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Aux étudiants :
Ces résumés complètent vos notes prises en cours, auquel je vous
recommande d'être assidus. Veuillez consulter la version la plus
récente de ces résumés sur le site Moodle indiqué ci-dessus, afin
de bénéficier des mises à jour les plus récentes. N'hésitez pas à me
contacter si besoin. Merci.
« Les économistes et leurs revues », "Revue d'Economie Politique", vol. 114, n°3, mai-juin 2004,
pp. 275-288.
Et « Problèmes économiques », n°2859, 29 septembre 2004, pp. 37-41.
Patrick Artus Olivier Pastré Sorties de crise Ce qu'on ne nous dit pas Ce qui nous attend Perrin
2009
Pascal Bassino Jean-Yves Leroux Pascal Michelena Les politiques économiques Foucher 2005
Agnès Bénassy-Quéré Benoît Coeuré Pierre Jacquet Jean Pisani-Ferry Politique économique
De Boeck 2009
Antoine Bozio Julien Grenet ed. Économie des politiques publiques La Découverte Repères
2010
www.ecopublix.eu
Jean Pisani-Ferry Politique économique : avons-nous appris ? Revue économique 2008/3 vol. 59
pp. 387-412
(1) Philippe Adair La théorie de la justice de John Rawls Revue française de science politique 1991
41-1 pp. 81-96
(2) Agnès Bénassy-Quéré Benoît Coeuré Pierre Jacquet Jean Pisani-Ferry Politique
économique De Boeck 2009 ch. 1
(3) Antoine Bozio Julien Grenet ed. Économie des politiques publiques La Découverte Repères
2010 ch. 1 & 6
(4) Philippe Van Parijs John Rawls, père fondateur de la pensée politique contemporaine Le Monde
27 novembre 2002
Trois approches :
– l'allocation des ressources (leur affectation entre différents usages, selon les
objectifs poursuivis ou à cause de défaillances de marché).
– la stabilisation économique (pour corriger des écarts par rapport à l'évolution
souhaitée).
– la redistribution (entre régions, entre acteurs) qui vise à modifier la
répartition des revenus.
En pratique, l'évaluation des effets des politiques économiques fait appel à des
outils différents pour les questions d'allocation, de stabilisation, de
conventions).
2 Jeremy BENTHAM (1748-1832), philosophe et juriste britannique. Sa doctrine est l'utilitarisme : « le plus grand
bonheur pour le plus grand nombre ». Chaque individu agit en fonction de l'utilité (c'est-à-dire du plaisir) qu'il retire
de ses actions. Bentham, qui propose une arithmétique des plaisirs, les uns comparés aux autres, estime que l'État
doit prendre les mesures qui permettent de maximiser le bonheur total.
3 John RAWLS (1921-2002), philosophe américain. Dans ses travaux, il cherche à rendre compatible la liberté la plus
grande avec une égalité effective des chances la plus forte. Sa théorie repose sur deux principes : le principe de
liberté-égalité (la liberté de chacun, qui est la même pour tous, respecte la liberté d'autrui de se réaliser) ; le principe
de différence, qui admet des inégalités justes (à condition qu'elles ne perturbent pas la mobilité sociale et qu'elles se
fassent au plus grand bénéfice de la société). Et il revient à l'État de faire fonctionner des institutions qui soient
justes. Pour Rawls, c'est donc la redistribution qui prime sur les autres motifs de l'intervention publique, de sorte que
c'est l'optimum social qui conduit à l'optimum économique (1) p. 90-91.
La thèse de Rawls est une alternative à celle de Bentham (4).
Les évaluations ne doivent pas négliger les effets secondaires. C'est ainsi par
exemple qu'une baisse d'impôt a des effets directs (par exemple accroissement
de la demande) et indirects (en améliorant le sort des acteurs soumis à cet
impôt).
