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Efficacité énergétique
Compte rendu du TP :
PHOTOVOLTAIQUE
3
Introduction
La rotation et l'inclinaison de la terre provoquent une variation de l'énergie disponible en fonction de la
latitude en un point donné. De plus, les nuages, le brouillard, les particules atmosphériques et les
phénomènes météorologiques entrainent des variations quotidiennes qui augmentent, ou diminuent, le
rayonnement solaire reçu par un système photovoltaïque.
Le rayonnement direct
Les rayons du soleil atteignent le sol terrestre sans subir de modification de leur trajectoire initiale. Les
rayons restent parallèles.
Le rayonnement diffus
En traversant l'atmosphère, les rayons du soleil rencontrent des obstacles tels que les nuages, la
poussière, etc... Ces obstacles ont pour effet de rediriger les rayons du soleil parallèles (à l'origine) en
une multitude de faisceaux dans toutes les directions.
Le rayonnement réfléchi
C'est le résultat de la réflexion des rayons lumineux sur une surface réfléchissante (par exemple, la neige
en montagne). Cette réflexion dépend de l'albédo (pouvoir réfléchissant) de la surface concernée.
Toute personne travaillant dans le domaine des énergies renouvelables a besoin des données
d’irradiation solaire, mensuelles, journalières et horaires, de la position du soleil, du temps solaire vrai,
de la durée d’ensoleillement, etc… Chacun s’attelle à élaborer de son coté, un outil d’aide qui peut être
un simple programme de calcul ou un logiciel, lui permettant de calculer une partie de ces données, afin
de les intégrer dans la procédure de calcul de dimensionnement des systèmes énergétiques.
4
Objectifs du tp
Ce travail pratique a pour buts :
De prendre en main les notions du logiciel de simulation Matlab/Simulink.
Tracer les profils de différents paramètres caractérisant le gisement solaire.
Modélisation d’un module Photovoltaïque sous Matlab/Simulink.
MATLAB
Matlab est abréviation de MATrix LABoratory, avant tout c’est un programme de calcul matriciel à
syntaxe simple avec ses fonctions spécialisées. MATLAB peut être aussi considéré comme un langage
de programmation adapté pour les problèmes scientifiques de plus c’est un interpréteur : les instructions
sont interprétées et exécutées ligne par ligne.
Le logiciel Matlab constitue un système interactif de calcul numérique et de visualisation graphique.
Destinés aux ingénieurs, aux techniciens et aux scientifiques, c’est un outil très utilisé, dans les
universités comme dans le monde industriel, qui intègre des centaines de fonctions mathématiques et
d’analyse numérique (calcul matriciel, traitement de signal, traitement d’images, visualisations
graphiques, . . . ). Notons que d’autres logiciels compatibles avec Matlab existent ; citons par exemple
OCTAVE |sous Linux| ou encore SCILAB, développé en France par l’INRIA, qui sont tous deux très
performants interfaces.
La longitude (L) d’un lieu correspond à l’angle formé par deux plans méridiens (passant par l’axe des
pôles), l’un étant pris comme origine (méridien de Greenwich 0°) et l’autre déterminé par le lieu
envisagé. La longitude d’un lieu peut être comprise entre -180 et 180 °. A tout écart de 1° de longitude
correspond à un écart de 4 minutes de temps. On affecte du signe (+) les méridiens situés à l’Est de ce
méridien, et du signe (-) les méridiens situés à l’Ouest.
5
1.3 La déclinaison
C’est l’angle formé par la direction du soleil et le plan équatorial terrestre, on adopte la convention de
compter positivement les latitudes de l’hémisphère Nord et négativement celle de l’hémisphère Sud.
Notant que la déclinaison variée tout au long de l’année entre deux valeurs extrêmes ±23.75°. Les lois
du mouvement relatif Terre-Soleil permettent de calculer les variations de la déclinaison au long de
l’année. Plusieurs chercheurs ont proposé des formules permettant de calculer la déclinaison :
&=23.45*sin(K*(360/365) *(N+284))
Alors pour tracer la formule précédente on va exécuter un programme sur le logiciel Matlab donnant
la valeur de la déclinaison en fonction du jour de l’année.
clc
clear
close all
K=pi/180; %déclaration de k pour convertir de degré en rad
x=0;
for i=1:365 %boucle de calcul la déclinaison solaire pendent une année
x=x+1;
N(i)=x; %le nombre de jour
dec=23.45*sin(K*(360/365)*(N+284)); %pour calculer la déclinaison
end
plot(N,dec,'g') )%pour tracer la courbe
xlabel('N') )%nommer les ordonnées
ylabel('dec') )%nommer les abscisses
grid on %pour griller l'arrière-plan de la courbe
6
25
20
15
10
5
dec
-5
-10
-15
-20
-25
0 50 100 150 200 250 300 350 400
N
La figure précédente présente l’évolution de la déclinaison solaire en fonction de nombre de jour durant
toute l’année.
