I. Objectifs
Développer les éléments nécessaires à l'analyse structurelle, aux études géométrique,
cinématique et dynamique d'un mécanisme.
Définir les concepts de mobilité et d'hyperstaticité et leurs incidences sur la conception, la
réalisation et le fonctionnement d'un mécanisme.
Permettre l'amélioration d'un mécanisme déjà existant ou la synthèse de nouveaux
mécanismes.
II. Définitions
1. Système technique
Un système technique est un ensemble structuré de constituants dont le but est la réalisation de
fonctions permettant de soulager l'homme dans son activité quotidienne.
On distingue dans un système technique une partie opérative et une partie commande. Selon les
sources de commande et d’énergie, on peut classer les systèmes techniques comme suit :
Les systèmes élémentaires : la commande vient de l’homme, l’énergie vient de l’homme
Les systèmes mécanisés : la commande vient de l’homme, l’énergie vient de la machine
Les systèmes automatisés : la commande vient de la machine, l’énergie vient de la machine
2. Système mécanique
Le système mécanique est une composante de la partie opérative d'un système technique. Il s’agit
d’un ensemble organisé de pièces reliées par des liaisons.
L'étude des systèmes mécaniques réels est souvent très complexe, d'ou la nécessité de modèles
plus simples.
Il existe différents modèles de pièces et de liaisons :
Modèle des pièces
rigides,
déformables: petites ou grandes déformations,
Modèle des liaisons
avec ou sans jeu,
avec ou sans dissipation d'énergie,
déformables ou non déformables.
3. Modèles technologiques d'un système mécanique
La multiplicité des combinaisons possibles à partir des modèles ci-dessus conduit à différents
modèles technologiques d'un système mécanique.
On parlera de mécanisme lorsque la description d'un système mécanique sera orientée
liaisons, on suppose souvent que les pièces sont indéformables.
On parlera de structure lorsque cette description sera orientée pièces, on suppose souvent
que les liaisons sont rigides.
1
Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
4. Mécanisme
C'est un ensemble de pièces (solides) assemblées entre elles (par contact mécanique ou liaison)
suivant une architecture (chaîne cinématique ou chaîne de liaison) afin de réaliser une fonction
mécanique :
- transmission ou transformation de mouvement
- transmission d'effort
- transmission de puissance
Un mécanisme est conçu pour établir une relation entre les informations d'entrée (exercées par le
milieu extérieur sur le mécanisme), et des informations de sortie (exercées par le mécanisme sur
le milieu extérieur).
5. Mécanisme parfait
Un mécanisme est parfait s'il est constitué de solides indéformables et si les liaisons entre ces
solides sont parfaites.
6. Liaison parfaite
Une liaison parfaite est un modèle dont :
- la géométrie des surfaces de contact est parfaite (lisse sans écart de forme);
- les jeux sont nuls;
- le contact est sans frottement;
- les surfaces de contact sont indéformables.
7. Liaisons normalisées
Les liaisons normalisées sont constituées de 6 liaisons simples et de 5 liaisons composées (voir
chapitre : Etude des liaisons mécaniques).
8. Classe d’équivalence
On appelle classe d’équivalence ou sous ensemble de pièces cinématiquement liées, l’ensemble
des pièces n'ayant pas de mouvement relatif entre eux pendant une phase donnée du mouvement.
9. Graphe des liaisons ou graphe de structure d'un mécanisme
Le graphe permet de mettre en place l'ossature du mécanisme relativement aux pièces et aux
liaisons. Les pièces ou les sous ensembles de pièces cinématiquement liées, sont représentés par
des cercles contenant leurs numéros de nomenclatures. Chaque liaison est représentée par un arc
reliant les pièces en contact.
Exemple: graphe des liaisons d'un mécanisme ayant 6 pièces et 7 liaisons.
5
2 6
4
1 3
2
Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
Chaîne continue fermée : c'est une chaîne continue ouverte dont les deux solides
extrêmes ont une liaison entre eux. Dans ce cas on a n= l
Exemple : n=6 et l=6
3
2 4
5
1 6
Chaîne complexe : c'est une chaîne constituée de plusieurs chaînes continues (fermées ou
ouvertes) qui sont imbriquées.
Exemple : 5
2
6
1 7
3 4
3
Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
2 2
1 1
4
Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
(a) (b)
Tableau 3. (a) Transmission par poulies courroies, (b) Transmission par roues et chaînes
5
Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
6
Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
Exemple 1 : On considère entre deux solides S1 et S2, une liaison pivot parfaite d'axe (ox).
0
Le torseur cinématique de cette liaison s’écrit: v 2 / 1 0 0
0 0 O
Déterminer la forme du torseur des efforts transmissibles par la liaison.
