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Contexte :
Depuis les années 90, la Gestion de Projet connaît un engouement majeur de la part des
petites et grandes organisations. Les organisations, avec ou sans but lucratif, reconnaissent
qu’une bonne méthodologie et une approche logique et systématique permettent d’optimiser les
résultats obtenus dans le cadre des projets, quelle que soit son envergure. Depuis ces années, la
référence en termes de gestion de projet se tourne vers l’école de la « Project Management
Institute » qui dicte les lignes de conduite à travers leur Corpus de connaissance en Gestion de
Projet (PMBooK).
Objectifs du cours :
À la fin de ce cours, l’étudiant ou l’apprenant aura une compréhension des activités stratégiques
et opérationnelles de la gestion de projet. Plus spécifiquement, l’étudiant sera capable de:
• Analyser un programme de maitrise d’ouvrage ;
• Exploiter des documents techniques (contractuels ou réglementaires de MO)
• Monter un APS, APD, DCE…
• Comprendre la sélection stratégique de projets et priorisation
• Prendre en compte la dimension environnementale et sociale ;
• Intégrer la notion de durabilité et de risque ;
Méthode d’enseignement
Le cours se décompose en 05 séances avec une étude de cas pratique de la gestion de
la maitrise d’œuvre dans le projet de bitumage de la route ZOETELE-NKOLYOP (BET Egis
Cameroun) dans la boucle du Dja et Lobo sous forme de grand oral. La pédagogie choisie est
une pédagogie mixte combinant connaissances théoriques effectué par l'enseignant et
consolidation des connaissances au travers de différentes expériences de terrain.
Des thèmes seront donnés aux étudiants et ces derniers proposeront des styles de
management pour résoudre le problème. Les projets pourront être proposés tant par les étudiants
que par les collectivités territoriales décentralisées ou l’institut. Le cours associe l’acquisition
des éléments méthodologiques essentiels via lectures et recherche e-learning, des simulations
de présentation avec vidéo projecteur, des temps de travail en groupe avec l’appui d’un tuteur
si possible.
I. LES PROLEGOMENES 6
I. 2. Le Schéma Directeur 7
I. 3. Le Comité de pilotage 7
En pratique 11
BIBLIOGRAPHIE 30
Cours :
MANAGEMENT D’UNE MAITRISE D’ŒUVRE OU MISSION DE CONTROLE
I. Les Prolégomènes
I. 1. Définition du concept et caractéristiques du management d’une
Maitrise d’œuvre
I. 2. Le Schéma Directeur
Un projet doit s'inscrire dans les objectifs généraux de l'entreprise car il mobilise
généralement du personnel pendant une grande période de temps. C'est la raison pour laquelle
il est nécessaire pour une organisation, avant même de se lancer dans des projets, de définir ses
intentions à moyen terme (un à trois ans). Ainsi, le schéma directeur d'une organisation a pour
but de donner les orientations stratégiques de manière prospective afin de définir grossièrement
l'articulation de la réalisation des principaux objectifs dans le temps. Il permet ainsi de définir
des priorités en terme de réalisation des objectifs et de donner une visibilité sur les ambitions
de l'organisation.
Le Schéma Directeur peut dans le cas de grosses structures se décliner sous la forme
d'un Schéma Stratégique (parfois Schéma Directeur Général) fédérant plusieurs schémas
directeurs distincts. Le schéma directeur est élaboré par un Comité Directeur (ou Comité
stratégique) regroupant les représentants de la direction générale de l'organisation. Le Comité
Directeur représente donc la Direction générale de l'entreprise pour l'ensemble des projets.
L'inscription d'un projet dans le Schéma Directeur ne garantit pas cependant la réalisation de
l'ouvrage associé. En effet, la terminologie du mot « projet » recouvre celle de l’intention, ce
qui implique la notion de faisabilité, qui est une des étapes intermédiaires entre la réalisation
du schéma directeur et le commencement du projet.