On remarque que la déclinaison solaire dans l’hémisphère nord de notre planète est positive au
printemps et en été, au 21 juin le soleil est à son point le plus élevé dans le ciel la déclinaison atteint
jusqu’à 23°45 ,et elle est négative en hiver et en automne (δ= -23°45) Il coïncide avec le 21 décembre,
c’est le début de l’hiver.
7
clc
clear
close all
x=0;
for j=1:24 %boucle de calcul l’angle solaire solaire pendent une
journée
x=x+1;
TSV(j)=x; %temps solaire vrai
w(TSV)=15*(12-TSV); %pour calculer l’angle solaire
end
plot (TSV,w,'r') )%pour tracer la courbe
xlabel('TSV') )%nommer les ordonnées
ylabel('w') )%nommer les abscisses
grid on %pour griller l'arrière-plan de la courbe
8
200
150
100
50
0
w
-50
-100
-150
-200
0 5 10 15 20 25
TSV
On remarque que l’ongle solaire augmente d’une façon droite il est négatif pendant les
premier heurs et nulle à midi car à ce moment le temps solaire vrai correspond au temps
repéré de façon que le soleil se trouve zénith à midi après-midi l’angle solaire commence
à augmenter jusqu’à prendre une valeur d’environ 95° à 18h et 150° à 22h.
h(j)=asin(sin(&)*sin(ɸ)+(cos(w)*cos(&)*cos(ɸ))
9
clc
clear
close all
x=0;
K=pi/180; %déclaration de k pour convertir de degré en rad
lat=33,895; %déclaration de l'altitude c’est une constante
N=input('entrer nombre je jour='); %cette fonction a pour le but
d’afficher dans la barre du commande une question pour entrer le
nombre je jour
dec=23.45*sin(K*(360/365)*(N+284));%déclaration de la déclinaison
for j=1:24 %boucle de calcul l hauteur solaire pendent une journée
x=x+1;
TSV(j)=x;
w(j)=15*(12-TSV(j)); %pour calculer l'angle solaire
h(j)=asin((sin(dec*K)*sin(lat*K))+(cos(w(j)*K)*cos(dec*K)*cos(lat*K)))/K;
%pour calculer la hauteur de soleil
if h(j)<0
h(j)=0; %pour ne pas afficher la partie négative
end
end
plot(TSV,h,'G')%pour tracer la courbe
xlabel('TSV')%nommer les ordonnées
ylabel('h')%nommer les abscisses
grid on %pour griller l'arrière-plan de la courbe
10
Après l’exécution du programme ci-dessus avec N=61 sur MATLAB on aura la courbe suivante
:
50
45
40
35
30
25
h
20
15
10
0
0 5 10 15 20 25
TSV
La figures ci-dessus présentent l’évolution de la hauteur solaire en fonction de temps solaire vrai
On remarque que la hauteur du soleil est nulle pendant les premiers heurs de la journée est-elle
commence à augmenter à partir de 6h de matin (moment de son lever ) jusqu’à midi où la hauteur solaire
prend une valeur importante 49 m cette hauteur débute à décroitre avec l’élévation des heures de la
journée, d’où elle s’annule de 18h à 19h (moment de son coucher ).
11
1.1 Rayonnement direct
Le rayonnement direct est le rayonnement reçu directement du Soleil. Il peut être mesuré par un
pyrhéliomètre. Le rayonnement direct reçu dans le plan du capteur est :
DH=𝐵 ∗ (sin(ℎ))0.4
• Pour plan inclinée :
𝑫𝒉
Di = ∗ (1 + cos(𝑖))
𝟐
1.3 Rayonnement Global
Le rayonnement global est l’énergie rayonnante totale du soleil, qui atteint une surface horizontale à la
surface de la Terre au cours d’une unité de temps précise. Il est d’environ 1.000 W/m² pour un
rayonnement solaire vertical. En France, le rayonnement global correspond environ à 1.100 kWh/m2,
tandis qu’à l’Équateur, il est de 2.200 kWh/m².
