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THEME 1 

: LE CONTROLE DES FRAIS GENERAUX EN DROIT FISCAL

Présenté par :

Ndeye Amy Dieng

Pape Daouda Ndiaye

Aissata Tall

Mariama Wade

Classe : M2 TAC Professeur Mr Ousmane Cisse


Introduction

I. Notion de frais généraux en droit fiscal


A. Les différentes catégories des frais
généraux
B. Conductions de déductibilités des
frais généraux
II. Le contrôle des frais généraux
A. Le contrôle de fonds
B. Le contrôle de forme

Conclusion
Introduction

L’impôt est dû à raison des revenus ou bénéfices que le contribuable


réalise au cours de chaque année1. Le revenu imposable est un revenu net,
calculé sous déduction de différentes dépenses effectuées en vue de son
acquisition et de sa conservation2 . L’impôt sur le revenu global est établi
d’après le montant total du revenu net annuel dont dispose chaque contribuable.
Ce revenu net est déterminé eu égard aux capitaux que possède le contribuable,
aux professions qu’il exerce, aux traitements, salaires, pensions et rentes
viagères qu’il perçoit, ainsi qu’aux bénéfices de toutes opérations lucratives
auxquelles il se livre, sous déduction des charges : des intérêts des emprunts et
dettes contractés à titre professionnel ainsi que ceux contractés au titre de
l’acquisition ou de la construction de logements, à la charge du contribuable ; les
cotisations d’assurances vieillesse et d’assurances sociales versées par le
contribuable à titre personnel ; les pensions alimentaires ; la police d’assurance
contractée par le propriétaire bailleur3 . La législation fiscale autorise certaines
charges à être prise en déduction pour la détermination du bénéfice net
imposable, il s’agit des 4 :

Frais généraux ; frais financiers ; frais divers ; impôts et taxes à caractère


professionnel ; amortissements et les provisions. Les charges à déduire doivent
remplir les conditions générales suivantes :  être engagées dans le cadre de la
gestion normale de l'entreprise ou dans son intérêt ;  correspondre à une charge
effective et être appuyées de justifications suffisantes ;  se traduire par une
diminution de l'actif net ;  être comprises dans les charges de l'exercice au
cours duquel elles ont été engagées, et déduites des résultats de l’exercice auquel
elles se rattachent. Le bénéfice net est établi sous déduction de toutes charges.
L’ensemble des interrogations qui constituent notre problématique concernant
cet exposé se résume comme suit :  Quelles est nature juridique des frais
généraux ?  Quelles sont les différentes catégories des frais généraux ? 
Quelles sont les instruments de control utilisées par l’administration fiscale ? 
Quelles sont les principes et les règles de déductions des frais généraux ? De ce
qui précède, Nous avons essayé de partagé notre travail en deux chapitres,
consacré l’un à la Notion des frais généraux en droit fiscal, et l’autre aux
différentes catégories des frais généraux.
I. Notion des frais généraux en droit fiscal
On définit les frais généraux comme des dépenses engagées en vue de
l’obtention du revenu de l’entreprise se traduisant par une diminution de l’actif
net de l’entreprise, en d’autres termes sa richesse. Ils sont l’ensemble des
dépenses habituellement supportées par l’entreprise dans le cadre de son
fonctionnement. Autrement dit ce sont tous les achats qui n’entrent pas
directement dans la production du bien ou service mais qui sont nécessaires au
bon fonctionnement de l’entreprise.

Le principe de déductibilité des charges est particulièrement important sur le


plan fiscal. La fiscalité est en effet un élément déterminant de la gestion de toute
entreprise : il est primordial de parfaitement connaître son environnement fiscal
en vue d'en minimiser le coût. Les frais généraux sont l’ensemble des frais que
l’entreprise ou le contribuable les engage pour les besoins et le bon
fonctionnement de l’ensemble des établissements.

