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DEDICACE :............................................................................................................. I
REMERCIEMENTS .............................................................................................. II
AVANT – PROPOS ............................................................................................... III
SIGLES ET ABREVIATIONS............................................................................. IV
TABLE DES TABLEAUX ......................................................................................V
INTRODUCTION ................................................................................................... 1
PREMIERE PARTIE : ........................................................................................... 8
PRESENTATION DU CADRE DE L’ETUDE .................................................... 8
CHAPITRE I : PRESENTATION DU CADRE INSTITUTIONNEL ............ 10
I. PRESENTATION GENERALE DE LA SOCIETE GENERALE COTE
D’IVOIRE................................................................................................................ 10
II. ORGANISATION ET FONCTIONNEMEN DU SERVICE ETRANGER .... 32
CHAPITRE II : PRESENTATION DU CADRE CONCEPTUEL .................. 36
I. GENERALITES ................................................................................................ 36
II. LES DIFFERENTES ETAPES DE REALISATION DE LA REMISE
DOCUMENTAIRE ................................................................................................. 39
NOTRE FAMILLE
I
REMERCIEMENTS
Nous ne saurions présenter ce mémoire sans dire un mot de remerciement à
l’endroit de tous ceux qui, de près ou de loin, nous ont encouragés pour sa
réalisation.
Enfin nous ne saurions oublier les personnes qui nous ont suivis durant tout notre
cursus de formation.
II
AVANT – PROPOS
Le commerce international connaît un essor du fait de la mondialisation
économique, ce qui pousse les acteurs commerciaux (entreprises) à faire appel
aux institutions financière (banques) dans le but de garantir au mieux les
paiements de leurs transactions avec l’étranger.
Ainsi durant notre étude, nous conjuguerons nos efforts pour rendre plus explicite
cette procédure.
III
SIGLES ET ABREVIATIONS
IV
TABLE DES TABLEAUX
Tableau 1 : questionnaire relatif au traitement des règlements des importations
par REMDOC
Tableau 2 : les points fort de la procédure
Tableau 3 : les points faibles de la procédure
V
INTRODUCTION
1
I. CONTEXTE ET JUSTIICATION DE L’ETUDE
En économie toute prestation doit être rémunérée et à tout paiement doit aussi
correspondre une prestation. Nos économies diversifiées ne sauraient fonctionner
autrement.
Aussi dans les affaires internationales, les échanges ne peuvent se réaliser sans
prestation ni paiement. D’une part, le trafic des marchandises et les paiements
posent des problèmes techniques très complexes, d’autres parts, il n’est pas aisé de
garantir le règlement ou livraison des marchandises dans les délais prévus. De ces
réalités il ressort la nécessité, dans le cadre de l’importation et l’exportation d’avoir
recours à des institutions financières en vue de garantir le paiement ; ces institutions
ne sont nulles autres que les banques parmi lesquelles nous avons la SGCI.
Le choix porté sur l’une des techniques d’encaissement documentaire dans le cadre
du règlement des transactions à l’international n’est pas anodin. Il nous permet à la
fois d’apprécier la place occupée par la notion de confiance dans les problématiques
du commerce international. Mais surtout, ce qui semble fondamental pour une
jeune apprenante comme nous est de savoir comment les acteurs financiers que
sont les banques s’y prennent pour assurer les encaissements à l’international des
2
acteurs commerciaux et, si ces procédures s’avèrent efficaces et satisfaisantes pour
les parties en présence.
II. PROBLEMATIQUE
L’autre notion fondamentale qui sous-tend les relations commerciales c’est celle
de la célérité. En effet, tout le droit cambiaire est marqué par l’esprit de rapidité
dans le dénouement des transactions.
De plus, parler d’évaluation d’une procédure, ce n’est point autre chose que de
poser un diagnostic, d’apprécier le cheminement selon lequel une activité est menée
afin, éventuellement d’apporter des correctives.
C’est dans cet esprit qu’il a fallu opter pour la problématique suivante : comment
évaluer la procédure de règlement des importations par remise documentaire dans
le cadre d’une domiciliation bancaire au sein de la SGCI ?
- quel est l’état des lieux de la procédure de règlement des importations par
REMDOC ?
- quelles sont les forces et les faiblesses de cette procédure ?
- quelles recommandations peut-on faire pour l’améliorer ?
Afin de répondre aux questions ci-dessus, nous nous sommes fixés un objectif
principal duquel découle des objectifs spécifiques.
3
III.1. L’objectif général
L’objectif visé par le présent mémoire est d’évaluer la procédure de règlement des
importations par remise documentaire dans le cadre d’une domiciliation bancaire.
L’hypothèse est une réponse probable à la question de recherche. Pour atteindre les
objectifs formulés, nous retiendrons certaines hypothèses repartis en une hypothèse
générale et des hypothèses spécifiques.
Cette phase consiste à recueillir les informations utiles auprès des personnes
habilitées à les divulguer. Différents moyens tels que l’observation et l’entretien
pour les données qualitatives permettent de les obtenir pour répondre aux besoins
de notre étude.
V.1.1. L’observation
Être au sein d’un service permet de voir et comprendre son fonctionnement. Ainsi,
nous avons pu connaitre les procédures et l’exécution quotidienne des différentes
taches afférentes au règlement des importations dans le cadre d’une domiciliation
bancaire.
Comprendre certaines situations demande bien évidemment des entrevues avec les
responsables de service et cela est tout aussi nécessaire pour mieux comprendre les
activités observées. Ils consistent donc à se faire expliquer les procédures et le
mécanisme des tâches à chaque niveau, permettant ainsi de mieux appréhender le
circuit des traitements mis en place.
Cette étape consiste à rassembler les informations recueillies de sorte à les classer
par ordre d’importance et de pertinence. Ces informations recueillies vont servi à
l’élaboration des différents tests qui nous permettront ainsi de cerner les points
5
saillants constituant des freins au bon fonctionnement de la procédure. Un audit
relatif à ces points a été élaboré en vue de faire ressortir les forces et faiblesses de
celui-ci et faire des recommandations.
Cette étude sera une source de recherche documentaire pour les candidats à la
soutenance et leur permettra d’avoir une connaissance pratique du système
bancaire sur le traitement de règlement par remise documentaire des importations
dans le cadre d’une domiciliation bancaire afin de cerner l’enjeu du respect de cette
procédure.
