Aymen belhassen
Groupe 1
Introduction Générale:
La manipulation est basée sur l'étude de plusieurs dispositifs de mesure de débit :
Tube de Venturi et de diaphragme sont comparés par un rotamétre.
Les pertes de charges sont mesurées et comparer entre elles sont directement liées
à la vitesse du fluide et on distingue 2 types de perte de charge : Les pertes de
charge linéaires et Les pertes de charges singulière
1) Quelle est l’influence de la perte de charge sur le débit !
2) Quelle est la perte charge plus important (venturi ou diaphragme)!
But de manipulation:
Détermination du débit : c'est une mesure de volume ou la quantité de matière
qui traverser une surface données par unité de temps et une notion très
importante ne dépendant pas beaucoup de paramètres hydraulique .Et lors de
ce vivre nous allons
Mesurer le débit passant par deux méthodes :
-Méthode diaphragme
-Méthode du venturi
Les Définition :
▪ Un fluide incompressible: est un fluide dont on ne peut changer le volume,
c'est-à-dire qu'on ne peut pas le comprimer dans un espace plus restreint.
Les liquides sont des fluides incompressibles
▪ Débit : qu'est-ce que c'est ? Quantité d'informations transmise via un canal de
communication selon un intervalle de temps donné.
Remarque : relation entre debit et perte charge : C'est la perte de charge de
la tuyauterie, qui est proportionnelle: 1: À la longueur et la section de la
tuyauterie, puis le parcours et long et plus la section est petite pour un même
débit plus grand sont les pertes de charge.
Description de l’appareil :
Au début de l’expérience en fait un purge pour éliminer l’air continu dans les flexibles
liants les prises de pression au manomètre. premièrement , en ouvrir la vaine de
mise a l’air pour permet d’introduire de l’air dans la partie supérieure du manomètre
a colonne de liquide a certains niveaux puis, en ouvrir la vaine correspond de venturi
en même temps et en ferme les autres vaines {Diaphragme et élargissement }
après , en commence de l’ouverture par Rotamétre , en remarque que l’eau circule
dans les canneaux de venturi et aussi ascendant dans le colonne à une hauteur bien
déterminer .lorsque l’eau traves le douille cannelée, c’est une point de
