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a) Identification
SGTM se distingue des autres entreprises par la création d’une Campagne pour la sécurité au sein de
l’entreprise sous le thème " La sécurité est l'affaire de tous. En discuter, c'est déjà bien, agir c'est encre
mieux. ".
Six mois après la signature d'une convention d'investissement entre le Groupe Alain
CRENN et le gouvernement marocain, le chantier du Samanah Country Club, Situé à 8 km de
l'aéroport international de Marrakech et à 14 km de la place Jemaa El Fna, le Samanah Country Club
s'étendra sur un terrain de 285 hectares.
Prenait naissance le plus important projet immobilier et touristique de Marrakech : villas et riads, un
golf de 18 trous, un village avec sa place ses commerces et restaurants, trois hôtels 5 étoiles.
Introduction
Après concertation avec mon encadrant de l’entreprise, j’ai opté de réaliser une étude sur un
ouvrage en particulier. Il s’agit du parking sous-terrain
Concernant la construction d’un parking enterré, il s’étend sur une surface d’environ 2670 m2 avec
une capacité de 99 places de véhicules.
Ainsi que les bâtiments servant à accueillir le personnel qui sera amené à travailler au sein de
service de sécurité et médicale.
Dont j’ai pu assister à tous les phases de construction de fondation à l’élévation.
Prendre ce chantier comme chantier d’étude n’a pas été un choix arbitraire.
Car je pense que ce chantier est très représentatif des activités du Bâtiment et des Travaux Publics.
En effet, ce chantier conjugue plusieurs activités.
1) Travaux de terrassement
Les travaux de terrassements seront principalement réalisés à l'aide d'engins mécaniques et
hydrauliques de grandes capacités.
Le sol est compact et rocheux, ce qui a amène l’entreprise à faire une majoration des travaux pour
en compter le plus valu du rocher, La terre végétale est précieuse, elle est décapée et mise
soigneusement de côté, elle sera stockée à part, en un tas ne gênant pas la circulation, la hauteur à
excaver est de 3.4m sur une contenance de 2670 m2.
La voie d'accès au chantier est aménagée dès le début des travaux, et la Prévision des zones de
circulation et de stockage des matériaux.
Remarques
Les travaux de terrassement ont commencés du côté EST vers le côté OUEST et non pas par
le milieu pour que les travaux de fondation et d’élévation commencent au fur et a mesure avec
le terrassement.
L’absence des camions au départ a provoque un retard pour le transport du remblai.
Pour les fouilles il est recommandé aux ouvriers de régler les remaniements des engins.
Le plus valu du rocher est évalué contradictoirement entre l’entreprise et le maitre d’ouvrage
et sous la supervision du laboratoire.
Le sol excavé est convenable pour un usage ultérieur comme tout-venant.
Le volume du sol déblaie va être payé pour son transport il va être repayé pour sa mise en
œuvre dans un autre endroit ou on a besoin d’un remblai.
b) Le bulldozer
Le bulldozer (ou bouteur) est un puissant engin d’excavation et
de Refoulement de terre et de roche sur une distance allant
jusqu’à 100 m et dont la lame peut mesurer 5 m de large.
Un scarificateur peut être fixé à l’arrière de l’engin
en vue de désagréger les sols compacts. Figure5 : Le bulldozer
c) Camions de transport
Un mètre-cube de terre remuée occupe plus de volume que la terre tassée (phénomène de
foisonnement), ce qui implique de majorer le volume de terre à transporter, ce dernier et mis
soigneusement de côté, elle est stockée à part, en des tas ne gênant pas la circulation, en attendant
une utilisation ultérieure.
Les matériels décrits ont une durée de vie comptable de cinq à sept ans. Leur bon
fonctionnement exige un contrôle journalier de leur état.
variante entreprise : a faire des bandes noyés sans retombees de poutre,ce systeme
facilite le coffrage.
Suite à l'étude comparative des masses de travaux dans l'ouvrage, il s'est avéré judicieux de
faire progresser le chantier selon le principe suivant :
Commencer le chantier d’un cote, ce qui permet un déphasage entre les différents intervenants
(électriciens, plombiers…).
a- Manutention
La justification des moyens de manutention des bétons est faite en fonction du poids maximal
des éléments préfabriqués à mettre en place et des cadences de bétonnage coulé sur place.
Ces moyens de manutention sont principalement une grue à tours munie de seau à béton.