L'évaluation des politiques est indispensable afin de les corriger ou de mieux les
adapter à leurs objectifs. Ses modalités sont variées : elle est effectuée
prioritairement par l'administration ou par des experts directement rattachés au
gouvernement (c'est le cas de la France) ou par des institutions parlementaires
(c'est le cas aux États-Unis) afin de faciliter le débat public (3) pp. 116-117.
(1) Agnès Bénassy-Quéré Benoît Coeuré Pierre Jacquet Jean Pisani-Ferry Politique
économique De Boeck 2009 ch. 2
(2) Antoine Bozio Julien Grenet ed. Économie des politiques publiques La Découverte Repères
2010 ch. 1 & 6
Toutes ces limites conduisent les gouvernants à déléguer leur pouvoir à des
agences indépendantes et à édicter des règles fermes que les gouvernants
s'interdisent de transgresser.
(1) Pascal Bassino Jean-Yves Leroux Pascal Michelena Les politiques économiques Foucher
2005 ch. 1
(2) Agnès Bénassy-Quéré Benoît Coeuré Pierre Jacquet Jean Pisani-Ferry Politique économique De
Boeck 2009 ch. 1
Pour une application simple, réfléchir sur le petit modèle à la fin de ce chapitre.
– Mais cette fonction d'utilité collective, Arrow4 a démontré qu'il n'était pas
possible de la construire à partir des relations de préférence individuelles.
– Il existe des seuils et des délais qui rendent la politique économique plus
difficile.
– A défaut d'atteindre la meilleure solution possible, on pourra se contenter
d'un optimum de second rang (second best)
– Le passage du modèle économique au modèle économétrique pose
également des difficultés, en particulier pour la prise en compte des
comportements et de la dynamique entre variables
Pourquoi des biens collectifs ? Parce qu'il n'est pas dans l'intérêt des particuliers
de les produire !
Si Y est le revenu, A les dépenses autonomes (en fait ici le solde budgétaire), C
la consommation des ménages, c leur propension à consommer, on a :
Donc : Y = [ 1 / (1 – c) ] A = k A (3)
ou bien : A* = (1 / k ) Y* (4)
(1) Pascal Bassino Jean-Yves Leroux Pascal Michelena Les politiques économiques Foucher
2005 ch. 2
(2) Agnès Bénassy-Quéré Benoît Coeuré Pierre Jacquet Jean Pisani-Ferry Politique économique De
Boeck 2009 ch. 1
Pour pallier les défaillances du marché, l'État est conduit à aider des secteurs à
productivité faible, d'où la faible productivité du secteur public (loi de
Baumol6). Qui s'explique également par une gestion bureaucratique par l'État
(Olson7). Cependant, pour nombre de secteurs économiques, comme
l'éducation, la recherche, les infrastructures..., la production de biens publics
améliore les performances du secteur privé.
Il est animé par les hommes politiques, soucieux de leur réélection. Les
décisions populaires (baisse des impôts) sont prises avant les élections, les
décisions impopulaires (hausse des impôts) après ! Ces manipulations de
l'opinion (mais les électeurs sont-ils tous dupes ?) sont nocives pour l'activité
économique (stop and go) et pour la crédibilité des hommes politiques.
J = r1 U1 ( YP ) + r2 U2 ( - V ) + r3 U3 (- P ) + r4 U4 ( G , Y1 )
(1) Jean-Pascal Bassino Jean-Yves Leroux Pascal Michelena Les politiques économiques
Foucher 2005, ch. 3
(2) Agnès Bénassy-Quéré Benoît Coeuré Pierre Jacquet Jean Pisani-Ferry Politique économique De
Boeck 2009 ch. 2 & 7
Pour les théoriciens des choix publics (public choices), les choix politiques sont
influencés par les variables économiques. Ce sont les électeurs (ou la majorité)
qui dictent leur choix aux hommes politiques. Ceux-ci surveillent leur indice de
popularité dans les sondages et conduisent la politique la plus adaptée à cette
cote de popularité, à leur idéologie et à leur contrainte budgétaire. Dès lors,
pour les tenants de cette théorie des choix publics, le cycle politico-économique
n'est plus une dérive mais une règle de fonctionnement de l'économie. Donc la
politique économique n'est pas efficace. Elle est liée à deux fonctions : la
popularité, la réaction gouvernementale.