raccordement du flexible d’évacuation d’eau , en constate des mesures et des
valeurs{débit volumique} même phénomène pour le diaphragme (on ferme la vaine
de venturi et élargissement) .
1. Pour tube venturi :
Un tube de Venturi est une conduite dont la section est variable. Dans une
première partie les sections vont en décroissant dans la deuxième partie les
sections vont en augmentant .Un tube de Venturi est donc un convergent-
divergent
+Partie théorique 𝐴:
On applique Bernoulli (A, B)
𝟏 𝟏
𝒑𝑨 + 𝝆 ∗ 𝒈 ∗ 𝒁𝑨 + 𝝆𝒗𝑨 𝟐 = 𝑷𝑩 + 𝝆 ∗ 𝒈 ∗ 𝒁𝑩 + 𝝆𝒗𝑩 𝟐
𝟐 𝟐
Avec 𝒁𝑨 = 𝒁𝑩
𝟏 𝟏
𝒑𝑨 + 𝝆𝒗𝑨 𝟐 = 𝑷𝑩 + 𝝆𝒗𝑩 𝟐
𝟐 𝟐
Avec d’après l’équation de continuité
𝒗𝑨 ∗ 𝑺𝑨 = 𝒗𝑩 ∗ 𝑺𝑩
𝑺𝑩
𝒗𝑨 = ∗ 𝒗𝑩
𝑺𝑨
𝟏 𝟏
𝝆𝒗𝑨 𝟐 − 𝝆𝒗𝑩 𝟐 = 𝑷𝑩 − 𝒑𝑨
𝟐 𝟐
𝟏 𝑺𝑩 𝟏
𝝆( ∗ 𝒗𝑩 )𝟐 − 𝝆𝒗𝑩 𝟐 = ∆𝑷
𝟐 𝑺𝑨 𝟐
𝟏 𝑺𝑩 𝟐 𝟏
𝝆( ) ∗ 𝒗𝑩 𝟐 − 𝝆𝒗𝑩 𝟐 = ∆𝑷
𝟐 𝑺𝑨 𝟐
𝟏 𝑺𝑩
∆𝑷 = 𝝆𝒗𝑩 𝟐 [( )𝟐 − 𝟏]
𝟐 𝑺𝑨
𝑸
Avec 𝑸 = 𝒗𝑩 ∗ 𝑺𝑩 donc 𝒗𝑩 = 𝑺
𝑩
𝟏 𝑸 𝟐 𝑺𝑩 𝟐
∆𝑷 = 𝝆( ) [( ) − 𝟏]
𝟐 𝑺𝑩 𝑺𝑨
Donc
𝟐∗∆𝑷∗𝑺𝑩 𝟐 𝝅
𝑸𝟐 = 𝑺 OR 𝑺𝑩 = 𝟒 ∗ 𝒅𝟐 avec 𝒅 = 𝟏𝟑, 𝟗𝟏𝒎𝒎
𝝆∗[( 𝑩 )𝟐 −𝟏]
𝑺𝑨
𝝅
𝑺𝑨 = 𝟒 ∗ 𝑫𝟐 Avec 𝑫 = 𝟐𝟔, 𝟕𝒎𝒎
∆𝑷 ∗ 𝝅𝟐
𝑸=√
𝟏 𝟏
𝟖 ∗ 𝝆 ∗ [( 𝟒 − 𝟒 ]
𝒅 𝑫
𝝅𝟐
𝑸=√ ∗ √∆𝑷
𝟏 𝟏
𝟖 ∗ 𝝆 ∗ [( 𝟒 − 𝟒 ]
𝒅 𝑫
Et ona
𝑸 = 𝑲𝒕𝒉 ∗ √∆𝑷
𝝅𝟐
𝑲𝒕𝒉 =√ = 𝟕 ∗ 𝟏𝟎−𝟔
𝟏 𝟏
𝟖 ∗ 𝝆 ∗ [( 𝟒 − 𝟒 ]
𝒅 𝑫
+partie expérimentale :
• Démonstration :
𝑽
+calcule débit expérimentale : 𝑸𝒆𝒙𝒑 = avec V : volume égal 8L
𝒕
𝑸𝒆𝒙𝒑
+Calcule de coefficient 𝑘𝑒𝑥𝑝 : 𝒌𝒆𝒙𝒑 =
√∆𝑷
𝑽(𝒎𝟑 ) 𝒕𝒔 𝑸𝒆𝒙𝒑 (𝒎𝟑 ) 𝑯𝟗 (𝒄𝒎) 𝑯𝟏𝟐 (𝒄𝒎) ∆𝑯(𝒎𝒄𝒆) ∆𝑷(𝒑𝒂) √∆𝑷(𝒑𝒂) 𝑲𝒆𝒙𝒑 𝑸𝒕𝒉é (𝒎𝟑 𝒔−𝟏 )
Les courbes 1 :
Les courbes 2 :
• Interprétation :
-La courbe𝑄𝑒𝑥𝑝 = 𝑓(√∆𝑃) est une droite croissante de la forme
𝟎, 𝟎𝟎𝟎𝟐 − 𝟎, 𝟎𝟎𝟎𝟏𝟓
𝑎= = 8,22 ∗ 10−6
16,57 − 12,13
b : ordonné a l’origine
On remarque plus que le débit augment la perte de charge augmente alors les deux
paramètres son proportionnelle.
+Partie théorique 𝐴:
On applique Bernoulli (E, F)
𝟏 𝟏
𝒑𝑬 + 𝝆 ∗ 𝒈 ∗ 𝒁𝑬 + 𝝆𝒗𝑬 𝟐 = 𝑷𝑭 + 𝝆 ∗ 𝒈 ∗ 𝒁𝑭 + 𝝆𝒗𝑭 𝟐
𝟐 𝟐
Avec 𝒁𝑬 = 𝒁𝑭
𝟏 𝟏
𝒑𝑬 + 𝝆𝒗𝑬 𝟐 = 𝑷𝑭 + 𝝆𝒗𝑭 𝟐
𝟐 𝟐
𝟏
𝒑𝑬 − 𝑷𝑭 = 𝝆(𝒗𝑭 𝟐 − 𝒗𝑬 𝟐 )
𝟐
Avec d’après l’équation de continuité
𝑸𝒅 = 𝒗𝑬 ∗ 𝑺𝑬 = 𝒗𝑭 ∗ 𝑺𝑭
𝑺𝑬
𝒗𝑭 = ∗ 𝒗𝑬
𝑺𝑭
𝟏 𝑺𝑬
∆𝑷 = 𝝆[( )𝟐 ∗ 𝒗𝑬 𝟐 − 𝒗𝑬 𝟐 ]
𝟐 𝑺𝑭
𝟏 𝑺𝑬
∆𝑷 = 𝝆 𝒗𝑬 𝟐 [( )𝟐 − 𝟏]
𝟐 𝑺𝑭
Or 𝑺𝑭 = 𝑪𝒄 ∗ 𝑺𝒅 , 𝑪𝒄 : 𝒄𝒐𝒆𝒇𝒇𝒊𝒄𝒊𝒆𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒓𝒂𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏
