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Réponses :
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2. Faux
3. Vrai
4. Vrai
5. Faux
Cours d’épidémiologie pour les fellows de
l’urgence
Ce cours d’épidémiologie se veut une introduction à l’épidémiologie et à la biostatistique. Il
s’agit d’un cours destiné aux résidents, fellows et médecins. Il est formé de 10 modules
pouvant se faire en auto-apprentissage. La charge de travail est d’environ 4 à 6 heures par
module.
Chaque cours est construit sur le même canevas : Il y a initialement, un résumé et des articles
scientifiques à lire puis des exercices pratiques. Les articles sont choisis en fonction du
programme de fellowship en urgence pédiatrique. Il s’agit d’articles récents importants ou
intéressants ou des classiques à connaître pour l’urgence pédiatrique.
Plan du cours
6. Les sondages
a. Comment effectuer un sondage sur les variations de pratique
b. Comment élaborer un questionnaire
7. Les méta-analyses
a. Savoir effectuer une revue de littérature standardisée
b. Comment faire l'analyse pour les méta-analyses
c. Les biais de publication et l’hétérogénéité
8. Protocole
a. Définir une question de recherche
b. Les étapes essentielles pour une introduction
c. Quoi mettre dans la section méthode
d. Préparer un budget et un échéancier
Dans les pays développés, 40 % à 60 % des 20-40 ans sont touchés par
le HSV-1. A peine 20 % le sont à l’âge de 5 ans (ANAES, 2001). Dans
certains pays d’Afrique, on recense jusqu’à 95 % d’individus
contaminés (2003).
En France et comme dans la plupart des pays européens, les infections
à HSV-2 concernent, quant à elles, près de 17 % de la population
adulte (ANAES, 2001 ; Association herpès, 2001). Là encore, ce
chiffre peut atteindre 90 % dans certains pays d’Afrique. (2003)
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| Home > III. Transmission & épidémiologie >
UCLOUVAIN
4. Quiz & tests
FDP Virologie
Taille de la police : 11 ou 12
Chapitres >
> 5. Bibliographie
Outils >
A. Plan du site
B. Glossaire
D. Recherche
E. Contact
F. Guide pédagogique
G. Aide à la navigation
H. Carte de navigation
4. Quiz & tests
Aller vers :
- Jeux
- Questions ouvertes
1. Donnez une brève définition de « >> Réponse
l’incidence d’une infection ».
2. Donnez une brève définition de « >> Réponse
prévalence d’une infection ». C’est la mesure du nombre total
d’individus atteints au sein d’une
population à l’instant T, souvent
exprimée en pourcent.
3. Donnez une brève définition de « taux de >> Réponse
morbidité ». C’est le rapport entre le nombre
d’individus atteints d’une maladie
donnée et la population, au cours d’une
période donnée (généralement un an).
4. Donnez une brève définition de « taux de >> Réponse
mortalité ». C’est le rapport entre le nombre
d’individus décédés suite à une maladie
donnée par rapport à la population totale.
5. Donnez une brève définition de « létalité >> Réponse
». C’est le nombre de décès dans une
population d’individus ayant été infectés.
6. Citez les trois types majeurs de >> Réponse
transmission de virus connus. Les virus qui infectent une seule espèce,
les virus capables de croiser la barrière
d’espèce, et finalement les virus qui sont
transmis par l’entremise d’un vecteur.
7. Citez les différents modes de >> Réponse
transmission de virus végétaux. La transmission mécanique, la
transmission via arthropodes, la
transmission via nématodes, la
transmission via protozoaires, la
transmission via la semence, le pollen et
par voie végétative.
III. 5. Bibliographie >>
- Jeux
La question est : Les virus des végétaux sont transmis par aérosols ?
Votre réponse est : Vrai >>> (La bonne bonne réponse est : segmentation du noyau de la cellule)
Total : 5 /10
Questions fermées et questions ouvertes à réponse brève et unique La question est : Les virus
des végétaux sont transmis par aérosols ?
Votre réponse est : Vrai >>> (La bonne bonne réponse est : segmentation du noyau de la cellule)
Questions fermées et questions ouvertes à réponse brève et unique La question est : Le taux de
mortalité est
Votre réponse est : le rapport entre le nombre d’individus décédés suite à une maladie donnée par
rapport à la population totale
La question est : La létalité est
Votre réponse est : le rapport entre le nombre d’individus décédés suite à une maladie donnée par
rapport à la population totale >>> (La bonne bonne réponse est : la présence de virus dans le sang)
La question est : Les virus des végétaux sont transmis par aérosols ?
