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Résumé
Le développement des projets en matière de véhicule électrique peut
S’expliquer tout d’abord par les objectifs environnementaux fixés dans les
Cadres mondial et national pour lutter contre le changement climatique, visant
notamment à diminuer les émissions de CO2.
Devant cet état de fait, le Maroc a engagé une politique ambitieuse de
transition vers des transports plus sobres en énergie et moins polluants.
Parmi les leviers d’action identifiés, citons le développement des véhicules
électriques et hybrides rechargeables qui fonctionnent grâce à une énergie
peu émettrice à l’usage
Abstract
ملخص
يمكن تفسير تطوير مشاريع السيارات الكهربائية أوالً وقبل كل شيء باألهداف البيئية المحددة
والتي تهدف بشكل خاص إلى الحد من،في األطر العالمية والوطنية لمكافحة تغير المناخ
انبعاثات ثاني
أكسيد الكربون
شرع المغرب في سياسة طموحة لالنتقال إلى وسائل نقل أكثر كفاءة،في مواجهة هذا الوضع
ً
المركباتd دعنا تطوير، من بين أدوات العمل التي تم تحديدها.تلويثا في استخدام الطاقة وأقل
الكهربائية والهجينة التي تعمل بالطاقة منخفضة االنبعاثات لالستخدام
SOMMAIRE
Introduction générale................................................................................................................6
Chapitre I : généralités sur les véhicules électriques.....................................7
1 INTRODUCTION :..........................................................................................................7
1.1 Historique de l’évolution du véhicule électrique :.....................................................7
1.2 Le véhicule électrique : définition et fonctionnement...............................................9
1.3 Chaine de traction d’un véhicule électrique :............................................................9
1.3.1 Batteries............................................................................................................9
1.3.2 Convertisseur statique :...................................................................................10
1.3.3 Moteur électrique :..........................................................................................10
1.3.4 Réducteur mécanique :....................................................................................10
1.4 Les différentes architectures de traction :................................................................10
1.4.1 Véhicules électriques mono moteur (machine à courant continu) :.................10
1.4.2 Véhicules électriques bi moteur (machine à courant alternatif) :..................11
1.4.3 Les structures de chargeur...............................................................................11
1.4.4 Principe de chargeur........................................................................................11
1.4.5 Modes de connexion des chargeurs pour VE...................................................12
1.5 Inconvénients et avantages du VE :........................................................................14
Conclusion :........................................................................................................................14
1
Chapitre I : généralités sur les véhicules
électriques
1 INTRODUCTION :
L’émergence du véhicule électrique ces dernières années causé bien sûr par
l’énorme impact des gaz à effet de serre sur le réchauffement planétaire ainsi que la
pollution dans les métropoles, causée par les gaz d’échappement d’intérêt sur la
recherche au sujet de l’améliorer et de le développer La première partie de ce travail
consiste à dresser un électrique, les batteries ainsi que les chargeurs et les différents
modes de charge
2
1966, le congrès américain recommande la construction de véhicules
électriques pour réduire la pollution de l’air.
1972, Victor Wouk le parrain du véhicule hybride construit la première voiture
hybride, la Buick Skylark de General Motors
1974, la Vanguard-Sebring CitiCar, qui ressemble beaucoup à une voiturette
électrique de Golf fait son apparition au Electric Véhicule Symposium de
Washington, D.C. Elle peut rouler sur 64 kilomètres à une vitesse de 48 km/h.
1976, le Congrès américain adopte le Electric and Hybrid Vehicle Research,
Développent, and Démonstration Act
1988, le président de GM Roger Smith lance un fond de recherche pour
développer une nouvelle voiture électrique qui deviendra la EV1
1990, l’Etat de la Californie vote le Zero Emission Vehicle (ZEV), un plan qui
prévoit que 2% des véhicules devront avoir zéro émission polluante en 1998
(puis 10% d’entre eux pour 2003)
Entre 1996 et 1998 GM va produire 1117 EV1, dont 800 d’entre elles en
location avec un contrat de 3 ans
En 1997, Toyota lance la Prius, la première voiture hybride à être
commercialisée en série. 18 000 exemplaires seront vendus au Japon la
première année.
De 1997 à 2000, de nombreux constructeurs lancent des modèles électriques
hybrides : la Honda EV Plus, la G.M. EV1, le Ford Ranger pickup EV, Nissan
Altra EV, Chevy S-10 EV et le Toyota RAV4 EV.