6
VII. LES LIMITES DE LA RECHERCHE
7
PREMIERE PARTIE :
PRESENTATION DU CADRE DE
L’ETUDE
8
Pour cette première partie consacrée à la présentation du cadre général de l’étude.
Le cadre institutionnel nous conduira à la présentation de la SGCI à travers son
historique, ses produits, son évolution et sa structure organisationnelle.
Pour ce qui est du cadre conceptuel, il nous permettra de cerner des notions de
remise documentaire ainsi que ses étapes.
9
CHAPITRE I : PRESENTATION DU CADRE
INSTITUTIONNEL
Dans cette partie, nous présenterons l’historique de la banque, les faits marquants
antérieurs à 2005 et les faits marquants de 2005 à maintenant.
10
apporté à une entité nouvelle, appelée Société Général de banque en Côte d’ivoire
(SGBCI), le 23 novembre 1962.
- la Société Générale.
- la Bayerische Vereinsbank.
Dans cette partie, nous décrirons les faits marquants antérieurs à 2005.
11
IBM 360-30 permettant le développement d’une application de gestion des
comptes en temps réel.
Le 07 avril 1976, la bourse des valeurs d’Abidjan ouvre ses portes et la SGBCI est
au rang des premières sociétés dont le titre est admis à la cote. Cette année marque
aussi l’augmentation de l’ouverture du capital aux intérêts ivoirien qui accèdent au
rang de premier actionnaire de l’établissement avec 39,53% des actions.
Dès sa création, la SGBCI amorce une extension continue qui permettra de la doter
en 1977 de 29 agences. Ayant hérité des trois implantations de l’ex Banque
Commerciale Africaine dans la boucle du cacao, la SGBCI s’installe en 1965 à
Bongouanou. Elle poursuit sa politique de déploiement par l’ouverture de six (6)
nouvelles agences en 1968, en 1973 le nombre de ses implantations est porté à 17
et quatre (4) ans plus tard, il s’élève à travers ses 67 agences.
12
I.1.3 Les faits marquants de 2005 à maintenant
Dans cette partie, nous présenterons les changements que la banque a subis au cours
de cette période.
Comme les autres banques privées, elle a subi d’importants dommages directs et
indirects au cours de la crise postélectorale qu’a connu la cote d’ivoire en 2011.
Son activité en 2011 a donc connu une baisse avec un résultat net s’élevant à 1598
836 714 FCFA soit une baisse de 14% par rapport à 2010 et un produit net bancaire
(PNB) de 53,6milliards FCFA contre 57 ,9 milliards en 2014.
Les clients veulent une banque qui soit un partenaire responsable, de confiance et
agile. En équipe, ils répondent à leurs besoins par un esprit de service nourri de la
diversité des expertises et des connaissances de chacun. Dans le but de devenir une
banque relationnelle de référence, la SGBCI réunit : écoute, construction,
valorisation des contributions, solidarité dans les succès comme difficultés pour
satisfaire sa clientèle.
I.1.3.5. L’innovation
14
I.1.3.6. La responsabilité
I.1.3.7. L’engagement
15
Ce changement de nom intervient au moment où la signature de la marque évolue
également. En effet, de « Développons ensemble l’esprit d’équipe », le groupe
s’engage dans une nouvelle promesse « c’est vous l’avenir ». A travers cette
signature, la société générale réaffirme à ses clients la place qu’ils ont, et la mission
qu’elles souhaitent accomplir à leurs côtés en leur donnant les moyens de construire
l’avenir. C’est un engagement fort et exigeant que la société générale cote d’ivoire
prend vis-à-vis de ses clients. Elle entend mettre tout en œuvre pour le respect en
s’appuyant sur les axes suivants : la transformation numérique, le développement
commercial, l’amélioration de l’expérience la relation client, et la responsabilité
d’entreprise. Elles s’appuient sur une équipe professionnelle et engagé à continuer
à faire de société générale cote d’ivoire le partenaire privilégié des particuliers et
entreprise en côte d’ivoire.
L’assemblée générale est tenue par les actionnaires de la SGCI ; elle a pour rôle de
nommer les administrateurs et les commissaires aux comptes, d’adopter les états
16
financiers de synthèse et décide de toute opérations entrainant la modification des
statuts et de définir les objectifs de l’institution.
Dans cette partie nous allons présenter les principales directions de la société
générale Côte d’ivoire.
Comme toute entité, la société générale cote d’ivoire est structurée et hiérarchisée.
Elle est constituée de plusieurs organes qui interagissent pour la réalisation des
objectifs de l’entreprise et de sorte à satisfaire la clientèle. (Voir annexe I). La
direction générale a pour mission de représenter la banque sur le plan légal,
institutionnelle et symbolique en toute circonstance. Elle est chargée de
l’orientation de la stratégie de la banque, de son organisation et de l’animation
managériale et veille à la réalisation des objectifs et à l’assurance des résultats.
La direction des ressources humaines est chargée de mettre en place les politiques
de gestion de carrières, de rémunération et de formation. A cet effet elle se compose
de quatre (4) service à savoir :
17
- service de formation ;
- service mutuel et santé.
18
- sogebourse ;
- sogespar.
19
I.3. Les autres directions opérationnelles
Dans cette partie, il est question de présenter les produits comptes, épargnes et de
placements, de prévoyances, de monétique, de banque à distance et les différents
prêts bancaires.
Les comptes proposés par la SGCI sont aux nombres de cinq (5) à savoir :
Le compte chèque également compte courant ou compte à vue est un compte sur
lequel peuvent être enregistrées de nombreuses opérations. Le compte chèque est
destiné aux personnes physiques majeures disposant des ressources stables et
régulières. Soumis à des frais de tenue de comptes mensuels (AGIOS) parmi les
plus bas du marché, le compte chèque permet aussi d’accéder à de nombreux
service tels que la délivrance du chéquier, les cartes de paiement et de retrait, le
service de banque à distance. Il constitue également un préalable à l’obtention de
prêts.
Le compte Eco est destiné à toute personne physique majeure, cliente de la SGCI
ou prospect, ne pouvant accéder au compte chèque. Il est le compte offrant les frais
de tenue de compte les plus bas du marché ivoirien. Il permet les opérations
suivantes : les versements, les retraits d’espèces, les encaissements par chèques, les
virements, les remises de chèque et d’effets autorisées.