Votre réponse est : Vrai >>> (La bonne bonne réponse est : segmentation du noyau de la cellule)
Questions fermées et questions ouvertes à réponse brève et unique La question est : L'incidence
est
Votre réponse est : le nombre d’individus atteints (c ou cases en anglais) au cours d’une période
donnée, rapporté à la population totale (p ou population).
La question est : Une transmission par voie sexuelle implique un contact de muqueuses à muqueuses
La question est : Les virus des végétaux sont transmis par aérosols ?
Votre réponse est : Vrai >>> (La bonne bonne réponse est : segmentation du noyau de la cellule)
Total : 5 /10
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> 5. Bibliographie
V. Exemples choisis
Outils >
A. Plan du site
B. Glossaire
D. Recherche
E. Contact
F. Guide pédagogique
G. Aide à la navigation
H. Carte de navigation
4. Quiz & tests
Aller vers :
- Jeux
- Questions ouvertes
- Questions fermées et questions ouvertes à réponse brève et unique
La question est : Le taux de mortalité est
La question est : La prévalence est
Votre réponse est : le rapport entre le nombre d’individus décédés suite à une maladie
donnée par rapport à la population totale >>> (La bonne bonne réponse est : Vrai)
Total : 5 /10
Quiz
Quiz
3. TRADUCTION PRÉCOCE
ARN-1
+
-
-
-
-
-
-
+
5'
5'
5'
5'
3'
3'
3'
3'
ARN-1
ARN-2
1
polymérase
polymérase
-
-
+
+
+
+
+
+
+
+
5' 5'
5'
3'
3'
5'
3'
3'
-
-
+
5' 5'
5'
3'
3'
5'
3'
3'
+
ARN-2
ARN-1 ARN-2
2
polymérase
polymérase
polymérase polymérase
1. INFECTION
Transmission du virus ?
ARN-1
ARN-2 CP RT CRP
Methyl-transferase Helicase Polymerase MP
2. DÉCAPSIDATION DU VIRUS
ARN-1 ARN-2
Protéine riche en
cystéine
Protéine de
mouvement
Protéine de
translecture
Protéine
de capside
La légionellose doit son nom à une épidémie survenue en 1976 chez 200 participants du 58è
congrès de la Légion Américaine à Philadelphie, dont 30 sont décédés: la bactérie Legionella
pneumophila, qui affectionne particulièrement les eaux tièdes (de 30 à 60°), s'était propagée
par le système de climatisation de leur hôtel. L'émergence récente de cette maladie s'explique
par son affinité pour les systèmes modernes d'alimentation en eau comme les tours de
refroidissement, les climatiseurs, les bains à jet, les bains à remous (jacuzzi), les canalisations
d'eau chaudes , etc....
Epidémiologie :
Depuis 1976, de nombreuses épidémies de légionellose ont été décrites en Amérique du Nord
et en Europe : on estime d'ailleurs que 8000 à 18000 personnes meurent de légionellose
chaque année aux Etats-Unis. En France, un peu plus de 1000 cas par an sont recensés depuis
deux ans. L'amélioration de la surveillance permet désormais de détecter plus efficacement les
foyers d'apparition de cas groupés et depuis 1998, huit épidémies ayant pour origine des tours
aéro-réfrigérantes (Tar) ont été identifiées. L'épidémie intervenue dans le courant de l'hiver
2003 dans le Pas-de-Calais est la plus importante observée jusqu'alors tant en nombre de cas
(près de 90 cas constatés et 17 morts) que pour l'étendue du territoire concerné : des personnes
ont été contaminées à une dizaine de kilomètres du foyer identifié de propagation, une "Tar"
située dans la ville de Harnes. Cette épidémie a mis particulièrement en lumière les difficultés
de maîtrise des foyers de prolifération de Legionella pneumophila puisque, pour la première
fois, deux arrêts de la source industrielle pour décontamination totale ont été nécessaires à un
mois d'intervalle pour parvenir à stopper l'épidémie.
legionella pneumophilia © Dennis Kunkel Microscopy Inc
La bactérie :
Le genre Legionella comprend une cinquantaine d'espèces, elles mêmes recouvrant plusieurs
dizaines de sérogroupes. Cependant, plus de 90 % des cas cliniques sont dus à la seule
Legionella pneumophila et plus de 84 % des cas sont même occasionnés par des isolats du
sérogroupe 1.