A partir de 2000 la voiture électrique va re-mourir à nouveau
En 2002, G.M. et DaimlerChrysler poursuivent le California Air Resources
Board (CARB) pour faire annuler la loi Zero Emission Vehicle (ZEV) de 1990.
En 2003 en France, Renault fait une tentative avec la sortie de sa voiture
hybride Kangoo Electrode mais abandonnera la production après environ 500
véhicules.
En 2003-2004, c’est la fin de l’EV1. GM va récupérer un par un tous les
véhicules pour les détruire, et ce malgré plusieurs mouvements de
protestation.
En 2006, Chris Paine sort un documentaire intitulé Who Killed the Electric
Car ? qui analyse la montée en puissance et la mort de la voiture électrique à
la fin des années 90.
En
2007, il y avait
encore 100 000
véhicules
électriques en
circulation aux
Etats-Unis.
En mars
2009, Vincent Bolloré annonce la sortie pour 2010 en location mensuelle à
330 euros de la Pininfarina Blue Car.
3
1.2 Le véhicule électrique : définition et fonctionnement
Un véhicule tout électrique (VTE) est défini comme étant un moteur fonctionnant
exclusivement par l’énergie électrique. Autrement dit, la force motrice est transmise
aux roues par un ou plusieurs moteurs électriques selon la solution de transmission.
La solution électrique répond doublement aux exi de pollution gazeuse et de
nuisance sonore. Compte tenu des progrès : scientifique et accomplis dans le
domaine de l’électronique de puissance, les systèmes de gestion nouvelles
conceptions sont explorés pour développer ce mode de propulsion
1.3.1 Batteries
La batterie est un réservoir d'énergie électrique qui se compose de plusieurs
éléments formés chacun d'une anode, d'une cathode, d'un séparateur
4
convenable pour isoler électriquement les électrodes à l'intérieur, d'un
électrolyte et d'un récipient
Les circuits de bord des véhicules électriques nécessitent une alimentation
fournie par une batterie. Pour réaliser des batteries capables de rendre
crédible une offre de voiture électrique sur le marché, les chercheurs du
monde entier travaillent à relever différents défis :
- Diminuer les temps de charge des batteries des véhicules électriques. - Améliorer
la sécurité des batteries des voitures électriques.
5
1.4 Les différentes architectures de traction :
Pour faire rouler un véhicule électrique, il existe deux types de moteurs : les
moteurs à courant continu, et les moteurs à courant alternatif.
6
Figure 2 Architecture d’un véhicule électrique bi moteur
7
Tableau I.2 Temps de charge de batterie
8
vérifie que le véhicule est bien connecté, que la masse est reliée au circuit de
protection les puissances entre le câble, le véhicule et le circuit de charge sont
Mode 4 : Connexion courant continu
Le VE est branché indirectement au réseau de distribution par le biais d’un
Chargeur externe. Tout comme contrôle et de charge Ce mode est dédié à la recharge
rapide continue la figure illustre ces quatre modes :
Conclusion :
Dans ce chapitre nous avons présenté un bref aperçu de l’état de l’art sur le véhicule
Électrique. Les déférents éléments constituant une chaine de traction ont été présentés
comme les batteries et les moteurs électriques, ainsi que les différentes architectures
de la motorisation et les technologies de convertisseurs statiques utilisés. Cela nous a
permis de faire une synthèse afin de choisir les composants adéquats à une chaine de
traction pour notre étude.
9
Chapitre II : Modélisation d’un moteur à courant
continu
2 Introduction
10
robotique. Ils ont donc fait l’objet de nombreuses améliorations, et beaucoup de
produits commercialisés Aujourd’hui.
11
L’alimentation de l’enroulement inducteur est prise sur une source indépendante
de la source principale. On change le sens de rotation en permutant les bornes de
l’induit ou de l’inducteur. Le circuit électrique est représenté par la suivante :
12
Figure 8 Modélisation électrique d’un Moteur à excitation série
13
Figure 10: Schéma équivalent d’un moteur à courant continu
Selon le schéma de la (figure. I.6), un moteur électrique à courant continu est régi
par les équations physiques découlant de ses caractéristiques électriques,
mécaniques et magnétiques.