X L
Soit 1 / 2 Y M
Z N O
En écrivant la nullité de la puissance des inter- efforts, on obtient : L 0 ;
Comme 0 alors L 0 . D’où le torseur des efforts transmissibles par la liaison doit être de la
X 0
forme : 1/ 2 Y M
Z N O
Dans ce cas on a : ns=5, nc=1 et ns+nc=6
Remarque : pour le torseur cinématique, on a 5 relations de nullité indépendantes ( =0, =0,
u=0, v=0 et w=0 ) qui sont imposées aux composantes de ce torseur et qui correspondent à 5
degrés de liaison.
Exemple 2 : On considère entre deux solides S1 et S2, une liaison hélicoïdale parfaite d'axe (ox).
u
Le torseur cinématique de cette liaison s’écrit: v2 / 1 0 0
0 0
O
pas
avec u k et k le pas réduit.
2
Déterminons la forme du torseur des efforts transmissibles par la liaison.
X L
Soit 1 / 2 Y M
Z N O
En écrivant la nullité de la puissance des inter-efforts, on obtient : ( L kX ) 0 ;
Comme 0 alors L kX . D’où le torseur des efforts transmissibles par la liaison doit être
X kX
de la forme : 1 / 2 Y M
Z N O
Dans ce cas on a : ns=5, nc=1 et ns+nc=6
7
Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
4. Liaison équivalente
Supposant qu'il existe entre deux solides S1 et S2 plusieurs liaisons réalisées avec ou sans pièces
intermédiaires.
1 2
leq12
1 2
3
La liaison équivalente à l'ensemble des liaisons situées entre les solides S1 et S2 est la liaison
théorique de référence (leq12) qui a le même comportement que l'ensemble de ces liaisons, c'est à
dire qui autorise le même mouvement et qui transmet la même action mécanique.
X L
Soient eq1 / 2
Y M le torseur des efforts transmissibles par la liaison équivalente et
Z N
O
u
veq2 /1
v son torseur cinématique exprimés dans un repère R(O,x,y,z) lié à S2.
w O
1 2
ln
i 1
8
Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
y
Application : l1 2 l2
x 1
A
Déterminer par les deux méthodes cinématique et statique la liaison équivalente entre les solides
1 et 2 .
b) Cas des liaisons en série
Supposons qu'il existe entre deux solides S0 et Sn, n liaisons disposées en série par l'intermédiaire de
(n-1) solides.
l1 ln
0 1 n-1 n
9
Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
1 y
2
Application :
0 x
A l2
l1
Déterminer par les deux méthodes cinématique et statique la liaison équivalente entre les solides
0 et 2 .
S1 BI BE S2
10
Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
11
Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
Application :
La figure ci-dessous définit un sous-ensemble qui assure la transmission de puissance d’une
poulie (1) à un pignon (2). Ce dernier est un pignon arbré qui est guidé en rotation par rapport au
bâti (3) par l’intermédiaire de deux roulements (4) et (5) à une rangée de billes à contact radial.
BE5 BI5
3 2
BE4 B I4
Déterminer par les deux méthodes cinématique et statique la liaison équivalente entre le
pignon arbré (2) et le bâti (3), obtenue par le roulement (4).
Déterminer par les deux méthodes cinématique et statique la liaison équivalente entre le
pignon arbré (2) et le bâti (3), obtenue par le roulement (5).
Déterminer par les deux méthodes cinématique et statique la liaison équivalente aux deux
liaisons obtenues dans les deux questions précédentes (liaison équivalente entre le pignon
arbré (2) et le bâti (3)).
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Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
5. Hyperstatisme et Mobilité
D’un point de vue mathématique, un mécanisme est hyperstatique si l’on ne peut pas calculer
toutes les inconnues de liaison à partir de l’écriture du P.F.S.
Le degré de mobilité caractérise le nombre de mouvements indépendants d’un mécanisme.
1 2
ll
Soit ns le nombre total d'inconnues statiques indépendantes introduites par les l liaisons en
parallèle : ns=nsi (i=1..l)
Lorsque h=0, la liaison équivalente est dite isostatique. Dans ce cas les ns inconnues statiques
peuvent être calculées en fonction des composantes Xeq, Yeq, Zeq, Leq, Meq, Neq.
Lorsque h>0, la liaison est dite hyperstatique d'ordre h.
Les h inconnues statiques qui ne peuvent être calculées en fonction des composantes Xeq, Yeq, Zeq,
Leq, Meq, Neq sont appelées inconnues hyperstatiques.
Remarque : le nombre rs représente aussi le nombre de relations de nullité indépendantes
imposées aux composantes eq, eq, eq, ueq, veq, weq du torseur cinématique de la liaison
équivalente.