GH=SH+DH
• Pour plan incliné
12
clear all
close all
x=0;
N=input('entrer la valeur ed N=');%cette fonction a pour le but d’afficher dans la
barre du commande une question pour entrer le nombre je jour
A=input('entrer la valeur de A=');%cette fonction a pour le but d’afficher dans la
barre du commande une question pour entrer la valeur de A
B=input('entrer la valeur de B=');%cette fonction a pour le but d’afficher dans la
barre du commande une question pour entrer la valeur de B
C=input('entrer la valeur de C=');%cette fonction a pour le but d’afficher dans la
barre du commande une question pour entrer la valeur de C
k=pi/180;%declaration de k pour convertir de rad en degre
dec=23.45*sin(k*(360/365)*(N+284));% La déclinaison
lat=33.895;%declaration de l'altiude
i=30;%declaration de l'inclinaison
a=0.2;%declaration de l'albédo
for j=1:24
x=x+1;
TSV(j)=x; %temps solaire vrai
w=15*(12-TSV); %temps solaire vrai
h=asin((sin(dec*k)*sin(lat*k))+(cos(w*k)*cos(dec*k)*cos(lat*k)))/k;%pour
calculer la hauteur de soleil
if h<0 %pour ne pas afficher la partie negative
h=0;
end
%Pour un plan horizontal
Sh=A*sin(h*k).*exp(-1/C*(sin((h+2)*k))); %pour calculer l'irradiation directe
horizontal
Dh=B*(sin(h*k)).^0.4;%pour calculer l'irradiation diffus horizontal
Gh=Sh+Dh;% pour calculer l'irradiation solaire global pour plan horizontal
%Pour un plan incliné
Rb=(cos((lat-i)*k)*cos(dec*k)*cos(w*k)+sin((lat-i)*k)*sin(dec*k))/sin(h*k);
Si=Sh*Rb; %pour calculer l'irradiation directe inclinée
Di=Dh*((1+cos(i*k))/2); ;%pour calculer l'irradiation diffus inclinée
Dr=a*(Sh+Dh)*((1-cos(i*k))/2);%pour calculer l'irradiation solaire réflichie
Gi=Si+Di+Dr;%pour calculer l'irradiation solaire global pour plan horizontal
end
plot(TSV,Sh,'b*')
xlabel('Temps solaire vrai')
ylabel('Ensoleillement')
axis([4 20 0 1400])
hold on
plot(TSV,Dh,'g')
xlabel('Temps solaire vrai')
ylabel('Ensoleillement')
axis([4 20 0 1400])
hold on
plot(TSV,Gh,'K')
xlabel('Temps solaire vrai')
ylabel('Ensoleillement')
axis([4 20 0 1400])
hold on
plot(TSV,Si,'r')
xlabel('Temps solaire vrai')
ylabel('Ensoleillement')
axis([4 20 0 1400])
hold on
plot(TSV,Di,'r*')
xlabel('Temps solaire vrai')
ylabel('Ensoleillement')
axis([4 20 0 1400])
hold on
13
plot(TSV,Dr,'k*')
xlabel('Temps solaire vrai')
ylabel('Ensoleillement')
axis([4 20 0 1400])
hold on
plot(TSV,Gi,'b')
xlabel('Temps solaire vrai')
ylabel('Ensoleillement')
axis([4 20 0 1400])
legend('sh','Dh','Gh','Si','Di','Dr','Gi')
grid on
Gi
800
600
400
200
0
4 6 8 10 12 14 16 18 20
Temps solaire vrai
CIEL MOYENNE
nombre de jour 150
1400
sh
Dh
1200
Gh
Si
1000 Di
Dr
Ensoleillement
Gi
800
600
400
200
0
4 6 8 10 12 14 16 18 20
Temps solaire vrai
14
CIEL POLUE
nombre de jour 150
1400
sh
Dh
1200
Gh
Si
1000 Di
Dr
Ensoleillement
Gi
800
600
400
200
0
4 6 8 10 12 14 16 18 20
Temps solaire vrai
Les figures ci-dessus présentent les courbes des éclairements solaires (diffus, direct et global) pour plan
horizontal et pour plan incliné de différentes natures de ciel (très clair, moyen et pollué) au nombre de
jour 150 càd en été. Alors on peut remarquer que l’évolution de ces ensoleiments se fait presque de la
même manière ils sont Nulles pendant les premiers et les derniers heurs de la journée càd au lever et au
coucher de soleil, nous pouvons remarquer aussi que la valeur de rayonnement global varie entre 1000
et 1100 W/m² au midi (éclairement global pour un ciel clair est important que celui pour un ciel pollue
et ce dernier important que celui de ciel moyenne) pour plan horizontal et entre 1100 et 1200 W/ m²