Les frais généraux constituent des charges déductibles immédiatement au cours


de l’exercice au cours duquel elles sont engagées. Au contraire, la dépense
d’immobilisation ne donne pas lieu à une charge déductible. Elles sont inscrites
à l’actif. Si elle passe en frais généraux7 le prix d’une acquisition, elle va pouvoir
faire baisser son résultat fiscal, car les frais généraux constitueront une charge
déductible du résultat. Son résultat étant plus faible après l’imputation de la
charge, elle paiera donc moins d’impôts.

A. Les différentes catégories des frais généraux


Les frais généraux sont en pratique très nombreux ; En observant le plan
comptable, et notamment la classe 6, on peut ainsi constater qu’il existe une
nomenclature fournie. Comme précisé plus haut, les frais généraux recouvrent
les charges externes, mais aussi les impôts et taxes, les charges de personnel, les
charges de gestion courante, les charges financières. Ils comprennent
principalement les charges de toute nature ainsi les services comptables,
administratifs, financiers et ressources humaines, telles que ;

 les frais de personnels et financiers : on distinguera entre les règles


générales applicables à l’ensemble du personnel salarié et le règles
spéciales à l’exploitant et à son conjoint. Dans une entreprise individuelle
l’exploitant ne peut se verser à lui-même des intérêts déductibles. Les
sommes qui figurent au compte de l’exploitant ne donnent donc pas lieu à
une rémunération spécifique. Les seuls frais financiers déductibles des
résultats imposables sont ceux qui se rapportent à des emprunts, inscrits
au passif du bilan, contractés auprès de personnes autres que l’exploitant
lui-même. Le plus souvent, il s’agira d’établissements bancaires.
 Les frais fiscaux et Les frais de location : Les impôts et taxes qui se
rapportent à l’exploitation constituent par principe des charges
déductibles. Les impôts qui présentent un caractère personnel ne sauraient
en revanche venir en déduction des résultats imposable. Ce sont des dettes
du citoyen et non des dettes de l’entreprise ; tel, est le cas de l’impôt sur le
revenu ; de l’impôt de solidarité sur la fortune, de la taxe d’habitation. On
rappellera par ailleurs que les pénalisées fiscales sont expressément
exclues des charges déductibles. Ne sont pas déductible des résultats
soumis à l’impôt sur les sociétés :
L’impôt des sociétés lui-même
La taxe sur les véhicules des sociétés lorsque la société relève de
l’impôt des sociétés
Les loyers qu’une entreprise paie à raison des biens qu’elle prend en
location constituent des charges déductibles de ses résultats imposables. Il
en va de même des redevances de crédit-bail.
On signalera que :
les dépôts de garantie versées au bailleur ont vocation à être restitués au
locataire en fin de bail ; ils sont comptabilisés à un compte de créances et
n’ont donc pas la nature des charges déductibles ;
Les loyers payés d’avance doivent être isolées dans un compte de
régularisation ;
Les droits d’entrée sont analysés par la jurisprudence comme ayant la
nature de loyers payés d’avance et doivent être traités comme tels ;
Le pas de porte est le prix qui est versé au précédent locataire en
contrepartie du droit au bail qu’il cède à son successeur ; pour ce dernier,
il s’agit d’une composante du fonds de commerce, ayant la nature d’une
immobilisation incorporelle, non amortissable de surcroît.
 Les frais d’assurance et les dépenses d’entretien et de
réparation : en raison de son importance pratique, la fiscalité propre au
contrat d’assurance fait l’objet d’une étude thématique séparée. Pour aller
à l’essentiel on se bornera à distinguer entre les assurances présentant un
caractère indemnitaire et les assurances vie. Les dépenses d’entretien et de
réparation constituent des charges déductibles les dépenses qui ont pour
objet de maintenir les éléments de l’actif en bonne état « réfection des
peintures » ou de les maintenir en état d’utilisation, sans augmentation ni
de leur valeur ni de leur durée d’utilisation. En revanche, si les travaux
entrainent une augmentation de la valeur ou de la durée d’utilisation des
immobilisations, les dépenses correspondantes doivent être immobilisées
et ne pourront être déduites que par la voie de l’amortissement.
 Les dons et subventions : les entreprises ne sont pas des organisations
charitables ; leur objet est de réaliser des profits et non de faire la charité.
Par principe, les pures libéralités que consentent les entreprises
constituent des actes anormaux de gestion et ne sauraient figurer parmi les
frais généraux déductibles. Mais, par-delà cette rigueur de principe, le
droit fiscal doit composer avec la réalité, laquelle impose aux entreprises
de consentir, dans leur intérêt propre, certaines formes de dons ou de
subventions versées aux œuvres sociales du personnel « crèche, colonie
de vacance » ne posent pas de problème particulier. La situation est plus
délicate en ce qui concerne notamment les cadeaux d’entreprise ainsi que
le parrainage et le mécénat.

