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Compte Rendu N° : 1
a b : ..................................................................................................................................... 16
AʘB : ....................................................................................................................................... 16
𝒂̅𝒄 + 𝒂𝒃̅ : .................................................................................................................................. 17
2). Câblage de décodeur : .............................................................................................................. 18
3) Câblage de multiplexeur : ......................................................................................................... 19
Matérialisation des fonctions : ................................................................................................... 20
4) Additionneur............................................................................................................................. 21
Demi-additionneur : .................................................................................................................. 21
Additionneur : ........................................................................................................................... 22
But: .................................................................................................................................................. 24
Partie théorique : ............................................................................................................................ 24
Les bascules :................................................................................................................................ 24
Bascule RS :.............................................................................................................................. 24
Bascule RSH : ........................................................................................................................... 25
2
Les compteurs : ............................................................................................................................. 25
Définition :................................................................................................................................ 25
Compteurs asynchrones : ........................................................................................................... 25
Compteur synchrone : ............................................................................................................... 25
Partie pratique : .............................................................................................................................. 26
1) Les bascules :............................................................................................................................ 26
a. Réaliser à l’aide des opérateurs NAND 2 entrées : ................................................................. 26
b. la fonctionnement de la Bascule JKH :................................................................................... 28
2. Circuit marche arrêt d’un moteur : ............................................................................................. 29
3. Compteurs : .............................................................................................................................. 30
a) Réalisation d’un compteur asynchrone modulo 10 : ............................................................... 30
Compteur asynchrone modulo 14 .............................................................................................. 32
b) Réalisation d’un compteur synchrone modulo 10 :................................................................. 32
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Introduction général :
1) Qu’est-ce que l’automatisation
L’automatisation est considérée comme l’étape d’un progrès technique où
apparaissent des dispositifs techniques susceptibles de seconder l’homme, non
seulement dans ses efforts musculaires, mais également.
2) Définition :
Un automatisme est généralement connu pour commander une machine ou des
machines. On appelle cette machine la "partie opérative" du processus, alors que
l'ensemble des composants d'automatisme fournissant des informations qui
servent à
piloter cette partie opérative est appelée partie commande.
La modélisation des automatismes peut se faire par GRAFCET "Graphe de
Commande Etapes-Transitions" ou par RdP "Réseaux de Petri"
3) Objectif :
Les objectifs de l’automatisation d'un système sont nombreux. On site dans ce
sens :
Amélioration de la productivité de l’entreprise en réduisant les couts de
production (main d’ouvre, matières, énergie) et en améliorant la qualité de
produit.
Amélioration des conditions de travail en supprimant les travaux pénibles et
en améliorant la sécurité.
Augmentation de la production.
Augmentation de la disponibilité des moyens de production en améliorant la
maintenabilité.
4) Structures :
Un système automatisé comprend deux parties qui dialoguent ensemble :
4
Une partie commande :
Elle élabore des ordres à partir des informations délivres par les capteurs de la
partie opérative (dialogue avec la machine) ou à partir des consignes qui sont
données par l’opérateur (dialogue homme machine).
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Logique
combinatoire
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But :
Le but de nos manipulations est de simuler le fonctionnement des systèmes
combinatoires sur des maquettes de simulation DIGIBORAD.
Partie théorique :
Introduction :
Un circuit combinatoire est un circuit à n entrées et m sorties, où l'état de
chaque sortie (0 ou 1) dépend uniquement de l'état des entrées.
Les circuits combinatoires les plus simples sont appelés portes logiques.
Ils sont la base de la logique mathématique qui effectue les opérations à
l'intérieur du processeur, et plus particulièrement à l'intérieur de l'U.A.L. C'est
donc la base de tous les calculs internes du processeur.
Les portes logiques sont à l'origine de tous les calculs effectués dans les
transistors. Leur fonctionnement étant basé sur le passage éventuel du courant,
elles ne peuvent que traiter des informations en langage binaire.
Définition :
Fonction logique dont la valeur de sortie dépend uniquement des
valeurs des variables d’entrées et ne dépend pas des états antérieurs de la
fonction (pas de mémorisation).
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Etat logique : Valeur d’une variable logique, représentée par les chiffres « 0 »
ou « 1 » ou les lettres « L » ou « H ».
