1
G 1–SOCIÉTÉS ET ENVIRONNEMENTS : DES ÉQUILIBRES FRAGILES
L’eau est une ressource vitale pour l’homme. Indispensable à son fonctionnement
biologique, elle est aussi essentielle à ses activités. C’est une ressource renouvelable
mais fragilisée. Comment les sociétés gèrent-elles une ressource, source de
tensions, dont la durabilité est menacée ? Dans une première partie, nous analyserons
la répartition et l’accès, dans une deuxième les différents aménagements et les tensions
qu’ils génèrent. Une troisième sera consacrée à la nécessité de la durabilité de cette
ressource vitale.
2/ L’accès à l’eau :
Définition : accès à domicile ou à moins d’un km à un minimum de 20 litres d’eau potable
par jour et par personne.
Les situations sont très ..................................................... L’accès n’est pas nécessairement
lié à la ....................................................de la ressource (cf République démocratique
duCongo). Il dépend essentiellement des.......................................................................réalisés
pour rendre possible cet accès et va nécessairement dépendre
du...............................................................
Il existe aussi des différences régionales à l’intérieur des États : dans certains pays en
développement, les territoires.........................................sont mieux approvisionnés que dans
les..............................................................
Malgré tout, la communication sur le DD est souvent réductrice. Elle se limite souvent au
pilier environnemental. Le développement est détourné par certains acteurs qui en font le
support de leur publicité : ils utilisent des arguments environnementaux parfois trompeurs
pour vendre leurs produits. C’est le greenwashing ou l’écoblanchiment.
Le nouvel enjeu politique pour les sociétés sera de concilier à la fois une production de
richesses différente et une meilleure répartition, la qualité de l’environnement et un
développement humain et social. De nouveaux critères de mesures sont proposés comme ceux
de « la qualité de vie ».
De nouvelles orientations sont préconisées qui constituent l’Agenda 21 portés par l’ONU et
les ONG et progressivement intégrés dans les politiques internationales comme le montrent
les accords de Kyoto en 1997, les politiques nationales et à différentes échelles (régions,
communes….). De leur côté, les citoyens, véritable force de proposition se mobilisent pour
favoriser la mise en œuvre de projets durables.