pour plan inclinée alors les rayonnement global pour plan inclinée sont plus élevé que pour plan
horizontal
CIEL CLAIR
nombre de jour 61
1400
sh
Dh
1200
Gh
Si
1000 Di
Dr
Ensoleillement
Gi
800
600
400
200
0
4 6 8 10 12 14 16 18 20
Temps solaire vrai
15
CIEL POLUE
nombre de jour 61
1400
sh
Dh
1200
Gh
Si
1000 Di
Dr
Ensoleillement
Gi
800
600
400
200
0
4 6 8 10 12 14 16 18 20
Temps solaire vrai
CIEL MOYENNE
nombre de jour 61
1400
sh
Dh
1200
Gh
Si
1000 Di
Dr
Ensoleillement
Gi
800
600
400
200
0
4 6 8 10 12 14 16 18 20
Temps solaire vrai
Les figures ci-dessus présentent les courbes des éclairements solaires (diffus, direct et global) pour plan
horizontal et pour plan incliné pendant différentes nature ciel (très clair, moyen et pollué) au nombre
de jour 61 càd en hiver
On remarque que la valeur de rayonnement global varie entre 800 et 1000 W/m² au midi pour plan
horizontal et entre 1000 et 1100 W/ m² pour plan inclinée alors le rayonnement global pour plan inclinée
est plus élevé que pour plan horizontal car un plan incliné permet de capter le maximum de puissance
solaire qu’un plan horizontal
Le plan incliné reçoit des rayonnement diffus directe et réfléchit par rapport au plan horizontal reçoit
que des rayonnement direct et diffus ;
L’éclairement global pour un ciel clair est important que celui pour un ciel pollué et ce dernier et plus
important que celui de ciel moyenne Ceci peut être expliqué par le fait que dans le cas d’un ciel pollué,
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il y’a plusieurs particules et nuages qui vont diffuser le rayonnement solaire vers le panneau ; c’est
pour cela que la part du rayonnement diffus est plus importante d’où l’augmentation du rayonnement
global Gi qui arrive sur le panneau
Les rayonnements solaires pendant l’été sont plus élevé que pendant l’hiver ce qui parait logique parce
qu’en hiver, les rayonnements solaires sont faibles
1. Photovoltaïque : Définition
Les cellules photovoltaïques (photon : grain de lumière et volt : unité de tension) sont des composants
électroniques à semi-conducteurs (généralement faites de silicium sous ses différentes formes). Elles
convertissent directement l’énergie lumineuse en électricité courant continu basse tension (effet
photovoltaïque). Comme l’énergie lumineuse est le soleil, on parlealors de cellules solaires.
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3. Modèle électrique d’une cellule photovoltaïque
Le modèle électrique d’une cellule solaire est représenté par une source de courant idéale branchée avec
une diode en parallèle et une résistance série Rs, la diode D1 décrit les propriétésde semi-conducteur de
la cellule.
Le modèle à une diode (empirique) est le plus utilisé en raison de sa simplicité. Il permet d’exprimer
l’intensité d’un module PV en fonction de la tension à ses bornes et les conditions climatiques
(ensoleillement et la température ambiant)
La résistance série 𝑅𝑠 rende compte de la résistivité du matériau. De celle des électrodes et du contact
semi-conducteur-métal. Sa valeur est déterminée par l’inverse de la pente de la caractéristique I(V) pour
une tension V égale à 𝑉𝑐𝑜, dans notre cas 𝑅𝑠 = 0.154
La résistance parallèle (shunt) ou de court-circuit 𝑅𝑝 rend compte des effets, tels que le courantde fuite
par les bords de la cellule, elle est réduite du fait de la pénétration des impuretés métalliques dans la
jonction (surtout si cette pénétration est profonde). Ce circuit peut être utilisé aussi bien pour une cellule
élémentaire, que pour un module ou un panneau constitué deplusieurs modules.