20
I.3.1.3. Le compte Épargne
Le compte épargne est un compte de placement à vue rémunéré il est destiné à tout
particulier détenteur ou nom du compte cheque ou d’un compte vie domestique à
la SGCI, ayant le besoin d’épargner leur fond en toute sécurité avec des conditions
de souscription très souple, il permet au client de constituer une épargne à sa
convenance et d’en disposer sans formalités particulières. A l’ouverture du compte,
une somme de 25000fca doit être déposée par le client comme dépôt initial et le
solde du compte ne doit être en dessous de 25 000fcasauf en cas de fermeture
définitive dudit compte. De plus, ce compte est rémunéré à un taux annuel de 3,5%.
Le compte starter est un compte créé sur mesure pour les étudiants âgé de 18 ans
et plus. Ce compte est conçu pour leur permettre d’avoir un premier contact avec
la banque et de réaliser certaines opérations bancaires.
21
de crédits au bout d’une certaine période. Le client doit être titulaire d’un compte
cheque.
I.4.1. Le credimatic
Le PEL est un contrat d’épargne bloqué dont l’aboutissement est l’acquisition d’un
bien immobilier en l’occurrence un terrain à bâtir ou un logement. Le client épargne
un minimum de 25 000 FCA/mois avec un dépôt initial de 50 000FCA. Le plafond
est situé à 5 000 000FCA. Il y a une possibilité d’effectuer des versements
complémentaires à hauteur de 25 000FCA.
Le DAT est un compte recevant des fonds bloqués pour une durée determinée.il
bénéficie d’une rémunération avantageuse avec des intérêts en fonction de la durée
de placement. Le client est disposé à bloquer des fonds à un taux et une durée
préalablement définie. La durée minimum est de 12 mois et le dépôt initial est de 5
000 000FCA.
22
I.4.5. Le car 8
C’est un compte d’épargne bloqué sur une période de 8 ans. Le CAR 8 vous permet
de bénéficier des intérêts de votre placement de manière trimestrielle.
I.5.2. Certicompte
23
I.5.3. Prz performance
PRZ qui signifie plan retraite zénith, est un produit de bancassurance qui permet
aux adhérents par une cotisation de se constituer une épargne retraite
complémentaires versée sous forme de capital, de rente annuelle certaine ou
viagère. Il permet de bénéficier à la fois d’une épargne retraite et d’une assurance
décès-invalidité.
Quiétis plus est un produit de bancassurance qui protège vos moyens de paiement
ou que vous soyez (Côte d’Ivoire ou étranger). Il permet de faire face aux
dommages liés à l’utilisation frauduleuse des moyens de paiement (cartes
magnétiques et /ou chéquiers) de même que les pièces administratives perdues ou
volé simultanément. Il couvre également, les frais de mise en opposition ou de la
récréation des cartes magnétiques perdues ou volées. Il s’adresse à toute personne
disposant d’un chéquier et /ou porteur d’une carte rattachée à un compte chèque ou
un compte épargne. Les moyens de paiement détenu par des Co titulaires en cas de
compte joint peuvent également faire l’objet d’un contrat d’assurance quietis plus.
I.5.5. Yaconfort
I.5.6. Sogetudes
24
I.6. Les produits monétiques
Les produits monétiques sont les différents types de cartes magnétiques segmentées
en fonction des clients.
Une carte magnétique ou électronique est une carte qui dispose d’une bande
magnétique pouvant être lue par un dispositif électronique, généralement émise par
une banque, permettant que son titulaire obtienne de l’argent liquide et de réaliser
d’autres opérations.
La carte éclair est destinée aux titulaires d’un compte ECO, compte starter ou
compte épargne. Elle permet de retirer de l’argent sur le compte dans tous les
distributeurs de billets du réseau SGCI et cela 7j/7 et 24h/24. Cette carte est valable
pour 3 ans renouvelables.
Cette carte des clients titulaires d’un compte appelés particuliers grand public et
disposant d’un revenu mensuel inférieur à 450 000FCFA. Elle donne droit à un
retrait de 250 000FCFA par jour.
Elle est destinée aux clients ayant une rémunération de 450001 à 2000000fca
appelés « particulier bonne gamme ». Elle donne droit à un retrait de 300 000fcfa
par jour et 1 000 000fcfa à l’étranger.
Elle est destinée aux clients appelés « patrimoniaux » avec une rémunération
supérieure à 2 000 000fcfa. Les montants de retrait par jours sont les mêmes que la
carte visa classic.
25
I.6.1.6. La carte HORIZON
La carte horizon est rattachée au compte chèque. Peuvent obtenir une carte horizon,
le titulaire du compte son (sa) conjoint, son (ses) enfant(s). Avec cette carte, le
client peut retirer tous les jours et à toute heure des espèces dans tous les
distributeurs de billets du réseau SGCI et du réseau international VISA. Elle a une
durée de validité de 2 ans.
Le chèque, moyen de paiement normalisé avec lequel le titulaire (le tireur) d’un
compte donne l’ordre à son banquier (tiré) de payer la somme inscrite sur celui-ci.
La provision doit être disponible lors de l’émission du chèque et maintenu jusqu’à
sa présentation. Il existe différents types de chèques à savoir :
- le chèque barré ;
- le chèque de voyage ;
- le chèque visé ;
- le chèque certifié ;
- le chèque de banque ;
- le chèque en blanc et le chèque en bois.
26
I.6.4. Le distributeur automatique de billets (DAB)
Au nombre de quatre (4), ce sont des produits et services qui donnent des
informations aux clients sans que ceux -ci se déplacent jusqu’à leur agence. En
offrant ces services, la Société Générale souhaitait le désengorgement des agences,
la facilitation du travail des conseillers clientèles et permettre aux clients d’avoir
accès à leur compte sans se déplacer jusqu’à leur banque. Les produits banque à
distance sont :
I.7.1. Yeri
YERI est le premier centre de relations bancaire en Côte d’Ivoire. C’est le serveur
vocal de la SGCI et son accès se fait à partie d’un téléphone fixe ou portable. Il est
joignable 24H/24, 7 JOURS /7, partout en Côte d’Ivoire et depuis l’étranger en
composant le +225 20201010. Il fournit à tous les appelants, un service de qualité,
leur évitant ainsi de se déplacer en agence pour des informations et certaines
Operations.