B. Conductions de déductibilités des frais généraux


La déductibilité des frais généraux est subordonnée à une évaluation réelle
de ces derniers. Les frais généraux calculés de manière forfaitaire et
approximative, que ces frais soient ou non justifiés, ne peuvent faire l’objet de
déduction. Il y a lieu d’entendre par « frais généraux justifiés » tous les moyens
de justification et en particulier la présentation de factures ou tout autre moyen
en tenant lieu délivrés par la société mère ou le siège central de l’entreprise.

Les frais généraux ne constituent des charges déductibles des résultats


imposables de l’entreprise que s’ils répondent aux trois conditions suivantes :
Ils doivent se traduire par une diminution de l’actif net ; tel n’est pas le cas
des acquisitions d’immobilisations ou de stocks puisque la sortie de
trésorerie ou la constatation d’une dette est contrebalancée à l’actif par une
valeur d’égal montant.
Ils doivent être exposés dans l’intérêt de l’exploitation, ce qui exclut les
actes anormaux de gestion.
Ils doivent être régulièrement comptabilisés et appuyés de justifications ; ce
sont les factures qui constituent les justifications les plus courantes14.
Il ne suffit pas que les dépenses de frais généraux soient déductibles, il faut
encore qu’elles soient déduites au bon moment, ni trop tôt ni trop tard. C’est
évoquer le problème du rattachement des charges au bon exercice. Comme
pour les produits, il convient de respecter scrupuleusement les contraintes du
principe d’indépendance des exercices comptables. 

Les contribuables visés dans l’article 31 du code général des impots doivent
produire un relevé de leurs amortissements et provisions constitués par
prélèvement sur les bénéfices avec l’indication précise de l’objet de ces
amortissements et provisions ainsi qu’un relevé détaillé des frais généraux.

L’administration fiscal prend au très sérieux les règles de rattachement. En


vertu du principe d’indépendance des exercices comptables, il faut rattacher à un
exercice tous les produits et toutes les charges qui ont pris naissance au cours de
cet exercice.
Paradoxalement, s’il existe des règles précises quant au rattachement des
produits, il n’en existe pas quant au rattachement des charges. On sait que les
produits doivent être comptabilisés quand la créance de l’entreprise est certaine
dans son principe et dans son montant, ce qui implique que l’entreprise ait
exécuté l’obligation à laquelle elle s’est engagée. C’est donc l’exécution de
l’obligation qui constitue le fait générateur de l’imposition des produits qui en
sont la contrepartie.
Dans le silence de la loi, on est conduit à transposer les mêmes règles au
rattachement des charges. Autrement dit, l’entreprise débitrice comptabilisera
une charge lorsque son partenaire aura exécuté l’obligation qu’il avait promise.
En définitive, pour une même prestation, l’enregistrement du produit chez le
créancier et l’enregistrement de la charge correspondante chez le débiteur
interviendront à la même date, celle de l’exécution de son obligation par le
créancier.
On signalera les deux cas particulier suivant concernant les charges
constatées d’avance et les frais d’établissement :
Les charges constatées d’avance sont le corollaire des produits constatées
d’avance ; si une entreprise paye d’avance les charges qui se rapporte à des
exercices futures elle doit les isolées dans un compte de régularisation et ne
rattachera à chaque exercice que la quotte part des charges qui lui revient ;
c’est ce qui se passe quand une entreprise conclut un nouveau bail commercial
et verse au bailleur un droit d’entré ; son cout doit être étalé sur
la durée du bail.
Les frais d’établissement regroupe les frais de constitution et de
restructuration de sociétés « augmentation de capital, fusion » ; par nature
se sont des charges immédiatement déductibles, les entreprises sont toutefois
autorisées à en étaler le montant sur cinq années selon le mode linaire.

