POUVOIRPATHOGENE Chez un petit nombre d'individus, la bactérie franchit la barrière muqueuse
et gagne les méninges par voie hématogène ou bien produit une septicémie(méningococcémie).4. FACTEURS DEPATHOGENICITE :Adhésines -Capsule-Lipopolysaccharide-Autres facteurs : Le méningocoque possède une IGA protéase. 5. Le diagnostic : repose sur I ‘isolement de la bactérie à partir du LCR ou du sang. Les Prélèvements doivent être acheminés rapidement au laboratoire, en évitant leur exposition au froid L'examen direct du LCR montre des diplocoques à Gram-. La culture permet de confirmer I ‘identification, de préciser le sérogroupe et de vérifier la sensibilité aux antibiotiques/2. NEISSERIA GONORRHOEAE : très fragile, ne cultivant que sur un Milieu riche, spécifique et sous atmosphère enrichie en C02.1.HABITAT : La bactérie est strictement humaine, présente dans les Voies génitales, 2. La transmission :est sexuelle. 3.POUVOIR PATHOGENE : Infection urogénitale Appelée aussi blennorragie, c'est une des infections sexuellement transmises les plus fréquentés. Chez I’ homme La blennorragie est une urétrite antérieure aiguë avec écoulement de pus parfois abondant et une dysurie (chaude pisse). Chez Ia femme Les symptômes sont moins évocateurs. L'infection peut se traduire par une cervicite.Localisations extragénitales : On peut observer des infections pharyngée, rectales ou conjonctivales. 4. FACTEURS DE PATHOGENICITE : Pili-Protéines de la membrane externe. Autres facteurs : IgA protéase, lipopolysccharide. Le diagnostic : est direct, basé sur I’isolement de la bactériepar culture sur des milieuxspécifiques