Les Legionella font partie de la flore aquatique et sont trouvées dans de nombreuses sources
d'eaux douces chaudes. La présence de dépôts organiques et d'autres micro-organismes, ainsi
que de fer, zinc et aluminium dans les installations favorisent leur croissance. Elles sont
résistantes à la chaleur et peuvent de ce fait être retrouvées au fond de cuves d'eau chaude. Ce
sont des bactéries intracellulaires mais qui peuvent survivre à l'extérieur des cellules. En
milieu hydrique, elles se multiplient au sein des amibes présentes, puis, lorsque ces dernières
meurent, elles se répandent dans l'eau et elles sont alors ingérées par un nouvel hôte (une
cellule) qui va permettre de nouveaux cycles de multiplication
Transmission :
Si certains doutes subsistent sur les différentes voies de dissémination des Legionella depuis
leurs sources hydriques vers l'homme, l'hypothèse qui prévaut est celle d'une propagation par
le biais d'aérosols émis par les Tar. Les huit épidémies décrites ayant pour origine des Tar ne
représentent pour autant que la moitié du total des cas identifiés mais une étude récente
suggère toutefois que les vaporisations issues des Tar industrielles pourraient également être à
la source des cas sporadiques. En milieu hospitalier, la contamination semble provenir
majoritairement de l'alimentation en eau, plus que des systèmes d'aérations, et le renforcement
des contrôles de la contamination et de la prolifération a permis une diminution notable du
nombre de cas qui y sont observés. Chez l'homme, après inhalation des aérosols, les bactéries
présentes sont absorbées au niveau des alvéoles pulmonaires puis elles envahissent les
macrophages, cellules du système immunitaire, qu'elles finissent par détruire. Il n'existe à ce
jour pas de cas de contamination inter-humaine de légionellose reporté.
Symptômes et traitement :
Après une incubation de 2 à 10 jours après contamination, la légionellose se manifeste par des
infections pulmonaires aiguës de type pneumopathies. Les premiers symptômes ressemblent à
une grippe (fièvre, toux sèche) suivis par une augmentation de la fièvre qui peut atteindre 39.5
°C. Le malade ressent alors des sensations de malaise, ainsi que des douleurs abdominales
(nausées, vomissements, diarrhées), accompagnées de troubles psychiques (confusion,
désorientation, hallucinations pouvant aller jusqu'au delirium et au coma). La maladie peut
évoluer avec deux types de complications: une insuffisance respiratoire irréversible et une
insuffisance rénale aiguë, qui sont alors souvent fatales. Les Legionella prolifèrent toutefois
essentiellement chez les individus les plus fragiles tels que les personnes immunodéprimées
ou les personnes fragilisées (opérés, personnes âgées, nourrissons). La bactérie, naturellement
résistante aux pénicillines habituellement utilisées dans le traitement des pneumopathies, peut
être efficacement combattue par d'autres antibiotiques, s'ils sont prescrits à temps, comme
l'erythromycine, la rifampicine et la ciprofloxacine.
PRESENTATION DU
MODULE
SOINS INFIRMIERS ET
PATHOLOGIES
DE L’APPAREIL
RESPIRATOIRE
INTRODUCTION AU
MODULE
SOINS INFIRMIERS ET
PATHOLOGIES
DE L’APPAREIL
RESPIRATOIRE
PLAN
INTRODUCTION A LA SANTE
PUBLIQUE
- définitions
- facteurs de risque
- conséquences de la pollution
- prévention: primaire,
secondaire et tertiaire
INTRODUCTION
A LA SANTE PUBLIQUE
Définitions:
Épidémiologieétude des
facteurs
intervenant dans l’apparition et
l’évolution
d’une maladie
Incidence nbre de cas
de maladies
survenues dans une période
donnée dans
une population. S’exprime /
nbre
d’individus – exemple: taux
d’incidence de la
tuberculose depuis quelques
années en France,
10 cas pour 100 000 habitants –
pollution atmosphérique:
polluants acido-particulaires:
fumées
noires, poussières, dioxyde de
souffre
d’origine industriel –
prédominance en
hiver
polluants photochimiques:
oxyde
d’azote, ozone – prédominance
en été
Conséquences:
Effet de la pollution sur:
Morbidité = ferait
augmenter les
affections respiratoires, ORL,
asthmatiques et cardiaques
Pics de pollution = +
d’hospitalisations en
pneumologie
Mortalité = pollution
automobile +/-
1000 décès / an mais le tabac
=+/-160
000 décès / an (2005
LA PREVENTION
Primaire: elle a pour but de
diminuer
l’incidence des maladies.
Intervient avant
toute maladie pour tenter de
diminuer les
facteurs de risque et augmenter
les facteurs
protecteurs et s’adresse à toute
la
population
du tabagisme: cf. cours
prévention de la
tuberculose:
vaccination BCG + test
tuberculinique
prévention de l’asthme:
éviter les allergènes habitat
aéré et ventilé,
bonne hygiène de vie (sport adapté
prévention de la pollution:
lois sur l’air, information à la
population / pics
d’ozone, limitation vitesse en
agglomérations
prévention des maladies
respiratoires:
- incitation à la vaccination anti-
grippale et
autres pneumocoques pour les
personnes
fragiles ou âgées de + de 60 ans
(vaccin gratuit)
- protéger l’enfant contre les
facteurs
environnementaux : froid, pollution,
humidité
- éviter les contaminations virales
aériennes
(éternuements, toux) ou
manuportées
(mouchoir sale, écoulement nasal)
Secondaire: elle a pour objectif
le
dépistage précoce afin de
prendre en charge
rapidement la personne.