VOCALIA plus, c’est la Société Générale par serveur vocal. Il permet à toute
personne, cliente ou non, d’avoir accès aux informations générales relatives à la
banque, ses produits et services. C’est aussi un service de banque par téléphone qui
offre à l’abonné la possibilité de consulter son compte bancaire en ligne et de
recevoir ses relevés bancaires par fax ou e-mail. Les informations disponibles grâce
à VOCALIA plus sont relatives à la banque et au compte bancaire. De plus, une
personne titulaire d’un compte à la SGCI peut faire une demande de relevés
bancaire par fixe ou par e-mail, une commande de chéquiers barrés et la
27
consultation des chéquiers disponible en agence. Il est aussi possible d’obtenir le
solde et les cinq dernières opérations comptabilisées sur le compte.
I.7.3 Messalia
I.7.4. Le push
Le push ou SMS à l’initiative de la SGCI, est l’option d’envoi automatique des sms
au client par la banque. Après souscription à l’un des 2 formules d’abonnement
(hebdomadaire simple ou hebdomadaire évènementielle), le client reçoit de la
banque ses sms au jour indiqué et les consulte en toute tranquillité.
I.7.5. Le pull
Le pull ou sms à l’initiative du client donne la possibilité au client, quelle que soit
sa formule d’abonnement (hebdomadaire simple ou hebdomadaire
évènementielle), d’envoyer un sms à la banque. L’abonné a ainsi la possibilité de
connaitre son solde, ses quatre (4) dernières opérations de jour ou de la veille,
consulter les cours e devises, commander un chéquier ou vérifier sa disponibilité
en agence, ou rechercher les dabs fonctionnels dans une ville ou une commune.
MESSALIA est un service accessible quel que soit l’opérateur et le type
d’abonnement téléphonique.
28
I.7.6. Sogeline
C’est la première application mobil de la SGCI. Elle offre la possibilité aux clients
de consulter le solde de leurs comptes bancaires et d’accéder à un ensemble de
services à forte valeur ajoutée (virements, achat de crédit de communication,
alertes).
La Société Générale Côte d’Ivoire propose à sa clientèle deux (2) types de prêts
que sont :
29
I.8.1. Les crédits à la consommation
- le prêt ordinaire ;
- le prêt exceptionnel ;
- le découvert en compte.
Ce sont des prêts accordés aux particuliers titulaires d’un compte chèque et
disposant d’un revenu minimum de 130 000FCFA.
Avec les crédits express, la SGCI répond aux besoins de trésorerie ponctuels et
urgents des clients dans un délai de 48 heures maximum.
A travers le prêt personnel ordinaire, la SGCI permet aux clients de réaliser leur
projet de vie (mariage, fête…) et de faire face aux dépenses imprévues (maladies,
décès…).
Avec le crédit IZI PC et crédit liberté, la Société Générale Côte d’Ivoire permet
aux clients d’acquérir des biens (ordinateurs ; voiture ; etc…).
30
I.8.1.2. Les prêts exceptionnels
31
II. ORGANISATION ET FONCTIONNEMEN DU SERVICE ETRANGER
La sous-section transfert qui est chargée de traiter des ordres de transfert émis par
les clients de la SGCI en faveur des bénéficiaires à l’étranger.
La sous – section rapatriement qui traite des ordres de transfert reçus de l’étranger
en faveur des clients de la SGCI qui en sont bénéficiaires.
32
II.1.2.2. La cellule caisse de change
Elle est chargée du traitement des crédits et remises documentaires. Elle comporte
deux (2) grandes sections ;
33
De ce fait la banque est appelée d’intermédiaire agréé car elle travaille en étroite
collaboration avec le TRESOR, la DOUANE et la BCEAO par le biais de sa
domiciliation.
34
En définitif, nous pouvons noter que ce chapitre nous a permis de saisir les
différentes étapes de l’évolution de la SGCI depuis sa création jusqu'à nos jours.
Nous avons pu avoir ainsi une connaissance plus approfondie du cadre de notre
étude et des services qu’offre la banque pour satisfaire sa clientèle.
35
CHAPITRE II : PRESENTATION DU CADRE CONCEPTUEL
Dans ce chapitre il sera question pour nous, de définir les termes clés de notre thème
et de montrer les différentes étapes de la remise documentaire.
I. GENERALITES
Il s’agit ici de montrer les termes clés de notre thème afin d’avoir une meilleure
compréhension. Les termes clés à définir sont l’évaluation, la procédure, le
règlement, l’importation, la domiciliation bancaire.
Dans notre contexte, l’évaluation se définit comme analyse qui sera effectuée pour
porter des jugements, pour connaitre les résultats, pour tirer des conclusions et
36
prendre des décisions afin de renforcer la procédure de règlement des importations
dans le cadre d’une domiciliation bancaire.
« La procédure est une succession imposée de tâches à réaliser. C’est une marche
à suivre pour réaliser une tâche donnée. Elle répond en générale à des impératifs
qui ne sont pas discutables ».
Ici, la procédure représente les étapes à suivre pour effectuer les fermetures de
comptes.
I.3. Le règlement
I.3.1. Définition
Il peut être défini comme « l’action de régler, de terminer, de donner une solution
définitive à quelque chose : le règlement de conflit. Il peut être définit aussi comme
l’action de fixer ce qui doit être dans un domaine légal : règlement de police.
Ensemble des mesures auxquelles sont soumis les membres d’une société, d’un
groupe … ».
37
I.3.2. Définition selon le contexte
I.4. L’importation
Une importation en économie est une entrée dans un pays de biens ou services
provenant d’un autre pays. En informatique, une importation désigne l’action qui
permet de convertir des données d’une application à une autre.
Selon le contexte de l’étude, l’importation est une entrée dans pays de biens ou
services provenant d’un autre pays.
I.5. Domiciliation
38
I.5.2. Domiciliation bancaire d’un contrat d’importation
39
II.2. Acteurs et fonctionnement de la remise documentaire
II.2.1.1. L’exportateur
II.2.1.2. L’importateur
C’est la banque remettante parce que c’est elle qui a la charge de transmettre les
documents reçus de son client à la banque présentatrice.
