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C = =
∅
(1)
On obtient finalement:
%& = 3 '( ). *+, (3)
D’après l’expression (6), Le couple peut être contrôlé a partir de trois paramètres :
7
• : c’est la commande de l’onduleur ;
d’après les conditions ci-dessus et l’équation (5), on peut dire que pour démarrer le
moteur synchrone triphasé sur un réseau est une procédure délicate. il faut en effet
respecter les conditions suivantes :
Amener le rotor à tourner au synchronisme (mise au synchronisme).
Régler la f.c.e.m de telle sorte que sa valeur soit à peut prés égale à la tension
d’alimentation.
Assurer la concordance des phases entre la tension d’alimentation du moteur
et celle du réseau.
Assurer que l’ordre des phases sont les mêmes entre le réseau et le moteur.
Remarque :
La mise au synchronisme se fait de la manière suivante :
Si l’on dispose de courant continu, on entraîne l’alternateur par l’excitatrice
fonctionnant comme moteur. On utilise parfois un moteur asynchrone spécial pour la
mise en vitesse du moteur synchrone. On peut aussi, avec un auto - transformateur
pour limiter l’intensité prise au réseau, démarrer le moteur en asynchrone. Les circuits
amortisseurs ou les pièces polaires pleines de l’inducteur jouent le rôle de cage
d’écureuil.
IV.3 Association machine-convertisseur
Pour faire varier la vitesse d'un moteur synchrone il faut faire varier la fréquence de
son réseau d'alimentation. pour se faire, il faut associer le moteur à un convertisseur
dont on peut varier la fréquence des tensions délivrées par ce dernier
IV.3.1 Variateur de vitesse utilisant un onduleur à commutation naturelle
Le cyclo-convertisseur
convertisseur est un convertisseur à commutation naturelle, il convertit
directement la fréquence du réseau à la fréquence désirée.
IV.3.3 Variateur de vitesse utilisant un redresseur et un onduleur autonome
à MLI.
Ce système à commutation forcée utilise la modulation de largeur d'impulsions (MLI)
L'onduleur génère une tension sinusoïdale.
sinusoï Le système
me peut être utilisé pour la
réalisation des commandes des moteurs synchrones. l’onduleur est constitué d'IGBT,
de MOSFET, parfois de GTO.
GTO
A partir de cette expression, pour contrôler le couple de la machine, il faut agir sur
l’angle (déphasage courant f.é.m. (entre Is et E),) et ou l’amplitude du courant ) (le
flux '8 est généralement constant).
Le système d’autopilotage comprend un convertisseur statique associé à la machine
qui doit imposer le courant dans chaque phase, et un capteur de position pour Pour
contrôler l’angle ψ,
Note : le capteur de position permet aussi de générer les ordres de commande du
convertisseur alimentant la machine de sorte que LM = ΩM . La figure (5) illustre un
tel système d’autopilotage de la MS associé à un onduleur de courant.
Figure (6) : Position des vecteurs champ Hs et Hr pour les deux séquences S1 et S2.
Les signaux de commande de l’onduleur sont obtenus par le principe de la MLI, Pour
ce faire un capteur de position fournit les grandeurs ,9HC et sin (C − ).
ED
Les courants statoriques sont ici quasi-sinusoïdaux, les ondulations du couple sont de
ce fait sont minimisées au maximum.
R T? [
T#WZ
SMY = UM . 9MY +. T? + L'MT
R T? [
T]WZ
SMY = UM . 9MY + \Y T? + L\T 9MT L'8
(7)
ou bien :
` = %: − %A − (Ω
TΩ
T?
(9)
pour une machine à aimant permanent, '8 est fixe, et pour une machine à excitation,
'8 = \8 98
Commande Electrique Dr : Beddiaf Yassine
La détermination des paramètres des régulateurs se fait de la même façon que pour la
commande vectorielle de la machine asynchrone.
a partir de l’équation (12), et puisque le flux φf = φg est fixe, alors on peut dire que
le couple peut être contrôlé par l’action sur le flux statorique et l’angle δ entre le flux
statorique et rotorique.
L’expression du flux statorique est déterminée par l’’équation électrique au stator :
donc les vecteurs tensions statoriques dépendent des états de commutation des bras de
l’onduleur.
La figure (9), montre La représentation du flux 'M en fonction de jM