Cette théorie, cependant, est inspirée par une vision plutôt cynique de la
démocratie (cf. (2) pp. 109-113). En réalité, l'électeur intervient dans le débat en
dehors des périodes électorales (grèves, lobbyisme) et l'élu est le serviteur de
l'intérêt général et applique son programme.
2. Anticipations rationnelles
Généralement, on estime que les comportements des agents sont adaptatifs : les
3. L'économie de l'offre
Pour relancer l'économie, il faut non pas stimuler la demande mais libérer
l'offre. En effet, l'excès de pression fiscale, l'excès des transferts (incitations à
l'inactivité et au travail au noir) et les coûts de la réglementation entravent
l'offre. C'est ainsi que la courbe de Laffer illustre que l'accroissement du taux
d'imposition, en décourageant l'activité économique, peut engendrer une baisse
des recettes fiscales de l'État.
(1) Patrick Artus Olivier Pastré Sorties de crise Ce qu'on ne nous dit pas Ce qui nous attend Perrin
2009
(2) Jean-Pascal Bassino Jean-Yves Leroux Pascal Michelena Les politiques économiques Foucher
2005 ch. 5
(3) Agnès Bénassy-Quéré Benoît Coeuré Pierre Jacquet Jean Pisani-Ferry Politique économique De
Boeck 2009 ch. 3
(4) Philippe Jeannin, Politique économique, notes de cours de maîtrise de Sciences Économiques,
Université de Perpignan, 1990,
1. Enjeux
Historiquement :
Les asymétries d'information entre l'État et ses partenaires sont nombreuses (et
mobilisent la théorie de l'agence, cf. (3) pp. 84-89). Pour corriger certaines de ces
asymétries, a été introduite la LOLF (loi organique relative aux lois de finances)
qui introduit, depuis 2006, des programmes d'action et de performance pour les
administrations de l'État, avec des indicateurs de performance appréciés par le
Parlement et la Cour des comptes.
2. Théories
– Si la courbe d'offre est très pentue, alors la demande est pénalisée par une
hausse des prix.
3. Politiques
4. La multiplication budgétaire
Cette modélisation, très fruste, peut être enrichie. Par exemple par la prise en
compte d’une imposition directe. Soit T = t Y + k, où t désigne le taux de l’impôt
direct ( 0 < t < 1). Avec encore Y = C + I + G et la fonction C = a (Y - T) + b, on
obtient : Y = [ 1 / (1 - a + a t) ] (G + I + b - a k). D’où le nouveau multiplicateur
budgétaire : k i d = ΔY / ΔG = 1 / ( 1 - a + a t ) qui est inférieur au multiplicateur k
G. L’impôt direct apparaît donc comme une fuite, puisque l’impact multiplicateur
est réduit.
(1) Agnès Bénassy-Quéré Benoît Coeuré Pierre Jacquet Jean Pisani-Ferry Politique
économique De Boeck 2009 ch. 7
(2) Antoine Bozio Julien Grenet ed. Économie des politiques publiques La Découverte Repères
2010 ch. 2 www.ecopublix.eu
(3) Guy Gilbert article « Fiscalité » dans le Dictionnaire de sciences économiques ed. Claude Jessua
Christian Labrousse Daniel Vitry PUF 2001 pp. 421-424
(4) Pascal Monier Economie générale Gualino 2005 ch. 5 & 13
1. Enjeux
■ assiette (ou base) fiscale, comme les revenus ou les profits. L'assiette
correspond à la valeur de l'objet imposable à laquelle on applique le taux.