Nous allons maintenant détailler une par une les étapes d’une remise documentaire.
40
II.2.2.1. La signature du contrat entre l’exportateur et l’importateur
Cette étape est très importante pour la réussite de toute l’opération. C’est dans le
contrat que les deux parties vont convenir des modalités de la transaction : la
marchandise, le transport et l’expédition, les délais de livraisons, les documents à
fournir par l’acheteur, la technique de paiement (en l’occurrence la remise
documentaire), l’instrument de paiement, ce qu’il faut faire en cas de litige (non-
paiement, problèmes sur la marchandise, etc.).
41
II.2.2.5. Présentation des documents
La banque de l’importateur avise son client dès la réception des documents. Elle ne
lui donne pas les documents mais lui indique ce qu’il doit faire pour les récupérer
: paiement immédiat à l’acceptation d’une lettre de change.
II.2.2.7. Paiement
La banque de l’exportateur reçoit les fonds et crédite le compte de son client, puis
elle lui transmet un avis de crédit pour l’informer de la mise à disposition des fonds
sur son compte.
42
Cette première partie de notre mémoire nous a permis de cerner deux concepts
différents et substantiels à notre étude que sont le cadre institutionnel qui nous a
renseigner sur l’évolution de la Société Générale Côte d’Ivoire, ainsi que le cadre
conceptuel qui nous a permis de faire la lumière sur certaines notions importantes
de notre étude, à savoir, l’évaluation et la procédure, mais aussi de faire une
généralité sur les règlements des importations dans le cadre d’une domiciliation
bancaire.
43
DEUXIEME PARTIE :
ANALYSE DE LA PROCEDURE
DE REGLEMENT
44
Dans cette deuxième partie de notre étude, nous montrerons le déroulement effectif
de la procédure de règlement des importations par remise documentaire, ainsi nous
mettrons en évidence les forces et faiblesses, afin d’apporter des recommandations
qui permettront d’améliorer le fonctionnement de la procédure.
45
CHAPITRE I : DESCRIPTION ET EVALUATION DE LA
PROCEDURE
I. DESCRIPTION DE LA PROCEDURE
La SGCI suit cette procédure bien précise pour le traitement des règlements des
importations par REMDOC.
Nous avons les acteurs extérieurs à la SGCI et les acteurs Société Générale.
46
I.2.1 Réception des documents
47
I.2.4. Validation du dossier de remise documentaire
I.2.7. Paiement a vu
Si le paiement est à vue dans ce cas, l’agent transmet un mail au chargé d’affaires
en mettant en copie le responsable de la cellule, le responsable du service et son
adjoint ainsi que le responsable marché pour obtenir son accord de paiement.
48
de la remise. Ainsi l’agent de la cellule REMDOC Reçois et imprime le mail
d’accord et le joins au dossier et faire endosser les documents de transport
(connaissement, lettre de voiture, etc.) par deux signataires habilités du service
étranger, conserve l’avis de domiciliation ; Puis remet les autres documents au
client contre décharge sur la liste récapitulative des documents et sur le dossier de
remise.
Si la remise des documents est émise contre acceptation alors , il faut faire endosser
les documents de transport (connaissement, lettre de voiture) par deux signataires
habilités du service étranger ensuite conserver l’avis de domiciliation et la traite
signée et timbrée, l’agent de la cellule REMDOC remet les autres documents aux
clients contre décharge sur la liste récapitulative des documents et sur le dossier de
remise puis saisis l’acceptation dans delta et la valider par le responsable de la
cellule , il procède ensuite à l’enregistrement du dossier dans le tableau de bord en
inscrivant le n° de dossier, nom du client, montant de l’effet, date d’échéance, date
d’acceptation),il inscrit alors la date d’acceptation sur le dossier et enfin classe le
dossier par échéance .
49
II. EVALUATION DE LA PROCEDURE
La notion de contrôle a fait l’objet de plusieurs définitions dont la célèbre est celle
du COSO (Committee of Sponsoring Organizations of the Treadway Commission)
qui définit le contrôle interne comme processus mis en œuvre par les dirigeants à
tous les niveaux de l’entreprise et destiné à fournir une assurance raisonnable quant
à la réalisation des trois objectifs suivants :
50
Tableau1 : Questionnaire relatif au traitement des remises documentaires
N° QUESTIONNAIRE REPONSES
OUI NON OBSERVATIONS
1 Existe-t-il un manuel de X
procédure ?
2 Le service de REMDOC est- X
il rattaché à un autre service ?
3 Les conditions de traitements X Le client se renseigne
du REMDOC est-il connu du auprès du conseiller
client ? de clientèle
4 Combien de temps met le 48 heures
traitement d’un REMDOC
5 Le solde du compte du client X
est – il vérifié avant le
règlement du REMDOC
6 Les acteurs intervenant dans X
le traitement du REMDOC
ont-ils les habilités
nécessaires ?
7 Le traitement du REMDOC X Mais les perturbations
est –il informatisé ? du réseau rendent le
traitement lent
51
LES POINTS FORTS COMMENTAIRES
52
Tableau 3 : les points faibles
LES POINTS FAIBLES COMMENTAIRES
53
Le premier chapitre de la deuxième partie de notre étude a consisté à décrire la
procédure de règlement par la remise documentaire des importations dans le cadre
d’une domiciliation bancaire qui est l’objet de notre étude. Ensuite nous avons
procédé à son évaluation. Au terme de ce chapitre, nous pouvons noter que
l’évaluation de la procédure a permis de révéler certaines insuffisances qui
pourraient constituer un frein au bon fonctionnement du processus. Il convient donc
de remédier à ce problème en apportant des recommandations susceptibles de
pallier ses faiblesses.
54
CHAPITRE II : ANALYSE DES FAIBLESSES ET
RECOMMANDATIONS
Apporter des solutions à un problème, c’est trouver les conditions d’éradication des
causes se trouvant à la base du problème tout en tenant compte des objectifs fixés.
Eu égard aux forces et faiblesses cités ci-dessus, nous allons dans ce présent
chapitre, analyser les résultats obtenus suite à l’évaluation pour ensuite faire des
recommandations dans le but de pallier ces faiblesses et d’améliorer la procédure
de règlements par remise documentaire.