I. 3. Le Comité de pilotage
Mais celle-ci n’est pas suffisamment approfondie pour établir un dossier de demande de
permis de construire. De ce fait, si l’étude de projet de l’esquisse est validée par la maîtrise
d’ouvrage, la mission suivante du maître d’œuvre comprend la réalisation d’une étude d’avant-
projet. Plus précise, celle-ci donne lieu à la constitution d’un dossier présentant les solutions
techniques retenues, dans lequel on retrouve des pièces écrites (techniques et économiques) et
graphiques (plans et élévations).
Sur la base des premières études de diagnostic (esquisses), soit l’architecte, soit le maître
d’œuvre d’un bureau d’études va mettre au point une offre de service en rentrant au cœur du
processus de construction de l’ouvrage.
Certaines solutions techniques pour l’ensemble des travaux évoquées dans la mission
précédente sont ici choisies et d’autres définitivement abandonnées. La composition générale
est formalisée dans différents plans (plan de masse, de coupe, de façades...) afin de déterminer
les dimensionnements et les volumes (intérieurs et extérieurs). Le projet architectural
précédemment esquissé est lui aussi approfondi.
Jusque-là très sommaire, le montant prévisionnel des travaux est ajusté par corps d’état,
à l’appui des choix validés. C’est sur la base de cette estimation des coûts, provisoire à ce stade,
que le maître d’œuvre est destiné à s’engager pour l’exécution des travaux.
Selon le maître d’œuvre missionné pour les réaliser, les avant-projets sommaire et
détaillé ne prennent pas strictement la même forme et ne dispose pas du même contenu. Selon
qu’ils sont établis par un ou plusieurs architectes ou par un bureau d’études comprenant un
économiste de la construction, les prestations seront détaillées différemment. Les graphismes,
les plans ou l’aspect du projet architectural seront certainement plus soignés pour les premiers.
Les chiffrages ou le calendrier des interventions seront plus détaillés pour les seconds.
Pour toutes ces raisons, on peut affirmer sans conteste que l’élaboration des avant-
projets reste un travail de collaboration entre maîtrise d’ouvrage et maîtrise d’œuvre. La
communication régulière, la qualité des échanges et l’écoute mutuelle sont des gages de réussite
du projet de construction.
En pratique
Une distinction doit être opérée entre les natures de l’ouvrage (bâtiment ou route) et les
domaines d’intervention (neuf, réhabilitation ou réutilisation). Cette classification est
importante car elle aboutit notamment à une différenciation des éléments de mission en phase
de conception (cf. Maîtriser la distinction ouvrage de bâtiment – ouvrage d’infrastructure).
Vous devez donc être en dialogue permanent avec le maître de l’ouvrage. Votre réponse
doit progresser au fur et à mesure que mûrit la réflexion.
Cette progression est matérialisée par des étapes que l’on retrouve à travers les éléments
de mission.
Tout au long de la conception, vous devez ainsi produire des documents de plus en plus
précis, tant en termes de plan que de descriptif ou d’estimation (cf. Clauses relatives à une
construction neuve de bâtiment
Le terme de jalon (en anglais milestone, traduit parfois en pierre miliaire) est utilisé
pour désigner les événements sensibles de la réalisation du projet nécessitant un contrôle.
Chaque jalon permet de vérifier que les conditions nécessaires à la poursuite du projet sont
réunies. On désigne par le terme d'échéancier (éventuellement jalonnement) l'enchaînement des
dates des jalons.
On appelle cycle de vie du projet l'enchaînement dans le temps des étapes et des
validations entre l'émergence du besoin et la livraison du produit. Le « cycle de vie de l'ouvrage
« correspond aux étapes et aux livrables nécessaires à la réalisation de l'ouvrage. Le projet peut
être découpé de façon basique de la manière suivante :
Cette phase permet de prendre conscience du projet, puis d'étudier l'objet du projet pour
s'assurer que sa mise en œuvre est pertinente et qu'il entre dans la stratégie de l'entreprise. Cette
phase, généralement qualifiée d'Avant-Projet, doit se conclure par la mise au point de
documents formalisant le projet et indiquant les conditions organisationnelles de déroulement
du projet.