D'après la loi de Newton, combiné à des lois de Kirchhoff, On peut écrire les
équations différentielles de premiers ordres suivantes :
14
Fonction de transfert du moteur :
La fonction de transfert cherchée H(p) est entre la tension entrant dans le
moteur U(p)et la vitesse de sortie (p) :
15
Figure 12 résultat de couple
électromagnétique de MCC
sans charge
16
INTERPRETATION :
La figure I.9 montre les résultats de simulation du MCC sans utilisation de charge
(Cr=0
Nm)
On remarque que la réponse de vitesse suit la valeur de référence, le couple
É lectromagnétique Ce aura la même réponse que celle du courant parce que
nous avons
Ce=K.I (couple dépond de courant).
17
Figure 14 résultat de vitesse, couple électromagnétique et courant de MCC avec charge
18
INTERPRETATION :
Augmenter la tension nominale continue de 201,6 V (pour la batterie HV) jusqu’à une
tension maximum continue de 500 V.
Abaisser la tension générée par MG1 et MG2 et convertie par le variateur (500V), jusqu’à
une tension continue de 201,6 V (pour la batterie HV).
Le réacteur est une bobine (utilisation des effets de self d'une bobine).
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L’unité de commande électronique ECU HV, commande le transistor IGBT2 à fréquence
variable et à rapport cyclique variable.
L'objectif est de faire passer la tension issue de la batterie (201,6V) à l'entrée du survolteur à
500V maxi en sortie.
Phase de décharge
du réacteur :
A cet instant de la
commande, l'ECU
Arrête de
commander l'IGBT2
qui devient "bloqué".
La f.é.m. induite lors
de la coupure du
Circuit, est de l'ordre
de 500V.
Un condensateur en
parallèle "lisse «la
tension induite en
sortie du survolteur.
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Phase de lissage
du condensateur :
A cet instant de la
commande, l'ECU
Commande
l'IGBT2 qui
devient
"passant".
La bobine se
"charge " à
nouveau et
Le condensateur se
"décharge" en
sortie du
survolteur.
En faisant varier la
fréquence et le
rapport cyclique de
pilotage du
transistor IGBT2, l'ECU HV est capable de moduler la tension de sortie du survolteur de
201,6V à 500V maxi.
Cela revient à dire que l'alimentation des moteurs/générateurs MG1 et MG2, pourra variée de
201,6V à 500V
Maxi.
21
CONCLUSION :
Dans ce chapitre, on a présenté une généralité sur le MCC et ses différents types
D’excitation. Ensuite on a abordé sa modélisation sans et avec utilisation du
Couple résistant(Cr) toute en utilisant des résultats de simulation.
22
Chapitre III : Modélisation et simulation
3 Introduction :
L’objectif de cette partie est de présenté une modélisation ainsi une simulation des
différents composants d’un véhicule électrique pour une charge de la batterie par
transmission d’énergie sans fil et alimente la machine a courant continue en utilisant
le logiciel Matlab / Simulink.
Le signe du flux dépend donc de l’angle relatif des vecteurs 𝐵 ⃗ et d𝑆. La notion de
vecteur surface doit donc être considérée pour pouvoir lever ce problème de signe.
Commençons tout d’abord par la base : le vecteur 𝑆 est un vecteur perpendiculaire à
la surface de module 𝑆. Son sens est défini par une convention caractérisée par le
sens de circulation sur le circuit fermé 𝒞 entourant la surface. Selon une règle définie
(règle de la main droite), nous pouvons orienter le vecteur surface.
23
Cette complexité du signe du flux peut être largement levée dans le cas du flux
propre d’une spire (le flux la traversant et créé par son propre courant) si le
physicien éclairé choisi comme orientation de 𝒞 le sens de circulation du courant 𝑖.