Les frais accessoires liés à l’acquisition d’une immobilisation doivent par


principe être rattachés à son cout de revient ; tel est par exemple le cas des frais
de transport ou d’assurance .il existe toutefois un régime particulier applicable
aux frais d’acquisition suivant : droits de mutation, honoraires ou commissions,
frais d’actes. Dans la logique des normes IFRS, ils devraient obligatoirement
être rattachés au cout de revient comme les frais accessoires pour des raisons
d’opportunité fiscale les entreprises peuvent opter pour leurs comptabilisation
entant que charges immédiatement déductibles.
Dans un souci de cohérence, pour éviter des phénomènes d’un exercice à
l’autre au gré des convenances financières et fiscales, la nouvelle réglementation
comptable applicable depuis 2005 dispose que l’option exercée la première fois
par l’entreprise est à la fois globale et irrévocable ; elle couvre toutes les
catégories d’actif et vaut pour les exercices à venir.
Cette sévérité de principe est toutefois atténuée par le fait que l’entreprise est
autorisée à exercer deux options distinctes :
L’une pour les titres du portefeuille, qu’il s’agisse de titres de participation
ou de titres de placement ;
L’autre pour les autres immobilisations, qu’elles soient corporelles ou
incorporelles.

II. Le contrôle des frais généraux


Les frais généraux comprennent toutes les dépenses qui entraînent une
diminution de l’actif net. Ainsi quand une entreprise acquitte ces factures de
loyers, aucune contrepartie n’apparaît à l’actif du bilan.il en va différemment en
cas d’acquisition de stock ou d’immobilisation ; le compte de trésorerie est sans
doute amputé, mais un compte d’actif se trouve gonflé d’autant ; l’actif net n’a
pas été affecté.
Les frais généraux sont l’objet d’une attention particulière de la part des
vérificateurs. Ceux-ci procèdent en la matière à un double contrôle :
Contrôle de nature comptable ; ils tiennent à vérifier que n’ont pas
été comptabilisées parmi les frais généraux des dépenses ayant la nature de
stocks ou d’immobilisation ; les frais généraux présentent en effet cet
avantage de constituer des charges immédiatement déductibles des résultats
imposables; c’est un point délicat qui fera l’objet d’une étude thématique
séparée.
Contrôle de la conformité à l’intérêt de l’entreprise ; les frais
généraux peuvent englober des dépenses n’ayant qu’un rapport lointain
avec l’intérêt de l’entreprise ; le fisc, grâce à la théorie de l’acte anormal
de gestion, se fait alors le gardien d’une certaine morale des affaires.

A. Les contrôles de fond


Une charge n’est déductible fiscalement que dans la mesure où elle correspond à
l’intérêt de l’entreprise. Tel n’est pas le cas des actes anormaux de certaines
dépenses somptuaires, de certaines sanctions pécuniaires et de certaines
dépenses de corruption.