L'étude d'opportunité
L'étude de faisabilité
L'analyse des besoins effectuée dans l'avant-projet sommaire porte uniquement sur les
processus majeurs du projet. Il est nécessaire de faire une étude plus approfondie des besoins
pour que la maîtrise d'ouvrage et la maîtrise d'œuvre puissent s'entendre sur un document
contractuel, il s'agit de l'étude préalable, appelée également « conception générale ». Il est
essentiel lors de l'étude préalable de s'assurer que les besoins sont exprimés uniquement de
manière fonctionnelle et non en terme de solutions. L'analyse fonctionnelle des besoins permet
ainsi de dégager les fonctionnalités nécessaires de l'ouvrage. L'analyse fonctionnelle aboutit à
la mise au point d'un document définissant fonctionnellement le besoin (indépendamment de
toute solution technique). Ce document est appelé cahier des charges fonctionnel (généralement
abrégé sous la forme CDCF) ou dossier de conception. Le Cahier des charges permet à la
maîtrise d'ouvrage d'exprimer son besoin de manière fonctionnelle, ainsi que de clarifier les
L'étude technique
La Préparation
La réalisation ou l’implémentation
Documentation
Validation
Lorsque l'ouvrage est réalisé, il convient que le maître d'œuvre s'assure qu'il
répond au cahier des charges. On parle de tests unitaires pour désigner la validation par le maître
d'œuvre de la conformité du produit à chacune des clauses du cahier des charges.
La Réception
Qualification
Mise en Production
La mise en place de sites pilotes permet de tester l'ouvrage dans sa dimension technique,
comme dans celle de l'organisation et de l'adhésion des utilisateurs. L'expérience des sites
pilotes permet de préparer le déploiement, de mieux en apprécier la charge, et d'en identifier les
difficultés a priori.
Généralisation
En effet, les utilisateurs finaux recherchent généralement dans leur vie professionnelle
une motivation physiologique (augmentation des revenus et du statut hiérarchique) et une
sécurité de l'emploi. Un changement dans leurs habitudes de travail est donc un frein à ces
objectifs. On désigne ainsi par "conduite du changement" tous les éléments permettant de faire
en sorte que les utilisateurs finaux utilisent réellement le produit, et donc changent leurs
habitudes. Ce terme englobe notamment la formation des utilisateurs à l'utilisation du produit
ainsi que l'accompagnement des utilisateurs (hot line).
D'autre part, lorsque le projet vise un nombre d'utilisateurs finaux très important, il n'est
souvent pas envisageable de passer directement d'une expérimentation à une généralisation.
Selon l'ouvrage il peut être nécessaire de faire des tests de montée en charge (on trouve parfois
le terme de montée en cadence), c'est-à- dire simuler un nombre d'utilisateurs de plus en plus
grand afin d'estimer si le produit est potentiellement capable de supporter la charge totale
(utilisation simultanée par le nombre d'utilisateurs prévu dans le cahier des charges).
Capitalisation
Maintenance
Ces dispositions doivent être conformes à la stratégie globale de gestion des risques de
l'organisation. Le coût associé à chaque disposition est également estimé,
la consolidation et le choix des risques majeurs à traiter sur le projet. Ce choix est effectué en
comparant le coût des dispositions par rapport à leur efficacité et au niveau de criticité du risque
traité. Le nombre de risques à gérer doit être limité afin de permettre une gestion efficace, la
planification des actions liées aux risques :
Le manager de projet doit être capable de travailler sous pressions et dans des conditions
difficiles.