La mise en œuvre des bétons est assurée par une benne à béton à ouverture manuelle (à débit
réglable), et la vibration des bétons sera assurée par un lot d’aiguilles pneumatiques et à moteur
essence.
b- Etaiements
L'étaiement des éléments préfabriqués et les échafaudages des éléments coulés sur place
sont constitués de tours PAL munies de fourches et de sabot en nombre suffisant.
c- Fondation
Le coffrage des ouvrages en fondations est de type traditionnel : bois de coffrage, madriers,
contre plaqué.
Ces travaux sont menés simultanément avec ceux de l'assainissement intérieur. Le coulage des
bétons se fera à l'aide de la benne à béton manipulée par une grue de flèche très importante
d- Elévation BA
d-1 – voiles Les voiles sont coffrés avec des banches mixtes : Ossatures métalliques et peau en
contre plaqué bakelysé.
On contrôle la verticalité
de la banche à l’aide
d’un fil à plomb.
Pour assurer le bon enrobage de béton autour des armatures, les ferrailleurs
Placent des écarteurs plastiques sur les barres.
Il est nécessaire d’avoir un enrobage minimum afin d’assurer la protection de l’armature contre la
corrosion, ces faces sont prêtes à recevoir les peintures.
Ces panneaux sont composés d'éléments réguliers de 2,40 m x 2,70 et d'éléments spéciaux pour les
angles ou les têtes de voiles.
Ils sont régulièrement entretenus dans les ateliers du chantier afin d'assurer leur planéité.
Le serrage sera assuré par les tiges artéon.
Afin d'obtenir un béton avec l'aspect et le tramage exigé, le nombre d'utilisation de chaque
face de peau sera de 10 fois.
Le décoffrage des voiles est effectué après durcissement du béton soit 16 heures.
Les poteaux en béton armé sont réalisés sur place à l'aide de coffrages permettant un brut de
décoffrage.
Ces coffrages sont constitués d'une ossature en bois et d'une peau en contra plaqué bakelysé.
Afin d'obtenir un béton brut, le nombre d'utilisation de chaque face de peau (contre plaqué
bakelysé) sera limité à 10 fois, les peaux des coffrages seront changées après 20 utilisations
(double face).
d-3-Poutres
Les poutres coulées sur place sont les poutres porteuses, les poutres crémaillères et les
poutres entre poteaux.
Les coffrages de ces poutres sont du même type que ceux des poteaux : ossature bois et peau
en contre-plaqué bakelysé : avec une limitation d'utilisation de chaque face de peau à 10 fois.
L'ensemble du plancher haut est constitué d’une dalle pleine qui est coulée en seule phase, mais
en plusieurs reprises.
La ville de Marrakech connaît des périodes de grandes chaleurs (ambiance supérieure à 25° C),
les dispositions suivantes sont appliquées afin d'éviter la perte d'humidité ou le raidissement rapide
du béton avant sa mise en œuvre.
Mise en œuvre rapide en réduisant toute attente.
Adaptation des horaires de bétonnage aux heures optimales, voire la nui
Le maintien de l'humidité du béton sera assuré par un arrosage léger et continu pour la dalle
pleine on étale une couche de sable qui va maintenir le plus tard possible l’humidité de la
dalle.
Pour les Bétons prévus pour les travaux de reprise, l’entreprise prévoit des traitements spéciaux
pour la bonne adhésion entre les deux massifs.
Et vue que la portée de la dalle pleine est très grande, Les reprises de bétonnage se font du joint
de dilatation à l’autre, pour éviter toute risque du à la reprise.
3) Planification et suivi
b- Suivi et contrôle
Afin de demeurer le leader dans son secteur, promouvoir son image, sa compétitivité et la
satisfaction de ses clients, la SGTM s'engage dans une démarche qualité, Pour ce faire, la
SGTM a décidé de mettre en place un Système de Management Qualité conforme à la norme
internationale ISO 9001 version 2000 pour la réalisation d'ouvrages BTP.
Dans cette optique, la Direction Générale et l'ensemble du Personnel s'engagent à livrer à ses
clients des produits conformes aux spécifications contractuelles du cahier des charges en termes de :
• Normes techniques.
• Plans et méthodes d'exécution des travaux et délai.
• Planification qualité, sécurité et environnement.
Figure 7 : certification internationale ISO 9001 version 2000 pour la réalisation d'ouvrages BTP
Le contrôle et le suivi se fait d’une façon journalière et avant toute opération de bétonnage, pour
cela l’entreprise met en disposition des technicien de contrôle dans le cadre d’un service de qualité,
en cas de non-respect des engagements, ils mettent tout en œuvre pour corriger la non-conformité
sans aucun frais pour le client.
Les dispositions à mettre en considération pour la réception des ouvrages en béton arme seront
illustrées dans le tableau suivant :
Observations
Le recouvrement des armatures du plancher est mis dans les zones intermédiaires par contre
il est recommandé au niveau des poteaux.
