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Les normes IFRS : définition

Les normes IFRS (international Financial reporting standards) sont


des normes comptables internationales qui ont été mises en place en
2005 en complément des normes IAS (international accounting
standards) créées en 1973 et sont destinées à harmoniser la
présentation des états financiers et comptables des sociétés cotées
entrant dans le périmètre d'application de ces normes. Elles
instaurent un système comptable uniforme entre les différents pays
du monde. Ces normes ont pour but de :

o faciliter la comparabilité des états financiers des sociétés cotés dans


différents pays (ce qui est difficile lorsque l'entreprise communique
des états financiers établis conformément à la réglementation et aux
usages de son pays) ; 
o permettre aux investisseurs internationaux, aux prêteurs et aux
autres créanciers de comprendre et d'analyser d'une manière claire,
la situation financière de ces sociétés ;
 faciliter la concurrence et la circulation des capitaux entre pays et
rétablir la confiance entre ces derniers, principalement suite aux
scandales financiers du début des années 2000 en Europe ainsi
qu'aux États-Unis (Enron, WorldCom...) ;
 garantir un langage comptable commun et accessible à un grand
nombre de lecteurs dans différents pays. 

Quels sont les principes régissant


les normes IFRS ?
Le cadre conceptuel et la mise en place des normes IFRS ou normes
internationales d'information financière ont été préparés par le
Conseil des normes comptables internationales IASB et par le comité
d'interprétation des IFRS - IFRIC (Interpretation Committee).

Ces normes sont venues pour rendre l'information comptable


pertinente, intelligible, fiable, d'une importance relative et reposent
sur un certain nombre de principes :

 la primauté de la substance sur la forme ;


 l'approche bilancielle (priorité du bilan sur le compte de résultat) ;
 le principe de neutralité ;
 le principe de prudence ;
 la valorisation à la juste valeur des actifs et des passifs (en
comptabilité française c'est le coût historique qui est utilisé) ;
 la priorité accordée à la vision de l'investisseur ;
 la place importante accordée à l'interprétation ;
 l'absence de textes spécifiques à un secteur d'activité.

Où s'appliquent les normes IFRS ?


Ces normes sont utilisées à l'échelle internationale par plus de 160
juridictions (notamment au Canada, en Australie, en Nouvelle-
Zélande, en Chine, au Brésil, en Argentine, au Mexique, en Russie,
en Arabie-Saoudite, au Japon, en Afrique du Sud), comme le montre
le tableau ci-dessous :

Où s'appliquent les normes IFRS ?

Régions Nombre de juridictions Pourcen

Europe 44 27

Afrique 38 23

Moyen-Orient 13 8%

Asie et Océanie 34 20

Amérique 37 22

Total 166 100

Source : www.ifrs.org

En Europe : quelles sont les


sociétés concernées par les normes
IFRS ?
Le Règlement (CE) n°1606/2002, adopté par le Parlement européen
et publié au Journal officiel du 19 juillet 2002, précise les règles
d'application des normes comptables internationales dans l'Union
européenne.

D'après ce règlement les sociétés concernées par les normes IFRS,


sont les sociétés européennes cotées, celles-ci doivent présenter
pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2005 leurs
comptes consolidés conformément aux normes comptables
internationales et aux interprétations du SIC et d'IFRS
Interpretations Committee IC.

Selon ce même règlement, les sociétés françaises non cotées


présentant des comptes consolidés, ont le choix de présenter leur
compte en norme IFRS ou sous les règles habituelles stipulées dans
le règlement (ANC 2020-01). Pour les comptes individuels (sociétés
cotées ou non), seul le référentiel comptable français est applicable.

Le tableau ci-dessous récapitule les critères d'application des normes


IFRS en France :

Comptes sociaux (individuels) Comptes consolidés

Sociétés cotées Normes françaises Normes IFRS

Sociétés non cotées Normes françaises Normes IFRS sur opti

Les PME sont-elles concernées par


les normes IFRS ?
Les PME ont également la possibilité d'utiliser les normes
internationales. Pour simplifier l'utilisation de ces normes complexes
et s'adapter aux contraintes des PME, un référentiel appelé «
référentiel IFRS entités privées » ou « IFRS PME » a été créé en
juillet 2009 par l'IASB, mais dont l'application reste
optionnelle. L'utilisation de ce référentiel permet :

 d'améliorer la comparabilité pour les utilisateurs de comptes ;


 d'améliorer la confiance globale dans les comptes des PME ;
 permettra de réduire les coûts significatifs liés au maintien de
normes comptables au niveau national.
Les différentes sociétés concernées par les normes IFRS

Quelles sont les nouvelles normes


IFRS applicables entre 2019 et
2023 ?