I.1. Les bugs incessants du logiciel delta Bank pendant le traitement des
remises documentaire
Le logiciel delta qui sert au traitement des remises documentaires bug assez
souvent. Après avoir analysé l’existant, nous mettrons en évidence les risques liés
aux bugs incessants de delta sur le travail des agents.
Le logiciel delta, c’est l’outil informatique qui sert à traiter les remises
documentaires, par conséquent plus il est opérationnel mieux c’est car les agents
55
pourront dans ce cas traiter les remises assez rapidement et de ce fait respecter le
délai de traitement.
Mais force est de constater que parfois nous assistons à des bugs du logiciel. Ces
bugs engendrent un ralentissement considérable dans le processus de traitement des
remises documentaires. En effet, les agents disposent d’un délai de 48 heures pour
le traitement des remises documentaire du coup quand il y a des perturbations qui
surviennent les agents sont tenu d’arrêter le travail et de faire appel au service
informatique sachant que les agents du service informatique peuvent mettre plus
de temps pour venir régler le problème.
Nous nous retrouvons donc avec du retard, des dossiers en suspens et un travail qui
n’évolue pas.
Le client ne remet pas tous les documents exigés par la banque à l’agent de la
cellule documentaire pour le traitement de sa remise. Après avoir analysé l’existant,
nous mettrons en évidence les risques liés à l’absence de certain document exigé
par la banque.
Parfois les fournisseurs ne transmettent pas la totalité des documents utile pour
l’ouverture des remises documentaires de leurs clients. Pourtant sans l’ensemble
des documents, la banque ne peut traiter les remises documentaires.
57
ou le document manquant cela peut durer plusieurs heures voir des jours. Ce qui
entraine donc des suspends et retards et au non-respect du délai de traitement.
II. RECOMMANDATIONS
Cette seconde partie de ce chapitre, nous permettra d’une part de proposer des
recommandations adéquates aux faiblesses constater lors de l’analyse, d’autre part,
il sera question de montrer étroitement les différents impacts qui découlent de
l’application de ces recommandations.
II.1. Les bugs incessants du logiciel delta Bank pendant le traitement des
remises documentaires
Après avoir donné les solutions à cette faiblesse, nous montrerons les retombées de
celle-ci sur la SGCI si elles sont appliquées.
Nous proposons des solutions face à cette faiblesse puis nous donnerons l’impact
de celle-ci.
58
II.2.1. Recommandation(s)
II.2.2. Impact(s)
Le fait pour le client de remettre tous les documents nécessaires pour traitement de
sa remise documentaire permettra à l’agent de la cellule Remdoc d’aller plus vite
dans son travail afin de respecter le délai de traitement.
Nous allons montrer l’impact des solutions à cette faiblesse après les avoir
formulées
II.3.1. Recommandation(s)
II.3.2. Impact(s)
59
En somme, nous retiendrons que l’évaluation de la procédure de règlements par
remise documentaire des importations dans le cadre d’une domiciliation bancaire
passe essentiellement par la maitrise de cette procédure. Ce chapitre nous a permis
de faire une analyse de chacune des faiblesses relevées afin9 d’en ressortir les
risques potentiels. Enfin des recommandations ont été faites pour pallier ces
faiblesses.
60
Au terme de cette seconde partie, nous pouvons dire que nous avons atteint notre
objectif qui était d’évaluer la procédure de règlement par remise documentaire des
importations dans le cadre d’une domiciliation bancaire. Il a été d’abord question
de s’imprégner de cette procédure. Cela s’est fait par la prise de connaissances du
processus en décrivant les différentes étapes de la procédure et les tâches effectuées
par chaque acteur. Ensuite, l’évaluation de la procédure a été faite pour ressortir les
faiblesses du système. Des recommandations ont été proposés pour améliorer la
qualité du processus.
61
CONCLUSION
62
L’objet de notre stage à la Société Générale côte d’Ivoire, était de confronter nos
connaissances théoriques à la pratique. A l’issue de ce stage, nous pouvons dire
que cet objectif a été atteint parce que nous avons appris à travailler en temps réel
; et nous avons pu toucher du doigt les réalités de la vie professionnelle.
Ce processus reste une mise à jour récurrente pour le système bancaire. Elle doit
être maitrisée par tous les acteurs intervenants.
Pour la SGCI, les objectifs et les stratégies sont plus que jamais orientées vers la
satisfaction du client. Pourtant quelques faiblesses vont en l’encontre de cet
objectif. C’est dans cette optique que nous avons jugé nécessaire de procéder à une
analyse de la procédure de règlement des importations par remise documentaire. Et
cette analyse nous a relevé les faiblesses suivantes :
63
- les bugs incessants du logiciel de traitement delta Bank
- l’absence de certains documents exigés par la banque au client
- l’absence de certains documents utiles à l’ouverture d’une remise
documentaire exigés par la banque au fournisseur du client.
Nous avons pu :
Même si les recommandations émises ne seront pas dans leur totalité mises en
pratique par les acteurs intervenant dans la procédure, notre souci était de montrer
la nécessité d’une bonne maitrise de cette procédure. Aussi l’objectif de la cellule
REMDOC consiste à respecter au mieux le délai de traitement afin de permettre au
client de rentrer en possession de sa marchandise assez rapidement.
64
mesures nécessaires afin de les faire appliquer par tous les intervenants pour un
résultat plus efficace et maintenir la pérennité de la banque.
65
BIBLIOGRAPHIE
66
OUVRAGES GENERAUX :
▪ GANDY Jean-Marc et PARIS Frédéric (2016), Établir mes documents ISO
9001 version 2015 : le couteau suisse de la qualité, Paris, Éditions AFNOR,
210p.
▪ Organisation de Coopération et de développement Économique (1991),
Paris.
▪ SELMER Caroline (2006), Toute la fonction finance, 2ème Edition, Paris les
éditions CHIRAT, 448p.
OUVRAGES SPECIFIQUES :
▪ KAMGA Louis (2018), traitement des opérations bancaires de financement
et de sécurisation à l’international : crédit documentaires et remise
documentaires, Editions Independently published, 124p.
▪ LEGRAND Ghislaine et MARTINI Hubert (2008), gestion des opérations
import-export Paris Edition Dunod.
