacent ou se mélangent dans le sous-
sol. Ces procédés de drainage de l’huile se présentent comme des balayages du réservoir entre les
puits d’injection et les puits de production. L’efficacité de ce balayage dépend de beaucoup de
facteurs souvent imposés par la nature, comme les caractéristiques des fluides en place ou des
roches qui composent le réservoir. Un fluide qui se déplace en milieu poreux est soumis à l’influence
de la structure du milieu qu’il traverse.

Les milieux poreux sont en réalité constitués de domaines connexes présentant eux-mêmes des
caractéristiques parfois très différentes : ainsi la taille des pores, leur forme ou le degré de compacité
du milieu peuvent varier de manière importante sur une distance très faible. La perméabilité du
milieu, c'est-à-dire l’aptitude du milieu à laisser passer un fluide dont il est saturé, peut donc être
extrêmement hétérogène. En conséquence, l’avancée du front de déplacement des fluides sera plus
rapide dans les couches les plus perméables que dans les autres couches, ce qui rend les
déplacements de fluides très complexes. En effet, les hétérogénéités de perméabilité sont
susceptibles de créer par exemple des canaux d’écoulement préférentiel. Ceux-ci augmentent
significativement la rapidité de transformation d’un puits producteur d’huile en un puits à eau. Au
contraire, des zones de faible perméabilité peuvent laisser inexploitées de grandes quantités d’huile.

Une bonne connaissance des écoulements des fluides dans le gisement présente un intérêt
économique évident.

Cependant le parc de la comoe, frontière poreuse du nord ivoirien. Il se définit comme « le


dernier Blanc » avant la frontière. Raynald Gilon, 72 ans, est depuis des décennies le
gérant du Kafalo Safari Lodge, un lieu qui raconte à lui seul la triste histoire du
tourisme en Côte d’Ivoire. En 1975, le jeune Belge prend sa retraite de militaire,
s’ennuie au Cameroun et accepte de reprendre la gestion de cet hôtel-restaurant situé
dans le nord-est ivoirien à moins de deux kilomètres de la frontière avec le Burkina
Faso.Ce lodge est le point de départ de grands safaris à pied, en voiture et à pirogue à
travers le parc national de la Comoé, le plus grand d’Afrique de l’Ouest, peuplé
d’animaux exotiques et d’espèces endémiques. Durant les premières années, « mille
personnes par mois » venaient en coucou depuis Abidjan pour admirer les plus beaux
animaux du parc, que l’on peut toujours voir en peinture, en photo ou empaillés aux
quatre coins de l’auberge : panthère, hippopotame, crocodile du Nil, python royal…
L’objectif de notre étude sera d’étudier les Mesure de la porosité au laboratoire .
Spécifiquement cette étude cherchera a étudier la densité d’un matériau et la résistance a
l’écoulement dans un lit.
Le travail est organisé en trois parties : introduction , matériels et méthodes et enfin résultats
et discussion
La porosité ou la fraction de vide est une mesure des espaces vides dans un matériau et est une
fraction du volume de vide sur le volume total, 0-1, ou en pourcentage entre 0-100%. Le rapport
entre le volume de vide et le volume total d'une substance sert de mesure pour classer les cavités
réellement existantes. La taille est utilisée dans le domaine des matériaux et des techniques de
construction ainsi que dans les géosciences. La porosité a une grande influence sur la densité d'un
matériau ainsi que sur la résistance à l'écoulement dans un lit.

On peut doc utiliser la porosité

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