Fonction logique : Groupes de variables reliées entre-elles par des opérateurs
logiques.
Représentation :
Pour définir chacune des fonctions logiques, nous donnerons plusieurs
représentations :
une représentation électrique : schéma développé à contacts ;
une représentation algébrique : équation ;
une représentation arithmétique : table de vérité ;
une représentation temporelle : chronogramme ;
une représentation graphique : symbole logique.
Représentation graphique :
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En électronique, une porte NON est plus communément appelée inverseur. Le
cercle utilisé sur la représentation est appelé « bulle », et on l'utilise
généralement dans les diagrammes pour montrer qu'une entrée ou une sortie est
inversée.
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portes préfabriquées, car un circuit qui a des bulles des deux côtés peut être
remplacé par un circuit non-inversé en changeant la porte. Si une porte NON-ET
est représentée par un OU avec des entrées inversées, ou qu'un NON-OU est
représenté par un ET avec des entrées inversées, le remplacement se fait
automatiquement dans le schéma (les bulles « s'annulent »). Cela
est courant dans les diagrammes logiques réels — si bien que le lecteur ne doit
pas s'habituer à associer les symboles aux portes OU et ET automatiquement,
mais doit aussi prendre en compte les inverseurs pour déterminer la bonne
fonction représentée. Les entrées inversées sont particulièrement utiles dans le
cas de signaux « actifs à l'état bas ».
Les deux autres portes fréquemment rencontrées sont la fonction OU exclusif et
son inverse. Un OU exclusif à deux entrées ne renvoie un 1 que quand les deux
entrées sont différentes, et un 0 quand elles sont égales, quelle que soit leur
valeur. S'il y a plus de deux entrées, la porte renvoie 1 si le nombre d'entrées
égales à 1 est impair ([1]). Dans la pratique, ces portes sont souvent réalisées à
partir de combinaisons de portes logiques plus simples.
Multiplexeur :
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Décodeurs :
Le décodeur est un circuit combinatoire à l'entrée duquel est appliqué un
code
binaire de n bits. Ce circuit possède N sorties (avec N = 2n, en général). A
chaque valeur du code d'entrée, il y a une seule sortie à l'état haut, toutes
les autres sont à l'état bas. Les entrées d'un décodeur sont souvent appelées
adresses, car elles expriment en binaire le numéro décimal de la sortie
activée. Les décodeurs peuvent être utilisés pour l'adressage de mémoires et
la génération de fonctions logiques.
Si E = 0, toutes les sorties sont à 0
Si E ≠ 0, seulement une sortie (i.e., nombre binaire) vaut 1, les autres étant à 0
Additionneurs :
Demi-additionneur :
0+0=00
0+1=01
1+0=01
1+1=10
Comme en décimal, nous devons donc tenir compte d'une éventuelle retenue
(carry). La figure 1 montre la décomposition de l'addition de deux nombres
binaires de quatre bits.
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Le demi additionneur est un circuit combinatoire qui permet de réaliser la
somme arithmétique de deux nombres A et B chacun sur un bit.
A R
DA
B S
A B R S
0 0 0 0
0 1 0 1
1 0 0 1
1 1 1 0
Additionneur complet :
• L’additionneur complet un bit possède 3 entrées :
– ai : le premier nombre sur un bit.
– bi : le deuxième nombre sur un bit.
– ri-1: le retenue entrante sur un bit.
A R
1
Additionneur Complet
B
11 S
ri-1
11 S 13
1
il possède deux sorties :
– Si : la somme
– Ri : la retenue sortante
Table de vérité d’un additionneur complet sur 1 bit
A B ri-1 ri si
0 0 0 0 0
0 0 1 0 1
0 1 0 0 1
0 1 1 1 0
1 0 0 0 1
1 0 1 1 0
1 1 0 1 0
1 1 1 1 1
Partie pratique :
1) Traçage de logigramme NAND des fonctions : (Porte NAND 2
entrées uniquement). Puis réaliser le câblage sur le simulateur :
a.b :
14
a+b :
15
a b:
AʘB :
16
𝒂̅𝒄 + 𝒂𝒃̅ :
17
2). Câblage de décodeur :
18
3) Câblage de multiplexeur :
19
Matérialisation des fonctions :
On choisit les trois fonctions suivantes :
a+b :
a.b :
a b:
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4) Additionneur
Demi-additionneur :
Circuit qui réalise l’addition de deux bits. La somme s’obtient sur deux bits, S
pour le poids faible, R pour le poids fort (la retenue).