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4. Simulation de module photovoltaïque sous l’environnement
Matlab/Simulink
Dans le cadre de notre étude, nous avons tout d’abord réalisé quatre schémas électriques sous forme de
sous-système afin de les associer pour obtenir un module PV complet.
Dans cette partie on va
essayer de modéliser un module d’après quatre sous-systèmes des équations qu’on a dans la partie
théorique, puis nous allons tracer les courbes correspondantes à chaque étape. Ensuite nous allons
modéliser le montage de huit panneaux en série et finalement nous allons vérifier le modèle de huit
panneaux de type Sun module protect SW 255 poly pour la valider la modélisation que nous avons
effectué.
Le photo-courant Iph créé par la cellule, dépend à la fois du rayonnement incident et de latempérature
par la relation suivante
𝐺
𝐼𝑝ℎ = ∗ (𝐼𝑐𝑐 + 𝜇𝑠𝑒 . ∆𝑇)
𝐺𝑟𝑒𝑓
Avec :
G : L’éclairement absorbé par la cellule en W/m². Gréf : L’éclairement de référence (1000W/m²).
μsc : Coefficient de température du courant de court-circuit (°K), fournit par le fabricant (μsc =
0,004°K).
Icc : Le courant du court-circuit débite par la cellule quand la tension à ses bornes est nulle (Icc = 8,66
A).
𝑞.(𝑉+𝐼.𝑅𝑠)
𝐼𝐷 = 𝐼0 ∗ (𝑒 𝑛.𝐴𝑁𝑠.𝑇.𝐾 − 1)
4.1.2 Sous-système1 :
Ce premier sous système permet de calculer le photo courant Iph :
19
Sous système2 :
Ce deuxième permet d’obtenir à son tour Le courant I0:
𝟏 𝟏
𝑬𝒈.𝒒.( − )
𝑻 𝟑 𝑻𝒓𝒆𝒇 𝑻
𝑰𝟎 = 𝑰𝟎,𝐫𝐞𝐟 . ( )𝒏. 𝒆 𝑨.𝑲
𝑻𝒓𝒆𝒇
Icc
𝐼0,ref = 𝑉𝑜𝑐∗𝑞
(𝑒 𝑛.𝑁𝑠.𝑘.𝐴.𝑇 − 1)
20
4.1.4 Sous système 4:
Ce quatrième permet d’obtenir à son tour Le courant:
𝑞.(𝑉+𝐼.𝑅𝑠)
𝐼 = 𝐼𝑝ℎ − 𝐼0 ∗ (𝑒 𝑛.𝐴𝑁𝑠.𝑇.𝐾 − 1)
21
Ensuite nous créons un nouveau sous système (=module) et nous ajoutons les éléments d’affichage
des caractéristiques du module ;
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La première figure présente l’évolution de la pression en fonction de tension on remarque que la
pression augmente avec la croissance de tension jusqu’à que la tension atteint une valeur de 37,8 V
après la puissance commence à descendre jusqu’à qu’elle s’annule.
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La courbe ci présent l’allure du courant en fonction de la tension, on constate clairement à partir de la figure
que le courant reste constant avec l’augmentation de la tension jusqu’à que cette Dernière prend la
valeur 37,8 V apres le courant commence à décroitre jusqu’à qu’elle s’annule
Le point de puissance maximale Pmpp (Maximum power point) : c’est quand la chargeà une résistance
égale à charge que la cellule délivre la puissance maximale.
Le courant de court-circuit noté Icc : il s’agit du courant qui traverse la cellule photovoltaïque lorsque
le pole + est relié au pole – (la tension à ses bornes est alors nulle). Dans ce cas, la puissance fournie
par la cellule (P=UxI) est nulle.
La tension en circuit ouvert notée Uco : il s’agit de la tension aux bornes de la cellule lorsque celle-ci
est en circuit ouvert, c'est-à-dire lorsque le pole + et le pole – sont isolésélectriquement de tout autre
circuit électrique (le courant la traversant est alors nul). Dans ce cas, la puissance fournie par la cellule
est nulle.
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Conclusion
d’arriver à étudier et à tracer les profils et les courbes qui caractérisent le gisement solaire,
ainsi que de modéliser un module photovoltaïque et comment on peut jouer avec ces
paramètres pour maximiser les performances d’un panneau solaire et bénéficier le plus
possible de l’énergie solaire pour satisfaire le besoin humain tout en gardant un confort et
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