Les attentes des voiles (fourchettes) pour le dallage et les longrines ne sont pas alignées avec
les armatures de ces derniers, à cause de non utilisation du polystyrène pour laisser leurs
réservations.
Il y toujours des modifications des plans BA et qui engendrent toujours des désaccords avec
les plans mis a jour.
A part ça, tous les autres paramètres sont toujours bien respectes.
Les grandes lignes de l'organisation des travaux de gros œuvre sont les suivantes :
Une méthodologie appropriée à la nature répétitive des composants du projet :
Introduction
La présente procédure a pour objet de définir les dispositions prise par l’entreprise pour le
façonnage et la mise en œuvre des aciers employé dans cette construction ou les dispositions à
prendre d’un n’importe ouvrage de génie civil d’une façon générale, cette procédure s’applique
à l’ensemble des armatures à façonner par les moyens propres de l’entreprise dans ce chantier et
dans le cas ou les armatures sont façonnées par un sous-traitant, celui-ci décrit le processus dans
son plan qualité.
Manuel qualité.
PAQ du chantier.
Plan qualité du fournisseur des armatures.
Documents particuliers du marché (DPM) :
Contrat, CPS, CCTP, etc.
Plans visés « Bon pour exécution ».
Normes.
1. Domaine d’application
a- Interfaces
Et qui doivent aussi Transmettre des copies des rapports d’essais internes établis par l’usine une
chose que je n’ai pas rencontré dans ce chantier.
Le fournisseur des aciers est la société reconnu au Maroc SONASID son produit est certifie
conforme à la norme marocaine NM.01.4.097.
Le produit délivre est sous forme des barres ou des rouleaux, il est joint des fiches signalétiques
indiquant : les dimensions, le poids, la nuance, la longueur, la forme, la date de livraison…
Le façonnage des aciers se fait dans deux postes dépendants : le premier c’est l’atelier, il est
essentiellement constitué d'une coudeuse et d'une cisaille électrique pour les éléments à caractère
répétitif et préfabriqués tel que les cadres, le second pour le montage et la ligatures des éléments et
aussi la mise en place des éléments, il est situé à coté du chantier.
La direction qualité de l’entreprise ou son représentant sur le chantier (contrôle externe) est
chargée de la coordination de l’ensemble des opérations concernant le contrôle des opérations de
façonnage et de mise en œuvre des aciers.
b- Moyens
b-1 Personnel
b-3 Rendement
c- Matériaux
Les armatures seront exclusivement de la nuance FeE24 pour les ronds lisses telle que définie par la
norme NM 10.1.012, et FeE500 pour les ronds à haute adhérence telle que définie par la norme NM
10.1.013.
Les aciers doivent être certifiés conformes aux normes marocaines ou aux normes équivalentes.
2. PROCESSUS
a- Généralités
Les armatures sont façonnées de manière à respecter les formes prévues par les plans
d’exécution.
Les armatures mises en œuvre doivent être libres de toute trace de rouille non adhérente et de
toute souillure telle que, terre, peinture, graisse, huile, etc., pouvant nuire à leur adhérence au béton.
A cet effet, l’entreprise a aménagé un local spécifique, dans chaque chantier, pour stocker les aciers
en assurant la séparation entre les armatures et le sol.
Par pliage qui donne à l’élément façonné une forme d’allure polygonale.
Par cintrage qui donne à l’élément façonné une forme d’allure circulaire.
Les armatures utilisées sont à haute adhérence (Nuance FeE500). Une armature élémentaire est
façonnée à l’aide d’un seul mandrin, en adoptant le plus grand parmi ceux indiqués dans le tableau .
Pour un ancrage par courbure, le diamètre du mandrin est égal à 10 fois le diamètre de la barre.
Tableau 3 : Diamètres minimaux des mandrins de façonnage des armatures à haute adhérence NM
10.1.013
Petits
Diamètre nominal de Gros diamètres
diamètres
l’armature (mm)
5 6 8 10 12 14 16 20 25 32 40
Etriers et
30 30 40 60 80 - - - -
Diamètres cadres
minimaux des Pas de
Ancrages 50 60 80 100 120 140 160 200 250
mandrins en Cintrage
cintrage
Coudes - - - 140 170 200 250 320 400
Tableau 4 : Diamètres minimaux des mandrins de façonnage des armatures ronds lisses NM
10.1.012
Petits
Gros diamètres
Diamètre nominal de diamètres
l’armature (mm)
6 8 10 12 14 16 20 25 35 40
Les armatures sont maintenues par arrimages et calages suffisants pour qu’elles ne puissent subir,
lors des opérations de mise en œuvre, des déplacements ou déformations excédant les tolérances
admises. La nature, la résistance et le nombre des arrimages et calages doivent être tels que ceux-ci
puissent supporter les manutentions diverses, la circulation du personnel et la mise en place du
béton conformément aux plans BPE (déversement et vibration).