S = A.B + A.B = A B
R = A.B
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Additionneur :
Circuit qui réalise l’addition de deux bits en tenant compte d’une retenue R0 en entrée.
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Logique
séquentielle
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But:
Le but de nos manipulations est de simuler le fonctionnement des systèmes
séquentiels sur des maquettes de simulation DIGIBAORD.
Partie théorique :
Logique séquentielle : en logique combinatoire l’état de sortie est une fonction
déterminée par l’état des entrées. En logique séquentielle l’état des entrées ne
suffit pas toujours pour connaître l’état de la sortie. Il faut parfois connaître
l’entrée antérieure de la sortie
Les bascules :
Les bascules sont des éléments séquentiels simples qui réalisent une fonction de
mémorisation. Leur intérêt réside principalement dans leur utilisation pour
réaliser des systèmes complexes.
Bascule RS :
Cette bascule comporte deux entrées s (set) et R (reset), et deux sorties Q et Q
barre.
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Bascule RSH :
La bascule, dite bascule « SYNCHRONE », est rarement utilisée, mais
beaucoup plus sur la forme synchronisée : bascule RSH. Elle comporte
Une entrée supplémentaire H appelée entrée horloge.
Les compteurs :
Définition :
C'est un système compose de bascules permettant, grâce a l'horloge d'obtenir des
états successifs de sortie pour réaliser un cadencement d'état différents.
Compteurs asynchrones :
Un compteur est dit asynchrone lorsque les états de ses bascules évoluent
successivement (sorties de l’une appliquées aux entrées de l’autre).
Compteur synchrone :
Un compteur est dit synchrone, lorsque les états de ses bascules évoluent
simultanément, au rythme de l’entrée d’horloge.
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Partie pratique :
1) Les bascules :
a. Réaliser à l’aide des opérateurs NAND 2 entrées :
Bascule RS asynchrone :
Fonctionnement :
- S 1 (R=0) Q 1 (Mise à 1)
- S 0 (R=0) Q 1 (mémorise la valeur antérieure)
- R 1 (S=0) Q 0 (Mise à 0)
- R 0 (S=0) Q 0 (mémorise la valeur antérieure)
- S=1 et R=1 Mode interdit
D’où on peut déduire le chronogramme suivant :
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Bascule RSH :
Fonctionnement :
Autrement dit :
Si H=l, les entrées « R et S » sont prises en compte.
Si H=0, elles ne le sont pas. Dans ce cas, la bascule n'est pas « éteinte », elle
reste « Figée » dans le même état.
Souvent la bascule comporte deux entrées supplémentaires : Preset (forçage a 1
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quel que soit l'état de H) et Clear (forçage a 0), qui permet de forcer la bascule
même si H=0, utilisés généralement pour l'initialisation du composant.
Et le chronogramme suivant explique ce qu’on vient de dire :
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Rôle de PR et CLR :
PR initialisation
CLR Réinitialisation
Le chronogramme :
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On remarque que dans les deux cas ‘’a = 0 et m=0’’ ou ‘’a = 0 et m=1’’ le
moteur marche. Donc pour éviter cette contradiction et pour que le bouton ‘m’
soit seulement un bouton de marche il doit être un bouton poussoir. Et on
remarque aussi la sortie ‘x’ ’éteint (égale à 0) lorsque ‘a’ est aussi égale à 0.
Donc le bouton ‘a’ doit être toujours un bouton d’arrêt.
3. Compteurs :
Les compteurs asynchrones faciles à constituer sont très utilisés mais leurs
emplois trouvent des limites :
30
Pour réaliser ce compteur, il faut 4 bascules J-K montées en cascade avec la
sortie d’un est l’entrée de l’autre bascule, on suit les étapes suivantes :
-on câble les bascules en compteur progressif, et on connecte ensuite toute les
sorties Q=1 pour 10 à l’entrée d’une porte NAND et on ajoute une entrée
d’Horloge a
cette porte NAND. La sortie va aux entrées CLEAR de toutes les bascules.
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Compteur asynchrone modulo 14
-Tableau de fonctionnement :
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Câblage :
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