Dans ce cas, l’induction magnétique 𝐵 ⃗ est toujours dans la direction de 𝑆 et le flux
propre est toujours positif. L’équation prend alors la forme (si la spire est notée 1) :
𝜑1→1 = 𝐵1 𝑆1
Dans les faits, il est impossible de mesurer uniquement cette force électromotrice «
propre » liée à l’auto-induction de la spire sur elle-même car la tension aux bornes
de la spire est également composée d’une part liée à la résistance électrique du fil
conducteur qui la constitue. La tension aux bornes de la spire en convention
récepteur a alors pour expression :
Dans le cas d’une bobine constituée de 𝑁1 spires (Figure 12), la tension totale aux
bornes du solénoïde est, tout simplement, la somme des tensions aux bornes de
chaque spire. Si toutes les spires sont traversées par le même flux 𝜑1→1, nous
obtenons :
24
Figure 15 Généralisation à une bobine
Le modèle électrique associé à une bobine est défini à partir de la relation liant le
courant électrique à l’induction magnétique et donc au flux 𝜑 de cette induction
dans la surface 𝑆. Si les matériaux traversés par le champ magnétique ont un
comportement linéaire, le flux peut être relié au courant par une loi de
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proportionnalité faisant apparaitre, pour une bobine seule, la notion d’inductance
propre.
Le comportement d’une bobine peut donc être décrit par l’équation suivante. La
bobine se comporte donc comme un circuit R, L :
Remarque : Notez que cette mutuelle inductance peut être positive ou négative selon
le sens de couplage des deux bobines. 𝑀 12 est donc une grandeur algébrique qui
dépend de la position relative des deux bobines.
De la même façon, nous pouvons définir la mutuelle inductance de la bobine 1 sur la
bobine 2 :
Les représentations
électriques correspondant à ces modèles prennent les formes suivantes :
Pour une bobine unique :
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Figure 17 Représentation de bobines couplées
Comme vous pouvez le voir Figure 14, il y a deux représentations possibles. L’une fait
apparaitre la mutuelle comme une grandeur algébrique alors que la seconde définit
une mutuelle inductance positive. Pour permettre à l’utilisateur de retrouver le signe
correct dans ses équations, la représentation fait apparaitre deux « points » sur les
deux enroulements. On trouve donc deux configurations possibles selon le signe de
la mutuelle inductance.
Remarque : Notez que ce principe est utilisé par les logiciels de simulation
électrique comme par exemple PSpice ou LTSpice.
La mutuelle inductance est alors caractérisée par une valeur positive dénommée
coefficient de couplage définie comme suit :
Le coefficient de couplage est égal à 1 (100%) lorsque les bobines sont parfaitement
couplées magnétiquement. Il varie donc de 0% (en absence de couplage
magnétique) à 100%. Dans un système de transfert d’énergie par induction, le
coefficient de couplage se situe classiquement dans une plage comprise entre 10%
et 30%.
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Figure 18 Architecture d’un système de transfert d’énergie par induction
Un dispositif de transfert d’énergie par induction est bâti autour de bobines situées
dans le sol et dans l’automobile (Figure 15). La chaîne de conversion électrique
comprend les éléments suivants :
3.2 Les commandes des circuits utilisée pour la recharge sans fil de la
batterie de VE
3.2.1 : la commande d’hacheur
La figure suivant présent la commande utilisée pour l’hacheur abaisseur :
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Figure 19 La commande de hacheur
Dans cette commande à l’entrée on comparée la tension de sortie de hacheur avec une
référence V_ref, après la comparaison on utilise un régulateur PI pour obtenu le courant
Ibus* on compare ce dernier avec le courant Ibus mésurer , l’erreur entre Ibus* et Ibus
mesuré sont comparent avec une porteuse , si le signale d’entrée est supérieur a le
signal de la porteurs , l’impulsion T = 1, si le signal d’entrée est inférieur a le signal de la
porteuse T = 0.
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Figure 20 Modélisation de la MCC
Dans cette commande à l’entrée ont comparée la vitesse de la machine MCC avec une
référence de vitesse, après la comparaison on utilise un régulateur PI pour obtenu le
couple Cem*, on deviser le couple par Mfd*If (le courant If est mesurer) pour obtenir le
courant d’induit Ia, on utilise la méthode hystérésis pour générer les impulsions, afin de
commander le hacheur quatre quadrant (pont 4 diodes).
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3.3 : Simulation sous Matlab/Simulink :
Les résultats de la simulation du réseau utilisé sont présentés sur le figure 21 et le figure
22 :
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Figure 24 L’allure de vitesse de MCC
Conclusion :
A travers ce chapitre nous avons présenté une modélisation ainsi une simulation des
différents composants d’un véhicule électrique pour une charge de la batterie par
transmission d’énergie sans fil alimenté la machine à courant continu , et aussi les
équations mathématiques utilisées pour cette modélisation.
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Conclusion générale
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LISTE DES FIGURES
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LES ANNEXES
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