L’arrimage est destiné à assurer le maintien en position des armatures. Il est nécessaire de constituer
des carcasses suffisamment rigides, notamment pour les ensembles d’armatures montés en dehors
du coffrage.
Les armatures sont assemblées par ligatures et pas de soudage, Les ligatures sont en fil d’acier doux
recuit, fortement serré.
Les ligatures peuvent être de deux types : simples ou croisées. Les ligatures croisées sont utilisées
de place en place de façon à rigidifier l’ensemble du ferraillage.
Les cales doivent être stables et n’avoir aucun effet défavorable qu’il s’agisse de la résistance
mécanique de la structure, de sa durabilité (risque de corrosion) ou encore de la qualité des
parements.
Il est interdit de disposer les armatures inférieures au contact du coffrage et de les soulever pendant
le bétonnage pour assurer leur enrobage.
Les cales en matière plastique sont très utilisées surtout pour les ouvrages verticaux (poteaux..).
Les cales en béton ou mortier doivent présenter des propriétés analogues à celle du béton de la
structure (composants, résistance, aspect et teinte des parements).
La continuité mécanique (jonction) des armatures peut être obtenue par recouvrement ou par
chaînage, par soudure ou par manchonnage. Le nombre des jonctions doit être réduit au minimum.
Il y’a lieu de ne pas grouper dans une même section des jonctions d’armatures faisant partie
d’une même nappe mais d’assurer leur décalage.
Au moment de la mise en œuvre du béton, les armatures en place doivent être propres, sans
souillure susceptible de nuire à l’adhérence du béton, il est veillé à la propreté des armatures à tous
les stades de l’exécution de façon à éliminer les souillures d’huile, de graisse, de peinture, de terre,
de particules non adhérentes de rouille.
L’enrobage étant défini comme la distance de l’axe d’une armature à la peau de coffrage la plus
voisine diminuée du rayon nominal de cette armature, les tolérances par rapport à l’enrobage
minimal des armatures sont égales aux valeurs suivantes :
En dehors de l’enrobage, la tolérance sur la position d’une armature est fixée à 2 centimètres (±
1 cm) dans toutes les directions.
3- CONTROLES ET ESSAIS
Au fur et à mesure de l’avancement des travaux et au cas où une anomalie serait constatée, il
sera procédé à l’établissement de procédures de réparation correspondantes. L'Entreprise mettra en
œuvre tous les moyens nécessaires pour trouver la cause et l'origine des anomalies conduisant à une
non conformité.
Pour éviter des anomalies pouvant survenir en cours de travaux, il est prévu certaines dispositions
qui se résument comme suit :
Tableau 5 : disposition à prendre pour éviter les anomalies des aciers
Fournitures d’aciers présentant des souillures telles Procéder au nettoyage à l’aide de chiffon
que : tâches d’huile et de graisse, mottes de terre, ou de brosse métallique
particules de rouille non adhérentes
Point Point
Points
d’arrêt critique
Approbation du fournisseur des
x
aciers
Réception de ferraillage et de la
x
mise en place des coffrages
Mise en fabrication des produits
x
préfabriqués (pré-dalles, etc.)
Introduction
Il devrait tout d’abord définir l’ensemble des ressources à mettre en œuvre pour réaliser l’ouvrage à
construire, et la durée de leur utilisation.
La méthode que j’ai suivit fondée sur l’établissement de sous-détails alimentés en termes de
rendements et de ressources par le suivie journalier des travaux réalisés
L’Engagement financier qui résulte d’un marché « gagné » démontre la nécessaire qualité et la
justesse de vue que ces méthodes doivent intégrer. Ne pas les appliquer pourrait en effet faire courir
un gros risque à l’entreprise, celui de ne pas atteindre ses objectifs de profits. Ce risque pourrait
apparaître dans les deux cas suivants :
- soit en traitant trop bas et en perdant de l’argent en travaillant.
- soit en traitant trop haut et en « ratant » l’affaire en conséquence.
Calcul du déboursé sec :
Une ressource, par définition, est le moyen dont on dispose, ou possibilité d’action en vue de
réaliser une activité. Dans le cadre du chantier, le terme de « ressource » est utilisé couramment
pour qualifier :
Naciri taoufik youssef 26 avril, mai 2008
Stage de fin d’étude LP-TMBTP
- Le personnel et, et en particulier, la main d’œuvre du chantier.