𝑺𝒅 : 𝒔𝒖𝒓𝒇𝒂𝒄𝒆 𝒅𝒆 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒓𝒂𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏
D’après tableaux
𝒅𝒐𝒓𝒇
• 𝑪𝒄 = = 𝟎, 𝟔 𝑪𝒄 = 𝟎, 𝟔𝟐𝟐
𝒅𝒄
Donc
𝟏 𝑺𝑬 𝟐
∆𝑷 = 𝝆 𝒗𝑬 𝟐 [( ) − 𝟏]
𝟐 𝑪𝒄 ∗ 𝑺𝒅
𝑺 𝑬 𝑫𝟐
=
𝑺𝑭 𝒅𝒄 𝟐
𝟏 𝑫𝟒
∆𝑷 = 𝝆 𝒗𝑬 𝟐 [( 𝟐 )𝟐 − 𝟏]
𝟐 𝑪𝒄 ∗ 𝒅𝒄 𝟒
𝑸
Avec 𝒗𝑬 = 𝑺
𝑬
𝟏 𝑸𝟐 𝑫𝟒
∆𝑷 = 𝝆 𝟐 [( 𝟐 )𝟐 − 𝟏]
𝟐 𝑺𝑬 𝑪𝒄 ∗ 𝒅𝒄 𝟒
𝟐 ∗ ∆𝑷 ∗ 𝑺𝑬 𝟐
𝑸𝟐 =
𝑫𝟒
𝝆∗[ 𝟐 − 𝟏]
𝑪𝒄 ∗ 𝒅𝒄 𝟒
𝝅𝟐
Or 𝑺𝑬 = ∗ 𝑫𝟐
𝟒
𝟐 ∗ ∆𝑷 ∗ 𝝅𝟐 ∗ 𝑫𝟒
𝑸𝟐 =
𝟏 𝟏
𝟏𝟔 ∗ 𝝆 ∗ 𝑫𝟒 ∗ [ 𝟐 𝟒 − 𝑫𝟒 ]
𝑪𝒄 ∗ 𝒅𝒄
∆𝑷 ∗ 𝝅𝟐
𝑸=
√ 𝟏 𝟏
𝟖𝝆[ 𝟐 𝟒 − 𝑫𝟒 ]
𝑪𝒄 ∗ 𝒅𝒄
𝝅𝟐
𝑸= ∗ √∆𝑷
√ 𝟏 𝟏
𝟖𝝆[ 𝟐 − ]
𝑪𝒄 ∗ 𝒅𝒄 𝟒 𝑫𝟒
Et ona
𝑸 = 𝑲𝒕𝒉 ∗ √∆𝑷
𝝅𝟐
𝑲𝒕𝒉 = = 𝟔, 𝟕𝟐𝟑𝟒 ∗ 𝟏𝟎−𝟔
√ 𝟏 𝟏
𝟖𝝆[ 𝟐 − ]
𝑪𝒄 ∗ 𝒅𝒄 𝟒 𝑫𝟒
On donne 𝒅𝒄 = 𝟏𝟕, 𝟐𝟒𝒎𝒎
𝑫 = 𝟐𝟔, 𝟕𝒎𝒎
+partie expérimentale :
𝑽
+calcule débit expérimentale : 𝑸𝒆𝒙𝒑 = avec V : volume égal 8L
𝒕
𝑸𝒆𝒙𝒑
+Calcule de coefficient 𝑘𝑒𝑥𝑝 : 𝒌𝒆𝒙𝒑 =
√∆𝑷
+calcule débit expérimentale : 𝑸𝒕𝒉 = 𝑲𝒕𝒉 ∗ √∆𝑷 avec 𝐾𝑡ℎ = 𝟔, 𝟕𝟐𝟑𝟒 ∗ 𝟏𝟎−𝟔
• Tableaux :
𝑽(𝒎𝟑 ) 𝒕𝒔 𝑸𝒆𝒙𝒑 (𝒎𝟑 𝒔−𝟏 ) 𝑯𝟓 (𝒄𝒎) 𝑯𝟖 (𝒄𝒎) ∆𝑯(𝒎𝒄𝒆) ∆𝑷(𝒑𝒂) √∆𝑷(𝒑𝒂) 𝑲𝒆𝒙𝒑 𝑸𝒕𝒉é (𝒎𝟑 𝒔−𝟏 )
0,008 89 8,98876E-05 59 58 0,01 98,1 9,90 0,0000090 0,000000000
75394 061
0,008 65 0,000123077 62,5 61 0,015 147,15 12,13 0,0000101 0,000000000
46038 068
0,008 51 0,000156863 63,5 62 0,015 147,15 12,13 0,0000129 0,000000000
31225 087
0,008 48 0,000166667 64 61,5 0,025 245,25 15,66 0,0000106 0,000000000
42514 072
0,008 40 0,0002 65 61 0,04 392,4 19,81 0,0000100 0,000000000
96376 068
0,008 34 0,000235294 66 60,5 0,055 539,55 23,23 0,0000101 0,000000000
29668 068
0,008 30 0,000266667 66,5 58,5 0,08 784,8 28,01 0,0000095 0,000000000
18954 064
0,008 25 0,00032 65 56 0,09 882,9 29,71 0,0000107 0,000000000
69467 072
• La courbe :
• Interprétation :
La courbe 𝑄 = 𝑓(∆𝑃) est une droit
croissante de la forme 𝑄 = 𝑎 ∗ ∆𝑃 + 𝑏 avec
a : coefficient directeur du droit
0,0003 − 0,0002
𝑎= = 9,05 ∗ 10−6
880 − 392,4
Remarque:
-On remarque dans notre cas que les pertes de charges dans le venturi et le
diaphragme sont négligeables devant l’énergie cinétique du fluide .
- D’après les résultats le débit expérimentale et théorique sont proches mais le débit
exp est inferieure a celle calculée par la théorie cela et du ou pertes de
charge
La valeur de Kexp et Kth sont très proches
conclusion:
On a fait l’expérience dans ce TP de 2 méthode de mesure de débit différentes dont