Le degré de mobilité m de la liaison équivalente aux l liaisons en parallèle est égal à 6 (nombre
de degrés de liberté de la liaison libre) moins le nombre rs de relations de nullité indépendantes
imposées aux composantes du torseur cinématique de la liaison équivalente :
m=6-rs
Lorsque m=0, la liaison équivalente est dite complète ou rigide.
Lorsque m>0, la liaison équivalente est dite mobile à m degrés de liberté.
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Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
l1 ln
b) Chaîne continue ouverte 0 1 n-1 n
Hyperstatisme
Dans le cas d’une chaîne continue ouverte constituée de n liaisons en série, les relations
{i}={eq} pour i = 1..n, permettent la détermination de toutes les inconnues statiques Xi, Yi, Zi,
Li, Mi, Ni en fonction des composantes Xeq, Yeq, Zeq, Leq, Meq, Neq du torseur statique de la liaison
équivalente (ces dernières sont obtenues en fonction des efforts extérieurs à partir de l’équilibre
du solide (Sn)).
Par conséquent, la chaîne continue ouverte est toujours isostatique.
Mobilité
Soit nc le nombre total d'inconnues cinématiques indépendantes introduites par les n liaisons en
série: nc=nci (i=1..n)
Le degré de mobilité m de la chaîne continue ouverte est égal au nombre total d'inconnues
cinématiques nc :
m=nc
On appelle degré de mobilité utile mu de la chaîne continue ouverte, le nombre d'inconnues
cinématiques indépendantes du torseur cinématique de la liaison équivalente.
On a toujours m mu, on définit le degré de mobilité interne mi de la chaîne continue ouverte par
la relation :
m = mu + mi
Remarque: Une pièce présente une mobilité interne dans un mécanisme, si elle peut avoir un
mouvement qui n'entraîne aucun mouvement des autres pièces du mécanisme.
c) Chaîne continue fermée i
On considère une chaîne continue fermée, constituée de n
n+1 solides : S0 (bâti), S1, ...Sn, assemblés en série par 2
(n+1) liaisons l1, l2, … ln+1, où li représente la liaison ln+1
l2
entre les solides Si-1 et Si.
0
Hyperstatisme, étude statique 1 l1
Soit R(O,x,y,z) un repère lié au solide S0, on désigne par {i} le torseur des actions mécaniques
de Si-1 sur Si à travers la liaison li.
Supposons qu'en plus de ces actions de liaison, s'exerce :
- sur S1 une action mécanique extérieure dite d'entrée du mécanisme, représentée au point O, dans
X e Le
la base associée au repère R par le torseur : e / 1 Ye M e
Z
e N e O
- Sur Sn une action mécanique dite de sortie du mécanisme, représentée en O, dans la base
X s Ls
associée au repère R par le torseur : s / n Ys M s
Z
s N s O
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Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
- sur S0 une action mécanique (action du sol sur le bâti) représentée au point O, dans la base
X 0 L0
associée au repère R par le torseur : 0 Y0 M 0
Z
0 N 0 O
Soit ns=nsi (i=1..n+1) le nombre total d'inconnues statiques indépendantes introduites par les
(n+1) liaisons de la chaîne.
En appliquant le principe fondamental de la statique à l'ensemble des (n+1) solides, on obtient la
relation suivante entre {e/1}, {s/n} et {0} :
{e/1}+{s/n}+{0}={0}
Les relations entre les ns inconnues statiques s'obtiennent par application du principe fondamental
de la statique successivement aux n solides S1, S2, …Sn (il est inutile d'appliquer le principe
fondamental de la statique à S0).
(S1) {1}-{2}+{e/1}={0},
(S2) {2}-{3}={0},
………………….
(Si) {i}-{i+1}={0},
. …………………
(Sn-1) {n-1}-{n}={0},
(Sn) {n}-{n+1}+{s/n}={0}.
Soit rs le nombre d'équations scalaires indépendantes reliant les ns inconnues statiques
indépendantes (rs 6n).
Cette relation donne un système de 6 équations scalaires pour déterminer les nc inconnues
cinématiques.
Soit rc le nombre d'équations scalaires indépendantes (rc 6).
15
Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
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Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
ns
rs h
rs
Déterminant principal
6(n-1)
Système d’équations obtenu à partir du P.F.S. appliqué successivement à n-1 solides de la chaîne
Etude cinématique
En écrivant la loi de composition des torseurs cinématiques pour les chaînes continues fermées
indépendantes, on obtient un système à 6 équations scalaires reliant les nc inconnues
cinématiques de la chaîne complexe (figure ci-dessous).
Soit rc le nombre d'équations scalaires indépendantes (rang du système rc 6).
Le degré de mobilité m représente le nombre d'inconnues cinématiques indépendantes qu'il faut fixer
pour déterminer toutes les autres.
rc m
rc
Déterminant principal
6
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Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
e) Tableau récapitulatif
Mobilité et Hyperstatisme
i 1
m=6-rs h=ns-rs
P.F.S appliqué successivement à (n-1) solides de la chaîne => rs : le nombre d'équations scalaires
indépendantes reliant les ns inconnues statiques.
