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Les mots clés 

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 Un établissement universitaire privé spécialisé en gestion au Maroc, chercher à
recruter les marocaines résidant à l’étranger MRE.
 Décision du M. KAMAL : il est tenté par l’aventure d’un retour pour participer à ce
décollage + les salaires dans les écoles privées sont intéressants.
 Les enfants se sentent plus canadiens que marocains = l’appartenance.
 Accueilli par son directeur qui l’installe dans son bureau, puis disparait.
 Aucune assistance ne lui proposée pour se préparer à la transition.

 Les contacts avec les collègues sont occasionnels


 Kamal pensait tout connaitre sur le Maroc et les Marocains, mais il se rend compte
que pendant ses 22 ans aux canadas beaucoup de chose ont changé.
 La nouvelle génération ne réagit pas du tout de la même façon que la sienne. Les
jeunes sont plus individualistes et beaucoup d’entre eux, sur les réseaux sociaux, les
étudiants décident de rester chez eux, mémé avec les collègues les relations semblent
difficiles
 Il se rend compte que l’immobiliers est très cher.
 Les enfants sont inscrits dans une école privée, car l’enseignement public ne semblait
pas pouvoir leur garantir un niveau suffisant.
 Après la phase d’euphorie, la déception commence à apprendre le dessus.
 La charge de travail et la non compréhension de la culture et du fonctionnement de son
organisation ne font qu’augmenter sa frustration.
 Les étudiants ne sont pas souvent à l’heure pour les cours, au contraire au Canada la
plupart des étudiants préparent et lu les documents.
 Tout est l’objet de longues négociations : l’exemple cité dans le cas.
 Il constate qu’il a très peu de collaboration de la part des collègues, très peu d’échange
d’expérience.
 Ils doivent tout faire et tout gérer, avec une charge administrative et pédagogique très
lourde.
 Son épouse peine à trouver du travail malgré sa grande expertise.
 Elle a bien essayé de s’impliquer dans les associations de femmes du quartier, mais
elle ne se sent pas intégrer, notamment en raison du fait qu’elle n’est pas musulmane.
 Les enfants se sent fait des amis à l’école, mais leur autonomie et leur liberté de
mouvement leur manquent.

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