MEMOIRES :
▪ Bodji Marie-Michelle, évaluation de la procédure de résiliation de contrats
entre la SGCI ex SGBCI et particuliers, mémoire en vue de l’obtention du
diplôme de licence professionnelle en Audit et Contrôle de gestion,
AGITEL-FORMATION,
▪ Tagro Grâce Manuella, règlement des importations dans le cadre d’une
domiciliation bancaire : cas SGCI, rapport de stage pour l’obtention du BTS
option FCGE, GROUPE LOKO, octobre 2019
WEBOGRAPHIE :
▪ https://societegenerale.ci , consulté en Mai 2020
▪ www.comprendrelespaiements.com , consulté en Mai2020
▪ www.assurance-credit-entreprise.fr , consulté en Juin 2020
▪ https://www.raiffeisen.ch , consulté en Juin 2020
67
ANNEXES
68
LISTE DES ANNEXES
Annexe 1 : organigramme de la SGCI
Annexe 2 : saisie des remises import
Annexe 3 : détail des chèques et effets du dossier
Annexe 4 : description des documents
Annexe 5 : caractéristique de la remise import
Annexe 6 : commissions et frais sur la remise documentaire import
69
Annexe 1 : organigramme de la SGCI
70
Annexe 2 : saisie des remises import
71
Annexe 3 : détail des chèques et effets du dossier
72
Annexe 4 : description des documents
73
Annexe 5 : caractéristique de la remise import
74
Annexe 6 : commissions et frais sur la remise documentaire import
75
TABLE DES MATIERES
DEDICACE : ..........................................................................................................I
REMERCIEMENTS ............................................................................................ II
AVANT – PROPOS ............................................................................................ III
SIGLES ET ABREVIATIONS...........................................................................IV
TABLE DES TABLEAUX ................................................................................... V
INTRODUCTION ................................................................................................. 1
PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DU CADRE DE L’ETUDE......... 8
CHAPITRE I : PRESENTATION DU CADRE INSTITUTIONNEL .......... 10
I. PRESENTATION GENERALE DE LA SOCIETE GENERALE COTE
D’IVOIRE ......................................................................................................... 10
I.1 Historique de la SGCI et les faits marquants............................................. 10
I.1.1 Historique de la SGCI............................................................................. 10
I.1.2 Les faits marquants antérieurs à 2005 .................................................... 11
I.1.2.1. Inauguration de l’immeuble du siège ................................................. 11
I.1.2.2. Introduction de la gestion des comptes en temps réel ........................ 11
I.1.2.3. Cotation à la bourse des valeurs d’Abidjan ........................................ 12
I.1.2.4. Extension du réseau d’agence............................................................. 12
I.1.2.5. Ouverture du complexe de Vridi ........................................................ 12
I.1.3 Les faits marquants de 2005 à maintenant ............................................. 13
I.1.3.1. Le capital et son évolution .................................................................. 13
I.1.3.2. Les chiffres clés et ses réalisations ..................................................... 13
I.1.3.3. Les valeurs .......................................................................................... 14
I.1.3.4. L’esprit d’équipe................................................................................. 14
I.1.3.5. L’innovation ....................................................................................... 14
I.1.3.6. La responsabilité ................................................................................. 15
I.1.3.7. L’engagement ..................................................................................... 15
I.1.3.8. Le changement de nom de la banque ................................................. 15
I.2. L’organisation de la SGCI ........................................................................ 16
I.2.1. Les organes de décisions ....................................................................... 16
I.2.1.1. L'assemblée générale des actionnaires ............................................... 16
I.2.1.2. Le conseil d’administration ................................................................ 17
I.2.2. Les organes d’exécutions....................................................................... 17
I.2.2.1. La direction générale (DG) ................................................................. 17
I.2.2.2. La direction des ressources humaines (DRH) .................................... 17
I.2.2.3. La direction des ressources (DR)........................................................ 18
I.2.2.4. La direction des entreprises et marchés financiers (DEMF) .............. 18
76
I.2.2.5. Les autres directions opérationnelles .................................................. 19
I.3. Les autres directions opérationnelles ........................................................ 20
I.3.1. Les produits comptes ............................................................................. 20
I.3.1.1. Le compte chèque ............................................................................... 20
I.3.1.2. Le compte Eco .................................................................................... 20
I.3.1.3. Le compte Épargne ............................................................................. 21
I.3.1.4. Le compte starter ................................................................................ 21
I.3.1.5. Le compte Sogeprimo ......................................................................... 21
I.4. Les produits d’épargne et de placement ................................................... 21
I.4.1. Le credimatic ......................................................................................... 22
I.4.2. Le plan épargne logement (PEL) ........................................................... 22
I.4.3. Le plan d’épargne investissement (PEI) ................................................ 22
I.4.4. Le dépôt à terme (DAT) ........................................................................ 22
I.4.5. Le car 8 .................................................................................................. 23
I.4.5. Fcp sogevalor ......................................................................................... 23
I.5. Les produits d’assurances ......................................................................... 23
I.5.1. Assistance et voyage .............................................................................. 23
I.5.2. Certicompte............................................................................................ 23
I.5.3. Prz performance ..................................................................................... 24
I.5.4. Quietis plus ............................................................................................ 24
I.5.5. Yaconfort ............................................................................................... 24
I.5.6. Sogetudes ............................................................................................... 24
I.6. Les produits monétiques ........................................................................... 25
I.6.1. Les cartes magnétiques .......................................................................... 25
I.6.1.2. La carte magnétique ECLAIR ............................................................ 25
I.6.1.3. La carte visa électron .......................................................................... 25
I.6.1.4. La carte visa classic ............................................................................ 25
I.6.1.5. La carte visa premier .......................................................................... 25
I.6.1.6. La carte HORIZON ............................................................................ 26
I.6.1.7. La carte BUSINESS ........................................................................... 26
I.6.2. Les chèques ............................................................................................ 26
I.6.3. Le terminal de paiement électronique (TPE)......................................... 26
I.6.4. Le distributeur automatique de billets (DAB) ....................................... 27
I.7. Les produits de banque à distance ............................................................ 27
I.7.1. Yeri ........................................................................................................ 27
I.7.2. Vocalia plus ........................................................................................... 27
I.7.3 Messalia ................................................................................................ 28
I.7.4. Le push................................................................................................... 28
I.7.5. Le pull .................................................................................................... 28
I.7.6. Sogeline ................................................................................................. 29
77
I.7.7. Sgbci connect ......................................................................................... 29