Les relations cinématiques de fermeture de cycle => rc : le nombre d'équations scalaires
indépendantes reliant les nc inconnues cinématiques.
Chaîne complexe
Nombre cyclomatique: = l - n + 1
P.F.S appliqué successivement à (n-1) solides de la chaîne => rs : le nombre d'équations scalaires
indépendantes reliant les ns inconnues statiques.
Les relations cinématiques de fermeture des cycles indépendants => rc : le nombre d'équations
scalaires indépendantes reliant les nc inconnues cinématiques
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Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
f) Aspects de l’hyperstaticité
La multiplicité des points de contact entre deux solides, implique une réalisation infiniment
hyperstatique. La validité de cette réalisation dépend du respect de critères géométriques :
- tolérances de forme (planéité, cylindricité, sphéricité …) ;
- état de surface (rugosité).
Ce type d’hyperstaticité est inévitable. En effet, pour obtenir un fonctionnement correct, il faut
respecter certaines contraintes géométriques.
g) Le dilemme isostaticité / rigidité
Les raisons exposées ci-dessus justifient que l’on cherche à réaliser des mécanismes isostatiques.
Mais dans la pratique, l’hyperstaticité n’a pas que des défauts. Lorsqu’elle est bien conçue, une
liaison réalisée de façon hyperstatique peut être beaucoup plus rigide.
6. Mécanismes plans
Un mécanisme est dit plan si :
- la trajectoire de tout point appartenant au mécanisme est située dans un plan parallèle
à un même plan ;
- les efforts régnant au sein du mécanisme sont modélisables par des torseurs plans: la
résultante est située dans le plan , le moment en un point A est perpendiculaire à ce
plan et ce-ci quel que soit le point A.
a) Liaisons dans le plan
Dans le cas d'une modélisation plane, les seules liaisons à considérer sont :
- la liaison ponctuelle, à normale située dans le plan , elle autorise 2 degrés de liberté
(1 translation, 1 rotation)
- la liaison glissière, d'axe situé dans le plan , elle autorise 1 degré de liberté (1
translation).
- la liaison pivot, d'axe orthogonal au plan , elle autorise 1 degré de liberté (1 rotation)
- la liaison encastrement, elle n'autorise aucun degré de liberté.
S2 S2
S1 S1
x S2 S2
S1
S1
19
Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
3
2
4
1
=4-4+1=1
mp=3(4-1)-(3×2+1×2) =1
20
Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
7. Etude géométrique
L'étude géométrique d'un mécanisme a pour but de définir, en fonction de certains paramètres
pilotes, la position de chacune des pièces qui le composent. Cette position est souvent recherchée
dans un repère privilégié lié au bâti.
Les solides sont considérés indéformables, à tout solide Si, on attache un repère Ri (Oi,xi,yi,zi). La
détermination de la position du solide Sj par rapport au solide Si revient à la détermination de
celle de Rj par rapport à Ri.
a) Position relative de deux solides
Soient S1 et S2 deux solides indéformables de repères associés R1 (O1,x1,y1,z1) et R2 (O2,x2,y2,z2).
La position de S2 par rapport à S1 est définie par six paramètres:
- 3 paramètres de translation constitués par les composantes du vecteur O1O 2 dans R1 :
O1O 2 x x1 y y1 z z1
- 3 paramètres de rotation correspondant à trois angles permettant de faire coïncider les
axes des repères R1 et R2 : exemple les angles d’Euler , , .
% z1 %u % z2
x1, y1, z1 u, v, z1 u, w, z 2 x 2 , y 2 , z 2
y1 z1 w
v z2 y2
u w x2
z1 x1 u v z2 u
xi xi+1 yi
Pi,i+1 est la matrice de passage de Bi à Bi+1, elle s'obtient en
exprimant les vecteurs de Bi+1 en fonction des vecteurs de
Bi.
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Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
x i 1 x i 1 0 0
y i 1 cos i 1 y i sin i 1 z i Pi ,i 1 0 cos i 1 sin i 1
z sin y cos z 0 sin cos i 1
i 1 i 1 i i 1 i i 1
22
Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
Travail demandé :
23
Conception Mécanique Analyse des Mécanismes
R4: O, x 4 , y4 lié au plateau (4). Liaison pivot L43 : 43 x 4 , x 3 ;
Liaison pivot L14 : 14 x1, x 4 ;
Paramètres géométriques constants liés
aux solides:
bâti (1): OB. y1 b ;
bielle (3): CB . l x 3 ;
plateau (4) : OC c x 4 ; OD d y 4
Travail demandé :
24