On ne peut inscrire parmi les frais généraux déductibles des résultats de son
entreprise ni les éléments de son train de vie personnel ni les diverses
contributions que l’on verse à des membres de sa famille, voire à ses amis.
Même dans une entreprise individuelle, on ne mélange pas les affaires privées et
la vie de l’entreprise. Le trésor n’a pas vocation à prendre en charge, par le biais
d’une diminution de l’impôt sur le revenu, les dépenses personnelles incombant
à tout citoyen, quel que soit son statut fiscal.
Dans l’entreprise individuelle, un vérificateur s’attache essentiellement à
vérifier si le commerçant n’a pas comptabilisé parmi ses frais généraux des
dépenses dont le caractère personnel saute aux yeux. Dans certains cas, la
qualification est moins évidente. En effet, la frontière avec les dépenses
professionnelles est parfois floue. Un voyage touristique est-il un voyage
professionnel « contacts pris sur place avec des partenaires de l’entreprise » ou
un voyage d’agrément.
Quand un vérificateur détecte un acte anormal de gestion en vérifiant la
comptabilité d’une entreprise individuelle, il réintègre dans les résultats
imposables le montant des dépenses dont la déductibilité est ainsi rejetée. Le
bénéfice est augmenté d’autant, ce qui entraîne une rectification de l’impôt sur le
revenu .Le rehaussement d’impôt est majoré en outre de l’intérêt de retard et
parfois dans les cas les plus graves, d’une pénalité pour mauvaise foi. Là où les
abus peuvent être fréquent et le contrôle de l’administration difficile, la loi
interdit purement et simplement la déduction des charges, limitativement
énumérées, présentant un caractère somptuaire. C’est le fisc vertueux
pourchassant le luxe dispendieux. Il s’agit d’actes anormaux par détermination
de la loi, dispensant l’administration de tout souci de preuve. C’est l’incitation à
la chasse au gaspillage.
La listes des dépenses frappées d’un interdit fiscal et doivent êtres
réintégrées dans les résultats imposables :
Les dépenses de chasse et de pêche ;
les dépenses de l’utilisation de yachts et de bateaux de plaisance ;
les dépenses se rapportant aux résidences de plaisance ; à l’exception
des charges des dépenses relatives aux immeubles affectés aux
œuvres sociales de l’entreprise et celles concernant les demeures
historiques classées ;
les annuités d’amortissement des voitures de tourisme, par contre les
avions de tourisme ne sont pas considérés comme des biens
somptuaires par détermination de la loi à condition si l’utilisation de
l’avion est conforme à l’intérêt de l’entreprise.

Dans le cadre de l’activité, l’entreprise doit respecter la réglementation de


toute sorte ; les pénalités qui lui sont infligées à ce titre ne sont pas déductibles
de ses résultats imposables. Il en va de même des dommages et intérêts qu’elle
doit verser lorsqu’elle méconnait ses obligations contractuelles.
La non déductibilité des pénalités pour violation d’une obligation
réglementaire ;
La non déductibilité des pénalités pour violation d’une obligation
contractuelle.
La corruption étant condamnée par la morale, et sanctionner par le droit
pénal, concernant les sociétés « SARL », les dirigeants risquent d’être
poursuivis pour abus de biens sociaux même s’ils ont agi dans l’intérêt de
l’entreprise, même s’ils n’en ont retiré aucun profit personnel.

B. Les contrôles de forme


La comptabilité est la mémoire de l’entreprise ; est considéré comme
l’instrument privilégié à la disposition des vérificateurs en cas de contrôle fiscal.
Certains charges ne sauraient venir en déduction des résultats imposables ni de
l’exercice suivants que si elles sont comptabilisées.

 Les conditions spécifiques à certaines charges


Les cadeaux et frais de réception.
Les sociétés doivent joindre à la déclaration annuelle de leurs résultats un
relevé détaillé de certains frais généraux.
La déclaration des honoraires et commissions
Les entreprises doivent déclarer les commissions, honoraires et autres
rémunération de même nature qu’elles versent à leur personnel non
salarié. Le but vise à contrôler l’entreprise versante qu’à vérifier si le
bénéficiaire a régulièrement déclaré les sommes qu’il a perçues. À défaut,
l’entreprise encourt une amende égale à 50% des sommes non déclarées.

Conclusion

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