Cherche à diminuer
la prévalence, intervient sur la
maladie pour
tenter d’en réduire la gravité et
est centrée
sur le patient
radiographie thoracique:
diagnostic
ou suivi des principales
affections
respiratoires
les tests tuberculiniques
l’information / éducation au
patient:
asthme, mucoviscidose,
bronchite
chronique
la rapidité de l’intervention:
prise en
charge rapide de la phase aigüe
limite la
mortalité (asthme)
Tertiaire: centrée sur le patient,
cherche à
limiter les répercussions de la
maladie et
éviter les rechutes
- hygiène de vie
- séances de kinésithérapie
- oxygénation à domicile
- surveillance médicale régulière
- traitement de fond et traitement
précoce des
surinfections et crises aigües
EPIDEMIOLOGIE
L’épidémiologie des principales
maladies
de l’appareil respiratoire sera
décrite lors de
chaque cours magistral:
- le cancer du poumon
- l’asthme
- la tuberculose
- la broncho-pneumopathie
chronique obstructive
- la bronchite chronique
D’autres pathologies telles que:
- la bronchiolite,
- la coqueluche,
- la mucoviscidose
seront abordées dans le module
de pédiatrie
MERCI DE VOTRE
ATTENTION
Liste des Quiz
ANNÉE 2005
Quiz du 20 oct 2005: Champignons toxiques
Quiz du 27 oct 2005: Trauma cheville
Quiz du 3 nov 2005: Laryngite
Quiz du 10 nov 2005: Rash fébrile
Quiz du 17 nov 2005: Ostéochondroses
Quiz du 24 nov 2005: Cardiomégalie
Quiz du 1er déc 2005: ALTE
Quiz du 8 déc 2005: Morsures
Quiz du 15 déc 2005: Pharyngite
ANNÉE 2006
Quiz no. 1 (5 janvier 2006) Maxime - Bras droit
Quiz no. 2 (12 janvier 2006) SCID
Quiz no. 3 (19 janvier 2006) Fille 4 ans - Rash
Quiz no. 4 (26 janvier 2006) Urines vertes
Quiz no. 5 (2 février 2006) Enfant 2 ans - Toxicol.
Quiz no. 6 (9 février 2006) Fille 15 ans - Coeur
Quiz no. 7 (16 février 2006) Enfant 3 ans - Toxicol.
Quiz no. 8 (23 février 2006) Sinusite
Quiz no. 9 (2 mars 2006) Torsion testicule
Quiz no. 10 (9 mars 2006) Oreille
Quiz no. 11 (16 mars 2006) Lavage gastrique
Quiz no. 12 (23 mars 2006) Hypothermie
Quiz no. 13 (30 mars 2006) Douleur épaule
Quiz no. 14 Fracture - Membre inf. droit
Quiz no. 15 Sédation procédurale
Quiz no. 16 Médicaments re sédation procéd.
Quiz no. 17 Trauma dentaire
Quiz no. 18 Ecchymoses & Pétéchies
Quiz no. 19 Syncope garçon 14 ans
Quiz no. 20 Fièvre et rash- patient 8 ans
Quiz no. 21 Rotavirus
Quiz no. 22 Gastro et Probiotiques
Quiz no. 23 Pleurs - Garrot de cheveux
Quiz no. 24 PTI
Quiz no. 25 SHU
Quiz no. 26 Plantes toxiques de Noël
ANNÉE 2007-2008
Quiz no. 27 Bosse sur une cuisse
Quiz no. 28 Epipen - injection accidentelle
Quiz no. 29 Guillain-Barré
Quiz no. 30 Urgences Métaboliques
Précautions standard
Rappel, mise en oeuvre,
efficacité
Docteur Joseph HAJJAR
Service d’hygiène et d’épidémiologie
Centre hospitalier de Valence
Historique
• USA / France
– 1982 « Précautions VIH »
– 1985 « Précautions sang et
autres liquides
biologiques »
– 1987 « Précautions Universelles
» / 1989
– 1996 « Précautions Standard » /
1998
Objectifs
• Réduire le risque de
transmission de
micro-organismes
– A partir de sources d'infection
connues ou
non
– Lors de soins, quels que soient
le lieu du
soin, le diagnostic ou le statut
infectieux
présumé des patients
• Protéger les patients et les
personnels