IV. 1. Pourquoi une Etude d’impact sur l’environnement (EIE) ?
Les Etudes d’Impact sur l’Environnement (EIE) permettent d’évaluer à priori, les
répercussions des projets d’investissement sur l’environnement en vue de prévoir les mesures
nécessaires pour supprimer, atténuer ou compenser les impacts négatifs et améliorer les effets
positifs du projet.
L’impact social peut être défini comme l’ensemble des conséquences (changements,
ruptures, évolutions, modulations) des activités d’un projet de développement tant sur ses
parties prenantes externes (consommateurs, bénéficiaires, clients) directes ou indirectes de son
territoire et internes (bénévoles, volontaires, salariés), que sur le projet proprement dit.
Pourtant, l’évaluation des projets à finalité sociale peut être un instrument de pilotage
stratégique utile à moyen et long termes, et un moteur de l’innovation sociale. Cela suppose
que les méthodes d’évaluation se fondent sur des représentations renouvelées de la dimension
sociale de la création de valeur, et adaptées à un monde digitalisé et à une société de la
Cependant, tandis que l’évaluation classique des répercussions sociales se concentre sur
l’identification et l’atténuation des répercussions préjudiciables, l’administrateur de projet de
développement doit intégrer le concept de durabilité sociale (DS) dans le cadre de ses
évaluations des impacts environnementaux et sociaux, afin d’accéder au développement
durable total. La prise en compte de la durabilité sociale amplifiera ainsi la portée et la fonction
de l’évaluation sociale en y ajoutant l’identification et l’appréciation des effets bénéfiques et
des possibilités d’améliorer le bien-être socioéconomique des populations qui vivent et
travaillent dans la zone d’influence du projet.
Même dans le cas de projets qui ne posent pas de problèmes de protection ou qui n’ont
pas de répercussions préjudiciables importantes, il est nécessaire qu’il défende sur un plan
commercial la participation d’une entreprise à des interventions qui offrent des avantages
durables à la population environnante. Dans ces cas, l’évaluation sociale est tout aussi
importante et peut déboucher sur un Plan de développement communautaire.
Au final, l’étude d’impact social (EIS) du projet vise au préalable à faire émerger un
langage commun entre les différents acteurs du développement, notamment, les porteurs de
projet à finalité sociale et les bailleurs de fond.
• Concernant la gestion financière et comptable : cet outil d’une part, met en place un
système comptable avec la tenue et la production des états financiers du projet. D’autre
part, développe et met en place un système de préparation et de suivi budgétaire pour
mieux contrôler l’utilisation des fonds.
Approuver toutes les pièces justificatives des dépenses avant d’effectuer les paiements/
Production des états financiers mensuels
Dans ce genre de gestion de précision, toute dépense doit être accompagnée de toutes
les pièces justificatives. Dans le cas contraire, la dépense est rejetée. Ces pièces pourraient
comprendre :
Une facture fournisseur (accompagné du bon de commande, facture pro forma, procès-
verbal de sélection du fournisseur…)
Un avis de débit (ou copie du relevé bancaire) pour justifier les frais bancaires prélevés
par la banque
Les dépenses mensuelles sont visées par le coordinateur de projet, puis soumises pour être
remboursées.
Il existe deux périodes principales de reporting selon le type et la durée du projet fixées à
l’avance. Chaque périodicité comporte ou non une composante financière :
La majorité des dépenses du projet se font par la banque. Les petites dépenses comme
l’expédition d’un courrier par la poste ou les frais de chargement ou déchargement lors d’une
livraison se font par la caisse. Cela évite la manipulation de grosses sommes d’argent à garder
dans le coffre-fort au bureau.
Dans certaines organisations, le poste de l’« Administrative Officer » est séparé de celui
du « Finance Officer ». Dans d’autres, le rôle de l’« Administrateur(trice) » a un champ d’action
plus large. Il peut couvrir la gestion financière et les ressources humaines, bien que l’intitulé du
poste ne le mentionne pas.