■ taux moyen, taux marginal. Le taux moyen est le rapport de l'impôt à la
valeur de l'assiette. Le taux marginal correspond au montant prélevé sur le
dernier euro de la base fiscale.
■ impôt proportionnel, progressif, dégressif. Un impôt est proportionnel
si son taux moyen ne varie pas en fonction de la taille de l'assiette. Un impôt est
progressif (resp. dégressif) si son taux moyen augmente (resp. diminue) avec la
valeur de l'assiette.
■ impôt forfaitaire (avec effet revenu) ou non forfaitaire (avec distorsion
des prix).
■ impôt affecté (à un usage particulier) ou non affecté.
■ impôt direct (payé par le contribuable au Trésor), comme l'impôt sur le
revenu. Impôt indirect (versé à un intermédiaire), comme la TVA (qui est un
impôt sur la consommation et non sur la valeur ajoutée).
■ pression fiscale. C'est la part des prélèvements obligatoires (cotisations
sociales comprises) dans le PIB.
■ niche fiscale. C'est une fiscalité dérogatoire (appelée aussi dépense
fiscale) (environ 500 en France !). Dérivons-nous vers un nouveau Moyen Age
1.2. Historique
2. Théories
Pour une économie tout entière, la taxation crée des distorsions sur les
quantités, sur les prix, sur les comportements donc.
Par exemple, une taxation accrue peut avoir pour effet de diminuer les recettes
fiscales (cf. courbe de Laffer).
3. Politiques
« Le débat politique sur le bon niveau des prélèvements obligatoires n'a ... pas
beaucoup de fondements empiriques. Les économies scandinaves, où le taux de
prélèvement atteint presque 60 % mais où le consentement à l'impôt est fort,
sont-elles moins prospères ou efficaces que l'Australie, où il est inférieur à
40 % ? » (1) p. 579
■ fiscalité paternaliste
■ fiscalité écologiste
(1) Agnès Bénassy-Quéré Benoît Coeuré Pierre Jacquet Jean Pisani-Ferry Politique économique De
Boeck 2009 ch. 4
(2) Marie Delaplace Monnaie et financement Dunod 2006
(3) Philippe Jeannin Crise et éthique Cahiers du GRES 2009-03 http://cahiersdugres.u-
bordeaux4.fr/2009/2009-03.pdf
(4) Bernard Landais La politique monétaire et la crise MPRA (Munich Personal RePEc
Archive) Juin 2009 http://mpra.ub.uni-muenchen.de/15652/
1.1. La montée des périls : au début des années 2000, politique monétaire de la
FED laxiste, développement des crédits hypothécaires, forte croissance de la
masse monétaire mondiale, laxisme également de la BCE, poursuite des
innovations et dérégulations financières.
2.2. La récession est aggravée par la crise financière. C'est généralement le cas
lorsque sont réunis plusieurs phénomènes comme une vive expansion préalable
du crédit, des prix immobiliers en hausse, une surchauffe des marchés des biens
et du travail et une perte de compétitivité extérieure. Il revient alors à la
politique monétaire de relancer l'activité.
2.4. Éviter la déflation : une ardente obligation pour les banques centrales. La
déflation, en effet, augmente le coût des dettes et diminue la demande des biens
(car on anticipe de nouvelles baisses).
3.1. Les leçons à tirer : prévention et action. A l'avenir, la lutte contre l'inflation
sera relativisée, et des objectifs nouveaux, comme la surveillance des bulles
immobilières, devront être intégrés. Pour Landais, « en période de crise
déclarée, le rôle de la politique monétaire peut être défini assez simplement :
prendre toutes les mesures susceptibles d'accroître la demande ».
3.2. Les moyens non orthodoxes. Des banques centrales, comme la FED et la
Banque d'Angleterre, ont réhabilité des politiques de quantité (augmentation de
la base monétaire ou des réserves excédentaires des banques) en y ajoutant des
concours aux agents privés (papier commercial et titres à long terme
représentatifs de crédits, notamment hypothécaires)9.