Le remplacement de l'IAS 39 par L'IFRS 9


La norme IFRS 9 entrée en vigueur dans l'Union européenne depuis
le 1er janvier 2018 a remplacé la norme IAS 39. Divers
amendements à cette norme s'appliquent à partir :

 du 1er janvier 2019 (remboursement anticipé avec rémunération


négative) ;
 du 1er janvier 2020 (réforme des taux d'intérêt phase 1) ;
 du 1er janvier 2021 (réforme des taux d'intérêt phase 2).

Cette norme apporte des changements majeurs dans la


méthodologie de comptabilisation des actifs et passifs financiers
(classement, valorisation et décomptabilisation) ou instruments
financiers. Parmi les autres modifications apportées se trouvent :

 une nouvelle méthodologie pour déterminer la dépréciation des


créances (dépréciation sur la base des pertes attendues ou expected
credit loss) liée au risque de crédit au lieu des pertes encourues ou
incurred losses) ;
 de nouvelles règles applicables à la comptabilité de couverture.

La norme IFRS 15 : le chiffre d'affaires


Publiée courant 2014 et applicable depuis le 1er janvier 2018, la
norme IFRS 15 qui concerne les produits des activités ordinaires tirés
de contrats avec des clients a pour objectif d'améliorer l'information
relative au chiffre d'affaires. Ces informations concernent
notamment, la nature, le montant, le calendrier et le degré
d'incertitude des produits des activités ordinaires et des flux de
trésorerie provenant d'un contrat conclu avec un client.

Le principe de cette norme exige que la comptabilisation des


produits des activités ordinaires tirés de contrats avec des clients
soit réalisée de manière à présenter les transferts de biens ou de
services au montant correspondant à la contrepartie que l'entité
s'attend à recevoir en échange de ces biens et services.

Selon cette norme la comptabilisation d'un produit doit se baser sur


un modèle d'analyse en cinq étapes :

 identification du(des) contrat(s) avec un client ;


 identification des différentes obligations de performance distinctes du
contrat ;
 détermination du prix de la transaction ;
 affectation du prix de la transaction aux obligations différentes de
performance ;
 comptabilisation du produit d'activité ordinaire lorsque les obligations
de performance de l'entité sont remplies.

Le remplacement de la norme IFRS 4 par


la norme IFRS 17
La norme IFRS 17 publiée le 18 mai 2017 par l'IASB relative à la
comptabilisation et la valorisation des contrats d'assurance,
remplacera la norme provisoire IFRS 4 introduite en 2004 et entrera
en vigueur le 1er janvier 2023 (au lieu du 1er janvier 2021) pour les
périodes comptables qui commencent à partir de cette date.

Cette norme sera appliquée par les sociétés d'assurance cotées, aux
éléments suivants :

 les contrats d'assurance ;


 les contrats de réassurance qu'elles détiennent ;
 les contrats d'investissement avec participation discrétionnaire
qu'elles émettent (condition qu'elles émettent également des
contrats d'assurance).

Elle apporte des modifications dans le traitement comptable de ces


derniers (comptabilisation initiale et ultérieure, ajustement pour
risque non financier, marge sur services contractuels, taux actuariel,
etc.).
Les normes IFRS malgré les différents avantages qu'elles procurent,
notamment, une meilleure visibilité financière des entreprises cotées,
ont également quelques limites :

 plusieurs utilisateurs trouvent les normes IFRS très difficiles à


appréhender ;
 le coût d'implémentation de ces normes est élevé, ce qui peut être
un frein pour les très petites entreprises ;
 les normes IFRS subissent des changements ce qui peut engendrer
des coûts supplémentaires pour les sociétés qui les adoptent
notamment pour l'implémentation et la formation.

La norme IFRS 16 : les contrats de


location
La norme IFRS 16 sur les contrats de location s'applique depuis le
1er janvier 2019. Elle oblige notamment le preneur à comptabiliser
un droit d'utilisation à l'actif pour tous les contrats de location
simple ou de financement.

Elle oblige aussi à étudier les contrats signés par les entreprises pour
vérifier qu'ils ne présentent pas une « composante location » qui
relève de la norme IFRS 16 et non d'une autre norme.

Dans le cadre de l'événement Covid-19, des amendements


provisoires ont été adoptés pour les allègements de loyers chez le
preneur.

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Sandra Schmidt
Rédactrice sur Compta Online, média communautaire 100% digital destiné aux
professions du Chiffre depuis 2003.
J'interviens sur Compta Online depuis 2007 et j'ai rejoint l'équipe en 2014. Mes
articles abordent la comptabilité, la fiscalité, le droit social, les IFRS, mais aussi
l'intelligence artificielle, la blockchain...
Suivez moi sur Linkedin et sur Twitter.