Développer les relations avec les partenaires internes et externes et être la personne de
référence pour tous les aspects administratifs et financiers
De par ses responsabilités, une gestionnaire administrative et financière de projet est amenée à
être en contact avec différents partenaires internes et externes à l’organisation. Il peut s’agir des
collègues des autres services au niveau interne et des points focaux dans les autres organisations
(les banques, les administrations, les clients, les fournisseurs ou l’initiateur du projet, par
exemple). Cela multiplie le nombre de partenaires avec lesquels il faut développer de bonnes
relations professionnelles, mais aussi les maintenir, car la bonne marche de son service en
dépend. La gestionnaire doit donc posséder d’excellentes qualités relationnelles, ainsi que
l’aptitude à communiquer et à prendre la parole en public.
En outre les autres fonctions de l’administration suscité, l’exécution d’un projet infrastructurel
est l’exécution d’un contrat. Le respect des clauses d’un contrat est assimilable à l’application
de la loi. c’est à la fois une obligation, puisqu’une administration ne respectant pas la loi se
trouve dans une situation d’illégalité, et une nécessité, dans la mesure où la plupart des lois
doivent voir leurs modalités de mise en œuvre précisées pour les rendre applicables sur le terrain
(décret d’application). Par ailleurs, le manager s’expose à des pénalités dues à la non-
conformité du livrable.
IV. 6. Pourquoi la mise sur pied d’un système de gestion de l’information dans
un projet ?
Les évolutions technologiques génèrent de fort enjeux en terme de compétences pour assurer le
bon fonctionnement de l'existant et l'intégration des innovations.
Dans chaque projet, un leader doit être expérimenté en management des risques quand
il crée le plan de contingence. Les deux aspects doivent être coordonnés l’un avec l’autre pour
clairement identifier les éléments qui pourraient perturber le déroulement du projet.
Un plan de contingence entre en jeu quand le plan original ne fonctionne pas. C’est
pourquoi il est souvent appelé plan de secours.
Définissez exactement quels sont les risques. Pour définir clairement et précisément
les différents risques, vous devez conduire une Analyse de Risque. Ceci vous aidera si à
identifier les menaces ou les risques possibles qui saperont votre projet ou business.
Priorisez les risques. La mise sur pied de plans d’urgence implique une planification
intelligente des composantes du projet. Sinon, vous vous perdrez dans une multitude de plans
à définir avec trop peu de temps. Votre plan de contingence doit être équilibré et organisé, donc
vous devez identifier les priorités. Cela aidera aussi votre équipe à répondre du tac au tac si une
crise devait survenir.
Avoir un échéancier et des délais définis. Organisez vos tâches dans votre plan de
contingence en fonction de combien de temps il faudra pour les exécuter.
Déterminer la cause, le déclencheur. Qu’est-ce qui vous fera mettre en œuvre le plan de
contingence ? Décidez du plan d’actions nécessaires et des personnes responsables des tâches
à faire.
Garder à l’esprit vos ressources. Pensez à l’impact de votre plan de contingence sur votre
organisation.
Standardiser votre plan. Assurez-vous que chacun connait le plan et est toujours informé
des nécessaires mises à jour.
Documenter. Mettez tout par écrit jusque dans chaque petit détail et n’oubliez pas d’en faire
de multiples copies.
Une fois que vous avez votre plan, il est temps d’en assurer la maintenance nécessaire pour le
garder adapté à ce projet et à de futurs projets et business.
En somme, la réalité est qu’un plan de contingence est souvent sous-estimé ou négligé
dans les organisations parce que les managers croient qu’ils pourront facilement résoudre le
problème, pourvu qu’ils en soient conscients et bien informés. La mise sur pied de plans de
contingence est un investissement à long terme et les organisations ont besoin d’y consacrer du
temps et de l’argent pour garantir que leur projet est entre de bonnes mains.