8 Pour cet économiste, comme pour Ben Bernanke, la crise financière s'explique par un grippage du processus
d'information indispensable à la passation de contrats de prêts. Si le processus est grippé, l'incertitude des acteurs,
les banques en particulier, s'accroît.
9 Pour ce point, cf. Laurent Clerc Les mesures non conventionnelles de politique monétaire Focus (Banque de France)
n°4 23 avril 2009 4 p.
(1) Jean-Pascal Bassino Jean-Yves Leroux Pascal Michelena Les politiques économiques Foucher
2005 ch. 6
(2) Agnès Bénassy-Quéré Benoît Coeuré Pierre Jacquet Jean Pisani-Ferry Politique économique
De Boeck 2009 ch. 8 www.politiqueeconomique.com
(3) Jacques Freyssinet Le Chômage La Découverte 2004 troisième partie
(4) Bernard Gazier Tous « Sublimes ». Vers un nouveau plein-emploi Flammarion 2003
(5) Muriel Pucci Julie Valentin Flexibiliser l'emploi pour réduire le chômage : une évidence
scientifique ? 2008 www.cee-recherche.fr
Les politiques de l'emploi ont pour objectif de résorber les déséquilibres sur le
marché du travail.
Définitions à connaître [(2) p. 616] : le marché du travail, les chômeurs, les
actifs, les inactifs, le taux d'activité, le taux de chômage, le taux d'emploi.
2. Quels outils ?
[ (1) pp. 110-126 ; (2) pp. 662-699 ; (4) ]
Avec l'échec des politiques libérales initiées dans les années 1980, les politiques
de l'emploi passent au premier rang et sont consacrées par l'Union européenne
(1997).
3. Quels résultats ?
Dans les années 1970 et 1980, les mesures prises concernent l'offre de travail
(indemnisation, aide à l'emploi pour l'embauche des jeunes, aide à la
Depuis les années 1990, priorité à l'activation des dépenses : redéploiement des
dépenses vers des mesures actives, dépenses de formation...
Aujourd'hui, par rapport aux années 1990, les petits pays d'Europe du Nord
comme les pays libéraux (USA, Royaume-Uni) ont une meilleure situation de
l'emploi.
En France, avec la crise, les perspectives sont sombres (cf. OCDE, 2009), en
particulier pour les jeunes, qui craignent un déclassement social, pourtant
marginal (cf. Eric Maurin, Le Monde du 8 octobre 2009).
Succès de cette politique qui combine une politique active, une législation très
libérale en matière de licenciements et une prise en charge importante des
chômeurs (indemnisation et formation).
Les ressources n'étant pas réparties également entre tous, faut-il corriger cette
répartition ?
Pour Hayek, les inégalités sont injustes si elles sont une entrave au bien-être
collectif.
– Les indicateurs : le rapport interdécile est calculé pour mettre en évidence les
écarts entre les plus riches et les plus pauvres. La courbe de Lorenz
représente la concentration d'une variable pour une population donnée.
– La théorie du cycle de vie (6) décrit les relations entre patrimoine et revenu.
Pour Brumberg et Modigliani (1954) l'individu planifie sa consommation sur
son horizon de vie, et son patrimoine est essentiellement une réserve de
consommation différée, afin de couvrir les besoins de ses vieux jours.
2. Les politiques
L'impôt n'est pas un mal nécessaire. C'est un bien nécessaire, qui permet de
financer éducation, recherche, infrastructures, institutions (facteurs de
croissance). C'est le juste prix des biens publics (5). En France, les ressources
de l'État proviennent pour l'essentiel de prélèvements obligatoires. Par rapport
aux USA ou au Royaume-Uni ou au Japon, la France a un taux de pression
fiscale relativement élevé.
– Raisons politiques : les innovations dont il a été question ne sont-elles pas trop
libérales pour être adoptées par un pays comme la France ? Non, car ces
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