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[Article] 25 juin 2019

La norme IFRS 15 : produits des activités ordinaires


[Article] 05 avril 2021

La norme IFRS 16 sur les contrats de location


[Article] 02 juillet 2019

IFRS 9 : les actifs et passifs financiers


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Comprendre les normes IFRS, application et nouveauté


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La norme IFRS 15 :
produits des activités
ordinaires
29 377
0
Article écrit par Sandra Schmidt     (1735 articles)
Modifié le 25/06/2019
La norme IFRS 15 remplace les anciennes normes IAS 11 « contrats
de construction » et  IAS 18 « produits des activités ordinaires tirés
de contrats conclus avec des clients ».

Cette nouvelle norme IFRS 15 « produits des activités ordinaires tirés


des contrats conclus avec des clients » est entrée en vigueur pour les
exercices ouverts à compter du 1er janvier 2018 et une application
anticipée était possible. Elle présente des changements
conséquents.

C'est une norme commune à l'IASB et au FASB sous réserve de


quelques exceptions, créée par le Revenue Recognition Transition
Resource Group (TRG).

Elle propose une comptabilisation du chiffre d'affaires en cinq


étapes (voir mémento IFRS 2019, l'essentiel de la norme IFRS 15).

Son adoption par l'Union européenne est effective depuis


le règlement 2016-1905 de la commission européenne du 22
septembre 2016.

Impacts de la norme IFRS 15 sur les


comptes des sociétés cotées
Mineurs dans les cas les plus simples, les impacts attendus peuvent
être très importants dans les entreprises qui concluent
essentiellement des contrats à long terme ou des contrats à
éléments multiples (immobilier, aérospatiale, éditeurs de logiciels...).

Ainsi, l'entrée en vigueur de la norme IFRS 15 au début de l'année


2018 a eu un impact important sur la lecture des états
financiers de certains grands groupes du CAC 40 en 2019.

Certaines sociétés ont ainsi dû revoir leur chiffre d'affaires à la


baisse, parfois avec une augmentation de la marge opérationnelle.
C'est le résultat de l'étalement de la comptabilisation du chiffre
d'affaires dans le temps qui a parfois eu pour conséquence de
provoquer une baisse du chiffre d'affaires comptabilisé.
Parmi les secteurs d'activité les plus touchés par la nouvelle norme
se trouvent la promotion immobilière, les télécommunications,
l'aéronautique, l'automobile, la sous-traitance.

À titre d'exemple, on peut citer l'opérateur téléphonique qui


comptabilise son chiffre d'affaires à la valeur réelle du téléphone
intégré dans un forfait et non à la valeur promotionnelle.

On peut aussi citer le terrain acquis par un promoteur


immobilier dont le coût est réparti au fur et à mesure de la vente des
appartements.

Les comparaisons entre deux exercices sont d'autant plus difficiles à


réaliser que la société cotée peut choisir entre le retraitement
complet et le retraitement partiel.

Les conséquences de la norme IFRS 15 sur les comptes de certaines sociétés


cotées

Les grands principes d'IFRS 15 : cinq


étapes de comptabilisation
La norme IFRS 15 prévoit un modèle unique de comptabilisation du
revenu pour tous les types de transactions et dans tous les secteurs
d'activité. Peu importe la nature des biens ou services vendus, qu'il
s'agisse de biens, services à un client, contrats de construction, le
mode de comptabilisation est le même.

Une grille de critères unique permet de déterminer si une obligation


de performance doit être reconnue à l'avancement ou à une date
précise.

La norme concerne tous les contrats conclus avec des clients à


l'exception de ceux qui dépendent d'autres normes tels que les
contrats de location, les contrats d'assurance, les instruments
financiers, les titres consolidés et les échanges non monétaires entre
entités d'une même branche d'activité.

Certains contrats peuvent relever de plusieurs normes en fonction


des éléments du contrat qui sont étudiés. Si le conflit de normes est
prévu par la seconde norme, l'entité applique d'abord cette autre
norme. Dans le cas contraire, elle applique IFRS 15.

Cinq étapes sont prévues pour la comptabilisation du chiffre


d'affaires.

Les cinq étapes de la comptabilisation du chiffre d'affaires selon IFRS 15

Étape 1 : identification du contrat

La norme définit le contrat comme un accord qui crée


des droits et obligations exécutoires entre les parties qui remplit
certaines conditions comme l'approbation du contrat et
l'engagement d'exécuter les obligations correspondantes,
l'identification des biens ou services à fournir, l'identification des
termes du paiement, la substance commerciale du contrat et enfin, la
probabilité pour l'entité, de recouvrir le paiement.