I.8. Les prêts bancaires .................................................................................... 29
I.8.1. Les crédits à la consommation............................................................... 30
I.8.1.1. Les prêts ordinaires ............................................................................. 30
I.8.1.1.1. Le crédit express .............................................................................. 30
I.8.1.1.2. Le crédit personnel ordinaire (PPO) ................................................ 30
I.8.1.1.3. IZI PC ET crédit liberté ................................................................... 30
I.8.1.1.4. Rappel plus ...................................................................................... 30
I.8.1.2. Les prêts exceptionnels ....................................................................... 31
I.8.1.3. Le découvert en compte ...................................................................... 31
I.8.2. Les crédits immobiliers ......................................................................... 31
II. ORGANISATION ET FONCTIONNEMEN DU SERVICE
ETRANGER ..................................................................................................... 32
II.1. Organisation et fonctionnement du service étranger............................... 32
II.1.1. Organisation du service étranger .......................................................... 32
II.1.2. Fonctionnement du service étranger .................................................... 32
II.1.2.1. La cellule transfert/rapatriement ....................................................... 32
II.1.2.2. La cellule caisse de change ............................................................... 33
II.1.2.3. La cellule documentaire .................................................................... 33
II.1.2.4. La cellule domiciliation ..................................................................... 33
CHAPITRE II : PRESENTATION DU CADRE CONCEPTUEL ................ 36
I. GENERALITES......................................................................................... 36
I.1. Définition d’évaluation ............................................................................. 36
I.1.1. Selon le comité d’aide au développement ............................................. 36
I.1.2. Selon le contexte de l’étude ................................................................... 36
I.2. Définition de la procédure ........................................................................ 37
I.2.1. Définition générale ................................................................................ 37
I.2.2. Définition selon le contexte ................................................................... 37
I.3. Le règlement ............................................................................................. 37
I.3.1. Définition ............................................................................................... 37
I.3.2. Définition selon le contexte ................................................................... 38
I.4. L’importation ............................................................................................ 38
I.4.1. Définitions selon le contexte général .................................................... 38
I.4.2. Définitions selon le contexte de l’étude ................................................ 38
I.5. Domiciliation ............................................................................................ 38
I.5.1. Domiciliation bancaire .......................................................................... 38
I.5.2. Domiciliation bancaire d’un contrat d’importation ............................... 39
II. LES DIFFERENTES ETAPES DE REALISATION DE LA REMISE
DOCUMENTAIRE .......................................................................................... 39
78
II.1. Définitions et formes de la remise documentaire .................................... 39
II.1.1. Définitions de la remise documentaire ................................................. 39
II.1.2. Les différentes formes de la remise documentaire............................... 39
II.2. Acteurs et fonctionnement de la remise documentaire ........................... 40
II.2.1. Les acteurs de la remise documentaire................................................. 40
II.2.1.1. L’exportateur ..................................................................................... 40
II.2.1.2. L’importateur..................................................................................... 40
II.2.1.3. La banque de l’exportateur ................................................................ 40
II.2.1.4. La banque de l’importateur ............................................................... 40
II.2.2. Les différentes étapes de la remise documentaire ................................ 40
II.2.2.1. La signature du contrat entre l’exportateur et l’importateur ............. 41
II.2.2.2. L’expédition de la marchandise ........................................................ 41
II.2.2.3. La remise de documents .................................................................... 41
II.2.2.4. L’envoi des documents...................................................................... 41
II.2.2.5. Présentation des documents .............................................................. 42
II.2.2.6. Paiement /acceptation d’une lettre de change ................................... 42
II.2.2.7. Paiement ............................................................................................ 42
II.2.2.8. Avis de crédit..................................................................................... 42
79
II.1. Evaluation par le questionnaire du contrôle interne (QCI) ..................... 50
II.1.1. Définition du questionnaire du contrôle interne................................... 50
II.1.2. Description du QCI .............................................................................. 50
II.2. Synthèse des forces et faiblesses ............................................................. 51
II.2.1. Les points forts de la procédure ........................................................... 51
II.2.2. Les points faibles de la procédure ........................................................ 52
CHAPITRE II : ANALYSE DES FAIBLESSES ET
RECOMMANDATIONS .................................................................................... 55
I. ANALYSE DES FAIBLESSES DE LA PROCEDURE DE
REGLEMENT PAR REMISE DOCUMENTAIRE ..................................... 55
I.1. Les bugs incessants du logiciel delta Bank pendant le traitement des
remises documentaire ...................................................................................... 55
I.1.1. Analyse de l’existant.............................................................................. 55
I.1.2. Risque lié aux bugs du logiciel delta ..................................................... 55
I.2. L’absence de certain document exigé par la banque au client ................. 56
I.2.1. Analyse de l’existant.............................................................................. 56
I.2.2. Risque lié à l’absence de certains documents exigés par la banque au
client ................................................................................................................ 56
I.3. L’absence de certain documents exigés par la banque aux fournisseurs
nécessaires à l’ouverture d’une remise documentaire .................................... 57
I.3.1. Analyse de l’existant.............................................................................. 57
I.3.2. Risques liés à l’absence de certains documents utiles au traitement..... 57
II. RECOMMANDATIONS .......................................................................... 58
II.1. Les bugs incessants du logiciel delta Bank pendant le traitement des
remises documentaires .................................................................................... 58
II.1.1. Recommandation (s).......................................................................... 58
II.1.2. Impact (s) .............................................................................................. 58
II.2. L’absence de certains documents exigés par la banque au client ........... 58
II.2.1. Recommandation(s)............................................................................ 59
II.2.2. Impact(s) ............................................................................................ 59
II.3. L’absence de certains documents nécessaires à l’ouverture d’une remise
documentaire ................................................................................................... 59
II.3.1. Recommandation(s).............................................................................. 59
II.3.2. Impact(s) ............................................................................................ 59
CONCLUSION .................................................................................................... 62
BIBLIOGRAPHIE .............................................................................................. 66
ANNEXES ............................................................................................................ 68
TABLE DES MATIERES................................................................................... 76
80
81