on a témoigné de l’efficacité et la précision de chaqu’une : La méthode du
diaphragmes est révélée très imprécise face à celle du venturi dont les résultats
étaient très proches des valeurs réelles chronométrées. Grosso modo la débitmètre
n’exige guerre une haute précision à l’échelle microscopique et les 2 méthodes
peuvent satisfaire largement les besoins de l’utilisateur, et déterminer le débit avec
une marge d erreur acceptable.
1. Influence de perte de charge sur le conduit :
Ilya deux forme du perte de charge :
Ce sont les pertes de charge des accessoires, vanne, vanne 2-3-4 voies, té, coudes, batterie
chaude ou froide, réduction, changement de direction enfin tous les obstacles. Ces pertes de
charges sont déterminées par les constructeurs de façon empirique et sont fonction de la
vitesse, elles sont proportionnelles au carré de la vitesse du fluide en mouvement.
+Partie théorique 𝐴:
∆𝑷𝑻 = ∆𝑷𝑳 + ∆𝑷𝒔
λ∗L 𝟏
Avec ∆𝑷𝑳 = 𝑫
∗ 𝟐 𝝆𝒗𝟐
𝟏
∆𝑷𝒔 = 𝒌 ∗ 𝝆𝒗𝟐
𝟐
D’après tableaux
1) L’élément de mesure de débit qui crée le plus de perte de charge c’est diaphragme
car il est caractériser par perte de charge fort par contre venturi caractériser par
perte de charge faible
2) Le diaphragme introduit la plus grande perte de charge des organes déprimogènes, puisque
l’accroissement d’énergie cinétique est entièrement perdu en frottements dans le fluide
situé en aval.
3) L'élargissement brusque schématisé sur la figure est le siège de pertes
de charge dues à la présence de zones de turbulences. Elles résultent du
changement brusque de direction imposé au fluide, qui sous l'effet de sa
propre inertie, ne peut suivre de près les contours de la paroi.
Par contre En raison de la courbure de la conduite, un mouvement
hélicoïdal des lignes de courant peut s’établir. La présence de ce
mouvement de rotation persiste sur une longueur en aval du coude (à
peu près 50 fois le diamètre de la conduite). Lorsque la courbure est
importante, des zones de recirculation peuvent apparaître. Le
mécanisme interne de l’écoulement au travers d’un coude n’est pas
encore bien connu, malgré le grand nombre de chercheurs qui ont
analysé cet élément important.
On peut conclure :