Le caractère exécutoire du contrat dépend des pratiques


commerciales habituelles de l'entité et peut changer d'une entité à
l'autre.

Le contrat résiliable sans pénalité n'est pas un contrat exécutoire.

Étape 2 : identification des obligations de performance du contrat

L'identification des obligations de performance du contrat, parfois


appelée obligation de prestation, permet d'identifier les unités de
compte pour la reconnaissance du revenu ou chiffre d'affaires.

Il s'agit de lister de manière exhaustive, tous les biens et services qui


vont devoir être fournis au client, y compris les obligations implicites
qui ne seraient pas listées dans le contrat. Les activités qui
ne représentent pas des biens ou services sont exclues.

Des éléments distincts peuvent être identifiés ici selon les termes du


contrat de vente de biens ou de prestations de services.

Étape 3 : détermination du prix de la transaction

Le prix de la transaction est la rémunération attendue par le vendeur


ou prestataire de services. Cette évaluation du prix total doit tenir
compte des composantes optionnelles, des contreparties variables à
la fourniture de biens ou services, des composantes de financement
significatives, des contreparties en nature et des contreparties à
payer éventuellement au client.

Étape 4 : allocation du prix de vente aux obligations de performance


de l'étape 2

Cette allocation du prix de vente peut se faire simplement lorsqu'il


existe un prix pour chacune des obligations de
performance (catalogue par exemple) et qu'elles peuvent être
vendues séparément.

Le prix global du contrat est alloué aux différentes obligations de


performance au prorata des prix
spécifiques précédemment identifiés pour chacune des obligations
de performance.

Des méthodes alternatives peuvent parfois être utilisées dans


des cas particuliers. Il s'agit de la méthode résiduelle, de l'allocation
directe des contreparties variables ou encore de l'allocation
intégrale d'une remise à un sous-groupe de biens et services.

Étape 5 : reconnaissance du chiffre d'affaires dès lors que l'obligation


de performance est satisfaite

Cette cinquième étape dépend de la notion de transfert de


contrôle qui permet la reconnaissance du revenu lorsque le client
obtient le contrôle du bien ou du service.

Le contrôle est la capacité de décider de l'utilisation du bien ou du


service et d'en obtenir les avantages économiques résiduels ou cash
flows.

L'obligation de performance peut être satisfaite en


continue (méthode à l'avancement) ou à une date spécifique.

Recommandations de l'AMF pour


l'arrêté des comptes 2018 relatives à
la norme IFRS 15
L'Autorité des Marchés Financiers recommande de présenter, dans
les états financiers 2018, l'ensemble des éléments
spécifiques et utiles aux lecteurs et :

 de distinguer les impacts significatifs par sujet (identification des


obligations de prestation distinctes, mode de comptabilisation du
chiffre d'affaires, reclassements bilanciels, etc.) et fournir pour
chacun des informations qualitatives et quantitatives ;
 d'expliquer en annexes les raisons de l'absence d'impact
significatif par exemple lorsque les autres acteurs du même secteur
ont des effets significatifs.

Si le prix de vente des différentes obligations de performance ne


peut pas être observé directement, l'Autorité des Marchés Financiers
rappelle que l'entité doit l'estimer en fonction de la contrepartie
qu'elle s'attend à obtenir.

Même lorsque la norme n'a pas d'effet significatif, les informations en


annexe doivent être mises à jour et comporter à minima le mode de
détermination du caractère déficitaire des contrats et les jugements
clés significatifs. Elle rappelle aussi qu'IAS 37 s'applique à l'existence
et au montant des provisions pour contrats déficitaires en attendant
la finalisation des travaux en cours au sein de l'IASB.

Pour la compréhension des principaux vecteurs du chiffre d'affaires,


une ventilation plus détaillée que celle qui est fournie dans le cadre
de l'information sectorielle peut être requise.

Les principales recommandations de l'AMF pour la norme IFRS 15 dans le cadre


de l'arrêté des comptes 2018

Plus d'infos

 Mémento IFRS 2019 § 24980 et suivants


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documentaire pluridisciplinaire qui vous assure une vision complète
du droit de l'entreprise (fiscalité, comptabilité, droit social,
commercial et des sociétés)

 Recommandation AMF pour l'arrêté des comptes 2018


 Recommandation AMF : « Mise en oeuvre et informations à fournir
au titre de la norme IFRS 15 »
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Sandra Schmidt
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professions du Chiffre depuis 2003.
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[Article] 20 juin 2019

Les évolutions de la norme IFRS 17 « contrats d'assurance »


[Article] 02 juillet 2019

IFRS 9 : les actifs et passifs financiers


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