- Les matériels utilisés.
- Les fournitures consommées.
1. Maine d’œuvre (Mo)
Travail de l’homme dans la construction d’un ouvrage. La main d’œuvre est dite « productive »
lorsqu’elle participe directement à l’ouvrage et facturé comme telle. Elle est dite « improductive »
lorsque les travaux réalisés ne sont pas rémunérés directement
Le salaire de la main d’œuvre à pour unité Dh/H il se décompose en deux éléments :
-Salaire de base exprimé en dh/h ou SMIG
-Charges sociale sur salaires exprimé en %, elles sone divisés en deux :
Charges sociales patronale payés par l’employeur, et autres salariales payés par les salariés.
Les Charges sociales salaire de la main d’œuvre seront exprimées comme suit :
part patronale part salariale
C.N.S.S 7.5% (prestations familiales) C,N,S,S 4,29%
0.67% (Court terme) A,M,O 1,67%
7.93% (long terme)
A.M.O 1.67%
A.T 8.8 % a 10%
R.C 1.55%
2- Matériels (Ma)
Remarque : Le travail de la grue est divisé en 8 sur toutes les désignations en tenant compte de la
simultanéité, de même pour le compresseur.
Tableau 8 distribution en pourcentages des matériels sur les ouvrages
désignation grue compresseur
Naciri taoufik youssef 30 avril, mai 2008
Stage de fin d’étude LP-TMBTP
semelles fientes 15% 17%
semelles isoles 5% 7%
longrines 10% 11%
voiles 30% 20%
poteaux 2% 7%
plancher 0% 30%
béton de propreté 2% 0%
autres 35% 8%
Les fournitures de coffrages ont une durée de vie de 10 utilisations
Conclusion
Dans cet axe j’ai présenté et effectué la méthode de calcul de prix des prestations ainsi que
l’élaboration du sous détail- de prix. La survie même de l’entreprise dépend de cette étape
importante.
En effet une surestimation des quantités ou des prix unitaires engendrera une suite d’augmentation
de prix et vue la nature de la méthode des sous détail- de prix, cette augmentation risque fort de
peser lourd dans le prix final de l’ouvrage.
Une surestimation du prix de sable se répercutera sur tous les articles contenant du sable ce qui
nuira fortement à la compétitivité de l’entreprise et le privera d’une marge concurrentielle
importante.
De même une sous-estimation des quantités ou du prix d’un élément se répercutera sur tout le projet
et risque ainsi de créer une défaillance à l’entreprise, ce qui met son existence même en péril.
C’est pour cela que cette étape doit bénéficier d’une grande attention et d’un soin particulier pour
les risques qu’elle présente pour l’entreprise.
A partir de cette étude de prix qui porte sur l’estimation des couts de 1M3 de béton armé, on
remarque que les couts du béton armé varient peut selon le type d’ouvrage, par la variation des
fournitures de coffrages et de ferraillages qui changent d’un ouvrage l’autre ,et vue la complexité de
cette étude de prix l’entreprise adopte des moyennes pour les prix de vente du béton armé, qui sont
comme suit :
béton : 1700 à 1750 dh/m3
aciers : 17 dh/kg
Introduction
On constate que les coûts liés aux pertes de chantier représentent environ 1% du chiffre d’affaire
global de marche signé par l’entreprise.
Cela peut paraître très faible et pas significatif. Seulement, lorsque l’on sait que
les appels d’offre sont très disputés, cela est tout autre chose. En effet, il est courant que les prix
remis lors des appels d’offre pour les chantiers du Bâtiment et des Travaux Publics soient très
proches. Il n’est pas rare qu’une entreprise soit adjucataire devant une entreprise concurrente car
son offre de prix est moins disant de1 %.
Ainsi, le « petit » pourcent n’a plus la même valeur et il est loin d’être négligeable.
Conclusion
Pour cela l’entreprise est amené à adopter une optimisation de sa méthodologie de construction
vis-à-vis la mise en ouvre du béton prés a l’emploi, la gestion des déchets et la séparation des
taches.
Pendant ma durée de stage j’ai essayé de chercher les points faibles de l’entreprise et de proposer
des solutions essentiellement pour des raisons économiques, et qui touchent d’une façon indirecte le
côté de sécurité dans le chantier.
CONCLUSION
Enfin j’aurai pu parler largement de satisfactions que j’ai vécues, des moments difficiles et
stressants que j’ai surmontés et des amitiés nombreuses que j’ai nouées et qui constituent certes une
phase inestimable dans notre formation académique.